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Saint-Martin-Lacaussade

Saint-Martin-Lacaussade est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Martin-Lacaussade
Saint-Martin-Lacaussade
L'Ă©glise.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Blaye
Intercommunalité Communauté de communes de Blaye
Maire
Mandat
Julien Bedis
2020-2026
Code postal 33390
Code commune 33441
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Martinois
Population
municipale
1 160 hab. (2020 en augmentation de 7,51 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 294 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 08â€Č 53″ nord, 0° 38â€Č 29″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 39 m
Superficie 3,94 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Blaye
(banlieue)
Aire d'attraction Blaye
(commune du pĂŽle principal)
Élections
DĂ©partementales Canton de l'Estuaire
LĂ©gislatives OnziĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Martin-Lacaussade

    Ses habitants se nomment les Saint-Martinois et Saint-Martinoises[1].

    GĂ©ographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    Commune viticole située dans le Blayais au nord-est de Blaye.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Saint-GenĂšs-de-Blaye, Blaye, Cars, Saint-Paul et Saint-Seurin-de-Cursac.

    Communes limitrophes de Saint-Martin-Lacaussade
    Saint-GenĂšs-de-Blaye Saint-Seurin-de-Cursac
    Blaye Saint-Martin-Lacaussade Saint-Paul
    Cars

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 876 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pauillac-Sud », sur la commune de Pauillac, mise en service en 1986[8] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 821,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă  34 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  14,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Martin-Lacaussade est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Blaye, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 9 communes[18] et 11 612 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Blaye, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (79,1 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (89,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (66,8 %), zones urbanisĂ©es (20,9 %), prairies (8,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Martin-Lacaussade est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le risque nuclĂ©aire[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1986, 1988, 1992, 1999, 2003 et 2009[26] - [24].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Martin-Lacaussade.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 518 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 518 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1990, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Risques technologiques

    La commune Ă©tant situĂ©e totalement dans le pĂ©rimĂštre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nuclĂ©aire du Blayais, elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. En cas d'accident nuclĂ©aire, une alerte est donnĂ©e par diffĂ©rents mĂ©dias (sirĂšne, sms, radio, vĂ©hicules). DĂšs l'alerte, les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de km se mettent Ă  l'abri[Note 7]. Les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 20 km peuvent ĂȘtre amenĂ©es, sur ordre du prĂ©fet, Ă  Ă©vacuer et ingĂ©rer des comprimĂ©s d’iode stable[Note 8] - [29] - [30].

    Toponymie

    Le nom de la commune (la chaussée, en occitan) évoque l'ancienne voie romaine le long de laquelle l'église a été construite[31].

    Depuis les repeuplements postérieurs à la guerre de Cent Ans, le Blayais comme la Saintonge, auparavant en langue d'oc, sont passés dans le domaine du parler d'oïl, et le dialecte est le saintongeais.

    Histoire

    La D937, ancienne route nationale 137

    L'ancienne voie romaine de Bordeaux Ă  Saintes par Blaye traverse la commune.

    PlacĂ©e sous la protection du grand Ă©vĂȘque de Tours, Saint-Martin-Lacaussade se dĂ©veloppe grĂące Ă  sa situation sur un axe de passage trĂšs ancien, tracĂ© dĂ©jĂ  Ă  l’époque gallo-romaine.La dĂ©couverte, vers 1929, d’un lot de monnaies romaines et d’un site du haut Empire encore occupĂ© au IVe siĂšcle, au lieu-dit Les Lauriers, prouve le peuplement ancien du lieu[32].

    D'aprĂšs la lĂ©gende, Martin de Tours s’arrĂȘte dans le village Ă  l'occasion d'un dĂ©placement pour Ă©vangĂ©liser la rĂ©gion et les habitants le prennent dĂšs lors comme saint patron. SituĂ© sur une voie romaine, le village est pendant des siĂšcles une halte possible sur cet axe de communication important. Jusqu'en 1789, la commanderie templiĂšre d'Arsins, appartenant par la suite aux hospitaliers de Saint-Jean-de-JĂ©rusalem, possĂšde des biens sur la commune. Une chapelle leur appartenant, aujourd'hui disparue, est signalĂ©e Ă  la Cassidouce.

