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Saint-LĂ©omer

Saint-Léomer est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-LĂ©omer
Saint-LĂ©omer
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes Vienne et Gartempe
Maire
Mandat
Jean-Pierre Tabuteau
2020-2026
Code postal 86290
Code commune 86230
DĂ©mographie
Population
municipale
170 hab. (2020 en diminution de 6,08 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 5,9 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 26â€Č 14″ nord, 0° 59â€Č 41″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 181 m
Superficie 28,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montmorillon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montmorillon
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-LĂ©omer

    GĂ©ographie

    Saint-LĂ©omer est une commune rurale.

    Localisation

    La commune est proche du parc naturel régional de la Brenne.

    La commune est situĂ©e dans le centre-ouest de la France, Ă  60 km de Poitiers.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-LĂ©omer
    Journet
    Montmorillon Saint-LĂ©omer La Trimouille
    Bourg-Archambault Brigueil-le-Chantre

    GĂ©ologie et relief

    La rĂ©gion de Saint-LĂ©omer prĂ©sente un paysage singulier composĂ© de bocages et de vallĂ©es. Le paysage de bocage dans le dĂ©partement de la Vienne se caractĂ©rise par des champs cultivĂ©s ou des prĂ©s enclos par des haies avec des alignements plus ou moins continus d'arbres et arbustes. Ces haies si caractĂ©ristiques contribuent Ă  une meilleure qualitĂ© des eaux, permettent son infiltration et protĂšgent ainsi contre l'Ă©rosion des sols. Elles constituent des zones de refuge pour la biodiversitĂ©. Elles ont, aussi, un rĂŽle de rĂ©gulation climatique et de nombreux intĂ©rĂȘts agronomiques (brise vent, protection du bĂ©tail...).

    Le terroir se compose[1] : de terres de brandes pour 96 % et de sols limoneux sur altĂ©rite pour le restant qui couvrent les plateaux du seuil du Poitou. La lande est, ici, de type atlantique: elle est souvent dominĂ©e par la BruyĂšre arborescente et l’Ajonc d’Europe qui constituent un couvert difficilement pĂ©nĂ©trable pouvant atteindre m de hauteur. Dans ce cas, la lande prend le nom rĂ©gional de « brandes ». C’est un espace issu de la dĂ©gradation et de l’exploitation intensive de la forĂȘt originelle. La lande couvrait jusqu’à la fin du XIXe siĂšcle plusieurs dizaines de milliers d’hectares (90 000 hectares pour le dĂ©partement de la Vienne vers 1877). Cette terre a Ă©tĂ© largement mise en culture Ă  la suite de dĂ©frichements ou boisĂ©e avec du pin maritime. Il s’agit maintenant d’espaces marginaux et menacĂ©s car considĂ©rĂ©s comme « improductifs ». Pourtant, la lande joue un rĂŽle majeur pour une biodiversitĂ© qui s’est adaptĂ©e et a survĂ©cu en leur sein et il s’agit Ă©galement d’un espace refuge pour de nombreuses espĂšces de mammifĂšres.

    En 2006, 76 % de la superficie de la commune Ă©tait occupĂ©e par l'agriculture et de 24 % par des forĂȘts et des milieux semi-naturels[2]. La prĂ©sence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiĂ©s sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables Ă  l’accueil de nombreuses espĂšces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, dĂ©placement, refuge). ForĂȘts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides
 constituent ainsi des cƓurs de biodiversitĂ© et/ou de vĂ©ritables corridors biologiques.

    La forĂȘt privĂ©e reprĂ©sente, en 2007, 301 hectares soit 10 % du territoire communal[3]. Les espaces boisĂ©s (la moyenne sur la rĂ©gion Poitou-Charentes est de 15 %, et 29,2 % pour la France) sur le territoire communal contribuent Ă  assurer des fonctions de production (bois d’Ɠuvre mais aussi bois Ă©nergie), de protection (espĂšces, qualitĂ© des eaux) et sociales (accueil du public). Les forĂȘts les plus anciennes ou implantĂ©es dans des conditions Ă©cologiques particuliĂšres (pentes, bords de cours d'eau...) abritent en gĂ©nĂ©ral la biodiversitĂ© la plus forte. Mais, au cours de l’histoire, pour rĂ©pondre aux besoins d'une population rurale importante, la forĂȘt poitevine a Ă©tĂ© intensĂ©ment dĂ©frichĂ©e et surexploitĂ©e jusqu’à la rĂ©volution industrielle. Environ la moitiĂ© des forĂȘts actuelles du Poitou n'existait pas il y a 200 ans[4].

