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Portet-de-Luchon

Portet-de-Luchon est une commune française située dans le sud-ouest du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Portet-de-Luchon
Portet-de-Luchon
Le village de Portet-de-Luchon au premier plan.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Haut Garonnaises
Maire
Mandat
Anne Soye
2020-2026
Code postal 31110
Code commune 31432
DĂ©mographie
Gentilé Portetois(e)
Population
municipale
39 hab. (2020 en augmentation de 2,63 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 9,5 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 48â€Č 48″ nord, 0° 29â€Č 10″ est
Altitude Min. 1 229 m
Max. 1 928 m
Superficie 4,11 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de BagnĂšres-de-Luchon
LĂ©gislatives HuitiĂšme circonscription
Localisation
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Portet-de-Luchon
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Portet-de-Luchon
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Portet-de-Luchon
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Portet-de-Luchon

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant Ă  l’ancien comtĂ© de Comminges, circonscription de la province de Gascogne situĂ©e sur les dĂ©partements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-PyrĂ©nĂ©es et de l'AriĂšge. ExposĂ©e Ă  un climat de montagne, elle est drainĂ©e par le Portet et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de six zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique. Ses habitants sont appelĂ©s les Portetois.

    Portet-de-Luchon est une commune rurale qui compte 39 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 181 habitants en 1846..

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Portet-de-Luchon se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  117 km Ă  vol d'oiseau de Toulouse[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  38 km de Saint-Gaudens[2], sous-prĂ©fecture, et Ă  km de BagnĂšres-de-Luchon[3], bureau centralisateur du canton de BagnĂšres-de-Luchon dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de BagnĂšres-de-Luchon[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Jurvielle (0,5 km), Poubeau (0,9 km), Cathervielle (1,6 km), Gouaux-de-Larboust (2,1 km), OĂŽ (2,4 km), Garin (2,5 km), BilliĂšre (3,3 km), Cazeaux-de-Larboust (3,7 km).

    Sur le plan historique et culturel, Portet-de-Luchon fait partie du pays de Comminges, correspondant Ă  l’ancien comtĂ© de Comminges, circonscription de la province de Gascogne situĂ©e sur les dĂ©partements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-PyrĂ©nĂ©es et de l'AriĂšge[5].

    Portet-de-Luchon est limitrophe de cinq autres communes, dont deux dans le département des Hautes-Pyrénées. Les communes limitrophes sont Jurvielle, Loudervielle, Mont, Garin et Poubeau.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Portet-de-Luchon.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Portet, le ruisseau des Artigues, le ruisseau du Bousquet et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[9]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, la tempĂ©rature dĂ©croĂźt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nĂ©bulositĂ© minimale en hiver et maximale en Ă©tĂ©. Les vents et les prĂ©cipitations varient notablement selon le lieu[10].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 7,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 8,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 111 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[12] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[13] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Paul-d'Oueil », sur la commune de Saint-Paul-d'Oueil, mise en service en 1999[14] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[15] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 9,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 989,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[16]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le dĂ©partement de l'AriĂšge, mise en service en 1949 et Ă  56 km[17], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[18], Ă  12,3 °C pour 1981-2010[19], puis Ă  12,7 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[21] :

    • les « affluents et riviĂšre de l'One » (61 ha), couvrant 12 communes du dĂ©partement[22] ;
    • les « estives de Peyresourde Ă  PouyauĂ© » (1 049 ha), couvrant 7 communes dont trois dans la Haute-Garonne et quatre dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[23] ;
    • les « massifs du Luchonnais et du Larboust » (16 267 ha), couvrant 13 communes dont dix dans la Haute-Garonne et trois dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[24] ;
    • la « vallĂ©e d'Oueil et soulane du Larboust » (6 150 ha), couvrant 27 communes dont 21 dans la Haute-Garonne et six dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[25] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [21] :

    Urbanisme

    Typologie

    Portet-de-Luchon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [28] - [I 2] - [29]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3] - [I 4].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (69,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (73,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (69,8 %), prairies (30,2 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Portet-de-Luchon est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, avalanche et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[31]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[32].

