Sorde-l'Abbaye
Sorde-l'Abbaye est une commune française située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.
Sorde-l'Abbaye | |||||
L'abbaye Saint-Jean et la mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Landes | ||||
Arrondissement | Dax | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pays d'Orthe et Arrigans | ||||
Maire Mandat |
Marie-Françoise Laborde 2020-2026 |
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Code postal | 40300 | ||||
Code commune | 40306 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Sordais | ||||
Population municipale |
619 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 31âČ 47âł nord, 1° 03âČ 10âł ouest | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 135 m |
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Superficie | 16,34 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Orthe et Arrigans | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Landes
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Rattachée au canton de Peyrehorade, la commune de Sorde est limitrophe du département des Pyrénées-Atlantiques.
GĂ©ographie
Localisation
La commune est limitrophe du département des Pyrénées-Atlantiques.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Cauneille, Labatut, Oeyregave, Saint-Cricq-du-Gave, Came, Carresse-Cassaber, Lahontan, LĂ©ren et Saint-PĂ©-de-LĂ©ren.
Hydrographie
Commune situĂ©e aux portes du Pays d'Orthe, ses terres sont arrosĂ©es par le gave d'Oloron, affluent du gave de Pau. Sur le Gave se trouve depuis 1920 une centrale hydroĂ©lectrique. Auparavant, il y avait le moulin de l'abbaye au mĂȘme endroit.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Peyrehorade Ler », sur la commune de Peyrehorade, mise en service en 1971[9] et qui se trouve Ă 4 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 316,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et Ă 20 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă 14,3 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 14,5 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Sorde-l'Abbaye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (75,6 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (75,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (51 %), forĂȘts (15,4 %), cultures permanentes (11,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,8 %), eaux continentales[Note 6] (5,7 %), zones urbanisĂ©es (3,4 %), prairies (2,6 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Sorde-l'Abbaye est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Gave de Pau, le Gave d'Oloron et le Baniou. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1983, 1999, 2009, 2013, 2014, 2018, 2019 et 2021[24] - [22].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[25]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[26].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 35,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 314 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 69 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 22 %, Ă comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1983 et 1999[22].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[28].
Histoire
Préhistoire
Sur une route de transit entre Landes et Pyrénées[Note 7], Sorde est parcourue dÚs le Paléolithique supérieur. Quatre sites utilisés principalement au Magdalénien et à l'Azilien (Paléolithique supérieur) se trouvent à la base de la falaise du Pastou, en rive droite (cÎté nord) du Gave d'Oloron, à environ 2,5 km en amont de Sorde-l'Abbaye prÚs de Lichau[31]. Ce sont l'abri Dufaure[32], le Grand Pastou[33] - [34], le Petit Pastou et surtout la grotte Duruthy[35] (abri sous roche)[36] - [37], site majeur de la Préhistoire des Pyrénées[38]. Cet ensemble de sites a fourni des piÚces magdaléniennes remarquables.
La grotte Duruthy est classée monument historique le .
Lame retouchée.
Proto-histoire
Au-dessus de la grotte Duruthy se trouve un « oppidum » ou enceinte protohistorique dit de Larroque.
Non loin du village, le site de Barat-de-Vin (du gascon barat de via, qui signifie « fossĂ© de la voie »), est un lieu de passage millĂ©naire, attestant de la trĂšs ancienne prĂ©sence de lâhomme, attirĂ© par la fertilitĂ© des vallĂ©es de lâAdour.
Ăpoque gallo-romaine
Les fouilles le long de la voie romaine reliant l'Espagne par le col de Cize ont mis au jour une villa gallo-romaine ornée de mosaïques, la villa gallo-romaine de Barat-de-Vin[39].
Une seconde villa se situe dans le bourg de Sorde-l'Abbaye, la villa dite des Abbés.
Moyen Ăge
La route de transit est ranimĂ©e au Moyen Ăge par les pĂšlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Sorde est en effet une ancienne halte sur la voie de Tours des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Sorde [Sorden] dépendait des vicomtes de Comborn. Archambaud V de Comborn, vicomte, a donné à l'abbé de Sorden et l'Ordre cistercien une partie du bois de Sorden en 1150[40].