    Hydrographie

    La commune est traversée par km de cours d'eau dont le principal est le Salleron sur une longueur de km.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[5]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 808 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Journet », sur la commune de Journet, mise en service en 1993[11] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[12] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 759,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et Ă  55 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15] Ă  11,7 °C pour 1981-2010[16], puis Ă  12,2 °C pour 1991-2020[17].

    Voies de communication et transports

    Les gares et les haltes ferroviaires de Saint-LĂ©omer sont :

    L'aĂ©roport le plus proche est l'aĂ©roport de Poitiers-Biard situĂ© Ă  55,7 km.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Léomer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [18] - [19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montmorillon, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (75,6 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (75,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (40,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (25,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (13,8 %), forĂȘts (10,6 %), terres arables (8,8 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-LĂ©omer est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Salleron et le Vairon. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[26] - [24].

    Saint-LĂ©omer est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2014, le deuxiĂšme plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2015-2024[27]. Les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement sont dĂ©finies dans un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [Note 8] - [28], celles relatives Ă  l'emploi du feu et au brĂ»lage des dĂ©chets verts le sont dans un arrĂȘtĂ© permanent du [29] - [30].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Léomer.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[31]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[32]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[33]. 26,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (79,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [34].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[24].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-LĂ©omer est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[35].

    Histoire

    Antiquité

    La commune est occupĂ© dĂšs l’antiquitĂ© comme l’atteste le site de Mazamas au sud-ouest du bourg qui est datĂ© du Ier siĂšcle av. J.-C.

    Ce sanctuaire a livrĂ© des fragments une gourde en cĂ©ramique Ă  glaçure plombifĂšre dĂ©corĂ©e d'une tĂȘte de mĂ©duse, provenant de l'atelier de poterie de Saint-RĂ©my (Allier)[36]

    Moyen Âge

    Au Moyen Âge, le village de Saint-LĂ©omer se dĂ©veloppe autour de son Ă©glise. Les fontaines, nombreuses dans cette rĂ©gion, avaient selon la lĂ©gende, des vertus curatives, pour certaines maladies et attiraient ainsi des pĂšlerins.

    Politique et administration

    Saint-Léomer dépend de la sous-préfecture de la Vienne à Montmorillon.

    Le bourg a porté au cours de l'histoire d'autres noms administratifs : en 1793, Saint-Léemer puis en 1801, Saint-Liomet.

    liste des maires

    Liste des maires successifs[37]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 mars 2008 François Cardonne
    mars 2008 Jean-Pierre Tabuteau

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relĂšve du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la SĂ©curitĂ© sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    service public

    Les bureaux de La Poste les plus proches sont ceux de La Trimouille Ă  4,4 km, de Brigueil-le-Chantre Ă  8,1 km et de Montmorillon Ă  10,1 km.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[39].

    En 2020, la commune comptait 170 habitants[Note 10], en diminution de 6,08 % par rapport Ă  2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    505203339399420413391427435
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    415409449486529530511519541
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    555527548468422391347367382
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    289258263234205183185179182
    2015 2020 - - - - - - -
    183170-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee Ă  partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densitĂ© de population de la commune Ă©tait de 6,2 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le dĂ©partement, 68 hab./km2 pour la rĂ©gion Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Les derniĂšres statistiques dĂ©mographiques pour la commune ont Ă©tĂ© fixĂ©es en 2009 et publiĂ©es en 2012. Il ressort que la mairie de Saint-LĂ©omer administre une population totale de 185 personnes. À cela il faut soustraire les rĂ©sidences secondaires (quatre personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 181 habitants.

