Accueil🇫🇷Chercher

Roquebrune-sur-Argens

Roquebrune-sur-Argens est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle est composée de trois quartiers : le village, la Bouverie et les Issambres.

Roquebrune-sur-Argens
Roquebrune-sur-Argens
Blason de Roquebrune-sur-Argens
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Communauté d'agglomération Var Estérel Méditerranée
Maire
Mandat
Jean Cayron
2020-2026
Code postal 83520 et 83380
Code commune 83107
DĂ©mographie
Gentilé Roquebrunois
Population
municipale
14 335 hab. (2020 en augmentation de 16,13 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 135 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 26′ nord, 6° 38′ est
Altitude Min. 0 m
Max. 482 m
Superficie 106,10 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Roquebrune-sur-Argens
(ville isolée)
Aire d'attraction Fréjus
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Roquebrune-sur-Argens
(bureau centralisateur)
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Roquebrune-sur-Argens
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Roquebrune-sur-Argens
GĂ©olocalisation sur la carte : Var
Voir sur la carte topographique du Var
Roquebrune-sur-Argens
GĂ©olocalisation sur la carte : Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
Roquebrune-sur-Argens
Liens
Site web roquebrune.com

    GĂ©ographie

    Localisation

    S'Ă©tendant sur 28 kilomètres de long et km de large, la commune s'Ă©tale sur plus de 10 600 hectares avec 14 626 habitants (2018), ce qui fait d'elle l'une des communes les plus vastes de l'Est varois.

    Le village est une ville millénaire. Sa partie haute, construite sur un rocher, domine la plaine de l'Argens.

    Les Issambres est la partie maritime de cette commune. Ce village est connu avant la Seconde Guerre mondiale pour son théâtre (aujourd'hui disparu) et ses plages ombragées par des pins.

    La Bouverie est le troisième pôle de la commune, au nord de celle-ci, entouré par des vignobles, le Collet Redon, ainsi que des collines du Blavet.

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie

    La formation du Rocher de Roquebrune date de l'ère primaire, du Silurien[1]. Auparavant, l'embouchure de l'Argens Ă©tait recouverte par la mer. Durant près de 100 millions d'annĂ©es, une couche Ă©paisse de sĂ©diments se dĂ©pose sur le fond, de ce qui est devenu par la suite la plaine de l'Argens. Puis des plissements de terrain entraĂ®nent la formation du massif des Maures, dans un premier temps, et du Rocher de Roquebrune par la suite.

    Relief

    Panoramique sur l'embouchure de l'Argens, de Fréjus au rocher de Roquebrune. Au premier plan, la Bouverie.

    La partie ouest de la commune est vallonnée, car en bordure est du massif des Maures. Elle abrite le Rocher de Roquebrune, qui domine la partie est de la commune, formée par la plaine de l'Argens Le nord de la commune abrite les contreforts du massif de l'Esterel, et les gorges du Blavet. Au sud, les étangs de Villepey et les plages de la Méditerranée bordent le littoral municipal.

    Sismicité

    Le risque sismique, comme pour toutes les communes du littoral varois, est considéré comme très faible (zone I0).

    Hydrographie et eaux souterraines

    L'Argens, au pied du Rocher.

    La commune est arrosée par l'Argens, ainsi que par l'un de ses affluents, le Blavet. L'Argens alimente, depuis la construction de l'autoroute A8, une ancienne gravière, devenue lac de loisir, le lac de l'Aréna[2].

    Au Sud, la mer Méditerranée.

    Cours d'eau sur la commune ou Ă  son aval[3] - [4] :

    • fleuve l'Argens ;
    • rivières : l'Endre, le Blavet ;
    • torrent le Raphael ;
    • lac du Fournel[5] ;
    • ruisseaux de la Fontaine des Arnoux, de la Source, de la Vernède, de la Fontaine des Anguilles, des Flacs ;
    • vallons ;
    • ravins.

    Le territoire de la commune a été l'objet de fréquentes inondations, particulièrement importantes en [6].

    Climat

    Le climat de Roquebrune-sur-Argens est de type méditerranéen, avec une légère influence maritime. La commune bénéficie d’étés chauds et secs et d'hivers doux et humides.

    Données climatiques sur la commune voisine de Puget-sur-Argens.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,3 4,5 7,2 11,2 14,7 17,2 16,9 13,6 11,5 6 3 9,2
    Température moyenne (°C) 7,1 8,1 10,6 13,1 17,3 21,3 24,2 24 20 16,2 10,8 7,7 15
    Température maximale moyenne (°C) 12,2 13,8 16,7 19 23,5 27,9 31,3 31 26,4 21 15,6 12,4 20,9
    Ensoleillement (h) 147,8 148,9 203,2 252,1 234,9 280,6 310,3 355,5 319,5 247 201,5 145,5 2 748,1
    Précipitations (mm) 52,9 23,2 25,2 47,3 37,8 22,4 12,9 27,7 65,5 77,6 66,4 41,3 500,2
    Source : Climatologie mensuelle Ă  la station de Puget-sur-Argens de 1948 Ă  2002[7].