    Risques naturels

    Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 25 septembre 2006. Portet-de-Luchon est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire du massif des PyrĂ©nĂ©es. Il est ainsi dĂ©fendu aux propriĂ©taires de la commune et Ă  leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intĂ©rieur et Ă  une distance de 200 mĂštres des bois, forĂȘts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est Ă©galement interdit, ainsi que les feux de type mĂ©chouis et barbecues, Ă  l’exception de ceux prĂ©vus dans des installations fixes (non situĂ©es sous couvert d'arbres) constituant une dĂ©pendance d'habitation[33] - [34]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Portet-de-Luchon.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 85,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (88,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 38 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 38 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 98 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[36].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[31].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Portet-de-Luchon est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[37].

    Histoire

    Monographie de la commune de Portet-de-Luchon, datée du :

    « D'aprÚs certains écrits, la vallée du Larboust faisait partie de la Gaule et était habitée par les Celtes. La contrée correspondante du versant méridional était habitée par les IbÚres. Les IbÚres peuple nomade, repoussÚrent les Celtes vers le centre de la Gaule et occupÚrent les vallées de Luchon. Plus tard ces vallées firent partie de l'Aquitaine ; le peuple qui occupait la vallée du Larboust prit le nom de Garumni, mot dérivé de Garonne. Quelque temps aprÚs les Liguriens vinrent aussi peupler ces hautes vallées. Ces divers peuples se faisaient toujours la guerre et vivaient sans ordre et sans discipline. Cependant certaines tribus comprenant l'utilité des rÚglements étaient parvenues à se réunir et à confier l'autorité à des magistrats. Ces représentants des tribus prenaient le nom de Décuriones, ils formaient leur curio, pouvoir administratif qui offre beaucoup de ressemblance avec le conseil actuel de nos communes.

    Sous la domination romaine, une grande prospérité se fit sentir dans ces vallées. Pompée ayant soumis l'Espagne, passa dans les vallées de Luchon et les réunit en une seule tribu connue sous le nom de ConvÚnes. Les ConvÚnes établirent leur centre de réunion à Lugdunum aujourd'hui Saint-Bertrand-de-Comminges ; ils se confondirent avec les Garumnis et se gouvernÚrent par leurs propres lois quoique soumis au grand peuple.

    Sous la féodalité ces vallées appartenaient au comte de Comminges et étaient par conséquent gouvernées par lui. Les habitants réunis en divers groupes étaient entiÚrement assujettis à leur seigneur.

    Mais sous le rÚgne de Louis VI les paysans du Larboust, comme les paysans du nord, réclamÚrent au comte de Comminges des droits et des libertés. Ils voulaient avoir le droit de se réunir et de discuter les affaires intéressant leur commune ; ils voulaient une mairie, une église avec son beffroi. Sur le refus du seigneur, les paysans se révoltÚrent et le comte fut enfin obligé de leur faire quelques concessions. C'est là le premier progrÚs du peuple dans la voie de la liberté. DÚs lors les rois accordÚrent peu à peu de nombreuses concessions et les communes acquirent plus de droits, de liberté et d'influence.

    Mais au XVIIIe siĂšcle l'esprit humain dĂ©ploya une remarquable activitĂ©. Le tiers-Ă©tat rĂ©clamait vivement la rĂ©forme d'une organisation politique et sociale dont souffrait le pays tout entier. La nation dĂ©clara ouvertement ses vƓux et ses volontĂ©s qui se rĂ©sument ainsi : la libertĂ© et l'Ă©galitĂ© de tous les citoyens, la souverainetĂ© du peuple, l'admissibilitĂ© de tous les citoyens aux emplois publics, la libertĂ© de la presse, du commerce et de l'industrie. C'est sur de tels principes que la RĂ©volution de 1789 Ă©tablit les bases de notre sociĂ©tĂ© contemporaine. C'est depuis cette Ă©poque de rĂ©novation que les communes possĂšdent les droits et les libertĂ©s dont elles jouissent aujourd'hui[38]. »

    L'ancien presbytĂšre (1781)

    Le presbytĂšre, en haut Ă  droite de l'image (2008).

