Amorots-Succos
Amorots-Succos est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Amorots-Succos | |||||
La mairie Ă Amorots. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Arnaud Laurent Abbadie 2020-2026 |
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Code postal | 64120 | ||||
Code commune | 64019 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Amoroztar | ||||
Population municipale |
233 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 21âČ 58âł nord, 1° 06âČ 39âł ouest | ||||
Altitude | Min. 65 m Max. 266 m |
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Superficie | 15,20 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Palais (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Le nom des habitants est Amoroztar[1] - [2].
GĂ©ographie
Localisation
La commune d'Amorots-Succos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].
Elle se situe à 100 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 47 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 11 km de Saint-Palais[6], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[3].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : BĂ©guios (2,2 km), Masparraute (3,1 km), Luxe-Sumberraute (3,6 km), OrĂšgue (3,7 km), Arraute-Charritte (3,8 km), MĂ©harin (4,5 km), Garris (4,8 km), Labets-Biscay (4,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Amorots-Succos fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10] - [11]. La commune est dans le Pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.
Hydrographie
La commune est drainée par le Lihoury, l'Aphatarena, Isaakenbordako erreka, un bras du Laharan, Jeloseko erreka, Othegiko erreka, Xirritako erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 20,54 km de longueur totale[13] - [Carte 1].
Le Lihoury, d'une longueur totale de 45,7 km, prend sa source dans la commune d'Iholdy et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune sur une petite section, au sud-ouest du territoire communal, et se jette dans la Bidouze à Came, aprÚs avoir traversé 8 communes[14].
L'Aphatarena, d'une longueur totale de 16,9 km, prend sa source dans la commune de Béguios et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle longe la commune sur son flanc nord-est et se jette dans Le Lihoury à Bidache, aprÚs avoir traversé 6 communes[15].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[16]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[17].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[19] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[20] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'AĂŻcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[21] et qui se trouve Ă 8 km Ă vol d'oiseau[22] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 216,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[23]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et Ă 35 km[24], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[25], Ă 14,3 °C pour 1981-2010[26], puis Ă 14,6 °C pour 1991-2020[27].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[29] - [Carte 2].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 8] est recensée sur la commune[30] - [Carte 3] : les « landes, bois et prairies du Pays de Mixe » (1 739,31 ha), couvrant 9 communes du département[31].
Urbanisme
Typologie
Amorots-Succos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [32] - [33] - [34].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[35] - [36].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (70,9 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (69,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (36,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (31,1 %), forĂȘts (29,1 %), terres arables (3,2 %)[37].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 4].
Voies de communication et transports
Amorots-Succos est desservie par la route départementale D14.
Lieux-dits et hameaux
- Aguerréa[12]
- Ameztoya[12] (ruines)
- Amiasorhoa[12]
- Amorots[12]
- Ansobieta[12]
- Apatia[12]
- Apetchéko Borda[12]
- ArangoĂŻza[12]
- ArangoĂŻzgaraya[12]
- Arrabichta[12]
- Berdeko Borda[12]
- Berhuéta[12]
- Bertrahandy[12]
- Bibens[12]
- Bidamberrita[12]
- Bidegain-de-Gain[12]
- Bidegain-de-PĂ©[12]
- Biscayluzia[12]
- Bordaberria[12]
- Cachantéguy[12]
- Carricaburua[12]
- Chastriaborda[12] (ruines)
- Culuteguia[12]
- Damassia[12]
- Ehulondoa[12]
- Errékaldéa[12]
- Errékartéa[12]
- Etchebérria[12]
- Etcheverria[12]
- Etorania[12]
- Garatéa[12]
- Garateko Borda[12]
- Haranéa[12]
- Ichobox[38]
- Ichorotzia[12]
- Idiartia[12]
- Iratzéburia[12]
- Isaac-Borda[12]
- Jauberria[12]
- Jelosséa[12]
- Joanteguia[12]
- Kakila[12]
- Kurku[12]
- Larraldéa[12] (2 lieux-dits)
- Larréa[12]
- Lascouéta[12]
- Laurenzenia[12]
- Legarria[12]
- Miscoria[12]
- Olha[12]
- Olhakoborda[12]
- Olharanne[12]
- Ospilatéa[12] - [38]
- Oxarania[12]
- Pacharreta[12]
- Padagoya[12]
- Sarhia[12]
- Sékailénia[12]
- Sorhuéta[12]
- Succos[12]
- Tipulatéya[12]
- Uhaldia[12]
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Amorots-Succos est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[39]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[40].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue torrentielle ou Ă montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment le Lihoury et l'Apatharena. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[41] - [39].
