Saint-Martin-d'Arberoue
Saint-Martin-d'Arberoue [sÉÌ maÊtÉÌ daÊbeÊu] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.
Saint-Martin-d'Arberoue | |||||
La mairie de Saint-Martin-d'Arberoue. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Antton Larraburu 2020-2026 |
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Code postal | 64640 | ||||
Code commune | 64489 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Donamartiritar | ||||
Population municipale |
341 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 23 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 20âČ 44âł nord, 1° 11âČ 45âł ouest | ||||
Altitude | Min. 96 m Max. 424 m |
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Superficie | 14,69 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.saint-martin-d-arberoue.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
La commune de Saint-Martin-d'Arberoue se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].
Elle se situe à 114 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 37 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 19 km de Saint-Palais[6], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Hasparren[3].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Saint-Esteben (1,2 km), Isturits (2,4 km), MĂ©harin (4,4 km), Armendarits (5,2 km), HĂ©lette (5,6 km), Bonloc (6,2 km), Ayherre (7,0 km), Iholdy (7,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Martin-d'Arberoue fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variĂ©e en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement gĂ©ographique[9]. Depuis 1999, l'AcadĂ©mie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10] - [11]. La commune est dans le pays dâArberoue (Arberoa), au nord-ouest de ce territoire.
Hydrographie
La commune est drainée par l'Arbéroue, Argazuriko erreka, un bras de l'Arbéroue, Haltzerreka, Othalatzeko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[13] - [Carte 1].
L'Arbéroue, d'une longueur totale de 27,3 km, prend sa source dans la commune d'Hélette et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans Le Lihoury à OrÚgue, aprÚs avoir traversé 8 communes[14].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[15]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[16].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[18] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[19] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Labastide-Clair », sur la commune de La Bastide-Clairence, mise en service en 1986[20] et qui se trouve Ă 10 km Ă vol d'oiseau[21] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 411,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[22]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et Ă 30 km[23], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[24], Ă 14,3 °C pour 1981-2010[25], puis Ă 14,6 °C pour 1991-2020[26].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[28], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste rĂ©seau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[29] - [Carte 2].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensĂ©e sur la commune[30] - [Carte 3] : les « grottes d'Oxocelhaya et d'Isturitz » (204,6 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[31] et une ZNIEFF de type 2[Note 9] - [30] - [Carte 4] : les « landes de l'Arberoue » (3 685,26 ha), couvrant 5 communes du dĂ©partement[32].
Urbanisme
Typologie
Saint-Martin-d'Arberoue est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10] - [33] - [34] - [35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36] - [37].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (54,5 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (52,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (44,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (39,7 %), prairies (14,8 %), forĂȘts (1,1 %)[38].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 5].
Lieux-dits et hameaux
Quatre quartiers composent la commune de Saint-Martin-d'Arberoue[39] :
- Herribehere ;
- la Montagne ;
- Kolorotze ;
- Beherasi.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la route départementale D 251, entre Isturits et Saint-Esteben.
On peut également y accéder en bus (ligne 13 du Conseil général « St Martin d'Arbéroue-La Bastide Clairence-Bayonne »).
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Martin-d'Arberoue est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[40]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[41].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue torrentielle ou Ă montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment l'ArbĂ©roue. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[42] - [40].
Saint-Martin-d'Arberoue est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[43]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă lâair libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[44] - [45].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines)[46]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[47].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[48]. 90,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [49].
Toponymie
- Mentions anciennes
Le toponyme Saint-Martin-d'Arberoue apparaĂźt[50] sous la forme Sant-Martin (1513, titres de Pampelune[51]).
Le toponyme HaĂŻzkiria apparaĂźt[50] sous la forme la croix de HaĂŻsquiry (qui donnait lieu Ă un pĂšlerinage, 1863, dictionnaire topographique BĂ©arn-Pays basque[50]).
Le toponyme Poxolu apparaĂźt[50] sous la forme Pochelu (1863, dictionnaire topographique BĂ©arn-Pays basque[50]).