    Le presbytÚre est construit sur une éminence de 1781 à 1786, pour le curé du village. En 1942, la bùtisse est transformée en auberge de jeunesse, puis abrite des réfugiés belges[39].

    De 1965 à 1980, le presbytÚre est loué aux Francs et franches camarades du Tarn, qui le transforment en colonie de vacances pour une cinquantaine d'enfants et adolescents de 7 à 14 ans. Il est ensuite loué par le comité d'entreprise de la Société générale[39], puis laissé vacant.

    En 2014, le presbytÚre a été reconverti en quatre logements sociaux[40].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 (réélu en mars 2014) mai 2016 Léon Peyré PS Retraité
    mai 2016 mai 2020 Anne Delpech-Soye[41]
    2020 En cours Bernadette Chevrel

    Commune faisant partie de la huitiĂšme circonscription de la Haute-Garonne.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[43].

    En 2020, la commune comptait 39 habitants[Note 8], en augmentation de 2,63 % par rapport Ă  2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    168150151112149149164181164
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    142149137139135128121133128
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    109121100726371668063
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    644045354032282737
    2018 2020 - - - - - - -
    3839-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee Ă  partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Groupe d'Ă©lĂšves sur le perron de l'Ă©cole en 1949.

    L'école du village a fermé ses portes vers les années 1960 faute d'effectif suffisant. Les enfants sont d'abord allés à l'école du village voisin, ensuite il n'y en eut plus aucun. Lorsque quelques enfants ont à nouveau fait leur apparition dans le village, on a pensé pouvoir rouvrir l'école mais le phénomÚne n'était pas durable. Un regroupement pédagogique intercommunal a vu le jour dans la vallée du Larboust. Grùce à lui, deux communes ont pu préserver leur école. Il compte aujourd'hui trois classes, dont une maternelle, et une cinquantaine d'élÚves. Son avenir est incertain car l'effectif est voisin du seuil minimum de fermeture d'une classe.

    Économie

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 5]0 %9,5 %5,6 %
    DĂ©partement[I 6]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entiĂšre[I 7]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  18 personnes, parmi lesquelles on compte 83,3 % d'actifs (77,8 % ayant un emploi et 5,6 % de chĂŽmeurs) et 16,7 % d'inactifs[Note 9] - [I 5]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 8]. Elle compte emplois en 2018, contre 5 en 2013 et 8 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 14, soit un indicateur de concentration d'emploi de 20,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,9 %[I 9].

    Sur ces 14 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 2 travaillent dans la commune, soit 14 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 78,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 14,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

    Secteurs d'activités

    Un seul Ă©tablissement[Note 10] relevant d’une activitĂ© hors champ de l’agriculture est implantĂ© Ă  Portet-de-Luchon au [I 12].

    Entreprises et commerces

    Troupeau de vaches lors de l'estive.

    L'installation récente d'un jeune agriculteur a permis de sauvegarder l'activité principale du village qui est le pastoralisme. Le tourisme a fait son apparition vers les années 1980 avec la transformation des granges et bùtiments d'élevage en gßtes ruraux. Aujourd'hui, l'économie du village est orientée vers ces deux secteurs. Les résidents à l'année sont en majorité des retraités, un moniteur de parapente est installé sur la commune. De nombreuses résidences secondaires font leur apparition et le village prend de l'ampleur. Afin de lui redonner vie, la municipalité en place souhaite développer les locations à l'année, il y en a trois en 2011.