    Voies de communication et transports

    Le territoire de Roquebrune-sur-Argens est traversé, d'est en ouest, par la route nationale 7, ainsi que par l'autoroute A8, et par la ligne ferroviaire Paris-Vintimille. Les sorties de l'autoroute A8 les plus proches sont les sorties no 37 (depuis Toulon et Aix-en-Provence) et no 38 (depuis Nice).

    L'aéroport international le plus proche est celui de Nice, celui de Cannes - Mandelieu, moins loin, permettant un accès aux passagers d'affaires. La gare TGV la plus proche est celle de Saint-Raphaël.

    La commune est reliée aux villes voisines par sept lignes de bus, certaines passant par le village, d'autres passant par les Issambres ou la Bouverie[8]. Elles permettent de rejoindre la sous-préfecture, Draguignan, ainsi que la gare TGV la plus proche, à Saint-Raphaël, ou les plages de Fréjus, ou Saint-Tropez.

    En période estivale, une navette régulière permet de rejoindre le port de Saint-Tropez, depuis le port des Issambres[9].

    Urbanisme

    Typologie

    Roquebrune-sur-Argens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [10] - [11] - [12]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Roquebrune-sur-Argens, une unitĂ© urbaine monocommunale[13] de 14 251 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[14] - [15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de FrĂ©jus, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[16] - [17].

    La commune, bordĂ©e par la mer MĂ©diterranĂ©e, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[18]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[19] - [20].

    Occupation des sols

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols détaillée de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 12,6 % 1339
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 0,6 % 67
    Équipements sportifs et de loisirs 1,8 % 196
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 4,6 % 484
    Vignobles 3,2 % 341
    Vergers et petits fruits 1,0 % 103
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 0,4 % 44
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 10,7 % 1130
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 1,8 % 193
    ForĂŞts de feuillus 0,3 % 29
    Forêts de conifères 3,7 % 394
    Forêts mélangées 23,5 % 2494
    Végétation sclérophylle 33,1 % 3512
    Forêt et végétation arbustive en mutation 0,9 % 92
    Roches nues 1,8 % 186
    Source : Corine Land Cover[21]

    Toponymie

    Le nom de Roquebrune, Ròcabruna (écriture classique), Roco Bruno (écriture mistralienne) en provençal, vient de la couleur rouge de la montagne qui surplombe le village. C'est en [22], à la suite de la demande du conseil municipal, que la commune prend officiellement le nom de Roquebrune-sur-Argens[23].

    Histoire

    Préhistoire

    Des découvertes de vie préhistorique ont été réalisées dans les grottes de la Bouverie et un dolmen a été daté du Néolithique[24].

    Antiquité

    Le territoire de Roquebrune-sur-Argens était traversé par une voie romaine[25]. Une borne milliaire a été identifiée, en 1863, sous le maître-autel de l'église paroissiale. Elle portait comme inscription IMP. CAESAR AVGVSTVS. IMP. X TRIBVNICIA PODESTATE XI IIIII. Elle a été entreposée dans une petite salle attenante à la chapelle des fonts baptismaux[26].

    C'est entre le VIIIe siècle et le XIe siècle que le premier village fut fondé au sommet du Pétignon, sous le nom latin de Rocca Bruna en référence à ce rocher brun qui surplombe l'actuelle agglomération[27]. En 973, Guillaume Ier, comte de Provence, chassa les Sarrasins qui avaient envahi la région depuis plus d'un siècle. Ce fut à cette époque que la borne romaine devint le piétement à l'autel et fut creusée pour servir de réceptacle à des reliques[26].

    Moyen Ă‚ge

    Le prieuré détenu par les moines de l’abbaye Saint-Victor de Marseille est probablement fondé au IXe siècle[28].

    Les trois premières implantations d'habitations de la commune se concentrèrent alors à Villepey, au Palayson et près de l'actuel village de Roquebrune. C'est ce dernier lieu qui prit peu à peu de l'ampleur sur les deux autres, avec 165 foyers en 1316, contre 17 au Palayson et 11 à Villepey. Ce changement est confirmé par la toponymie : les chartes faisaient toujours référence au castrum au XIe siècle pour situer la villa organisée autour du prieuré des moines de Saint-Victor. Au XIIe siècle, il n’est plus mentionné[28].