- Graphie basque
Histoire
Paul Raymond[50] note que Saint-Martin-d'Arberoue est une ancienne baronnie érigée en vicomté en 1657, vassale du royaume de Navarre.
En 1790, Saint-Martin-d'Arberoue fut le chef-lieu d'un canton composé des communes de Méharin, Saint-Esteben, Saint-Martin-d'Arberoue, d'Ayherre et d'Isturits, dépendant du district de Saint-Palais.
HĂ©raldique
Politique et administration
Intercommunalité
Saint-Martin-d'Arberoue fait partie de sept structures intercommunales[54] :
- la communauté de communes du pays d'Hasparren Hazparneko Lurraldea ;
- le SIVU Ikas Bide ;
- le syndicat AEP de l'Arberoue ;
- le syndicat d'assainissement Adour - Ursuia ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal pour la réalisation d'une maison de retraite dans la vallée de l'Arberoue ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien Ă la culture basque.
La commune accueille le syndicat AEP de l'Arberoue.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[56].
En 2020, la commune comptait 341 habitants[Note 12], en augmentation de 6,56 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Village anciennement appelé Saint-Martin de Belhorritz (env. 1250), capitale du pays d'Arbela. Cour des rois de Navarre.
- Vestiges du chùteau de Saint-Martin-d'Arberoue, prés de l'église. Il subsiste les débris d'un chùteau incendié au début du XIXe siÚcle et un donjon carré en bel appareil couronné de mùchicoulis[61]. La construction, par le roi de Navarre, d'une motte tardive est décrite dans un texte de 1283 : « fossés et levée de terre prirent quatre-vingt-trois jours »[62].
- Ruines du donjon de Donamarthiri. Vestiges d'un donjon cylindrique et reste d'une enceinte Ă flanquements semi-circulaires au sommet de la colline, Ă une altitude de 209 mĂštres au-dessus des grottes[61].
- Nombreuses maisons d'origine médiévale.
- Les grottes d'Isturits, d'Oxocelhaya et d'Erberua[63] sont classées aux monuments historiques depuis 1953.
- L'Ă©cole communale maternelle.
- Le fronton place libre.
- Vieille demeure basque.
- Porte de maison.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Martin[64] du XVIIe siÚcle, a été reconstruite au moins partiellement si ce n'est intégralement en 1866.
Des stÚles discoïdales sont présentes dans le cimetiÚre.
- L'Ă©glise Saint-Martin.
- L'horloge de l'Ă©glise Saint-Martin.
- Dalle funéraire de 1688
- StĂšle discoĂŻdale du cimetiĂšre.
- StĂšle discoĂŻdale du cimetiĂšre.
Ăquipements
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[17].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[27].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Saint-Martin-d'Arberoue » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Saint-Martin-d'Arberoue », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type I sur la commune de Saint-Martin-d'Arberoue », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Saint-Martin-d'Arberoue », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
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- - Académie de la langue basque
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- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Martin-d'Arberoue et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
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- « Communes les plus proches de Saint-Martin-d'Arberoue », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
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- {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Saint-Martin-d%27Arberoue%20%2864%29}}.
- {{http://www.mintzaira.fr/fr/services-en-basque/ecoles.html?tx_ecoles_pi1[commune]=116&tx_ecoles_pi1[cdc]=0&tx_ecoles_pi1[province]=0&tx_ecoles_pi1[category]=16&tx_ecoles_pi1[type]=0&tx_ecoles_pi1[education_mode]=0&tx_ecoles_pi1[submit]=Rechercher&id=183&L=0}}.
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des chĂąteaux et des fortifications du Moyen Ăge en France, Strasbourg, Ăditions Publitotal, , 28e Ă©d. (1re Ă©d. 1979), 1304 p. (ISBN 2-86535-070-3, OCLC 1078727877), p. 1060.
- Patrice Conte et Sylvie Faradel, « Nouveaux regards sur les fortifications de terre », Dossiers d'archĂ©ologie, no 404,â , p. 16 (ISSN 1141-7137).
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur les grottes d'Isturits, d'Oxocelhaya et d'Erberua.
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Martin
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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