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Saint-Juéry (Tarn)

Saint-JuĂ©ry, connu sous la RĂ©volution sous le nom de Bellevue[1], est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Tarn, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l'Albigeois, une rĂ©gion naturelle agricole correspondant aux environs de la ville d’Albi.

Saint-Juéry
Saint-Juéry (Tarn)
Mairie.
Blason de Saint-Juéry
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Communauté d'agglomération de l'Albigeois
Maire
Mandat
David Donnez
2020-2026
Code postal 81160
Code commune 81257
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Juériens, Saint-Juériennes
Population
municipale
6 627 hab. (2020 en diminution de 2,43 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 720 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 56â€Č 59″ nord, 2° 12â€Č 37″ est
Altitude 174 m
Min. 157 m
Max. 332 m
Superficie 9,21 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Albi
(banlieue)
Aire d'attraction Albi
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Juéry
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Saint-Juéry
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Saint-Juéry
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Saint-Juéry
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Saint-Juéry
Liens
Site web Site officiel

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par le Tarn, le ruisseau de Cunac, le ruisseau de la PontĂ©siĂ©, le ruisseau de Rassalens, le ruisseau de Sarlan et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Saint-JuĂ©ry est une commune urbaine qui compte 6 627 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomĂ©ration d'Albi et fait partie de l'aire d'attraction d'Albi. Ses habitants sont appelĂ©s les Saint-JuĂ©riens ou Saint-JuĂ©riennes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune de l'aire urbaine d'Albi située dans de son unité urbaine, au nord-est de la ville d'Albi sur le Tarn, dans l'Albigeois.

    Communes limitrophes

    Saint-Juéry est limitrophe de sept autres communes. Les communes limitrophes sont ArthÚs, Albi, Cambon, Cunac, Lescure-d'Albigeois, Marsal et Saint-Grégoire.

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 921 hectares ; son altitude varie de 157 Ă  332 mĂštres[3].

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainĂ©e par le Tarn, le ruisseau de Cunac, le ruisseau de la PontĂ©siĂ©, le ruisseau de Rassalens, le ruisseau de Sarlan, le ruisseau des Saumes, le ruisseau Riols et par deux petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 12 km de longueur totale[5] - [Carte 1].

    Le Tarn, d'une longueur totale de 380 km, prend sa source sur le mont LozĂšre, dans le nord de la commune du Pont de Montvert - Sud Mont LozĂšre en LozĂšre, et se jette dans la Garonne Ă  Saint-Nicolas-de-la-Grave, en Tarn-et-Garonne.

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Saint-Juéry.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[6].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 11,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 827 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976[11] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[12] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 730,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et Ă  10 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,4 °C pour 1981-2010[14] Ă  13,8 °C pour 1991-2020[15].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensĂ©e sur la commune[16] : la « riviĂšre Tarn (partie Aveyron) » (2 381 ha), couvrant 41 communes dont 25 dans l'Aveyron et 16 dans le Tarn[17] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5] - [16] :

    • la « basse vallĂ©e du Tarn » (3 623 ha), couvrant 49 communes dont huit dans la Haute-Garonne, 20 dans le Tarn et 21 dans le Tarn-et-Garonne[18] ;
    • la « vallĂ©e du Tarn, amont » (36 322 ha), couvrant 57 communes dont 31 dans l'Aveyron, une dans la LozĂšre et 25 dans le Tarn[19].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Saint-JuĂ©ry.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-JuĂ©ry est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [20] - [I 1] - [21]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Albi, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 9 communes[I 2] et 73 005 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Albi dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (53,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (61,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (31 %), prairies (20,2 %), terres arables (18,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (14,9 %), forĂȘts (10,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2,3 %), eaux continentales[Note 8] (1,5 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-JuĂ©ry est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Tarn. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan État-rĂ©gion, visant Ă  informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[25]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1994, 1996, 2003 et 2014[26] - [23].

    Saint-JuĂ©ry est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2022, il n'existe pas de Plan de PrĂ©vention des Risques incendie de forĂȘt (PPRif). Le dĂ©broussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 9] - [27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Juéry.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[28]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 97,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (76,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 623 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 2 601 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 99 %, Ă  comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[30].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[31].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-JuĂ©ry est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[32].