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations6423
    SAU[Note 11] (ha)845628170

    La commune est dans les « PyrĂ©nĂ©es centrales », une petite rĂ©gion agricole occupant le sud du dĂ©partement de la Haute-Garonne, massif montagneux oĂč s’étagent les vallĂ©es profondes, la forĂȘt et les zones intermĂ©diaires, les estives[46]. En 2020, l'orientation technico-Ă©conomique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'Ă©levage d'ovins ou de caprins[Carte 5]. Trois exploitations agricoles ayant leur siĂšge dans la commune sont dĂ©nombrĂ©es lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (six en 1988). La superficie agricole utilisĂ©e est de 170 ha[48] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le chemin de la Seigue dit aussi chemin de l'estive va du village au col de Peyresourde. Ce chemin est mentionnĂ© par des panneaux situĂ©s au fond du village prĂšs de l'abreuvoir de Garlet et sur la D 76 Ă  proximitĂ© de l'embranchement avec la route du col, on peut y pĂ©nĂ©trer des deux cĂŽtĂ©s. Ce chemin est en fait un ancien chemin d'intĂ©rĂȘt commun allant de Portet-de-Luchon Ă  Arreau. Il a Ă©tĂ© rĂ©cemment rĂ©habilitĂ© du village jusqu'Ă  l'intersection avec la D 76 par la commune de Portet. Il est aujourd'hui principalement utilisĂ© par les agriculteurs et permet de conduire les troupeaux jusqu'Ă  l'estive au moment de la transhumance. Accessoirement, il sert aussi de chemin de randonnĂ©e. Son parcours est ombragĂ© et fort agrĂ©able, il longe un ruisseau et Ă  mi-chemin on fait la rencontre surprenante avec des cabanes en bois, construites Ă  la maniĂšre des trappeurs canadiens par un habitant du village passionnĂ© de nature.

    Les deux moulins au bord du ruisseau de Labach.
    L'Ă©glise de Portet-de-Luchon.

    À l'entrĂ©e du village, le site des moulins, sur les bords du ruisseau de Labach est un lieu frais, reposant et tranquille. Les deux moulins, Ă  proximitĂ© du pont aux cinq arches qui marque l'entrĂ©e du village, Ă©taient encore en service au XIXe siĂšcle et sont Ă  peu prĂšs bien conservĂ©s. Ils sont l'objet de toutes les attentions de la part de la municipalitĂ© en place qui envisage la restauration de l'un d'eux. La pachĂšre, sorte de bief alimentant en eau le moulin d'en bas a Ă©tĂ© refaite. Ce lieu a aussi bĂ©nĂ©ficiĂ© de quelques amĂ©nagements au cours des derniĂšres annĂ©es : installation d'une table de pique-nique, Ă©largissement du virage du pont avec enrochement et plus rĂ©cemment renforcement par empierrement des berges du ruisseau pour protĂ©ger la route des crues du torrent avec amĂ©nagement d'un parking destinĂ© aux randonneurs et utilisateurs des gĂźtes. Le projet d'amĂ©nagement de ce site prĂ©voit la rĂ©habilitation du sentier permettant l'accĂšs piĂ©tonnier au village, le dĂ©gagement et la restauration des murs de pierre, l'entretien des espaces verts et la crĂ©ation d'un nouveau sentier. Ce sentier passera sous une arche du pont, longera le ruisseau et aprĂšs le franchissement d'une Ă©chelle ou escalier, dĂ©bouchera derriĂšre l'Ă©glise et rejoindra les diffĂ©rents sentiers de randonnĂ©e traversant le village : la PassĂ©jade, le tour d'Oueil-Larboust et le GR 10 menant au col du Lion et passant par la cabane de Conques.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[11].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    11. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Portet-de-Luchon » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

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    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Portet-de-Luchon » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
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    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Portet-de-Luchon » (consulté le ).
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    11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
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    Autres sources

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    3. Stephan Georg, « Distance entre Portet-de-Luchon et BagnÚres-de-Luchon », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Portet-de-Luchon », sur www.villorama.com (consulté le ).
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    6. Carte IGN sous GĂ©oportail
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    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
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