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Saint-Paul (Gironde)

Saint-Paul est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Paul
Saint-Paul (Gironde)
Nouvelle mairie qui se trouve à la place de l'ancien presbytère
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Blaye
Intercommunalité Communauté de communes de Blaye
Maire
Mandat
Jean-Pierre Duez
2020-2026
Code postal 33390
Code commune 33458
Démographie
Gentilé Saint-Paulais
Population
municipale
996 hab. (2020 en augmentation de 6,75 % par rapport à 2014)
Densité 92 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 08′ 56″ nord, 0° 36′ 14″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 46 m
Superficie 10,87 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Blaye
(banlieue)
Aire d'attraction Blaye
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Estuaire
Législatives Onzième circonscription
Localisation
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Saint-Paul
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Saint-Paul
Liens
Site web www.mairie-st-paul.com/

    Géographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune est située dans le Blayais, au nord-est du canton de Blaye sur la rive droite de l'estuaire de la Gironde. Elle appartient, selon le zonage de 2020, à l'unité urbaine de Blaye[1].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Cartelègue, Berson, Campugnan, Cars, Générac, Mazion, Saint-Girons-d'Aiguevives, Saint-Martin-Lacaussade et Saint-Seurin-de-Cursac.

    Voies de communication et transports

    Le bourg est traversé par la route départementale D137, ancienne route nationale 137 « Bordeaux -Saint-Malo ».

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 863 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Savin », sur la commune de Saint-Savin, mise en service en 1993[8] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 834,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 34 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Paul est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Blaye, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[18] et 11 612 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Blaye, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (63,1 %), zones agricoles hétérogènes (27,4 %), zones urbanisées (5,9 %), forêts (3,5 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Paul est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Paul.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 464 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 449 sont en en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999 et 2009, par la sécheresse en 2003, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Risques technologiques

    La commune étant située totalement dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire du Blayais, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de km se mettent à l'abri[Note 7]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 8] - [27] - [28].

    Toponymie

    Les habitants en sont les Saint-Paulais[29]

    Histoire

    L’implantation de l’homme sur le territoire de Saint-Paul est précoce. En effet, des outils primitifs préhistoriques sont trouvés sur le site. Par ailleurs, les tombeaux en pierre et les fragments d’armes, qui peuvent correspondre à un cimetière mérovingien, signalés par E. Féret avant 1893, définissent le peuplement du Haut Moyen Âge sur la commune. Il semble que des châteaux en bois de l’époque féodale soient édifiés sur des mottes artificielles. Les vestiges du château de Lamothe, dans le bourg, sont probablement élevés sur une de ces mottes anciennes.

    Au XIIe siècle, l’église est confirmée comme possession de l’abbaye Saint-Romain-de-Blaye par une bulle du pape Innocent II. Aussi, la paroisse est-elle évoquée un siècle plus tard sous le nom de Sanctus Paulus in Blaesio. Elle est de nouveau mentionnée en 1604, car devant les désordres de préséance, l’archevêque édicte un ordre concernant le pain bénit qui doit être porté à l’entrée de l’église, à l’issue de la grand-messe.

    Par ailleurs, Saint-Paul conserve de nombreuses habitations très intéressantes, comme Cazeau, bâtie vers 1787, sur les ruines d’une maison forte, mais encore Lagrange, La Magdelaine, la maison Janty, La Rivalerie, la maison Boissonnot et le presbytère. Toutes, en effet, témoignent du riche passé de Saint-Paul. D’ailleurs, Meneau, maison noble du XVIIe siècle, figure sur d’anciens titres sous le nom de Motte Saint-Paul[30].

    Politique et administration

    La mairie
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Jean Luc Buetas SE
    mars 2008 En cours
    (au 6 décembre 2014)
    Jean-Pierre Duez Retraité Fonction publique

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

    En 2020, la commune comptait 996 habitants[Note 9], en augmentation de 6,75 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9909109279801 0201 0741 0451 0021 037
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0571 0721 1081 0971 0401 013954945932
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9781 001957916857817810718731
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    807750704777831859884869939
    2014 2019 2020 - - - - - -
    933977996------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population se compose de 50,9 % de femmes et 49,1 % d’hommes. 386 habitants sont actifs occupés et 61 sont chômeurs ce qui fixe le taux de chômage à 13,6 % de la population active.

    Économie

    Agriculture

    L'activité économique est essentiellement tournée vers la viticulture, vignoble de Blaye. 32 déclarants agricoles produisent du vin classé en « Côtes de Blaye, Appellation Blaye et Premières Côtes de Blaye ».

    Commerces

    L'épicerie du centre-bourg dispose d'un point-poste et d'un dépôt de pain et presse[35].

    Tourisme

    La commune de Saint-Paul fait partie du réseau « Blaye Bourg Terres d’Estuaire » regroupant depuis 2018 les Offices de Tourisme de Blaye, Bourg Cubzaguais, Saint-Ciers-sur-Gironde et Saint-Savin.

    Quelques gîtes ruraux et chambres d'hôtes sont aussi sur la commune[35].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    La commune possède une école primaire accueillant une centaine d'élèves de la maternelle au CM2.

    Sports et loisirs

    La salle des fêtes a été restructurée en 2002. Il y a aussi un court de tennis, une aire multi-sports, une bibliothèque municipale[35].

    • L'école
      L'école
    • La salle des fêtes
      La salle des fêtes

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église paroissiale Saint-Eutrope, construite en 1901, est de style néo-roman. Elle est dédiée à saint Eutrope, évêque de Saintes martyrisé, et but de pèlerinages au Moyen Âge. Le presbytère date du XVIIe siècle[35].

    • L'église et son clocher-porche
      L'église et son clocher-porche
    • Intérieur de l'église
      Intérieur de l'église
    • La colonne à la Vierge
      La colonne à la Vierge
    • Le monument aux morts
      Le monument aux morts

    Personnalités liées à la commune

    • François Boissonnot (1752-?), député du tiers état aux Etats-Généraux de 1789 pour la sénéchaussée de Bordeaux, né à Saint-Paul

    Héraldique

    Blason de Saint-Paul (Gironde) Blason
    D'or à la croix en filet de gueules cantonnée au premier de trois tonneaux au naturel cerclés d'argent, couchés en bande et ordonnés en chevron couché, au deuxième d'une grue de sable tenant sa vigilance d'argent, au troisième de la tour couverte du lieu au naturel, au quatrième d'une grappe de raisin de pourpre tigée et vrillée de sable.
    Détails
    Officiel, présent sur le site internet de la commune[36].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Le périmètre de km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
    8. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Insee, Unité urbaine 2020 de Blaye
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Savin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Paul et Saint-Savin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Savin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Paul et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Blaye », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Paul », sur Géorisques (consulté le )
    25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE du Blayais. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    29. Nom des habitants de Saint-Paul sur habitants.fr, consulté le 11 septembre 2012.
    30. Maurice Jadouin, Saint-Paul-en-Blayais et ses environs depuis les origines., .
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Site de la commune
    36. Site de la mairie.
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