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Trith-Saint-Léger

Trith-Saint-Léger est une commune française de la banlieue de Valenciennes, située sur le cours canalisé de l'Escaut, dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France.

Trith-Saint-Léger
Trith-Saint-Léger
Mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Valenciennes
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut
Maire
Mandat
Dominique Savary
2020-2026
Code postal 59125
Code commune 59603
Démographie
Gentilé Trithois(e)(s)
Population
municipale
6 186 hab. (2020 en diminution de 2,1 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 900 hab./km2
Population
agglomération
333 453 hab. (2020)
Géographie
CoordonnĂ©es 50° 19â€Č 33″ nord, 3° 29â€Č 12″ est
Altitude Min. 21 m
Max. 81 m
Superficie 6,87 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Valenciennes (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aulnoy-lez-Valenciennes
Législatives Dix-neuviÚme circonscription
Localisation
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Trith-Saint-Léger
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Trith-Saint-Léger
Liens
Site web site de la mairie

    Au , la commune comptait 6 376 habitants appelĂ©s Trithois. Elle fait partie de la communautĂ© d'agglomĂ©ration de la Porte du Hainaut, qui regroupe 39 communes et 143 786 habitants, en 2006.

    Les habitants de la commune s'appellent des Trithois et/ou des Trithoises[1].

    Géographie

    Situation

    Trith-Saint-Léger est située sur la départementale 59, entre Prouvy et Valenciennes, au sud-ouest de celle-ci. La gare de Trith-Saint-Léger est desservie par la ligne SNCF TER Nord-Pas-de-Calais Valenciennes - Cambrai. La commune inscrit son développement dans un schéma du développement urbain élaboré avec une forte dynamique de concertation.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Trith-Saint-Léger
    La Sentinelle Valenciennes
    Prouvy Trith-Saint-Léger Aulnoy-lez-Valenciennes
    Maing Famars

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 711 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 9,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Valenciennes », sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 708 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et Ă  40 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  10,8 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Trith-Saint-LĂ©ger est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomĂ©ration internationale dont la partie française regroupe 56 communes[18] et 333 453 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (84,3 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (80,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (50,4 %), zones urbanisĂ©es (33,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (11 %), terres arables (4,1 %), prairies (0,7 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[24].

    Histoire

    Le Théùtre des Forges René Carpentier (patrimoine industriel) à ossature de fonte et acier, restauré et rouvert au public
    Le gĂ©ant "Mononque Hubert", effigie d'un peintre artisan que les enfants appelaient "Mon oncle Hubert". Il tient dans sa main gauche un pot de peinture, et de l'autre un verre de biĂšre. Créé en 1949 sur une suggestion du conseil municipal, il mesurait 4 mĂštres de hauteur

    En 1170, le village établi sur les deux rives de l'Escaut s'appelait Pont-de-Trith (de trajectus, passage de cours d'eau). Un vieux pont recevait un chemin descendant de Famars et remontant directement vers le hameau de Saint-Léger qui portait le nom du martyr qui y souffrit.

    Ce passage important se trouvait défendu par une forteresse qu'occupaient de puissants seigneurs. Parmi eux, Rénier de Trith qui participa aux croisades de Constantinople. C'est pour ses hauts faits d'armes en Orient que les descendants de Renier de Trith portÚrent dans leurs armoiries « un croissant de gueules dans un champ d'argent ».

    C'est au XIe siÚcle qu'il est fait mention de Trith dont les seigneurs étaient pairs du comté de Valenciennes. Riches et puissants, ils furent longtemps en guerre avec ceux d'Aulnoye jusqu'à ce que Baudouin V, Comte de Hainaut, les oblige à renoncer à leurs querelles en 1171.

    À la fin du XIIe siùcle, le chñteau de Trith passe à la famille de RƓulx puis au Comte du Hainaut.

    La houille, que l'on cherchait déjà à la fin du XVIIIe siÚcle et que l'on exploite en 1826, façonne ensuite le visage de Trith-Saint-Léger, ainsi que la sidérurgie.
    La fosse « Ernest » Ă©tait ouverte en 1826 Ă  Trith (actuel territoire de La Sentinelle). On peut lire dans une statistique de 1832 : « il existe Ă  Trith sept fosses Ă  charbon des mines d'Anzin et
 un Ă©tablissement considĂ©rable contenant des forges et laminoirs Ă  l'anglaise, oĂč l'on Ă©tire les fers; plus une fonderie oĂč l'on coule des piĂšces en fonte du poids de 12 Ă  15 000 livres. » Cet Ă©tablissement avait Ă©tĂ© créé en 1823. La « Maison CĂ©sar Sirot », aujourd'hui LaminĂ©s Marchands EuropĂ©ens, sociĂ©tĂ© dĂ©tenue par le groupe Beltrame et ArcelorMittal, y a Ă©tĂ© créée en 1875.

    La commune, comme beaucoup d'autres de cette région, a été durement touchée par les séquelles économiques, sociales et environnementales de la mine, les séquelles de deux guerres mondiales puis de la crise de la sidérurgie (ex : fermeture du site métallurgique d'Usinor, qui en termes d'emploi n'a été que trÚs partiellement compensée par l'installation de l'usine PSA Peugeot Citroën, et qui a laissé des sols pollués sur environ 30 ha[25] (gazomÚtre (aujourd'hui détruit), ancien crassier sidérurgique dont une partie est occupée par l'aciérie LME (USINOR - LME) qui a aussi « exploité une décharge interne pour le stockage de poussiÚres d'aciérie jusqu'en juin 99 ») [26]. Ces sites sont à l'origine d'une pollution de la nappe des alluvions par des métaux lourds (plomb, chrome, arsenic issus de déchets industriels spéciaux, et des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP).

