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Masparraute

Masparraute est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Masparraute
Masparraute
La mairie de Masparraute.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Joseph Paris
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64368
DĂ©mographie
Gentilé Martxuetar
Population
municipale
253 hab. (2020 en augmentation de 10,96 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 31 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 23â€Č 26″ nord, 1° 05â€Č 33″ ouest
Altitude Min. 26 m
Max. 123 m
Superficie 8,16 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Palais
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Masparraute
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Masparraute
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Masparraute

    Le gentilé est Martxutar[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Masparraute se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe Ă  95 km par la route[Note 1] de Pau[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  47 km de Bayonne[4], sous-prĂ©fecture, et Ă  9,6 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Arraute-Charritte (1,5 km), Labets-Biscay (3,0 km), Amorots-Succos (3,1 km), OrĂšgue (3,4 km), BĂ©guios (3,4 km), Ilharre (4,2 km), Bergouey-Viellenave (4,8 km), Luxe-Sumberraute (5,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Masparraute fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9] - [10]. La commune est dans le pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Masparraute.

    La commune est drainĂ©e par l'Aphatarena, MinhuriĂšta erreka, Faitureko erreka, Lamulariko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 10 km de longueur totale[12] - [Carte 1].

    L'Aphatarena, d'une longueur totale de 16,9 km, prend sa source dans la commune de BĂ©guios et s'Ă©coule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Lihoury Ă  Bidache, aprĂšs avoir traversĂ© 6 communes[13].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[15].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 388 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[17] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[18] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'AĂŻcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[19] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[20] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 216,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[21]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et Ă  36 km[22], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[23], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[24], puis Ă  14,6 °C pour 1991-2020[25].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[27], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste rĂ©seau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[28] - [Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Masparraute est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [29] - [30] - [31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[32] - [33].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (90 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (89,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (52,2 %), terres arables (36,8 %), forĂȘts (10,1 %), prairies (1 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Lieux-dits et hameaux

    • Elycibarre ;
    • Berhoco ;
    • Celhay ;
    • Saldorits ;
    • Ibarre.

    Voies de communication et transports

    Masparraute est desservie par les routes départementales D 11 et D 246.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Masparraute est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e)[35]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[36].

    Masparraute est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[37]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă  l’air libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[38] - [39].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Masparraute.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[40]. 99,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [41].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[35].

    Toponymie

    Panneau bilingue sur la D 246.
    Le fronton de 1960.
    Linteau sculpté de 1760.
    Un lavoir.
    Mentions anciennes

    Le toponyme Masparraute apparaĂźt sous les formes Mansbarraute (1080 et 1119[42]), Mauzbarraute (1080[43], collection Duchesne volume CXIV[44]), Mazberraute (1119[42]), Sanctus Stephanus de Manzberraute (1160[42]), Mans-Barraute et Mazbarraute (XIIe siĂšcle[43] pour les deux formes, cartulaire de Sorde[45]), Mazperaute (1309[42]), Mazparraute (1402[43], titres de Navarre[46]), Mazparraute et Marchoete (1413[42]), Mazperaute, Masberrauta, Masparrauta et Masperrauta (respectivement[43] 1434, 1443, et 1462 pour les deux derniĂšres formes, notaires d'Oloron[47]) et Mazparrauta (1513[43], titres de Pampelune[48]).

    Jean-Baptiste Orpustan[42] indique que Masparraute signifie 'la manse[49] du lieu de broussailles' ou 'le lieu de broussailles de la manse'.

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Martxueta[1].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 2010 Bernard Larramendy
    2010 2020 Jean-Pierre Apéçaréna
    2020 Joseph Paris
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune appartient Ă  six structures intercommunales[50] :

    • la communautĂ© d'agglomĂ©ration du Pays Basque ;
    • le syndicat AEP du pays de Mixe ;
    • le syndicat d’énergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour le fonctionnement des Ă©coles d'Amikuze ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien Ă  la culture basque ;
    • le syndicat regroupement pĂ©dagogique d'Amorots-Succos, Arraute-Charritte, BĂ©guios, Masparraute et OrĂšgue.

    Population et société

    DĂ©mographie

    En 1350, 28 feux sont signalés à Masparraute[51].

    Le recensement[52] à caractÚre fiscal de 1412-1413, réalisé[53] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[54], révÚle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Masparraute la présence de 9 feux, le second de 49 feux.
    Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[55] dénombre 120 feux à Masparraute.

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[57]. En 2020, la commune comptait 253 habitants[Note 11], en augmentation de 10,96 % par rapport Ă  2014 (PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    632683654678638664645614610
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    587565502467507490472469448
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    440426408395406428450397358
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    346292268265230211240245249
    2014 2019 2020 - - - - - -
    228250253------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee Ă  partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Toiture vénérable.

    Patrimoine religieux

    L'Ă©glise Saint-Étienne[60] date du XVIIIe siĂšcle.

    L'Ă©glise Saint-Étienne.
    StĂšle de 1740.

    Équipements

    Ă©ducation

    Amorots-Succos, Masparraute, OrÚgue, Béguios et Arraute-Charritte se sont associées pour créer un regroupement pédagogique intercommunal (R.P.I. AMOBA[61]).

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[26].
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Masparraute » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Masparraute », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune de Masparraute », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Masparraute et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Masparraute et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Masparraute et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Masparraute », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    11. Carte IGN sous GĂ©oportail
    12. « Fiche communale de Masparraute », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    13. Sandre, « l'Aphatarena ».
    14. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    15. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    16. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    17. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    18. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Aicirits - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Masparraute et Aïcirits-Camou-Suhast », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station Météo-France Aicirits - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    22. « Orthodromie entre Masparraute et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    25. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    26. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    27. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Masparraute », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    30. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
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    44. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothÚque impériale - BibliothÚque nationale de France
    45. Cartulaire de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
    46. Titres du royaume de Navarre - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    47. Notaires d'Oloron - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    48. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
    49. Les manses désignent un ensemble de domaines ruraux
    50. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    51. Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze : Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN 978-2-909262-05-5 et 2-909262-05-7), page 77
    52. Recensements citĂ©s par Manex Goyhenetche, Histoire gĂ©nĂ©rale du Pays basque III : Évolution Ă©conomique et sociale du XVIe au XVIIIe siĂšcle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le mĂȘme ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne dĂ©mographique de 5.5 par feu.
    53. Transcrit et publiĂ© par Ricardo Cierbide, Censos de poblaciĂłn de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, TĂŒbingen, 1993
    54. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
    55. BibliothĂšque nationale, 6956, registre Moreau 979, citĂ© par Manex Goyhenetche, Histoire gĂ©nĂ©rale du Pays basque III : Évolution Ă©conomique et sociale du XVIe au XVIIIe siĂšcle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 299.
    56. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    57. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    58. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    59. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    60. MinistĂšre de la Culture, base MĂ©rimĂ©e - Notice sur l'Ă©glise Saint-Étienne
    61. Site du R.P.I. AMOBA

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