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Sucralose

Le sucralose est un édulcorant artificiel intense, découvert en 1976. Il a un pouvoir sucrant 600 à 650 fois plus élevé[5] que le sucre. Il est commercialisé en France sous les noms commerciaux de « Canderel »[6] ou « Aqualoz ». Il est synthétisé à partir d'une chloration sélective du saccharose.

Sucralose
Image illustrative de l’article Sucralose
Image illustrative de l’article Sucralose
Identification
Nom UICPA 4-chloro-4-dĂ©soxy-α-D-galactose de 1,6-dichloro-1,6-didĂ©soxy-ÎČ-D-fructofurannosyle
Synonymes

1',4,6'-Trichlorogalactosucrose,
Trichlorosucrose

No CAS 56038-13-2
No ECHA 100.054.484
No CE 259-952-2
PubChem 71485
No E E955
SMILES
Apparence Poudre blanche inodore[1]
Propriétés chimiques
Formule C12H19Cl3O8 [IsomĂšres]
Masse molaire[2] 397,633 ± 0,019 g/mol
C 36,25 %, H 4,82 %, Cl 26,75 %, O 32,19 %,
Propriétés physiques
T° fusion 130 °C[3]
SolubilitĂ© Eau : 28,2 g 100 ml−1 (20 °C).
Soluble dans l'éthanol et le méthanol et faiblement soluble dans l'acétate d'éthyle[4].
Masse volumique 0,938–0,942 g cm−3
Écotoxicologie
DL50 >16 g kg−1 (Souris)[3]
Composés apparentés
Autres composés

Saccharose


Unités du SI et CNTP, sauf indication contraire.

Le sucralose est un additif alimentaire, autorisĂ© par la Commission europĂ©enne. Il est utilisĂ© dans les aliments sans ajouts de sucres, ou Ă  valeur Ă©nergĂ©tique rĂ©duite. Il est employĂ© pour « sucrer » diffĂ©rentes familles d'aliments comme les produits de boulangerie, les desserts, les glaces, les produits laitiers, les cĂ©rĂ©ales du petit dĂ©jeuner et les confiseries[7]. Il figure dans la liste des ingrĂ©dients sous le numĂ©ro E955. Au contraire de l'aspartame, il est stable Ă  la chaleur et Ă  pH acide et peut ĂȘtre utilisĂ© dans les produits alimentaires cuits ou de longue durĂ©e de consommation. Non digĂ©rĂ© par le mĂ©tabolisme humain, le sucralose est non calorigĂšne et ne favorise pas la formation de carie dentaire. Toutefois, certaines recherches rĂ©centes pointent d'autres types de risques pour la santĂ© en cas de consommation importante.

Historique

DĂ©couverte

Le sucralose a Ă©tĂ© dĂ©couvert en 1976 par les scientifiques de Tate & Lyle PLC lors d’une Ă©tude collaborative avec les chercheurs du Queen Elizabeth College (King's College de Londres). Ces scientifiques recherchaient la relation entre la structure et le goĂ»t de la molĂ©cule de sucre. En modifiant la structure du sucre, ils ont dĂ©couvert qu'ils pouvaient intensifier le goĂ»t sucrĂ© tout en le rendant non calorique[8]. Le sucralose fut brevetĂ© en 1979[9].

Approbation

Son utilisation a Ă©tĂ© approuvĂ©e pour la premiĂšre fois au Canada (oĂč il a Ă©tĂ© quelquefois commercialisĂ© sous le nom de « Splenda ») en 1991. Il a Ă©tĂ© approuvĂ© ensuite en Australie en 1993, en Nouvelle-ZĂ©lande en 1996, aux États-Unis en 1998[10], dans l’Union europĂ©enne en 2004[11], en Suisse en 2006. Il est aujourd'hui autorisĂ© dans plus de 80 pays[12].

Structure et propriétés

Structure

Le sucralose est un trichlorosaccharose, il a pour base la structure du saccharose (sucre blanc, aussi appelé « sucrose » en anglais) dont trois groupes hydroxyle ont été substitués par trois atomes de chlore[5]. Sa formule chimique est C12H19Cl3O8.

Propriétés physiques

Le sucralose se présente sous une forme solide (poudre) blanche et inodore[1].

Sa température de fusion est de 130 °C[3].