En BĂ©arn et en Bigorre, les gaves sont de petits torrents qui descendent des PyrĂ©nĂ©es. Dans lâAntiquitĂ©, lâeau alimente les thermes puis, au Moyen Ăge, on utilise sa force motrice pour les moulins et les piĂšges Ă saumons.
Il existe, autour de Sorde, plusieurs lieux de passage pour traverser les deux gaves. La toponymie de certaines maisons, appelĂ©es encore aujourdâhui « Passager » ou « Passage », permet de reconnaĂźtre ces endroits, tout comme les lieudits « lâHĂŽpital » ou « lâEspitau », rappellent les hĂ©bergements des pĂšlerins. Mais les bateaux ne sont pas tout le temps nĂ©cessaires. En effet, il existe des guĂ©s faciles Ă traverser sauf lors de la fonte des neiges au printemps. Câest, semble-t-il, Richard CĆur de Lion qui, Ă la fin du XIIe siĂšcle, met un terme aux mauvaises habitudes des passeurs de Sorde qui dĂ©pouillent les pĂšlerins.
Mais, si lâeau est un problĂšme pour les jacquets, elle est un atout Ă©conomique pour ceux qui vivent aux alentours. Sa force motrice, exploitĂ©e par les moulins, sert jusqu'en 1926 Ă faire fonctionner les barraus, piĂšges Ă saumons inventĂ©s par Louis Casaumajour (1747-1808) de Cauneille. Ce piĂšge mĂ» par le courant ramasse le poisson en tournant. De tout temps le saumon, remontant les gaves pour aller frayer en amont, a constituĂ© une vĂ©ritable richesse pour lâabbaye, qui pouvait en capturer Ă la nasse jusquâĂ cent quintaux par an.
HĂ©raldique
Blasonnement :
ĂcartelĂ© : au premier de gueules Ă l'Ă©pi feuillĂ© de maĂŻs d'or, au second d'azur Ă l'abbaye du lieu d'or, couverte, ouverte et ajourĂ©e au naturel, au troisiĂšme d'azur au saumon sautant d'argent soutenu de trois ondes alĂ©sĂ©es du mĂȘme, au quatriĂšme de gueules Ă la grappe de raisin pamprĂ©e d'or ; sur le tout, Ă l'Ă©cusson en amande de pourpre chargĂ© d'un abbĂ© tenant de sa dextre une crosse contournĂ©e et de sa senestre un livre, le tout d'or, ledit Ă©cusson bordĂ© du mĂȘme et chargĂ© de l'inscription en lettres capitales aussi de pourpre S.A.R DEI GRACIA ABBATIS SORDUE[41] |
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[44]. En 2020, la commune comptait 619 habitants[Note 9], en diminution de 5,78 % par rapport Ă 2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Lieux et monuments
Sorde abrite des pavements en mosaïque d'époque gallo-romaine. Ils sont au logis abbatial de l'abbaye Saint-Jean qui est derriÚre l'église. Des fragments avaient été découverts vers 1870. La plupart ont été trouvés à partir de 1957, notamment à la suite d'une campagne de fouilles organisée de 1958 à 1966 grùce à l'aide de Charles Barrieu. L'ensemble des mosaïques est classé.
Ces mosaïques en marbre étaient dans une villa gallo-romaine probablement construite au IIIe siÚcle. S'il ne reste que les traces des murs de la villa dans la cour du logis abbatial, on peut observer à l'intérieur un caldarium et un frigidarium. Des envahisseurs barbares ont creusé des tombes dans certaines des mosaïques.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- www.cc-paysdorthe.fr Communauté de communes du Pays d'Orthe
- www.centrecultureldupaysdorthe.com Sorde-l'Abbaye sur le site officiel du centre culturel du Pays d'Orthe
- www.tourisme-paysdorthe.fr Office de tourisme du Pays d'Orthe
Alexis Ichas - Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Ăditions Gascogne.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Au printemps et Ă l'automne, les troupeaux circulaient entre leurs pĂąturages d'hiver dans les Landes et les estives de la Haute-Soule et de la Basse-Navarre, traversant les landes du PiĂ©mont et du Labourd. Ils devaient alors passer la basse vallĂ©e de l'Adour et celle des Gaves rĂ©unis. Mais ces larges vallĂ©es, trop marĂ©cageuses, les obligeaient Ă emprunter le guĂ© longtemps situĂ© en face des abris installĂ©s au pied de la falaise du Pastou, un peu en amont du confluent des Gaves de Pau et d'Oloron. Pendant la Proto-histoire ou Ă l'Ă©poque gallo-romaine, ce guĂ© se dĂ©place vers l'aval, prĂšs des ruines romaines oĂč s'Ă©lĂšvent au Moyen Age l'abbaye et le bourg de Sorde. Les RĂŽles gascons indiquent que les troupeaux des religieux de Roncevaux sont exemptĂ©s du pĂ©age pour le pont construit au XIIIe siĂšcle par le roi d'Angleterre, duc de Gascogne[30].