    Toponymie

    Le nom de la commune est une des formes occitanes de Saint Georges Ce lien renvoie vers une page d'homonymie[33] - [34] - [35].

    Histoire

    Une forteresse (ou un fortin) était édifiée à « Saint-Juéry-le-Haut » dont il demeure quelques vestiges (étals de marchand). Ce « castelnau » a été bùti vers 1160 « en paréage entre les Trencavel et le monastÚre de Castres »[36].

    Les fortifications ont été détruites au XVIIe siÚcle.

    Au début du XVIIIe siÚcle, le seigneur de Saint-Juéry est Antoine de Gontier, habitant de Lautrec : le , il nomme Pierre de Bordoncle, juge royal de Castres, son procureur dans un procÚs qui l'oppose à mademoiselle de Saint-Amans.

    HĂ©raldique

    Saint-Juéry

    Son blasonnement est : D'or Ă  la barre de gueules chargĂ©e de trois fleurs de lys du champ, accompagnĂ©e en chef de deux marteaux de sable passĂ©s en sautoir, surmontĂ©s d'une enclume du mĂȘme, et en pointe d'une tour d'azur.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 Ă©tant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt neuf[37] - [38].

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Commune faisant partie de la communauté d'agglomération de l'Albigeois et du canton de Saint-Juéry (Bureau centralisateur).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1904 1919 Alban Rossignol Rad. Propriétaire
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Villefranche-d'Albigeois (1901 → 1919)
    1919 1927 Germain TĂ©qui
    1927 1935 Alphonse Pacifique
    1935 1941 Émile Andrieu
    1941 1944 EugĂšne Espinasse Directeur des usines du Saut-du-Tarn
    1944 1945 Alphonse Pacique
    1945 1978 Émile Albet SFIO puis DVG Instituteur
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Villefranche-d'Albigeois (1945 → 1982)
    PrĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral du Tarn (1961 → 1976)
    1978 mars 2001 Jean Polisset PS Professeur
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Villefranche-d'Albigeois (1982 → 2008)
    mars 2001 mars 2014 Jacques Lasserre PS Inspecteur URSSAF
    mars 2014 2020 Jean-Paul Raynaud[39] DVG Technicien de laboratoire retraité
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Villefranche-d'Albigeois (2008 → 2015)
    Conseiller dĂ©partemental du canton de Saint-JuĂ©ry (2015 → 2021)
    mai 2020 En cours David Donnez DVG Sous-officier au Service DĂ©partemental d'Incendie et de Secours du Tarn (SDIS 81)
    Conseiller départemental depuis 2021

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[41].

    En 2020, la commune comptait 6 627 habitants[Note 10], en diminution de 2,43 % par rapport Ă  2014 (Tarn : +1,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0601 0341 0951 2291 4251 1411 1791 3501 380
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3621 4031 2231 3391 4541 7631 8372 0332 167
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 7483 1523 1823 1683 3703 2913 0943 5123 589
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    3 9135 0175 9436 7386 7306 6356 9257 0356 797
    2015 2020 - - - - - - -
    6 8356 627-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee Ă  partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[44] 1975[44] 1982[44] 1990[44] 1999[44] 2006[45] 2009[46] 2013[47]
    Rang de la commune dans le département 11 9 9 9 9 9 9 9
    Nombre de communes du département 326 324 324 324 324 323 323 323

    Enseignement

    Saint-Juéry fait partie de l'académie de Toulouse.

    La commune possĂšde 3 groupes scolaires maternelle et primaire[48].

    Culture et festivités

    MĂ©diathĂšque, une cinquantaine d’associations y sont prĂ©sentes[49], salle polyvalente, musĂ©e du Saut du Tarn[50],

    Sports

    Saint-Juéry Olympique (SJO) (football, tennis), Saint-Juéry - ArthÚs Olympique XV (SJAO XV) - rugby à XV, Saint-Juéry XIII Scorpion - rugby à XIII,

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 3 274 mĂ©nages fiscaux[Note 11], regroupant 6 754 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 940 â‚Ź[I 7] (20 400 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 8]). 41 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 12] (42,8 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 9]9,8 %12,1 %10,5 %
    DĂ©partement[I 10]8,2 %9,9 %10 %
    France entiĂšre[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  3 784 personnes, parmi lesquelles on compte 74,8 % d'actifs (64,3 % ayant un emploi et 10,5 % de chĂŽmeurs) et 25,2 % d'inactifs[Note 13] - [I 9]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Albi, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 12]. Elle compte 1 523 emplois en 2018, contre 1 714 en 2013 et 1 887 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 2 464, soit un indicateur de concentration d'emploi de 61,8 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 50,3 %[I 13].