Le sucralose est facilement soluble dans l'eau, le méthanol et l'éthanol et légÚrement soluble dans l'acétate d'éthyle[4].

Propriétés chimiques

Le sucralose est plus stable Ă  la chaleur que l’aspartame, son goĂ»t sucrĂ© rĂ©siste Ă  la cuisson mĂȘme au-delĂ  de 200 °C, ainsi que dans une large gamme de pH (il peut ĂȘtre mĂ©langĂ© avec d'autres ingrĂ©dients, mĂȘme trĂšs acides). Cependant, il s'hydrolyse trĂšs lentement en solution aqueuse (0,3 % en six mois Ă  pH 3 et Ă  20 °C) en oses chlorĂ©s, le 4-chloro-4-dĂ©oxygalactose (4-CG) et le 1,6-dichloro-1,6-dideoxyfructose (1,6-DCF)[5]. Il est beaucoup plus stable sous forme liquide ou lorsqu’il est mĂ©langĂ© avec de la maltodextrine.

Pouvoir sucrant

Le sucralose a un pouvoir sucrant 600 Ă  650 fois supĂ©rieur au saccharose Ă  masse Ă©gale[5], soit deux fois plus que la saccharine et trois fois plus que l’aspartame[13]. À nombre de molĂ©cules Ă©gal, il a un pouvoir sucrant 1 160 fois plus intense que le saccharose[14]. Le sucralose prĂ©sente une saveur sucrĂ©e prolongĂ©e dans le temps et ne possĂšde pas d'arriĂšre-goĂ»t amer[15].

Autres propriétés

Le sucralose est non calorigĂšne.

Production et commercialisation

Le sucralose ayant un pouvoir sucrant beaucoup plus important que le sucre, il est utilisé en faibles quantités dans les produits. De maniÚre à imiter la texture et le volume du sucre, et ainsi faciliter son usage et son dosage, on le mélange avec des agents de charge (comme la maltodextrine) ou des édulcorants de charge (polyol) qui permettent d'apporter de la consistance. Le sucralose, mélangé avec de la maltodextrine, est distribué au niveau international par McNeil Nutritionals sous la marque « Splenda » (non commercialisé en France).

SynthĂšse

Le sucralose est produit par synthĂšse grĂące Ă  une chloration sĂ©lective du saccharose, par laquelle trois des groupes hydroxyle du saccharose sont substituĂ©s par des atomes de chlore pour produire du 1,6-dichloro-1,6-dideoxy-ÎČ-D-fructo-furanosyl 4-chloro-4-deoxy-α-D-galactopyranoside[5].

Production

Tate & Lyle a commencĂ© Ă  fabriquer le sucralose dans une usine situĂ©e Ă  McIntosh, Alabama. Un deuxiĂšme site de fabrication a officiellement ouvert en 2008 Ă  Singapour. En , l'entreprise Fusion Nutraceuticals (entreprise suisse) en partenariat avec Alkem (entreprise pharmaceutique indienne), a lancĂ© une marque de sucralose concurrente appelĂ©e « SucraPlus » en Europe. Cet Ă©dulcorant est produit en Inde, en utilisant la mĂȘme technologie dĂ©crite dans le brevet expirĂ© de Tate & Lyle[16].

Le prix du sucralose a baissĂ© de deux tiers depuis 2005 passant de 350 $/kg Ă  tout juste 100 $/kg en 2010, et la tendance est toujours Ă  la baisse[17]. En valeur, le sucralose est en tĂȘte avec 44 % de part de marchĂ© global des Ă©dulcorants intenses, devant la stĂ©via (38 %), la saccharine (9 %) et l'aspartame (9 %)[18].

Commercialisation

En France, le sucralose est disponible au grand public en grande surface depuis 2011 sous la marque « Canderel » (Mérisant)[19] et en pharmacie depuis 2009 sous la marque « Aqualoz »[20].

Les produits de la marque Splenda ont Ă©tĂ© retirĂ©s de la vente au grand public pour cause de rentabilitĂ© insuffisante en 2009. La marque Splenda continue cependant de commercialiser le sucralose auprĂšs des professionnels de l’hĂŽtellerie et de la restauration, en concurrence avec la marque Canderel arrivĂ©e sur le marchĂ© français en 2011.

