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Saint-Martin-de-Gurson

Saint-Martin-de-Gurson, précédemment orthographiée Saint-Martin-de-Gurçon, est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Martin-de-Gurson
Saint-Martin-de-Gurson
L'Ă©glise Saint-Martin de Saint-Martin-de-Gurson.
Blason de Saint-Martin-de-Gurson
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes de Montaigne Montravel et Gurson
Maire
Mandat
Marc Grandy
2020-2026
Code postal 24610
Code commune 24454
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Martinois
Population
municipale
652 hab. (2020 en diminution de 1,66 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 27 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 57â€Č 07″ nord, 0° 06â€Č 31″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 106 m
Superficie 24,58 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montpon-Ménestérol
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Pays de Montaigne et Gurson
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Martin-de-Gurson
Liens
Site web www.saint-martin-de-gurson.fr

    GĂ©ographie

    Généralités

    La commune de Saint-Martin-de-Gurson est situĂ©e Ă  l'ouest du dĂ©partement de la Dordogne en forĂȘt du Landais, Ă  proximitĂ© du dĂ©partement de la Gironde.

    Le bourg de Saint-Martin-de-Gurson, traversé par la route départementale (RD) 33, se situe, en distances orthodromiques, huit kilomÚtres au sud-ouest de Montpon-Ménestérol et quinze kilomÚtres au nord-ouest de Sainte-Foy-la-Grande.

    Le territoire communal est Ă©galement desservi au nord-ouest par la RD 9 et au sud-est par la RD 11. Le nord de la commune est briĂšvement traversĂ© par l'autoroute A89 dont l'Ă©changeur le plus proche, distant d'environ huit kilomĂštres par la route, est celui de Montpon-MĂ©nestĂ©rol. À une distance Ă©quivalente se trouve la gare ferroviaire la plus proche, celle de Montpon-MĂ©nestĂ©rol.

    Le sentier de grande randonnée 646 traverse l'est du territoire communal sur plus de six kilomÚtres[1].

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Martin-de-Gurson et des communes avoisinantes.

    Saint-Martin-de-Gurson est limitrophe de sept autres communes. Au sud, son territoire est distant d'environ 550 mĂštres de celui de Montazeau.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Saint-Martin-de-Gurson est situĂ©e dans le quatriĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de dĂ©pĂŽts siliceux-grĂ©seux et de calcaires lacustres de l'Ăšre tertiaire[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant du CĂ©nozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e e5-6, est la formation de Guizengeard supĂ©rieur (LutĂ©tien supĂ©rieur Ă  Bartonien supĂ©rieur continental). La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 805 - Sainte-Foy-la-Grande » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[3] - [4] et sa notice associĂ©e[5].

    Carte géologique de Saint-Martin-de-Gurson.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 31 mĂštres[6] Ă  l'extrĂȘme sud, au sud du lieu-dit la TruffiĂšre, lĂ  oĂč la Lidoire quitte la commune et sert de limite entre celles de Carsac-de-Gurson et Saint-MĂ©ard-de-Gurçon[1], et 106 mĂštres[6] Ă  l'extrĂȘme est, au nord du lieu-dit MĂ©tairie Basse de la ForĂȘt, Ă©galement en limite de la commune de Saint-MĂ©ard-de-Gurçon[1] - [7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [9]. La commune fait partie du Landais, au sein de l'unitĂ© de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulĂ©s, dont la pente gĂ©nĂ©rale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus Ă©levĂ©es (206 m au sud de Vallereuil). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mĂštres[10]. Les paysages sont forestiers aux horizons limitĂ©s, avec peu de repĂšres, ponctuĂ©s de clairiĂšres agricoles habitĂ©es[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 24,58 km2[6] - [12] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 24,92 km2[4].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainĂ©e par la Lidoire, le Galant, la Bidonne, le Petit Rieu, le Fayat, le ruisseau du Cailloux et de Lavergne et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 27 km de longueur totale[16] - [Carte 1].