    Le concile de Vienne, convoqué par le pape Clément V, se réunit entre et pour discuter de l'avenir de l'ordre du Temple. Peu après ce concile, qui excommunia les Templiers, à l'entrée du village, dans un mur extérieur de la chapelle Saint-Pierre a été inhumé, la tête en bas, un membre de l'Ordre dissous[29].

    La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Puis, Aix se soumet en , ce qui précipite le ralliement des carlistes, dont le seigneur de Roquebrune, Antoine de Villeneuve. Alors qu’il soutenait Charles de Duras depuis plusieurs années, il rejoint avec ses deux frères seigneurs de Gourdon et Barrême le camp angevin et obtient un « chapitre de paix » de Marie de Châtillon le et prête hommage à Louis II d'Anjou, âgé de dix ans[30]. La communauté de Roquebrune est conquise par le parti angevin au début de la guerre (avant 1385)[31].

    Le village passa tout le Moyen Âge dans l'isolement à l'abri de ses murailles, évitant aussi bien les envahisseurs que les épidémies, telles la peste noire. La construction de l'église paroissiale fut achevée en 1535. C'est de cette époque que date la légende du « prieur transformé en saule ». Celui-ci, le père Antoine, desservant la chapelle de Notre-Dame-de-Pitié, située au sud du village, profitait régulièrement des générosités de la bouchère qui le fournissait en viandes. Une nuit, sur le chemin du retour, il fut happé par les esprits des morts réfugiés dans les arbres et transformé en saule. Sur ce chemin existe toujours un oratoire creusé dans un arbre pour rappeler cette métamorphose[26] - [27].

    Les Templiers et les Hospitaliers

    La chapelle Saint-Pierre, située à la sortie sud de la ville, ancienne chapelle des Templiers. Le chevet est entouré d'un cimetière primitif, dont les tombes ont été creusées dans le roc, et qui semblent montrer l'emplacement du premier village.

    La chapelle Saint-Michel, dans l'enceinte de la « vieille ville ». Elle est mentionnée en 1314 sur l'inventaire des possessions de l'ordre des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, puis à la confrérie de pénitents blancs en 1582[32].

    Temps Modernes

    Au XVe siècle, les constructions, faute de place, commencèrent Ă  s'Ă©tendre hors des fortifications mĂ©diĂ©vales passant de 127 familles en 1471 (environ 500 personnes) Ă  310 en 1540 (environ 1 300 personnes). Cela donna lieu aux premières transformations du village, avec la crĂ©ation des arcades de la place haute[27].

    Pendant les guerres de Religion à partir de 1562, le comte de Carcès, Jean de Pontevès, grand sénéchal et lieutenant du roi, était à la tête des catholiques. Ils étaient craints sous le nom de « carcistes » ou « marabouts », qui signifiait « cruels et sauvages ». Ils combattaient les Razats ou Ligueurs du maréchal de Retz qui s'appuyaient sur les seigneurs d'Oppède, d'Oraison et le baron d’Allemagne, Nicolas Mas-Castellane. Le , un capitaine ligueur fut tué en assiégeant les carcistes retranchés dans le village. Contraints de se rendre, ceux-ci furent ensuite tous massacrés[27].

    La paix revenue, les transformations recommencèrent Ă  partir de 1608. Le tracĂ© tortueux des rues mĂ©diĂ©vales fut modifiĂ© avec la crĂ©ation de la rue Neuve, de la rue Droite (actuelle Grande-Rue), la rue des Lauses (Dalles), la rue du Four et la rue des Pins. Le dĂ©veloppement de la commune fut tel Ă  cette Ă©poque, que l'on compta 2 000 personnes dans le village en 1676. L'Ă©conomie de la commune Ă©tait alors centrĂ©e sur la polyculture[27].

    De la Révolution française à la Seconde Guerre mondiale

    Son ouverture sur le monde se concrétisa en 1829, lors de la construction du Pont d'Argens reliant Roquebrune à la route d'Italie. Puis, en 1863, avec la prolongation de la voie de chemin de fer, et l'ouverture de la gare de Roquebrune[33], un nouvel essor est apporté à l'agriculture locale, qui se transforme, grâce à ces nouveaux débouchés, jusqu'à la création de la Coopérative vinicole, en 1913[27].

    Depuis 1945

    Située en bord de mer, la commune attire les vacanciers depuis 1960. Son développement démographique est lié à sa situation géographique très favorable, près de la mer, et aux grands axes de transport relativement proches (autoroute A8, SNCF). C'est à cette période que fut conçu le lotissement littoral des Issambres[27].