Le sucralose est également vendu pur[21], principalement pour usage professionnel en grandes quantités.

Utilisations

Le sucralose peut ĂȘtre utilisĂ© comme Ă©dulcorant[1] intense dans des denrĂ©es alimentaires devant ĂȘtre cuites au four ou dans des denrĂ©es Ă  longue durĂ©e de conservation (E955[11]). Il est principalement utilisĂ© pour son absence de calorie (dans le cadre de rĂ©gulation du poids par exemple). Ceci est d'autant plus vrai que sa capacitĂ© Ă  rĂ©sister Ă  la cuisson lui permet d'entrer dans la composition de recettes en rĂ©duisant leur apport Ă©nergĂ©tique[22].

L’utilisation de sucralose est autorisĂ©e depuis 2004, dans l’Union europĂ©enne, dans les produits suivants (liste non exhaustive)[11] :

  • boissons (alcoolisĂ©es ou non) ;
  • desserts, gĂąteaux et pĂątisseries ;
  • laitages ;
  • confiseries ;
  • moutarde.

Aux États-Unis, l'utilisation du sucralose est autorisĂ©e dans tous les aliments en respectant les bonnes pratiques de fabrication (BPF)[23] et les sucrettes[10].

Santé

Tests, études et sécurité

Comme tous les additifs alimentaires, le sucralose a été testé par les agences de contrÎle[24].

En Europe, le ComitĂ© scientifique de l'alimentation humaine (ancienne AutoritĂ© europĂ©enne de sĂ©curitĂ© des aliments) a approuvĂ© son utilisation et Ă©tabli son innocuitĂ© en [25]. Le sucralose est considĂ©rĂ© depuis comme non cancĂ©rogĂšne et sans potentiel gĂ©notoxique. Il est considĂ©rĂ© comme non-mutagĂšne depuis 2000[5]. Le ComitĂ© scientifique de l'alimentation humaine a Ă©galement confirmĂ© que la consommation de sucralose est sans risque sur le dĂ©veloppement fƓtal ou la reproduction[5]. Il peut ĂȘtre consommĂ© par tous : enfants de plus de 3 ans, adultes, personnes ĂągĂ©es, femmes enceintes.

85 % du sucralose ingĂ©rĂ© n'est pas mĂ©tabolisĂ© et est, ainsi, directement Ă©liminĂ© par l'organisme[26]. Les 15 % restants sont ensuite traitĂ©s par les mĂ©canismes du corps humain (reins, urine, etc.). Au terme de ce parcours, le sucralose est totalement, ou presque, Ă©liminĂ© de l’organisme[24].

Aux États-Unis, les rĂ©sultats de plus de 110 Ă©tudes conduites sur des animaux ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©s par la Food and Drug Administration (FDA) avant de donner son approbation pour ce produit[10]. La FDA a Ă©galement Ă©noncĂ© qu'aucune toxicitĂ© n'a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©e dans aucune des Ă©tudes Ă  long terme sur le sucralose et qu'il ne provoquait pas de toxicitĂ© maternelle ou fƓtale[27]. L'Institut national du cancer amĂ©ricain a confirmĂ© que le sucralose n'Ă©tait pas cancĂ©rogĂšne[28].

En 2013, un rapport sur les différents effets du sucralose est publié par Susan S. Schiffman et Kristina I. Rother[29], démontrant que le sucralose n'est pas une molécule inerte, avec de potentiels effets toxiques sur le corps avec des sous-produits toxiques lorsqu'il est chauffé. Toutefois, les résultats de cette étude n'ont pas conduit les autorités sanitaires européennes à anticiper le processus de réévaluation de l'innocuité du sucralose, prévu d'ici 2020 et qui prendra en compte l'ensemble des nouvelles publications scientifiques[30].

Le sucralose a une dose journaliĂšre admissible (DJA) de 0 Ă  15 mg/kg de masse corporelle Ă©tablie en 1990 par la JECFA[1] et la dose tolĂ©rable (NOAEL) est fixĂ©e de 0 Ă  15 mg/kg de masse corporelle par jour[5].