    La Lidoire, d'une longueur totale de 49,46 km, prend sa source dans la commune de Bosset et se jette en rive droite de la Dordogne en limite de Castillon-la-Bataille et Lamothe-Montravel, face Ă  Mouliets-et-Villemartin[17] - [18]. Elle borde la commune au sud-est sur prĂšs de deux kilomĂštres et demi face Ă  Saint-MĂ©ard-de-Gurçon.

    Affluent de rive droite de la Lidoire, le Fayat arrose le sud-ouest de la commune sur trois kilomÚtres et demi dont deux servent de limite naturelle en deux tronçons face à Carsac-de-Gurson.

    Autre affluent de rive droite de la Lidoire, la Bidonne marque la limite communale au sud-est sur plus d'un kilomĂštre et demi, face Ă  Saint-RĂ©my.

    Le Galant, d'une longueur totale de 10,51 km, prend sa source dans la commune de Carsac-de-Gurson et se jette dans l'Isle en rive gauche, en limite de MĂ©nesplet et de Moulin-Neuf, face au Pizou[19] - [20]. Il sert de limite naturelle au nord-ouest sur prĂšs de deux kilomĂštres, face Ă  Villefranche-de-Lonchat.

    Deux autres affluents de rive gauche de l'Isle prennent leur source dans le nord de la commune : le ruisseau du Cailloux et de Lavergne arrose le territoire communal sur plus de deux kilomĂštres et demi et le Petit Rieu sur plus d'un kilomĂštre et demi.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par les schĂ©mas d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - VĂ©zĂšre)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Le SAGE « Isle - Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est Ă©galement l'EPIDOR[22]. Ils dĂ©finissent chacun sur leur territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [23].

    Au sud-est, environ 55 % du territoire communal fait partie du bassin versant de la Lidoire et dépend donc du SAGE Dordogne Atlantique. Au nord-ouest, la zone restante est rattachée au SAGE Isle - Dronne.

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[24]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[25].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[24]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 843 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[28] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[29] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Port Ste Foy », sur la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, mise en service en 1956[30] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[31] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 802,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[32]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  32 km[33], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[34], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[35], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[36].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Martin-de-Gurson est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [37] - [38] - [39].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpon-MĂ©nestĂ©rol, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[40] - [41].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (50 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (46,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (50 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (34 %), cultures permanentes (7,6 %), prairies (5,5 %), terres arables (1,7 %), zones urbanisĂ©es (1,2 %)[42].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Saint-Martin-de-Gurson est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[43]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[44].

    Risques naturels

    Saint-Martin-de-Gurson est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[45]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[46] - [47].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Martin-de-Gurson.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[48]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[49]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [50].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 1992, 1995, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[43].

    Toponymie

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Martin[51].

    En 1992, l'orthographe du nom officiel de la commune est modifié : Saint-Martin-de-Gurçon devient Saint-Martin-de-Gurson[52].

    En occitan, la commune se nomme Sent Martin de Gurçon[53].

    Histoire

    L'église du lieu a été bùtie au XIIe siÚcle[54].

    En 1615, Jean-FrĂ©dĂ©ric de Foix, le comte de Gurson, et son Ă©pouse Charlotte de Caumont de Lauzun, ont fondĂ© le couvent de Plagnac des FrĂšres Minimes de saint François de Paule situĂ© au nord de Saint-Martin-de-Gurson, Ă  la limite de Carsac-de-Gurson, Ă  l'ouest de la route allant au hameau des GĂątineaux, dans un petit vallon agreste. Ce couvent fermĂ© en 1791, vendu comme bien national, a disparu. À son emplacement a Ă©tĂ© placĂ©e une croix qui est visible en prenant la route des GĂątineaux. Des Ă©lĂ©ments du mobilier du couvent ont Ă©tĂ© dĂ©posĂ©s dans le musĂ©e de Villefranche-de-Lonchat[55].