    Au XIXe siÚcle, quatre édifices d'époques différentes prennent le nom de chùteau, désignant alors des exploitations viticoles. Il s'agit de Charron, Labarre, Miquelon et Dejean. Les deux premiers, les plus importants, sont d'anciennes maisons nobles[33].

    Aujourd'hui, avec le dĂ©veloppement de la zone commerçante, la viticulture n’est plus la principale activitĂ© de la commune. Saint-Martin-Lacaussade n’en est pas moins une importante productrice des Blaye-cĂŽtes-de-bordeaux et CĂŽtes-de-blaye.

    Politique et administration

    La mairie
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1966 1971 André Clerc
    1971 2008 Jacques Narbonne DVD
    2008 2020 Bernard Margueritte DVD
    2020 En cours Julien Bedis

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[35].

    En 2020, la commune comptait 1 160 habitants[Note 9], en augmentation de 7,51 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    744724774721790724719815829
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    800831867840810795786808892
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    855835752671643620588545596
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    5685885957917988569869991 103
    2018 2020 - - - - - - -
    1 1501 160-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Tourisme

    La commune de Saint-Martin-Lacaussade fait partie du rĂ©seau « Blaye Bourg Terres d’Estuaire » regroupant depuis 2018 les Offices de Tourisme de Blaye, Bourg Cubzaguais, Saint-Ciers-sur-Gironde et Saint-Savin.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école Yves-Coppens est située dos à la mairie. Cette école primaire dont la direction et les classes inférieures sont à Cars, comporte ici trois classes : CE2, CM1 et CM2. Elle contient une cantine.

    Culture

    La Maison du Terroir

    La bibliothÚque, également appelée Maison du Terroir, se situe entre la mairie et l'école ; une fois par semaine s'y déroule un atelier informatique pour tous niveaux de connaissance.

    La bibliothĂšque dĂ©partementale de prĂȘt (BDP) prĂȘte rĂ©guliĂšrement de nombreux ouvrages. Des livres sont achetĂ©s chaque annĂ©e en plus des dons des habitants.

    Sports

    Lieux et monuments

    • Façade et clocher de l'Ă©glise
      Façade et clocher de l'église
    • Le porche
      Le porche
    • Croix de mission 1952
    • Le monument aux morts
      Le monument aux morts

    HĂ©raldique

    Blason Ă  dessiner Blason
    D'argent à saint Martin au naturel, mouvant de la pointe et partageant son manteau, brochant sur une église du lieu d'or mouvant du flanc dextre, accompagné en chef senestre d'une grappe de raisin de gueules tigée et feuillée au naturel[38].
    Devise
    « res, non verba ».
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Le pĂ©rimĂštre de km correspond au pĂ©rimĂštre de mise Ă  l'abri rĂ©flexe. AlertĂ©s par les sirĂšnes et/ou par un appel automatique sur le tĂ©lĂ©phone du domicile, les habitants concernĂ©s doivent se mettre Ă  l’abri dĂšs l’alerte et suivre les consignes.
    8. Les comprimĂ©s d’iode stable protĂšgent efficacement la thyroĂŻde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nuclĂ©aire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Gentilé des habitants
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Pauillac-Sud - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Martin-Lacaussade et Pauillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Pauillac-Sud - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Martin-Lacaussade et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Blaye », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    24. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Martin-Lacaussade », sur Géorisques (consulté le )
    25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE du Blayais. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    30. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    31. « Église Saint-Martin », notice no PA00083780, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    32. Johel Coutura, Blaye, porte de Bordeaux, .
    33. Birolleau-Brissac, Histoire de Blaye, .
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « Blason
 », sur armorialdefrance.fr.
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