    La commune s'est engagée sur la voie de l'intercommunalité en 2000, avec Fréjus et Puget-sur-Argens.

    C'est à l'hôtel Formule 1 de la commune qu'est vu pour la dernière fois Xavier Dupont de Ligonnès, le [34].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Compte tenu du nombre d'habitants, le nombre de membres du conseil municipal est de 33.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 octobre 1947 Paul Ollivier
    octobre 1947 octobre 1961 Germain Ollier
    octobre 1961 mars 1968 Julien Cazelles[35] SFIO/FGDS Receveur des finances puis contrôleur d'État
    Député du Var (2e circ.) (1967 → 1968)
    Décédé en fonction[36]
    avril 1968 mars 1971 Thérèse Cazelles
    Épouse du précédent
    mars 1971 mai 1974 Robert Manuel Comédien
    mai 1974 mars 1977 Xavier Henriot
    (1909-1993)
    Ingénieur et exploitant agricole
    mars 1977 septembre 1993 André Cabasse PS Conseiller général du Muy (1979 → 1992)
    Décédé en fonction
    octobre 1993 mars 2001 Jean-Pierre Serra[37] UDF-PR
    puis DL
    Secrétaire général de banque, adjoint au maire (1983 → 1993)
    Conseiller général du Muy (1995 → 2015)
    Vice-président du conseil général (2004 → 2015)
    mars 2001 juillet 2016 Luc Jousse UMP puis DVD Kinésithérapeute
    Vice-président de la CAVEM (? → 2015)
    Mandat écourté suite à une condamnation judiciaire
    août 2016[38] juillet 2020 Jean-Paul Ollivier DVD Professeur de français retraité, ancien 1er adjoint (2001 → 2016)
    juillet 2020 En cours Jean Cayron DVC Fonctionnaire territorial
    3e vice-président Estérel Côte d'Azur Agglomération (2020 → )

    Intercommunalité

    Roquebrune-sur-Argens fait partie de la Communauté d'agglomération Var Estérel Méditerranée (CAVEM), depuis sa création en 2013, qui regroupe cinq communes : Puget-sur-Argens, Les Adrets-de-l'Estérel, Fréjus, Saint-Raphaël et Roquebrune-sur-Argens.

    Budget et fiscalité

    L'imposition des ménages et des entreprises à Roquebrune-sur-Argens en 2011
    TaxePart communalePart intercommunalePart départementalePart régionale
    Taxe d'habitation (TH)13,13 %7,16 %6,15 %0,00 %
    Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)20,20 %0,00 %11,76 %2,36 %
    Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)50,78 %2,32 %23,44 %8,85 %
    Cotisation foncière des entreprises (CFE)0,00 %25,31 %8,55 %3,84 %

    La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

    La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[39]).

    Les taux de taxes d'intercommunalité ne sont pas applicables avant le .

    En , la chambre régionale des comptes émet un rapport défavorable à la gestion de la commune[40].

    Budget et fiscalité 2020

    Mairie.

    En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[41] :

    • total des produits de fonctionnement : 30 381 000 €, soit 2 101 € par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 25 642 000 €, soit 1 773 € par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 10 048 000 €, soit 695 € par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 8 747 000 €, soit 605 € par habitant.
    • endettement : 43 779 000 €, soit 3 028 € par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 14,44 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 24,16 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 55,84 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2018 : mĂ©diane en 2018 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 23 180 €[42].

    Politique environnementale

    La municipalitĂ© a mis en place un service de l'environnement et du dĂ©veloppement durable[43]. Ce service travaille notamment en relation avec le conservatoire du littoral, pour la gestion d'un espace boisĂ© de 106 km2, le site des « Petites Maures » (dĂ©claration d'utilitĂ© publique du ).

    Les risques d'incendie étant particulièrement importants dans la région, le débroussaillement est obligatoire et sa réalisation est très surveillée[44].

    Jumelages

    Au , Roquebrune-sur-Argens est jumelée avec :

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Roquebrunois[46].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[47] - [Note 3].