    La diminution de 11 % de la population de la commune de 1999 Ă  2006 s’intĂšgre dans une Ă©volution gĂ©nĂ©rale Ă  l’ensemble des communes rurales du dĂ©partement de la Vienne. Les zones rurales perdent de leurs habitants au profit d’une vaste rĂ©gion circonscrite autour des deux grandes mĂ©tropoles du dĂ©partement : Poitiers et ChĂątellerault, et plus particuliĂšrement au profit des cantons limitrophes de la prĂ©fecture.

    La répartition de la population par sexe est la suivante (INSEE) :

    • en 1999 : hommes 50,8 % et femmes 49,2 %.
    • en 2005 : hommes 50,3 % et femmes 49,7 %.
    • en 2010 : hommes 53,5 % et femmes 46,5 %.

    En 2005, selon l'Insee :

    • Le nombre de cĂ©libataires Ă©tait de 35,3 %,
    • Les couples mariĂ©s reprĂ©sentaient 52,4 % de la population,
    • Les divorcĂ©s reprĂ©sentaient 4,1 % de la population,
    • Le nombre de veuves et veufs Ă©tait de 8,2 %.

    Enseignement

    La commune de Saint-Léomer dépend de l' académie de Poitiers et les écoles primaires de la commune dépendent de l'inspection académique de la Vienne. Le rectorat est celui de Poitiers.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction rĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la ForĂȘt de Poitou-Charentes[42], il n'y a plus que 12 exploitations agricoles en 2010 contre 15 en 2000.

    11 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre, orge et maïs), 71 % pour le fourrage et 14 % restent en herbe[42].

    7 exploitations en 2010 (contre 8 en 2000) abritent un Ă©levage de bovins (1 329 tĂȘtes en 2010 contre 1 328 tĂȘtes en 2000)[42]. C’est un des troupeaux de bovins les plus importants de la Vienne qui rassemblent 48 000 tĂȘtes en 2011[43].

    5 exploitations en 2010 (contre 8 en 2000) abritent un Ă©levage d'ovins en expansion (2 968 tĂȘtes en 2010 contre 1 457 tĂȘtes en 2000)[42]. C'est un des troupeaux importants du dĂ©partement qui compte, en 2011, 214 300 tĂȘtes[44].

    L'élevage de volailles a disparu au cours de cette décennie[42].

    Activité et emploi

    Le taux de chĂŽmage, selon l'Insee, en 2005 Ă©tait de 3,8 % et en 1999 il Ă©tait de 13,7 %.

    Les retraités et les pré-retraités représentaient 36,2 % de la population en 2005 et 29 % en 1999.

    Le taux d'activité était de 68,4 % en 2005 et de 67 en 1999.

    Culture locale et patrimoine

    Les vestiges gallo-romains de Mazamas

    Ils sont situĂ©s Ă  environ km du bourg. Ils comprennent un temple de tradition celtique (vers 50 av. J.-C.) et un temple gallo-romain (vers 40-50 ap. J.-C.). Le site est classĂ© Monument Historique depuis 1973. C'est un des principaux sites gallo-romains du dĂ©partement de la Vienne avec celui de Sanxay et de NaintrĂ©. Le site a Ă©tĂ© dĂ©couvert par l'abbĂ© Florentin Reix, curĂ© de Bourg-Archambault et de Saint-LĂ©omer pendant 50 ans. Il reconnait le petit appareil romain lorsque les pierres de quatre monticules considĂ©rĂ©s comme les ruines du "chĂąteau de Mazamas" sont utilisĂ©es en 1945 pour rĂ©parer un chemin. ÉdifiĂ© au Ier siĂšcle, ce sanctuaire gallo-romain est construit en petit appareil rĂ©gulier. Il comprend un mur d'enceinte, un propylĂ©e orientĂ© Ă  l'est et deux temples jumeaux Ă  vestibule et cella carrĂ©. Plus profondĂ©ment enfouies, les bases d'un sanctuaire gaulois datant du Ier siĂšcle avant notre Ăšre sont encore visibles. Il comprend un pĂ©ribole avec un bĂątiment d'entrĂ©e Ă  l'est et un fanum Ă  cella carrĂ©e et galerie circulaire autour. Lieu de culte durant plusieurs siĂšcles, le sanctuaire n'est toutefois associĂ© Ă  aucun vicus. La destruction systĂ©matique des temples jumeaux est l’Ɠuvre des chrĂ©tiens du IVe siĂšcle.