    Le nom actuel a remplacé celui de Saint-Martin-de-Gurçon en 1992[52].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    DÚs 1790, la commune de Saint-Martin-de-Gurson est rattachée au canton de Villefranche-de-Lonchat (appelé dans un premier temps « canton de Villefranche » puis « de Villefranche-de-Loupchapt » puis « de Villefranche-de-Longchapt ») qui dépend du district de Montpon, rapidement renommé en district de Mussidan, jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[6].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaßt aux élections départementales de mars 2015[56]. La commune est alors rattachée au canton du Pays de Montaigne et Gurson.

    Intercommunalité

    Saint-Martin-de-Gurson a d'abord fait partie de la communauté de communes du Gursonnais créée fin 2001. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Montaigne Montravel et Gurson.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[57] - [58].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs[59]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1801 François Robert
    1801 1823 Étienne Durand-Fonbonne
    1823 1855 Jean Seignolles
    1855 1857 Jean Baptiste Baleste
    1857 août 1860 Jean Banizette
    1860 1861 Jean Baptiste Barbancey
    1861 1862 Jean Bonneau
    1862 juillet 1896 François Bonneau
    juillet 1896 mai 1908 François Guionneau
    mai 1908 septembre 1919 Jean Bonneau
    décembre 1919 décembre 1929 François Guionneau
    décembre 1929 mai 1935 François Guerrier
    mai 1935 février 1963 Jean Bernard
    mars 1963 septembre 1990 Pierre Lebret
    octobre 1990 juin 1995 Michel Bossamot
    juin 1995 mars 2001 Jacques Lafond-Grellety
    mars 2001 mars 2008 Michel Bossamot
    mars 2008[60] mai 2020 Bernard (ou Jean-Louis) Goyer SE[61] Retraité
    mai 2020 octobre 2020 Jean Lafond-Grellety[Note 10]
    octobre 2020[62] En cours Marc Grandy Agriculteur

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Martin-de-Gurson relĂšve[63] :

    DĂ©mographie

    Les habitants de Saint-Martin-de-Gurson se nomment les Saint-Martinois[64].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[66].

    En 2020, la commune comptait 652 habitants[Note 11], en diminution de 1,66 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 048752914917972953804863823
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    805813790767800804725666718
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    747787770719726692660655684
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    604537480526559555534553597
    2014 2019 2020 - - - - - -
    663655652------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[67].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[68], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 316 personnes, soit 47,7 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (soixante-cinq) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (quarante-cinq) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  20,6 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 55 Ă©tablissements[69], dont 21 au niveau des commerces, transports ou services, treize dans la construction, treize dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, quatre relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, et quatre dans l'industrie[70].

    Entreprises

    • La sociĂ©tĂ© Cristaline produit annuellement entre 200 et 250 millions de bouteilles d'eau de source et emploie 47 personnes en 2022 sur son usine de Saint-Martin-de-Gurson[71].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La partie supĂ©rieure de la façade occidentale de l'Ă©glise.
      La partie supérieure de la façade occidentale de l'église.
    • Chapiteaux du portail de l'Ă©glise.
      Chapiteaux du portail de l'Ă©glise.
    • Le monument aux morts et le chevet de l'Ă©glise.
      Le monument aux morts et le chevet de l'Ă©glise.

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Martin-de-Gurson Blason
    ÉcartelĂ© : au 1) et au 4) d’or aux trois pals de gueules, au 2) et au 3) d’or aux vaches de gueules colletĂ©es et clarinĂ©es d’azur, passant l’une sur l’autre ; sur le tout en chef un lambel de sable chargĂ© dans chacun de ses trois pendants de cinq coquilles d’argent ordonnĂ©es 1.1.3.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Ces armoiries étaient au XVe siÚcle celles de Gaston Ier de Foix-Grailly et son fils, Jean de Foix-Grailly, comte de Candale. Elles ont été transmises à Jean de Foix, comte de Gurson, fils cadet de Jean de Foix-Candale, vicomte de Meille (en Aragon), comte de Gurson et du Fleix. Sur les armoiries de la maison de Foix-Béarn, les cinq coquilles placées dans le lambel reprennent celles des armoiries de la famille de Grailly.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[13] - [14]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[26].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[27].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. DĂ©missionne de ses fonctions de maire mais reste conseiller municipal.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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