Selon une Ă©tude parue en mars 2022, les gros consommateurs de sucralose auraient un risque accru de dĂ©velopper un cancer. Ainsi, « Ceux qui se trouvent au-delĂ  de la mĂ©diane de consommation [17,44 mg/j pour les hommes et 19 mg/j pour les femmes, ndlr] ont un risque accru de cancer de 13 % comparĂ© aux non consommateurs. » selon la chercheuse en Ă©pidĂ©miologie Ă  l’Inserm, Mathilde Touvier[31].

Selon une Ă©tude toxicologique in vitro publiĂ©e le 29 mai 2023[32], la dose de sucralose prĂ©sente dans une boisson Ă©dulcorĂ©e par jour dĂ©passerait le seuil de genotoxicitĂ© Ă©tabli par le Threshold of Toxicological Concern[33], soit 0.15 ”g/personne/jour. Le sucralose active les gĂšnes associĂ©s Ă  l'inflammation, le stress oxidatif et le cancer. Les mesures de permĂ©abilitĂ© de la barriĂšre Ă©pithĂ©liale du colon transverse (Transepithelial electrical resistance, TEER[34]) indique une dĂ©gradation de l'intĂ©gritĂ© de la barriĂšre intestinale, ce qui est une raison supplĂ©mentaire pour entretenir une inflammation chronique.

Certains articles sont plus nuancĂ©s quant Ă  l’innocuitĂ© du sucralose[35] :

  • il n'y a pas encore suffisamment d’études sur l’ĂȘtre humain pour ĂȘtre assurĂ© de son innocuitĂ© ;
  • si certaines Ă©tudes sur des animaux ont montrĂ© qu'Ă  forte dose, les Ă©dulcorants peuvent entraĂźner une rĂ©duction de la taille du thymus (systĂšme immunitaire) et une altĂ©ration de la flore intestinale[36]. Aux doses utilisĂ©es en alimentation humaine, le sucralose rĂ©duit le nombre de bactĂ©ries digestives, avec une suppression plus grande des souches bĂ©nĂ©fiques (lactobacilles et bifidobactĂ©ries) que des bactĂ©ries plus nocives (entĂ©robactĂ©ries). Le nombre total de ces bactĂ©ries ne revient pas Ă  la normale au bout de trois mois d’arrĂȘt du sucralose[29] D'autres Ă©tudes ont dĂ©montrĂ© que le sucralose n’entraĂźne pas la production de mĂ©tabolites toxiques par la flore intestinale. Il prĂ©sente une bonne tolĂ©rance digestive et ne provoque ni gaz ni ballonnement[5] - [26].

Bénéfices

Le sucralose possĂšde les mĂȘmes bĂ©nĂ©fices que les autres Ă©dulcorants, ils sont :

Le sucralose, contrairement au sucre, n'apporte pas d'Ă©nergie. Il peut ĂȘtre consommĂ© dans le cadre d'un rĂ©gime alimentaire Ă©quilibrĂ© et permet, en substitution du sucre, de rĂ©duire les apports caloriques[12].

Il peut ĂȘtre consommĂ© sans risque par les personnes diabĂ©tiques, de type 1 ou 2, car il n'affecte ni la glycĂ©mie ni la sĂ©crĂ©tion d'insuline. Il ne provoque pas non plus d'insulino-rĂ©sistance[26] - [37]. D'aprĂšs une allĂ©gation de santĂ© validĂ©e par l'AESA, il prĂ©sente mĂȘme un intĂ©rĂȘt dans la rĂ©duction de la glycĂ©mie post-prandiale, en substitution du sucre et des produits sucrĂ©s[38].

Le sucralose est d'autre part non cariogÚne. L'AESA a validé une allégation de santé spécifiant que « la consommation d'aliments/boissons contenant du sucralose à la place du sucre contribue au maintien de la minéralisation des dents »[38].