    L'Ă©glise Saint-LĂ©omer de Saint-LĂ©omer

    Elle date du XIIe siÚcle. La façade dont le pignon triangulaire a été surélevé en 1820 est sobre mais soignée. Elle forme écran en incluant dans sa largeur des contreforts épais. Le portail est en plein cintre. Le décor est de style limousin. Le portail est en calcaire alors que le reste de l'édifice est en grÚs ferrugineux local. L'abside est petite. Elle est voûtée en cul-de-four. La nef est contrebutée à l'extérieur par des contreforts massifs. La nef est voûtée en berceau brisé.

    Le patrimoine naturel

    La commune abrite trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[45] qui couvrent 40 % de la surface communale :

    • Le camp militaire de Montmorillon,
    • Les landes de Montmorillon,
    • La vallĂ©e du Salleron.

    Deux espaces naturels de la commune bénéficient de protections issues d'engagements internationaux relevant de la directive habitats-faune-flore. Ces espaces représentent 16 % de la surface communale et il s'agit des brandes de Montmorillon et de la vallée du Salleron.

    Deux autres sites couvrant 17 % du territoire communal sont aussi classées par la directive oiseaux qui assure la protection des oiseaux sauvages et de leurs biotopes : les brandes de Montmorillon et les landes de Sainte-Marie.

    Le camp militaire de Montmorillon

    À cheval sur le territoire de trois communes : Journet, Montmorillon, Saint-LĂ©omer, le camp militaire de Montmorillon occupe un vaste plateau recouvert de "terres de brandes". Il appartient dĂ©jĂ  Ă  la Basse Marche du Limousin. Ses sols sont argilo-sableux, acides, hydromorphes et riches en galets de quartz.

    Le site doit Ă  son utilisation comme terrain militaire d’avoir Ă©tĂ© soustrait Ă  l’intensification agricole qui a entraĂźnĂ© ailleurs, depuis le milieu du XXe siĂšcle, la disparition de beaucoup d’habitats agropastoraux traditionnels. Ce statut particulier a, ainsi, permis la conservation d’un des plus grands ensembles de landes Ă  bruyĂšres de tout le dĂ©partement de la Vienne. Six grands Ă©tangs pluri-centenaires, aux eaux plus ou moins riches et ayant un niveau variable selon les saisons, occupent des dĂ©pressions peu profondes au sein de la lande et ajoutent Ă  la diversitĂ© de l’ensemble.

    Toutefois, des altĂ©rations rĂ©centes ont eu lieu ou sont, encore, en cours. Elles sont dues autant Ă  des causes naturelles telles que la reprise du manteau forestier au dĂ©triment de la lande et des milieux ouverts, qu’à des interventions humaines comme la rĂ©alisation de grands pare-feu. Cependant, l’ensemble de la zone possĂšde encore un intĂ©rĂȘt biologique exceptionnel qui en fait un des pĂŽles majeurs de la biodiversitĂ© rĂ©gionale, comme en tĂ©moignent les 126 espĂšces animales et vĂ©gĂ©tales Ă  fort intĂ©rĂȘt patrimonial qui ont pu y ĂȘtre recensĂ©es au cours de la premiĂšre dĂ©cennie du XXIe siĂšcle.

    Avec 76 espĂšces rares ou menacĂ©es, la flore apparaĂźt d’une richesse incomparable. Les Ă©tangs et leurs rives abritent Ă  eux seuls prĂšs de 50 % des plantes remarquables du site.

    Sur le plan de la faune vertĂ©brĂ©e, l’avifaune prĂ©sente un intĂ©rĂȘt considĂ©rable dĂ» Ă  la juxtaposition d’oiseaux de milieux variĂ©s, accueillant diverses espĂšces rares ou menacĂ©es en Poitou, parmi lesquelles les oiseaux de landes et de zones humides sont les mieux reprĂ©sentĂ©s.

    Le groupe des amphibiens et des reptiles est tout aussi remarquable par sa diversité (17 espÚces) que par son originalité.

    Quant aux mammifÚres, ils sont représentés, entre autres, par plusieurs espÚces de chauves-souris rares.

