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Saint-Genès-de-Blaye

Saint-Genès-de-Blaye est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Genès-de-Blaye
Saint-Genès-de-Blaye (Gironde)
MairieSAINTGENESDEBLAYE2023
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Blaye
Intercommunalité Communauté de communes de Blaye
Maire
Mandat
Michel Sarton
2020-2026
Code postal 33390
Code commune 33405
Démographie
Gentilé Saint-Genésois, Saint-Genésoises[1]
Population
municipale
499 hab. (2020 en augmentation de 2,46 % par rapport à 2014)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 09′ 46″ nord, 0° 38′ 25″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 34 m
Superficie 7,41 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Blaye
(banlieue)
Aire d'attraction Blaye
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Estuaire
Législatives Onzième circonscription
Localisation
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Saint-Genès-de-Blaye
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Saint-Genès-de-Blaye
Liens
Site web saintgenesdeblaye.fr/

    Géographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    Commune viticole située dans le Blayais en Pays de la Haute Gironde sur la rive droite de l'estuaire de la Gironde au nord-ouest de Blaye une partie de l'Île Nouvelle est sur le territoire de la commune.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Saint-Androny, Saint-Martin-Lacaussade, Saint-Seurin-de-Cursac, Fours, Saint-Julien-Beychevelle et Blaye.

    Les communes de Saint-Julien-Beychevelle et Cussac-Fort-Médoc sont sur la rive gauche de l'estuaire de la Gironde. L'île Bouchaud appartient à Saint-Genès-de-Blaye. Sa partie amont, appelée île Nouvelle, appartient à Blaye[2].

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 741 hectares ; son altitude varie de 0 à 34 mètres[3].

    Hydrographie

    La commune est arrosée par l'estuaire de la Gironde.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 918 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pauillac-Sud », sur la commune de Pauillac, mise en service en 1986[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de précipitations de 821,1 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 36 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[14], à 13,8 °C pour 1981-2010[15], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Genès-de-Blaye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Blaye, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[20] et 11 612 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[21] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Blaye, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[23] - [24].

    La commune, bordée par l'estuaire de la Gironde, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[25]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[26] - [27].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : eaux maritimes (34,8 %), cultures permanentes (23,1 %), terres arables (20,3 %), zones humides intérieures (14,4 %), zones urbanisées (5,5 %), prairies (1,5 %), forêts (0,4 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Accès avec les routes départementales D 255 et D 927 à partir de Blaye vers le nord.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Genès-de-Blaye est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2001, 2009 et 2010[31] - [29].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[32].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Genès-de-Blaye.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 73,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 244 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 244 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[29].

    Risques technologiques

    La commune étant située totalement dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire du Blayais, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de km se mettent à l'abri[Note 7]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 8] - [34] - [35].

    Histoire

    Saint-Genès-de-Blaye est établie sur les bords de la Gironde depuis la préhistoire. Dotée d’un habitat dispersé, la commune est constituée de hameaux répartis jusque sur les rives de l’estuaire.

    Des haches néolithiques, trouvées à Ségonzac, attestent une occupation du site dès la préhistoire. Le maintien de la présence humaine est confirmé par la découverte au prieuré de meules gauloises et des vestiges d’une villa gallo-romaine. D’ailleurs, en 1890, une seconde est mise au jour dans le domaine du château de Ségonzac et toujours au XIXe siècle, François Daleau découvre un sarcophage gallo-romain contenant une céramique. De plus, un chapiteau mérovingien, réemployé en margelle de puits au bourg, prouve que le site reste occupé après le déclin de l’empire romain.

    Au XIVe siècle, l’église est appelée Sanctus Genesius de Segonzaco. Le bourg se développe à l’époque autour d’un prieuré dont subsiste l’emplacement. Plusieurs châteaux semblent cohabiter sur le territoire, notamment le château de La Salle, signalé au XVIe siècle et le château de Ségonzac construit en 1888., Concernant le château de La Salle on sait que le , Marguerite Thérèse de Bellot épouse François Beaupoil de Saint-Aulaire dans la chapelle du château.

    L'analyse des matrices cadastrales de Saint-Genès-de-Blaye permet de connaître les propriétaires des palus dans les années 1830[36].

    À la Révolution, la paroisse Saint-Genès-de-Segonzac forme la commune de Saint-Genès (parfois dénommée Saint-Genès-de-Fours). En 1921, la commune de Saint-Genès devient officiellement Saint-Genès-de-Blaye[37]

    Connue par la renommée de ses châteaux viticoles et par les personnages illustres qui l’habitent, notamment Jean Dupuy, propriétaire du journal Le petit parisien et son fils Pierre.

    Au cours du XXe siècle, la viticulture reste la principale activité de la commune. Les domaines viticoles les plus connues sont les châteaux Ségonzac, Pérenne et le Prieuré.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2018 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de onze[38].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Échelon Intercommunal : la commune fait partie de la communauté de communes de Blaye et du canton de l'Estuaire.

    Échelon Départemental : la commune fait partie du Canton de l'Estuaire depuis 2015, dont Alexis BORNAZEAU, conseiller municipal a été candidat aux dernières élections de 2021[39] le pari du « sans étiquette » lui a permis d'obtenir 13 %, un score inédit sur le canton pour une liste sans étiquette[40].

    Échelon d'Arrondissement : la commune fait partie de l'Arrondissement de Blaye, dont la Sous-Préfecture se situe à Blaye.