Amorots-Succos est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[42]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă lâair libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[43] - [44].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[45]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [46].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Amorots apparaĂźt sous les formes :
- Sanctus Vicentius de Maroz, Maroth et Morotz (1160[47]),
- Amoros (1268[47]),
- Amarotz (1305 et 1306[47]),
- Amaroz (1350[47]),
- Amoroz (1402[38], titres de Soule) et
- Amorotz (1413[47], ou 1513[38], titres de Pampelune[48]).
Brigitte JobbĂ©-Duval[1] propose pour Amorots, une origine vĂ©gĂ©tale, « le lieu de chĂȘnes ».
Le toponyme Succos apparaĂźt sous les formes :
- Sanctus Martinus de Trussecalau (1160[47]),
- Sucox (1268[47]),
- Succos (1304[47]),
- Ssucos (1350[47]),
- Ăucoz (1413[47]) et
- Suquos (1513[38], titres de Pampelune[48]).
Pour Brigitte Jobbé-Duval[1], Succos pourrait provenir du basque zoko, signifiant « lieu écarté »
Autres toponymes
La croix dâIchobox dĂ©signait un pĂšlerinage[38], tout comme la croix GoĂŻty.
Ospitaléa est une ferme mentionnée sous les graphies :
- Zabala y lâOspital (1513[38], titres de Pampelune[48]),
- LâHĂŽpital dâAmorots (1708[38], rĂšglement de la commanderie d'Irissarry[49]) et
- Ospital (1863, dictionnaire topographique BĂ©arn-Pays basque[38]).
- Paul Raymond[38] indique la prĂ©sence d'une chapelle prĂšs de cette ferme, dĂ©pendant de la commanderie dâIrissarry.
Troussecaillau est un fief, vassal du royaume de Navarre, cité en 1863[38] par Paul Raymond.
Histoire
La commune actuelle a été créée le [51] par la réunion des communes d' Amorots et de Succos.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale, du syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze et du syndicat de regroupement pédagogique d'Amorots-Succos, Arraute-Succos, Arraute-Charrite, Béguios, Masparraute et OrÚgue[52].
Population et société
DĂ©mographie
En 1350, 5 feux sont signalés à Amorots et 10 à Succos[53].
Le recensement[54] Ă caractĂšre fiscal de 1412-1413, rĂ©alisĂ©[55] sur ordre de Charles III de Navarre, comparĂ© Ă celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le prĂ©sent royaume de Navarre d'en deçà les ports[56], rĂ©vĂšle une dĂ©mographie en forte croissance. Le premier indique Ă Amorots la prĂ©sence de 4 feux, le second de 13 (12 + 1 feu secondaire). De mĂȘme Ă Succos, le recensement de 1412-1413 relĂšve 5 feux et celui de 1551 19 (16 + 3 feux secondaires).
Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[57] dénombre 40 feux à Amorots et 32 à Succos. Le rÎle de la taille de 1758 recense, quant à lui, 74 feux[58] à Amorots.
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[60].
En 2020, la commune comptait 233 habitants[Note 12], en diminution de 2,92 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
De 1793 Ă 1836, la population indiquĂ©e ne reflĂšte que celle d'Amorots, encore sĂ©parĂ© de Succos, dont la population durant cette mĂȘme pĂ©riode est dĂ©crite ci-dessous[63].
Enseignement
Amorots-Succos, Masparraute, OrÚgue, Béguios et Arraute-Charritte se sont associées pour créer un regroupement pédagogique intercommunal (R.P.I. AMOBA[64]).
Ăconomie
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Langues
D'aprÚs la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Amorots-Succos est le bas-navarrais oriental.
Lieux et monuments
- L'église de Succos[65], et plus particuliÚrement sa benoiterie avec son mur servant de fronton est inscrite aux monuments historiques depuis le . L'église est dédiée à saint Martin de Tours.
- L'Ă©glise Sainte-Lucie[66], Ă Amorots, date, quant Ă elle, de 1880, et est inscrite Ă lâInventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel depuis 2003. L'Ă©glise est dĂ©diĂ©e Ă sainte Lucie de Syracuse.
- StĂšle discoĂŻdale Ă Amorots.
- StĂšle discoĂŻdale Ă Succos.
- StĂšle basque Ă Succos.
- L'Ă©glise Sainte-Luce Ă Amorots, et le fronton.
- Une ferme d'Amorots.
- L'Ă©glise de Succos, avec Ă gauche, au fond, la benoiterie et son fronton.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[18].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[28].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
- « Sites Natura2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Amorots-Succos », sur www.geoportail.gouv.fr (consultĂ© le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Amorots-Succos », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux - Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
- - Académie de la langue basque
- « Métadonnées de la commune d'Amorots-Succos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Amorots-Succos et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Amorots-Succos et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
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- « Communes les plus proches d'Amorots-Succos », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Géoportail - Institut géographique national (France), « Géoportail » (consulté le ).
- « Fiche communale d'Amorots-Succos », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Lihoury ».
- Sandre, « l'Apatharena ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
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