    En 2020, la commune comptait 14 335 habitants[Note 4], en augmentation de 16,13 % par rapport Ă  2014 (Var : +4,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7471 7781 6721 7962 0192 0311 9981 8541 891
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8631 8251 9691 8662 0301 9961 9391 8671 798
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9821 9121 9221 8652 0262 1452 0601 9442 245
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 8733 6985 0416 30110 38911 34911 40512 30814 048
    2020 - - - - - - - -
    14 335--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,4 % la même année, alors qu'il est de 32,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 7 027 hommes pour 7 599 femmes, soit un taux de 51,96 % de femmes, lĂ©gèrement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,95 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[50]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    1,5
    11,1
    75-89 ans
    11,8
    19,5
    60-74 ans
    22,1
    21,3
    45-59 ans
    19,9
    17,0
    30-44 ans
    17,1
    13,2
    15-29 ans
    11,9
    17,3
    0-14 ans
    15,7
    Pyramide des âges du département du Var en 2018 en pourcentage[51]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    2,3
    9,6
    75-89 ans
    12,1
    19,4
    60-74 ans
    20,6
    20,3
    45-59 ans
    20,2
    17,2
    30-44 ans
    16,7
    15,7
    15-29 ans
    13,5
    16,8
    0-14 ans
    14,6

    Enseignement

    Les élèves suivent leurs études au sein de la commune, de la maternelle au collège[52]. Plusieurs établissements sont ouverts, au Village, aux Issambres tout comme à la Bouverie (place Titeuf), pour les sections de maternelle et école élémentaire. Le collège est situé au village. Les lycéens se rendent au Muy ou Saint-Raphaël (Var), suivant les sections choisies.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Visites commentĂ©es du village mĂ©diĂ©val, des trois chocolatiers, de la maison du Chocolat et du Cacao, de la maison du Patrimoine inaugurĂ© par Guillaume Bonnaud en 2004, de la Maison du terroir les mardis de juin Ă  septembre (sur rĂ©servation).
    • Des chasses aux trĂ©sors et ateliers pour enfants sont organisĂ©s par l'office de tourisme d'avril Ă  octobre (sur rĂ©servation).
    • Trail nocturne des Lucioles (course pĂ©destre en nocturne).
    • RandonnĂ©e des Lucioles.
    • Rando VTT du Lachens Ă  la mer : le jeudi de l'ascension.
    • Les Nuits de Saint-Roch, festival des interprètes de la chanson française : tout au long de l'Ă©tĂ©.
    • Show nautique nocturne des Issambres ( plage San PeĂŻre) et sur le lac Perrin ().
    • Les MĂ©diĂ©vales Roquebrunoises[53].
    • FĂŞte du miel, le premier week-end du mois d'octobre.
    • Roc d'Azur (course de VTT), en octobre.
    • FĂŞte des peintres.

    Santé

    Aucun hôpital n'est implanté sur le territoire de la commune, les plus proches établissements sont le Centre hospitalier intercommunal Fréjus-Saint-Raphaël[54] à 34 km, et le Pôle de santé du golfe de Saint-Tropez. Par contre, la commune compte de nombreux médecins, pharmacies, et infirmiers, répartis sur les trois pôles d'habitations[55].

    Sports

    Les sports nautiques ont une certaine importance le territoire de Roquebrune-sur-Argens[56]. Les Issambres, avec un port et huit kilomètres de cĂ´tes sur la mer MĂ©diterranĂ©e, forment le quartier le plus au sud de la commune. On peut y pratiquer la voile, la plongĂ©e sous-marine, le ski nautique, le jet ski, etc. On y trouve aussi une Ă©cole de bateaux. Mais les sports nautiques ne sont pas uniquement des sports maritimes (base canoĂ«-kayak du Rocher, lac de Perrin).

    On trouve aussi sur le territoire un golf, club équestre, tennis, des sentiers de randonnées pédestres, des circuits de VTT, etc.[57].

    Cultes

    Les Roquebrunois disposent d'un lieu de culte catholique : l'église Saint-Pierre-Saint-Paul qui dépend de la paroisse Saint-Pierre-Saint-Paul, paroisse du doyenné de Fréjus[58] au sein du diocèse de Fréjus-Toulon.

    Économie

    Industrie

    L'industrie de la commune est essentiellement regroupée sur deux zones d'activités : la ZAC du Blavet, proche de La Bouverie, et la ZAC Garillans, le long de la RN 7.

    En majorité, l'activité est représentée par le secteur du bâtiment-travaux publics. Les secteurs de l'agro-alimentaire, des produits manufacturés et de la cosmétique (centre européen de production de la société Thalgo) sont également présents.

    Tourisme

    La situation géographique de la commune, entre mer et montagne (massif des Maures et massif de l'Esterel), permet une activité touristique importante. Le pôle des Issambres bénéficie d'une activité nautique très variée s'adressant à tous les publics, entre le port de plaisance, les plages et le centre national de ski nautique[59].

    La commune dispose de deux stations balnéaires : La station balnéaire de Val d'Esquières[60] et la station balnéaire des Issambres[61].

    Le tourisme vert profite des zones boisées de la montagne de Roquebrune, point culminant de la commune, permettant au massif des Maures de dominer l'embouchure de l'Argens[62].