    Échelon Circonscription : la commune fait partie de la Onzième Circonscription de Gironde.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1803 1807 Jean Maurin
    1808 1813 Raymond Mauresin
    1813 1820 François Arnaud
    1821 1824 D. Bignon
    1824 1828 Jean Normand
    1828 1851 Jacques Robert
    1851 1870 Jean Devaux
    1870 1888 Louis Broquaire
    1888 1894 Maurice Degors
    1896 1904 Pierre Eugène Marchais
    1904 1918 Pierre Dupuy GD Député
    1914 1918 Lucien Bourdillas Conseiller Municipal *
    1918 1919 Pierre Dupuy GD Député
    1919 1945 Henri Riou
    1945 1949 Adrien Broquaire
    1949 1965 Anselme Elias
    1965 1977 Fernand Paquet
    1977 2014 Claude Farau PS plâtrier, peintre et carreleur
    2014 En cours Michel Sarton LREM Retraité
    • Lucien Bourdillas a fait office de "Maire" durant la Première Guerre Mondiale. En effet, les registres de l'état-civil font état de la mention "Le Maire et les Adjoints étant mobilisés au front".

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].

    En 2020, la commune comptait 499 habitants[Note 9], en augmentation de 2,46 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    507483415456494508488520548
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    535552539559571572569602607
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    613606573525520503526426420
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    396394400387428396441454486
    2018 2020 - - - - - - -
    485499-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[45] 1975[45] 1982[45] 1990[45] 1999[45] 2006[46] 2009[47] 2013[48]
    Rang de la commune dans le département 373 297 315 320 348 340 337 343
    Nombre de communes du département 548 543 543 542 542 542 542 542

    Économie

    Viticulture : Côtes-de-blaye, Blaye-côtes-de-bordeaux

    Lieux et monuments

    Église de la Commune

    Place de l'ancienne mairie et de l'église,

    L'église a été construite aux XIIIe et XIVe siècles et achevée en 1874.

    Au XVIIIe siècle, une légende rapporte que l'église Saint Genès a été construite au cœur du petit village par les Anglais. Rien ne permet ni de l'attester, ni de l'infirmer. Sous l'Ancien Régime, la petite église est celle d'un prieuré qui dépend de l'abbaye Saint Romain de Blaye.

    La partie la plus ancienne est la nef qui remonte au XIIIe siècle, à laquelle se rajoute le clocher et le porche édifiés plus tard. Le chœur a été remanié au XIVe siècle.

    À la fin du XIXe siècle, le cimetière est déplacé, le collatéral et la sacristie sont ajoutés. L'intérieur est enrichi, sur le côté droit de la nef, de deux autels du XVIIIe siècle, dans le chœur un autel du XIXe siècle décoré de peintures représentant les symboles des quatre évangélistes, et de trois vitraux du XIXe siècle représentant Saint Genès, le Christ portant un agneau sur son épaule et Saint Louis, dont la fête tombe le même jour que celle du saint patron, le . Au fond de la nef figure un autel du XIXe siècle dédié à la Vierge ainsi que la statue de Marie en bois doré du XVIIIe siècle[51].

    ÃŽle-Nouvelle (anciennement ÃŽle Bouchaud)

    Maisons et Chais de l'ÃŽle Nouvelle

    L'Île Bouchaud est colonisée par l'homme dès la seconde moitié du XIXe siècle. En 1849, le premier vignoble est planté sur l'île. Dix ans plus tard, un cordon d'enrochement est construit afin d'augmenter la surface cultivable. C'est ainsi que peu à peu, l'île se rapproche de l'île Sans-Pains et les deux îles en viennent à n'en constituer qu'une seule, baptisée île Nouvelle.

    Les premiers habitants s'installent sur l'île à la fin du XIXe siècle, y construisant deux villages dont quelques bâtiments subsistent toujours aujourd'hui. Ces derniers comprenaient, outre les maisons d'habitation, des écoles et une église. Une micro-société se développe, vivant principalement de l'exploitation de la vigne et du maraîchage, notamment de la production d'artichauts. Dans les années 1920, l'île compte jusqu'à 120 habitants baptisés « Îlouts ».

    Cependant, la crise vinicole des années 1950 entraîne la ruine des habitants, contraints d'arracher leurs ceps de vigne. Alors que la population décline, les habitants restants se reconvertissent dans la maïsiculture.

    Dans les années 1970, les derniers « Îlouts » quittent une terre qui ne leur permet plus de survivre.

    L'île est rachetée en 1991 par le conservatoire du littoral. Depuis les années 1990, plusieurs tempêtes successives ont entamé les digues qui n'ont volontairement pas été reconstruites pour laisser rentrer l'eau au gré des marées. L'île est désormais ouverte au public via des navettes touristiques[52].

    Tourisme

    La commune de Saint-Genès-de-Blaye fait partie du réseau « Blaye Bourg Terres d’Estuaire[53] » regroupant depuis 2018 les offices de tourisme de Blaye, Bourg Cubzaguais[54], Saint-Ciers-sur-Gironde[55] et Saint-Savin[56].

    Personnalités liées à la commune

    Vie pratique

    Enseignement

    Saint-Genès-de-Blaye fait partie de l'académie de Bordeaux.

    L'éducation est assurée par un regroupement pédagogique intercommunal qui regroupe les communes de Fours, Saint-Seurin-de-Cursac et Saint-Genès-de-Blaye pour les classes de la maternelle au primaire.

    Activités sportives

    Chasse, pêche, basket-ball,

    Événements

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SMICVAL[61] - [62].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Le périmètre de km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
    8. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Services publics Saint-Genès-de-Blaye », sur habitants.fr (consulté le ).
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Pauillac-Sud - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Saint-Genès-de-Blaye et Pauillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Pauillac-Sud - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Saint-Genès-de-Blaye et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Blaye », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
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