- Vue panoramique sur la falaise du Pastou, avec des marqueurs sur les sites prĂ©historiques (et quelques points de repĂšres) : grotte Duruthy, abri Dufaure, Grand et Petit Pastou. PubliĂ© dans Louis Lartet et Gatien Chaplain-Duparc (1874), « Une sĂ©pulture des anciens troglodytes des PyrĂ©nĂ©es, superposĂ©e Ă un foyer contenant des dĂ©bris humains associĂ©s Ă des dents sculptĂ©es de lion et dâours », MatĂ©riaux pour lâhistoire primitive et naturelle de lâHomme, Xe annĂ©e, t. V, p. 101-167. (La premiĂšre Ă©dition de cet article, paru dans Bulletins et MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d'Anthropologie de Paris, t. 9, 1874, p. 516-525, ne contient pas ce dessin.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Le nom des habitants du 40 », sur www.habitants.fr (consulté le ).
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Station Météo-France Peyrehorade Ler - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sorde-l'Abbaye et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Sorde-l'Abbaye, carte interactive centrée sur Lichau » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle sur l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
- [Rigaud 1986] Jean-Philippe Rigaud (Chef d'Ă©quipe de chercheurs), « Aquitaine », Gallia PrĂ©histoire, vol. 29, no 2,â , p. 233-258 (lire en ligne [sur persee]). Abri Dufaure : p. 245
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- [Merlet 2015] Jean-Claude Merlet (Responsable d'opĂ©ration), « Sorde-l'Abbaye â Abri du Grand Pastou », Fouille programmĂ©e, sur journals.openedition.org, (consultĂ© en ).
- [Arambourou 1978] R. Arambourou, « Le Gisement PrĂ©historique de Duruthy Ă Sorde-l'Abbaye », MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© PrĂ©historique Française, no 13,â , p. 451-474. CitĂ© dans Straus & Evin 1989, p. 147.
- [Straus & Evin 1989] Lawrence Guy Straus et Jacques Evin, « Datations par le radiocarbone des couches azilienne et magdalĂ©nienne de l'abri Dufaure (Sordes-l'Abbaye, les Landes) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique française, t. 86, no 5,â , p. 146-155 (lire en ligne [sur persee]), voir le « RĂ©sumĂ© ».
- [Lartet et Chaplain-Duparc 1874] Louis Lartet et Gatien Chaplain-Duparc, « Une sĂ©pulture des anciens troglodytes des PyrĂ©nĂ©es, superposĂ©e Ă un foyer contenant des dĂ©bris humains associĂ©s Ă des dents sculptĂ©es de lion et dâours », Bulletins et MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d'Anthropologie de Paris, t. 9,â , p. 516-525 (lire en ligne [sur persee]).
- [Simonet] AurĂ©lien Simonet, « Robert Arambourou et son musĂ©e d'archĂ©ologie », Le Festin, no 119 « ParenthĂšses enchantĂ©es »,â , p. 68-71 (rĂ©sumĂ©).
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- Paris, BibliothĂšque Nationale, nouvelle acquisition latine 1560. folio 4 et folio 207
- Banque du blason.
- https://www.lemonde.fr/aquitaine-limousin-poitou-charentes/landes,40/sorde-l-abbaye,40306/
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.