Notes et références

  1. (en) JECFA, « Sucralose » [PDF], Monograph, sur fao.org, (consulté le ), p. 1-3.
  2. Masse molaire calculĂ©e d’aprĂšs « Atomic weights of the elements 2007 », sur www.chem.qmul.ac.uk.
  3. (en) ChemIDplus, « Sucralose - RN: 56038-13-2 », sur chem.sis.nlm.nih.gov, U.S. National Library of Medicine (consulté le ).
  4. Commission europĂ©enne, « Directive 2004/46/CE modifiant la directive 95/31/CE en ce qui concerne le sucralose (E955) et le sel d'aspartame-acĂ©sulfame (E962) », Journal officiel de l'Union europĂ©enne, no L 114,‎ , p. 15-17 (rĂ©sumĂ©, lire en ligne [PDF]).
  5. (en) Scientific Committee on Food, « Opinion of the Scientific Committee on Food on sucralose : SCF/CS/ADDS/EDUL/190 Final », Rapport du Scientific Committee on Food,‎ , p. 1-25 (lire en ligne [PDF]).
  6. Canderel 100 % sucralose, sur Tendances Nutrition (consulté en février 2012).
  7. « Journal officiel, 2008. RÚglement (CE) no 1333/2008 du Parlement européen et du Conseil du 16 décembre 2008 sur les additifs alimentaires », sur eur-lex.europa.eu (consulté le ).
  8. « Tout sur le sucralose : réponse à vos questions », sur caloriecontrol.org, Calorie Control Council, (consulté le ).
  9. « CEDUS, 2013. Fiche technique sur le sucralose », sur sucre-info.com (consulté le ).
  10. (en) A. Whitmore, « FDA approves new Hight-Intensity sweetener sucralose », FDA - Talk paper, sur fda.gov, FDA, (consulté le ).
  11. Parlement europĂ©en et Conseil de l'europe, « Directive 2003/115/CE modifiant la directive 94/35/CE concernant les Ă©dulcorants destinĂ©s Ă  ĂȘtre employĂ©s dans les denrĂ©es alimentaires », Journal officiel de l'Union europĂ©enne, no L 24,‎ , p. 65-71 (rĂ©sumĂ©, lire en ligne [PDF]).
  12. « Tout sur le sucralose. Données sur le sucralose », sur sucralose.fr (consulté le ).
  13. Parlement europĂ©en et Conseil de l'europe, « Directive 2008/60/CE Ă©tablissant des critĂšres de puretĂ© spĂ©cifiques pour les Ă©dulcorants pouvant ĂȘtre utilisĂ©s dans les denrĂ©es alimentaires », Journal officiel de l’Union europĂ©enne, no L 158,‎ , p. 17-40 (rĂ©sumĂ©, lire en ligne).
  14. (en) D. Glaser, « Specialization and phyletic trends of sweetness reception in animals », Pure Appl. Chem., vol. 74, no 7,‎ , p. 1153–1158 (lire en ligne [PDF]).
  15. (en) Stephan G. Wiet, « Sensory Characteristics of sucralose and other high-intensity sweeteners », Journal of Food Science, no 57,‎ , p. 1014-1019 (lire en ligne).
  16. (en) L. Partos, « New sucralose supplier enters European market today », Financial & Industry, sur foodnavigator.com, (consulté le ).
  17. (en) E. Watson, « PepsiCo explores natural sweetener from oats. », Headlines > Financial & Industry, sur foodnavigator.com, (consulté le ).
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  19. Canderel 100 % sucralose, sur Canderel.fr (consulté en février 2012).
  20. Un nouvel édulcorant : Aqualoz, sur Diet Chartres (consulté en février 2012).
  21. Sucralose Ă  l'achat, sur myprotein.com.
  22. Les avantages du sucralose, sur sucralose.fr.
  23. (en) Title 21 - Chapter I : Food and Drug Administration, vol. 3, U.S. Government Printing Office, (lire en ligne), Part 172--Food additives permitted for direct addition to food for human consumption, « Sec. 172.831 Sucralose », p. 84.
  24. Rapport de l'AESA.
  25. « Édulcorants autorisĂ©s », Étiquetage et emballage de produits, sur europa.eu, Europa (Le portail de l'Union europĂ©enne), (consultĂ© le ).
  26. (en) Étude de Grotz VL et Munro IC (2009) - An overview of the safety of sucralose?, Regulatory Toxicology and Pharmacology.
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  30. « La réévaluation des additifs alimentaires en Europe », sur efsa.europa.eu, (consulté le ).
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 La consommation d’édulcorants augmenterait de 13 % le risque de cancer » AccĂšs libre, LibĂ©ration, (consultĂ© le ).
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  38. (en) Panel on Dietetic Products, Nutrition and Allergies (NDA), EFSA Journal, 2011, 9, 2076.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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