    Sur ces 2 464 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 420 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 88,7 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 2,2 % les transports en commun, 6,9 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 2,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    445 établissements[Note 14] sont implantés à Saint-Juéry au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble445100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    4710,6 %(13 %)
    Construction7116 %(12,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    11525,8 %(26,7 %)
    Information et communication61,3 %(2,1 %)
    Activités financiÚres et d'assurance122,7 %(3,3 %)
    Activités immobiliÚres184 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    449,9 %(13,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    8018 %(15,5 %)
    Autres activités de services5211,7 %(9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 25,8 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (115 sur les 445 entreprises implantĂ©es Ă  Saint-JuĂ©ry), contre 26,7 % au niveau dĂ©partemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[51] :

    • Saint Juery Distribution, supermarchĂ©s (13 327 k€)
    • Tele Menager More, commerce de dĂ©tail d'appareils Ă©lectromĂ©nagers en magasin spĂ©cialisĂ© (9 562 k€)
    • Forges Du Saut Du Tarn, forge, estampage, matriçage ; mĂ©tallurgie des poudres (8 233 k€)
    • ETS Pierre Carcano, rĂ©cupĂ©ration de dĂ©chets triĂ©s (2 099 k€)
    • ETS Robert Molina, travaux d'installation d'eau et de gaz en tous locaux (496 k€)

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations461595
    SAU[Note 16] (ha)26712910197

    La commune est dans la « plaine de l'Albigeois et du Castrais », une petite région agricole occupant le centre du département du Tarn[52]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 18] (46 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 97 ha[54] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    MusĂ©e du Saut du Tarn : situĂ© dans l'ancienne centrale hydroĂ©lectrique, aujourd'hui classĂ©e Monument Historique, le MusĂ©e du Saut du Tarn retrace 200 ans d'aventure industrielle et sociale (SociĂ©tĂ© des Hauts-Fourneaux, forges et aciĂ©ries du Saut-du-Tarn). SpĂ©cialisĂ©e dĂšs l'origine dans la production d'acier et la fabrication d'outils (limes, rĂąpes, faux...), l'usine du Saut du Tarn Ă©tait l'une des rares entreprises en France Ă  avoir expĂ©rimentĂ© la plupart des techniques sidĂ©rurgiques. Ses produits, connus pour la plupart sous la marque Talabot, ont acquis une renommĂ©e mondiale.

    Toutefois, l'usine n'a pas rĂ©sistĂ© Ă  la crise sidĂ©rurgique : elle a fermĂ© ses portes en 1983, provoquant le licenciement de plus de 1 000 personnes.

    En 1995, grùce à l'initiative et à la motivation d'anciens employés, le Musée du Saut du Tarn devient un lieu culturel incontournable de la vallée du Tarn.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Le principe d’un dĂ©broussaillement efficace consiste Ă  couper et Ă©liminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sĂšches 50 mĂštres autour des habitations et 2 mĂštres de part et d’autre des voies, Ă©laguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situĂ©s dans la zone Ă  dĂ©broussailler pour Ă©viter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, Ă©liminer les arbustes sous les grands arbres pour Ă©viter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se dĂ©barrasser des vĂ©gĂ©taux coupĂ©s par compostage, par Ă©vacuation en dĂ©charge autorisĂ©e ou par incinĂ©ration en respectant la rĂ©glementation sur le brĂ»lage et entretenir rĂ©guliĂšrement la zone dĂ©broussaillĂ©e, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans Ă  proximitĂ© de l’habitation
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    12. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    13. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    14. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    15. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    16. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    17. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    18. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[53].
    • Cartes
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    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le )
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    Site de l'Insee

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    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Juéry » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
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    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
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    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Juéry » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
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    Autres sources

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    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
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