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Jumièges

Jumièges est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Jumièges
Jumièges
Le bac et l'abbaye en arrière-plan.
Blason de Jumièges
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Julien Delalandre
2020-2026
Code postal 76480
Code commune 76378
Démographie
Gentilé Jumiégeois, Jumiégeoises
Population
municipale
1 693 hab. (2020 en diminution de 4,78 % par rapport à 2014)
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 04″ nord, 0° 49′ 17″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 83 m
Superficie 18,75 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Jumièges
(ville-centre)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Barentin
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Jumièges
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Jumièges
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Jumièges
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Jumièges

    Géographie

    Situation

    Jumièges est située sur la rive droite de la Seine, entre Le Havre et Rouen, dans un méandre convexe du fleuve.

    La commune fait partie du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

    Voies de communication et transports

    À Jumièges est exploité, par le département de Seine-Maritime, un bac maritime permettant de traverser la Seine.

    Les ponts les plus proches permettant de traverser la Seine sont le pont de Brotonne à Rives-en-Seine et le pont Gustave-Flaubert à Rouen.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 862 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1978 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records JUMIEGES (76) - alt : 30 m 49° 26′ 06″ N, 0° 49′ 12″ E
    Records établis sur la période du 01-06-1978 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 1,8 3,7 4,9 8,3 11 13,2 13,1 10,8 8,4 4,9 2,6 7,1
    Température moyenne (°C) 4,9 5,3 8 10,1 13,7 16,6 18,9 18,9 16 12,6 8,2 5,3 11,6
    Température maximale moyenne (°C) 7,7 8,8 12,2 15,2 19,1 22,2 24,6 24,6 21,3 16,8 11,5 8 16
    Record de froid (°C)
    date du record
    −19,5
    08.01.1985
    −14
    11.02.12
    −7,5
    03.03.1986
    −4,2
    05.04.1990
    −3
    07.05.1979
    1,3
    05.06.1991
    4
    22.07.1980
    4
    25.08.1980
    2
    23.09.1979
    −5
    30.10.1997
    −9,2
    26.11.1989
    −12,5
    29.12.1996
    −19,5
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    16,4
    06.01.1999
    21,9
    27.02.19
    28
    30.03.21
    30,4
    21.04.18
    33,2
    13.05.1998
    39,2
    29.06.19
    43,6
    25.07.19
    40,8
    09.08.20
    34,5
    13.09.16
    30,8
    01.10.11
    22,2
    07.11.15
    17,8
    19.12.15
    43,6
    2019
    Précipitations (mm) 76 62,3 65,8 57,5 67,9 58,7 69,5 61,1 65,8 85,7 78,1 95,7 844,1
    Source : « Fiche 76378001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Jumièges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [8] - [9] - [10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Jumièges, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[11] et 2 358 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12] - [13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14] - [15].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (49,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,6 %), forêts (27,6 %), eaux continentales[Note 6] (11,9 %), zones urbanisées (8,8 %), terres arables (5,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,3 %), prairies (2,8 %), cultures permanentes (1,5 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Gemeticum 837-838, Gemedicum (actes mérovingiens), Gemedico (monnaie mérovingienne)[18], Gimegias entre 1015 et 1026, Gemmetico entre 1024 et 1043[19].

    Ces formes anciennes sont analogues à celles de Gémages (Orne, Gemmeticum XVe siècle) et de Vimais (Eure-et-Loir, Gimagia 1128)[18].

    Le premier élément Gem- (celtique ?) se retrouve également dans des patronymes gaulois comme Gemelus. La forme attendue serait *Gém-ièges et non pas Jum-ièges, mais le [e] de la syllabe initiale Gém- s'est modifié en [y] (u) sous l'influence des consonnes du contexte, tout comme dans jumeau issu du latin gemellus (variante gémeau).

    La terminaison -ièges contient apparemment deux suffixes: -at- / -et- et -iko- (-icum)[18]. Ces suffixes celtiques sont attestés par ailleurs -eto-, -et- dans le nom des Caleti (Pays de Caux) par exemple. cf. breton kaled, Gwened (-et→ -ed). -iko- est attesté (au pluriel) dans Aremorici (ceux de l'Armor, sur are- « devant, auprès » cf. Arelaunum ancien nom de la forêt de Brotonne et more « mer » cf. breton mor, même sens) ou encore Bellovaci, Mediomatrici, etc. Une variante -ika se retrouve dans le nom du pays d'Ouche de Utica, du Perche de Pertica et de l'Armorique, Aremorica. cf. également Vertamica (inscription de Lezoux) correspondant du vieux breton Uuortemic[20].
    -ETICA a régulièrement abouti à -iège en français.

    L'étymologie par le latin gemma « pierre précieuse » est une invention des moines de l'abbaye Saint-Pierre pour justifier du prestige de leur établissement monastique, en effet ce genre d'explication par le latin classique par des clercs bon latinistes est généralement sans fondement, les toponymes étant pour l'essentiel des formations populaires (cf. Fécamp, Louviers, etc.).

    Histoire

    Ruines de l'abbaye, vue du chœur.

    Jumièges était, jusqu'à la Révolution, l'une des trois paroisses formant la baronnie du même nom, domaine direct de l'abbaye de Jumièges.

    L'implantation des moines, au VIIe siècle, suscita un développement agricole de la presqu'île de Jumièges mais aussi l'essor d'une activité maritime. Port Jumièges était doté d'un chantier de construction.