    Agriculture

    L'agriculture est un secteur d'activité encore dynamique sur le territoire de la commune, dans plusieurs domaines[63] : maraîchage, vergers, horticulture, viticulture, apiculture, oléiculture et élevage (ovin, caprin).

    La commune produit deux AOC, l'huile d'olive de Provence, le côtes-de-provence Fréjus et le côtes-de-provence[64].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Roquebrune-sur-Argens possède quatre monuments historiques[65].

    Patrimoine religieux

    • Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
      Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
    • Chapelle Saint Roch.
      Chapelle Saint Roch.
    • Chapelle Saint-Michel.
      Chapelle Saint-Michel.
    • Chapelle Saint-Pierre.
      Chapelle Saint-Pierre.
    L'orgue a été construit en 1966 par Frans Breil (facteur allemand)[67],
    Le buffet a été transformé en 2006 par Yves Cabourdin[68] - [69] - [70]. Le décor du buffet est de Florence Fournel (Atelier "Les Fées sont formidables"[71]).
    • La chapelle Saint-Pierre, inscrite sur l'inventaire supplĂ©mentaire des monuments historiques par arrĂŞtĂ© du [72] - [73]. La cloche est de 1786[74].
    • La chapelle Saint-Michel, dans l'enceinte de la « vieille ville ».
    • La chapelle Sainte-Anne[75].
    • La chapelle Saint-Roch[76], de style roman. Elle fut dĂ©diĂ©e Ă  saint Roch au XVe siècle pour protĂ©ger le village de l'Ă©pidĂ©mie qui sĂ©vissait Ă  FrĂ©jus en 1480[77].
    • La chapelle Notre Dame de la Roquette, autrefois appelĂ©e Notre Dame des Spasmes[78].
    • Le sanctuaire Notre-Dame de PitiĂ©, avec sa chapelle du XVIIe siècle[79] et ses nombreux ex-votos[80], qui fait partie de la CongrĂ©gation Province d’Avignon Aquitaine de l’Ordre des Carmes dĂ©chaux[81].
    • Le monument aux morts[82].
    • Le « rocher des trois croix »[83].

    Autres lieux et Ă©difices

    • Dolmen de l'Agriotier.
      Dolmen de l'Agriotier.
    • Dolmen de la Gaillarde-sur-Mer.
      Dolmen de la Gaillarde-sur-Mer.
    • Grottes oĂą vivait Frère Antoine, un ancien novice cistercien ayant Ă©chouĂ©, en conflit avec sa hiĂ©rarchie et ayant trouvĂ© refuge au rocher de Roquebrune.
      Grottes où vivait Frère Antoine, un ancien novice cistercien ayant échoué, en conflit avec sa hiérarchie et ayant trouvé refuge au rocher de Roquebrune.
    • Vestiges anciens remparts.
      Vestiges anciens remparts.
    Maison du patrimoine.
    • La Maison du Patrimoine, amĂ©nagĂ© autour d'une vĂ©ritable glacière du XVIIe siècle, consacrĂ© Ă  l'histoire de la commune, de la prĂ©histoire (avec quelques pièces des fouilles de la Bouverie) Ă  nos jours. Beaux vestiges du nĂ©olithique et de remarquables tĂ©moignages de la prĂ©sence romaine avec la reconstitution d'une tombe sous tegulae et son jardin avec des plantes mĂ©dicinales[89].
    • La maison du Chocolat et du Cacao, dans l'ancienne chapelle du XVIIIe siècle des hospitaliers[90].
    • La maison du Terroir, boutique des produits du terroir roquebrunois, tĂ©moignage de la tradition agricole du village[91].
    • Les gorges du Blavet, Ă  la Bouverie.
    • Château de Bagatelle, construit en 1771 par le duc de Blacas[92]. Il appartient actuellement Ă  la Mutuelle des Agents des ImpĂ´ts qui y exploite un village vacances de 300 lits "le Vacanciel Bagatelle"[93].
    • Le Portalet XIe siècle, plus ancienne porte[94] du castrum de Roca Bruna crĂ©Ă© au Xe siècle[95].
    • La Place Saint-Esprit qui doit son nom Ă  la confrĂ©rie du mĂŞme nom qui a contribuĂ© Ă  la crĂ©ation de la commune au XIVe siècle.
    • La tour de l'horloge surmontĂ©e d'un campanile en fer forgĂ©, Ă©difiĂ©e sur les remparts au XVIe siècle avec une cloche de 1546, classĂ©e au titre des objets mobiliers, qui permettait Ă  l'origine de prĂ©venir les habitants en cas de danger[96].
    • La tour Anfred, une des deux tours qui protĂ©geaient les remparts de la ville mĂ©diĂ©vale.
    • Les Portiques, maisons Ă  arcades construites au XVIIe siècle Ă  l'extĂ©rieur de l'enceinte mĂ©diĂ©vale parallèlement aux remparts.
    • Fontaines et lavoirs :
      • Fontaine Vieille de 1780,
      • Fontaine neuve & lavoir de 1902.