    Parmi les Invertébrés, le fait essentiel réside dans la présence de plusieurs libellules rares inféodées aux mares tourbeuses, et d'un papillon protégé en France, le Damier de la succise.

    La vallée du Salleron

    La vallĂ©e du Salleron est un site classĂ© zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[45]. Le site intĂšgre une grande partie du cours de la riviĂšre qui est un affluent de l’Anglin ainsi que ses affluents. Le Salleron est une petite riviĂšre d’eaux vives avec une forte dĂ©nivellation depuis ses sources jusqu’à la confluence avec l’Anglin. Ses eaux sont de bonne qualitĂ© et bien oxygĂ©nĂ©es. Son lit est riche en sĂ©diments grossiers (sables et graviers). Son bassin versant est Ă  dominante forestiĂšre et bocagĂšre et il est encore peu touchĂ© par l’intensification agricole.

    L’intĂ©rĂȘt biologique du site, qui justifie son classement et sa protection, rĂ©side dans la prĂ©sence importante de la Lamproie de Planer qui est un poisson menacĂ© de disparition dans toute l’Europe. La Lamproie de Planer exige des eaux de trĂšs bonne qualitĂ© et des sĂ©diments Ă  granulomĂ©trie moyenne Ă  grossiĂšre pour vivre et se reproduire.

    De nos jours, les principales menaces sur cet environnement fragile sont: un ralentissement anormal du courant qui modifierait le tri mĂ©canique des sĂ©diments, ou une pollution chimique (toxiques, mĂ©taux lourds) ou organique (eutrophisation par surcharge des eaux en nutriments provoquant une pullulation d’algues et une rĂ©duction de l’oxygĂšne dissous). La crĂ©ation d’étangs destinĂ©s Ă  la pĂȘche le long du cours du Salleron constitue un risque important du aux vidanges des Ă©tangs. Elles pourraient, en effet, transfĂ©rer des maladies aux lamproies, provoquer un rĂ©chauffement des eaux du Salleron et introduire des espĂšces piscicoles exotiques. De mĂȘme, la transformation des prairies naturelles du bassin versant en cultures cĂ©rĂ©aliĂšres intensives pourrait avoir d’importantes rĂ©percussions sur la balance trophique et sĂ©dimentaire des eaux (apport d’engrais et de produits phytosanitaires), voire, en cas d’irrigation, sur les dĂ©bits en pĂ©riode d’étiage.

    La prĂ©sence d’une petite population de Cistude d’Europe, une espĂšce de tortue, est un autre facteur important justifiant la protection du site. Cette tortue aquatique connaĂźt, en effet, un dĂ©clin alarmant dans toute l’Europe de l’Ouest. Elle est victime de la disparition des zones humides ou de leur fragmentation, de la dĂ©gradation de la qualitĂ© des eaux et de l’introduction d’espĂšces exotiques comme la Tortue de Floride, les Ă©crevisses amĂ©ricaines, ou le ragondin.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Le brĂ»lage des dĂ©chets verts Ă  l’air libre ou Ă  l’aide d’incinĂ©rateurs individuels est interdit toute l’annĂ©e et sur l’ensemble du dĂ©partement de la Vienne.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Chambre RĂ©gionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    2. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
    3. Centre Régional de la propriété forestiÚre de Poitou-Charentes - 2007
    4. IFEN-BD CORINE Land CoverÂź 2006, toutes couches « ForĂȘt », hors espace vert artificialisĂ© non agricole
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Journet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Saint-Léomer et Journet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Journet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Saint-Léomer et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    24. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Léomer », sur Géorisques (consulté le )
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    27. « Protection de la forĂȘt contre les incendies », sur le site de la prĂ©fecture de la Vienne, (consultĂ© le )
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    33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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    36. [Aucher et al. 1978] Marie-Reine Aucher, Michel Aucher, S. de Lavergne et E. de Lavergne, « TĂȘte de mĂ©duse sur flanc de gourde de Saint-RĂ©my-en-Rollat (Allier) », Revue archĂ©ologique du Centre de la France, vol. 17, nos 65-66,‎ , p. 87-88 (lire en ligne [sur persee]).
    37. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    42. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    43. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
    44. Panorama de l’Agriculture en Vienne – juin 2012 – Chambre d’Agriculture de la Vienne
    45. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011
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