    En 1518, un navire de Jumièges, La Martine, commandé par Robert Cossart, touche les côtes du Brésil.

    Durant tout le XVIe siècle, des navires de Jumièges participent aux campagnes morutières à Terre-Neuve.

    À la Révolution, la communauté religieuse est dispersée, l'abbaye transformée en maison de retraite puis en carrière de pierre.

    Le , le hameau de Heurteauville, situé sur la rive gauche de la Seine, se sépare de Jumièges pour former une nouvelle commune[21] ainsi qu'une nouvelle paroisse.

    Le , Prosper Peschard, notaire et maire de Jumièges, est assassiné par l'un de ses conseillers municipaux, Jules Martin.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[22]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1813 Hue
    1852 Lepicard
    1864 1867 Lepel-Cointet
    1890 1907 Sever Augustin Boutard[23] Républicain Chevalier du Mérite agricole en 1896
    14 juillet 1910 Prosper Peschard[24] Notaire
    Assassiné en fonctions
    1920 1933 Jérémie Boutard
    mai 1925 mai 1929 Sever Boutard[23]
    1933 Duparc
    1936 1939 Guillaume Quesne
    Les données manquantes sont à compléter.
    1944 1945 Charles Guillemot-Treffainguy
    1945 1945 Estor Cadinot
    1945 mai 1953 Georges Boutard[Note 7] Fils de Jérémie Boutard[23]
    mai 1953 1954 Henri Lefrançois
    1954 mars 1977 Alphonse Callais
    mars 1977 mars 1983 André Fessard
    mars 1983 juin 1995 Roland Maillet PS
    juin 1995 mars 2001 Jean-René Le Ru SE Ingénieur TPE
    mars 2001 mars 2008 Joëlle Tétard Retraitée
    mars 2008 mai 2020 Jean Dupont UDI Retraité
    mai 2020[25] En cours
    (au 10 août 2020)
    Julien Delalandre[23] Secrétaire administratif dans l’Éducation nationale
    arrière petit-fils de Georges Boutard

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

    En 2020, la commune comptait 1 693 habitants[Note 8], en diminution de 4,78 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6941 8501 8621 9551 8471 7111 6781 6741 765
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6701 6021 6181 0731 0841 0151 0281 0271 020
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9951 0129288728478678801 0781 088
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 2141 3051 4741 6341 6411 7141 7151 7151 769
    2017 2020 - - - - - - -
    1 7191 693-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Ancienne église abbatiale Notre-Dame.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Armes de Jumièges

    Les armes de la commune de Jumièges se blasonnent ainsi :
    d’azur à la croix d’or, cantonnée de quatre clefs adossées d’argent.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Albert Tougard, Jumièges, Rouen, E. Cagniard, 1879.
    • Laurent Quevilly, L'ange de Jumièges (Mémoires d'un barde normand : Gabriel-Ursin Langé, Paris, Books on Demand, , 280 p. (ISBN 978-2-322-08238-4)
    • François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et des anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150)
      Ouvrage publié avec le soutien du CNRS
    • Pierre-Yves Lambert, La Langue gauloise, édition Errance 1994. (ISBN 2-87772-089-6)
    • Gilbert Fromager (préf. Charles Carré), Le Canton de Duclair à l'aube du XXe siècle, Duclair, G. Fromager, , 163 p. (ISBN 2-9501653-0-3)
    • Gilbert Fromager, Le canton de Duclair : 1925-1950, Duclair, G. Fromager, , 204 p. (ISBN 2-9501653-1-1)
    • « Jumièges », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5) vol. 1, p. 430-436

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Le stade de foot porte son nom car il est à l'origine de la création de l'Etoile de Jumièges, le club sportif local
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Fiche du Poste 76378001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Unité urbaine 2020 de Jumièges », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    18. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 98.
    19. Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite) », Annales de Normandie, no 3, 8e année,‎ , p. 158 (ISSN 0003-4134, e-ISSN 2261-4427).
    20. D'après Léon Fleuriot.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. « Les maires de Jumièges », Jumièges, sur Le Canard de Duclair (consulté le ).
    23. Laurent Derouet, « Elections municipales : à Jumièges, le jeune maire a de qui tenir : Julien Delalandre, le nouveau maire de Jumièges (Seine-Maritime), a sans doute hérité de ses ancêtres son intérêt pour la chose publique. Dans sa famille, on compte déjà trois maires de la commune, dont le premier a été élu en 1890 », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    24. Laurent Quevilly, « L'assassinat du maire de Jumièges : Le revolver de Jules Martin résonne encore à Jumièges. Le 14 juillet 1910, jour de fête nationale, ce conseiller municipal tira sur son maire. Genèse d'un psychodrame collectif... », Le Canard de Duclair (consulté le ).
    25. « Municipales 2020. Julien Delalandre a été élu nouveau maire de Jumièges : Julien Delalandre a pris ses nouvelles fonctions mercredi 27 mai 2020 », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu à l’issue du premier tour des municipales le 15 mars 2020, Julien Delalandre, 38 ans, a officiellement été installé dans le fauteuil de maire de Jumiège, mercredi 27 mai 2020 (...) Secrétaire administratif dans l’Éducation nationale, conseiller municipal sortant, il avait conduit la liste Bien vivre à Jumièges obtenant 65,47 % et seize élus. La liste conduite par le maire sortant Jean Dupont, Jumièges en action, obtenait 34,53 % et trois élus ».
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Notice no PA00100727, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. Notice no IA00021660, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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