    Personnalités liées à la commune

    Cadran solaire Ă  Roquebrune-sur-Argens, avec le blason de la ville.
    • RĂ©nier de Bourbon-Siciles (1883-1973) - Descendant de la monarchie sicilienne, mort Ă  Roquebrune-sur-Argens.
    • Lamine Senghor (1889-1927) - Militant anticolonialiste et communiste, vĂ©cut dans la commune dans les annĂ©es 1920.
    • Robert Manuel (1916-1995) - ComĂ©dien, a habitĂ© Ă  Roquebrune, dont il a Ă©tĂ© maire durant deux ans. La salle des fĂŞtes du village porte son nom en son hommage.
    • Jean Graton (1923-2021) - CrĂ©ateur de BD, habitait Ă  Roquebrune-sur-Argens.
    • Ferdinand de Bourbon-Siciles (1926 - 2008) - Descendant de la monarchie sicilienne, mort Ă  Roquebrune-sur-Argens.
    • Jack Regard (1943-1974) - Bassiste des Chats Sauvages, s'est installĂ© dans la commune oĂą il avait ouvert un bar-restaurant en .
    • Sim (1926-2009) - Acteur, comique, chanteur, a vĂ©cu Ă  Roquebrune-sur-Argens.
    • Tibet (1931-2010) - Dessinateur et scĂ©nariste de bande dessinĂ©e, mort Ă  Roquebrune-sur-Argens.
    • C'est Ă  Roquebrune-sur-Argens, en 2011, que la dernière trace de Ligonnès est caractĂ©risĂ©e, dĂ©but d'une cavale depuis, sans jamais ĂŞtre retrouvĂ©, posant aux observateurs l'interrogation d'un possible suicide[34].

    HĂ©raldique

    Les armoiries de Roquebrune-sur-Argens se blasonnent ainsi[97] :

