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Serres-et-Montguyard

Serres-et-Montguyard est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Serres-et-Montguyard
Serres-et-Montguyard
L'église de Serres-et-Montguyard
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Sud Périgord
Maire
Mandat
David Hilaire
2020-2026
Code postal 24500
Code commune 24532
Démographie
Population
municipale
250 hab. (2020 en augmentation de 2,88 % par rapport à 2014)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 40′ 30″ nord, 0° 27′ 13″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 129 m
Superficie 6,85 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Sud-Bergeracois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Serres-et-Montguyard
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Serres-et-Montguyard
Liens
Site web www.serres-et-montguyard.fr

    Géographie

    Communes limitrophes

    Carte de Serres-et-Montguyard et des communes avoisinantes en 2018, avant la création de la commune nouvelle de Saint-Julien-Innocence-Eulalie.

    Serres-et-Montguyard est limitrophe de cinq autres communes dont une dans le département de Lot-et-Garonne. Au nord-ouest, son territoire est distant de moins de 500 mètres de celui de la commune nouvelle de Saint-Julien-Innocence-Eulalie.

    Communes limitrophes de Serres-et-Montguyard
    Fonroque Razac-d'Eymet Saint-Aubin-de-Cadelech
    Eymet Serres-et-Montguyard
    Lauzun
    (Lot-et-Garonne)

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Serres-et-Montguyard est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6b, se compose de molasses inférieures (faciès argileux dominant)  (Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 830 - Eymet » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2] - [3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Serres-et-Montguyard.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 47 mètres et 129 mètres[5] - [6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] - [8]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[9] - [10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 6,85 km2[5] - [11] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 6,87 km2[3].

    Réseau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Serres-et-Montguyard.

    La commune est située dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Dropt, le ruisseau du Réveillou, le Marzelou, le Payot, le Rieu du Lac, le ruisseau du Pontillou et par divers petits cours d'eau[Note 3], qui constituent un réseau hydrographique de 18 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    Le Dropt, d'une longueur totale de 132,47 km, prend sa source dans la commune de Capdrot et se jette en rive droite de la Garonne en limite de Caudrot et de Casseuil, face à Barie[16] - [17]. Il traverse la commune d'est en ouest sur près de cinq kilomètres et demi, lui servant presque intégralement de limite naturelle en deux tronçons, face à Razac-d'Eymet et à Eymet.

    Son affluent de rive droite le ruisseau du Réveillou borde le territoire communal au nord-ouest sur près de trois kilomètres, face à Fonroque.

    Autre affluent de rive droite du Dropt, le Marzelou longe la commune au nord-est sur plus d'un kilomètre et demi, face à Razac-d'Eymet.

    Deux affluents de rive gauche du Dropt prennent leur source dans le sud de la commune et arrosent le territoire communal : le ruisseau du Pontillou sur un kilomètre et demi, et le Payot, sur plus de deux kilomètres, dont un kilomètre en limite d'Eymet.

    Affluent de rive droite du ruisseau de Réveillou, le Rieu du Lac borde marginalement la commune au nord-ouest sur une quarantaine de mètres, en limite d'Eymet.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dropt ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin versant du Dropt, d'une superficie de 1 522 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte EPIDROPT[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 6] : 799 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Douzains », sur la commune de Douzains, mise en service en 1988[26] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[27] - [Note 7], où la température moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de précipitations de 757,2 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 20 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 13,1 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Serres-et-Montguyard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [33] - [34] - [35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36] - [37].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,8 %), zones agricoles hétérogènes (21,5 %), forêts (11,3 %), zones urbanisées (6,2 %), prairies (0,3 %)[38].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Serres-et-Montguyard est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[39]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[40].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Dropt. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2021[41] - [39]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée du Dropt », couvrant 5 communes, prescrit le et approuvé le , pour les crues du Dropt[42] - [43].

    Serres-et-Montguyard est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[44]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[45] - [46].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Serres-et-Montguyard.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[47]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[48]. 78,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9] - [49].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[39].

    Toponymie

    Le nom de la commune fait suite à la fusion de deux communes, Montguyard et Serres, dans les premières années de la Révolution française[5].

    La première mention écrite connue de Montguyard, Sanctus Perdulphus de Monte Guiardo, apparait en 1467, liée à son église Saint-Pardoux[50]. L'occitan mont correspond à une colline, et Guyard dérive d'un nom de personnage d'origine germanique (Wid-hard)[50]. Montguyard signifie donc la « colline de Guyard »[50]. À une époque non datée a été évoquée la Parochia de Serris (la paroisse)[50]. Le nom de Serres dérive de l'occitan sèrra qui correspond à une colline ou un bord de plateau[50], un mont ou une ligne de crête[51].

    En occitan, la commune porte le nom de Serras e Mont Guiard[51].

    Histoire

    En 1793, les communes de Montguyard et de Serres fusionnent sous le nom de Serres-et-Montguyard.

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[52] - [53].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1991[54] mai 2020 Pierre Richiero SE[55] Retraité de l'éducation nationale
    mai 2020 En cours David Hilaire

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Serres-et-Montguyard relève[56] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[58].

    En 2020, la commune comptait 250 habitants[Note 10], en augmentation de 2,88 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    197496472381436377433420355
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    361346338383349320318292270
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    283264230252261231269253238
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    196181151139152181185226237
    2020 - - - - - - - -
    250--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Lorsque l'école communale publique a fermé en 1970, il n'y avait plus qu'une dizaine d'élèves[60].

    Économie

    Emploi

    En 2015[61], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 92 personnes, soit 38,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (sept) a augmenté par rapport à 2010 (six) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 7,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt-deux établissements[62], dont douze au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois dans la construction, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[63].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre-ès-Liens de Serres[64].
    • Chapelle Saint-Pierre de Montguyard[64].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12] - [13]
    3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le ruisseau du Touron, affluent de rive droite du ruisseau de Réveillou, n'arrose pas la commune de Serres-et-Montguyard située en rive gauche à leur confluence.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Serres-et-Montguyard » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Serres-et-Montguyard » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Serres-et-Montguyard », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 830 - Eymet de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Serres-et-Montguyard », sur le site de l'Insee (consulté le )
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    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Serres-et-Montguyard », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. « Confluence Dropt-Garonne au nord-est du bourg de Caudrot » sur Géoportail (consulté le 24 octobre 2022)..
    17. Sandre, « le Dropt »
    18. « SAGE Dropt », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    20. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    21. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    22. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    23. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    24. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    25. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    26. « Station Météo-France Douzains - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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    28. « Station Météo-France Douzains - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    29. « Orthodromie entre Serres-et-Montguyard et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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