    La commune se relÚve progressivement de ces crises, en soutenant le développement culturel et en intégrant les principes du développement durable et de la construction de haute qualité environnementale dans ses nouveaux investissements.

    Héraldique

    Armes de Trith-Saint-Léger

    Les armes de la commune de Trith-Saint-Léger se blasonnent ainsi :
    D'argent au croissant de gueules.[27]

    Environnement

    "Résidence Les godenettes"(EHPAD spécialisée dans l'accueil de personnes ùgées dépendantes, construit par Jean-Luc Collet, selon les principes de l'architecture HQE avec puits thermique, vitrages spéciaux, mur végétalisé, puits de lumiÚre, modules photovoltaïques, systÚme innovant de climatisation, etc.
    "Résidence Les godenettes"(EHPAD spécialisée dans l'accueil de personnes ùgées dépendantes, construit par Jean-Luc Collet, selon les principes de l'architecture HQE avec puits thermique, vitrages spéciaux, mur végétalisé, puits de lumiÚre, modules photovoltaïques, systÚme innovant de climatisation, etc.[28]

    [28]


    De nombreux sites industriels dégradés ou pollués ont fait l'objet (dans les communes et sa proche région) de démolitions et traitement (avec l'EPF souvent), ou font encore l'objet d'une surveillance.

    La commune a construit une école HQE, maison de retraite spécialisée dans l'accueil et hébergement de personnes ùgées dépendantes dessinée par l'architecte Jean-Luc Collet, créée avec le Sivom de Trith-Saint-Léger et environs[29] - [28]. HQE avec puits thermique, vitrages spéciaux (récupérant l'énergie), mur végétalisé, puits de lumiÚre, modules photovoltaïques, systÚme innovant de climatisation, qui permettra à cet établissement de mieux réagir aux canicules, etc.

    Culture et associations

    Outre les associations et les écoles, la MédiathÚque Gustave Ansart, et le Théùtre des Forges René Carpentier sont les principaux supports de la vie culturelle de la commune. Le théùtre est une relique de l'architecture industrielle caractéristique qui s'est développée à partir du XIXe siÚcle jusqu'à l'entre-deux-guerres dans le bassin minier.

    Natation sportive

    La ville de Trith-Saint-Léger dispose d'une piscine composée de deux bassins. Le projet de rénovation de la piscine débutera au début de l'année 2015. Le club de natation sportive surnommé "Le Squale Trithois" participe à de nombreuses compétitions FSGT et quelques compétitions FFN.

    Politique et administration

    En 2011, la commune de Trith-Saint-Léger a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[30].

    Liste des maires

    Maire en 1802-1803 : Dayez[31].

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1878 1900 César Sirot NI Maßtre de forges
    DĂ©putĂ© de la 3e circonscription de Valenciennes (1899 → 1902)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Valenciennes-Sud (1895 → 1914)
    mars 1971 1996 René Carpentier PCF Employé de bureau
    DĂ©putĂ© de la 19e circonscription du Nord (1990 → 1997)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Valenciennes-Sud (1967 → 1988)
    1996 [32]
    (démission)
    Elie Salengros PCF Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Valenciennes-Sud (1988 → 2001)
    mai 2020 Norbert Jessus PCF Ancien technicien GDF
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Valenciennes-Sud (2008 → 2015)
    2020 En cours Dominique Savary PCF
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    Trith-Saint-Léger relÚve du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[34].

    En 2020, la commune comptait 6 186 habitants[Note 8], en diminution de 2,1 % par rapport Ă  2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    6781 0031 1531 6611 7681 7991 9512 4952 898
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    3 2713 9234 0192 3122 7773 2833 5373 7163 724
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    3 7894 3634 1885 0845 4165 1435 2806 4597 098
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    7 6126 7575 9526 2086 1966 3676 4506 2616 186
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population passe de 950 habitants en 1803 Ă  1 799 en 1842. Par contre, le territoire de la commune (1 064 ha en 1803) est amputĂ© de La Sentinelle.

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  38,8 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 22,7 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,5 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 3 010 hommes pour 3 179 femmes, soit un taux de 51,37 % de femmes, lĂ©gĂšrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,77 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    1,2
    5,4
    75-89 ans
    10,0
    13,3
    60-74 ans
    15,2
    20,3
    45-59 ans
    20,2
    19,0
    30-44 ans
    17,8
    21,6
    15-29 ans
    18,4
    20,3
    0-14 ans
    17,3
    Pyramide des ùges du département du Nord en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Martin
      L'église Saint-Martin
    • L’église Saint-Éloi
      L’église Saint-Éloi
    • La gare de Trith-Saint-LĂ©ger
      La gare de Trith-Saint-Léger
    • La gare du Poirier-UniversitĂ© et le quartier attenant
      La gare du Poirier-Université et le quartier attenant

    Économie

    Cadre de vie

    La commune a été récompensée par une fleur au palmarÚs 2007 du concours des villes et villages fleuris[41] puis par une deuxiÚme fleur l'année suivante[42].

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Odette Hardy-HĂ©mery, Trith-Saint-LĂ©ger du premier Ăąge industriel Ă  nos jours, Villeneuve d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, coll. « Histoire et civilisations », , 368 p. (ISBN 2-85939-768-X et 9782859397685, BNF 38931516, lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. habitants.fr, « Nom des habitants des communes françaises - Trith-Saint-Léger » (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Valenciennes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Trith-Saint-Léger et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Valenciennes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Trith-Saint-Léger et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
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    42. Source : « Villes et Villages Fleuris »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
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