    D'or, à deux rochers de sable à côté l'un de l'autre.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Le Rocher de Roquebrune, Ă©ditions Campanile
    2. 17 avril 2004, « Arena Gliss en danger, pourquoi ? », sur le site skinautiqueinfo.online.fr, anonyme (consulté le ).
    3. L'eau dans la commune
    4. Hydrographie, sur www.annuaire-mairie.fr
    5. Lac du Fournel (1 hectare)
    6. Inondations dans le Sud-Est : Roquebrune-sur-Argens transformée en île, sur Le Parisien
    7. « Climatologie mensuelle à Puget-sur-Argens », sur meteo.msn.com.
    8. « Lignes de bus », sur varlib.fr.
    9. « navettes maritimes », sur bateauxverts.com.
    10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Unité urbaine 2020 de Roquebrune-sur-Argens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    14. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fréjus », sur insee.fr (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    19. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    22. “Par décret en date du 7 février 1921, rendu sur la proposition du ministre de l’intérieur, il est attribué à la commune de Roquebrune, canton de Fréjus, arrondissement de Draguignan, département du Var, la dénomination de Roquebrune-sur-Argens”. Journal officiel de la République française n°49, 19 février 1921, p. 2110
    23. Roquebrune-sur-Agens, Les Issambres, le temps retrouvé, édition Equinoxe
    24. « La maison du patrimoine », sur le site de l'office de tourisme de Roquebrune-sur-Argens (consulté le ).
    25. Sur cette via Iulia Augusta, vingt-neuf bornes milliaires ont été retrouvées
    26. Jean-Paul Clébert, op. cit., p. 403.
    27. Pierre Bedot, op. cit., p. 227.
    28. Yann Codou, « Le paysage religieux et l'habitat rural en Provence de l'antiquité tardive au XIIe siècle », Archéologie du monde médiéval, tome 21, 2003, p. 59.
    29. Jean-Paul Clébert, op. cit., p. 402.
    30. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 408 (note 33).
    31. G. Xhayet, op. cit., p. 416.
    32. Archive
    33. Adolphe Laurent Joanne, Itinéraire général de la France: de Paris à la Méditerranée. Auvergne, Dauphiné, Provence, Alpes-Maritimes, Corse, etc, L. Hachette, 1865, p. 377 intégral (consulté le 2 octobre 2011).
    34. « Disparus de Nantes : les derniers jours de la famille Dupont de Ligonnès », sur midilibre.fr (consulté le ).
    35. Jacques Girault et Gilles Morin, « CAZELLES Julien, François : Né le 23 novembre 1905 à Laguépie (Tarn-et-Garonne), mort le 12 mars 1968 à Roquebrune (Var) ; fonctionnaire des Finances ; maire de la Roquebrune-sur-Argens ; député FGDS du Var (1967-1968). », Le Maitron en ligne, mis à jour le (consulté le ).
    36. « Mort de Julien Cazelles député socialiste du Var », Le Monde,‎ (lire en ligne).
    37. Extrait de la fiche de M. Jean-Pierre SERRA, sur lesbiographies.com
    38. T. Huet, « Le "lieutenant" J.-P. Ollivier élu maire de Roquebrune pour quatre ans », Nice-Matin,‎ (lire en ligne).
    39. Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
    40. « Avant ses propos sur les Roms, les ennuis judiciaires de Luc Jousse », sur L'EXPRESS.fr (consulté le ).
    41. « Les comptes de la commune de Roquebrune sur Argens de 2000 à 2020 » [archive du 01 novembre 2021=], impôt.gouv.fr.
    42. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    43. « Gestion des espaces naturels », sur le site de la mairie de Roquebrune-sur-Argens (consulté le ).
    44. « Débroussaillement », sur le site de la mairie de Roquebrune-sur-Argens (consulté le ).
    45. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des affaires étrangères (consulté le ).
    46. « Nom des habitants des communes françaises, Roquebrune-sur-Argens », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
    47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    50. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Roquebrune-sur-Argens (83107) », (consulté le ).
    51. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Var (83) », (consulté le ).
    52. Établissements d'enseignements
    53. « Page d'accueil », sur le site de la mairie les médiévales roquebrunoises (consulté le )
    54. Centre Hospitalier Intercommunal de Fréjus / Saint-Raphael (Frejus)
    55. MĂ©decins Ă  Roquebrune-sur Argens
    56. « Mer et nautisme », sur le site de l'office de tourisme (consulté le )
    57. « Nature et aventure », sur le site de l'office de tourisme (consulté le )
    58. « Histoire de l’église Saint-Pierre - Saint-Paul », sur le site du diocèse de Fréjus-Toulon (consulté le ).
    59. Le Centre nautique des Issambres
    60. « station balnéaire de Val d'Esquières », notice no IA83000449, base Mérimée, ministère français de la Culture recensement du patrimoine balnéaire
    61. « station balnéaire des Issambres », notice no IA83000448, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    62. « Office de Tourisme de Roquebrune-sur-Argens et des Issambres », sur le site de l'Office de Tourisme (consulté le )
    63. agriculture Ă  Roquebrune sur Argens
    64. « coopérative vinicole La Roquebrunoise », notice no IA83001366, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
    65. « Liste des monuments historiques de la commune de Roquebrune-sur-Argens. », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    66. Notice no PA00081701, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    67. Franz Breil
    68. Orgue Yves Cabourdin
    69. Inventaire de l'orgue
    70. site de Yves Cabourdin, facteur d’orgues
    71. Atelier Les FĂ©es sont formidables
    72. Notice no PA00081699, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    73. Chapelle Saint-Pierre-in-Vallis
    74. Notice no PM83000458, base Palissy, ministère français de la Culture lieu d'exposition ex-chapelle Saint-Miche
    75. chapelle Sainte-Anne
    76. La chapelle Saint-Roch
    77. Chapelle Saint-Roch
    78. La chapelle Notre Dame de la Roquette
    79. Le sanctuaire Notre-Dame de Pitié, historique de l'origine à nos jours
    80. Le patrimoine mobilier de la chapelle Notre-Dame de Pitié
    81. Monastère Notre-Dame de Pitié
    82. Monument aux morts de Roquebrune-sur-Argens
    83. Le Rocher de Roquebrune & Trois Croix
    84. Notice no PA00081700, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    85. Notice no PA00081702, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    86. Le site archéologique Sainte Candie
    87. La croix des Maures
    88. Le sentier découverte des 25 ponts
    89. Maison du patrimoine
    90. Maison du Chocolat et Cacao
    91. La maison du terroir
    92. Le Château de Bagatelle
    93. Club Vacanciel Roquebrune-sur-Argens
    94. Le Portalet
    95. Le Castrum
    96. Notice no PM83000457, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la tour de l'horloge
    97. Pays Mer Estérel : Roquebrune-sur-Argens, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    98. « bourg castral de Burnis (?) », notice no IA83001456, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    99. « bourg castral de Villepey », notice no IA83001265, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    100. « bourg castral de Palaison », notice no IA83001196, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.