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Port-de-Bouc

Port-de-Bouc est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Port-de-Boucains.

Port-de-Bouc
Blason de Port-de-Bouc
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Bouches-du-RhĂ´ne
Arrondissement Istres
Intercommunalité Métropole d'Aix-Marseille-Provence
Maire
Mandat
Laurent Belsola
2020-2026
Code postal 13110
Code commune 13077
DĂ©mographie
Gentilé Port-de-Boucains
Population
municipale
16 290 hab. (2020 en diminution de 6,2 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 421 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 24′ 21″ nord, 4° 59′ 21″ est
Altitude 15 m
Min. 0 m
Max. 68 m
Superficie 11,46 km2
Unité urbaine Marseille-Aix-en-Provence
(banlieue)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune d'un pĂ´le secondaire)
Élections
DĂ©partementales Canton de Martigues
Législatives Treizième circonscription
Localisation
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Port-de-Bouc
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Port-de-Bouc
Liens
Site web http://www.portdebouc.fr

    La ville est jumelée depuis octobre 2022 avec Kálymnos, île grecque de l'archipel du Dodécanèse.

    GĂ©ographie

    Situation

    Port-de-Bouc est située à l'embouchure du canal de Caronte qui relie l'étang de Berre au golfe de Fos et à la Méditerranée. La commune est également le point d'arrivée du canal de navigation d'Arles à Bouc.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la période 1971-2000 :

    Mois J F M A M J J A S O N D année
    Températures maximales (°C) 11,0 12,4 15,2 17,4 21,8 26,0 29,6 29,3 25,2 20,0 14,4 11,8 19,5
    Températures moyennes (°C) 6,8 7,9 10,3 12,6 16,7 20,6 23,9 23,7 20,1 15,5 10,3 7,8 14,7
    Températures minimales (°C) 2,6 3,4 5,3 7,7 11,6 15,2 18,1 18,1 14,9 11,0 6,2 3,8 9,9
    Précipitations (hauteur en mm) 62 48 47 56 40 37 15 31 64 99 54 56 606,2
    Source : Météo France / Station d'Istres[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Port-de-Bouc est une commune urbaine[Note 1] - [2]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[3] - [4]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Marseille-Aix-en-Provence, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 50 communes[5] et 1 596 326 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Marseille-Aix-en-Provence est la troisième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris et Lyon[6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune d'un pĂ´le secondaire[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8] - [9].

    La commune, bordĂ©e par la mer MĂ©diterranĂ©e, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[10]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[11] - [12].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (50,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (46,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (36,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13,9 %), forêts (10,2 %), cultures permanentes (9,7 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %), eaux continentales[Note 3] (1,3 %), zones humides intérieures (1,2 %), eaux maritimes (0,6 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

    Toponymie

    Port-de-Bouc est mentionnée sous la forme Portus de Boc en 1147.

    Il peut être issu d'un hypothétique thème ligure *bukk à valeur oronymique, de *ug (hauteur) ou du latin boca au sens d’embouchure. Dans le Trésor du Félibrige[15], Frédéric Mistral cite Port-de-Bouc à l'article bou, mot provençal qui désigne l'ouverture qui relie l'étang de Berre à la mer ainsi que d'autres lieux de même nature ; de l'ancien provençal boc, du bas-latin bucum, ouverture, même étymologie que l'italien buco.

    Le nom de la commune en provençal est Bou[15], l'ancien provençal boc ayant évolué et perdu sa consonne finale en provençal moderne. Le c final de la graphie française Port-de-Bouc tend à provoquer le retour de la prononciation ancienne « bouc » au lieu de « bou ».

    Histoire

    Faits historiques

    Port-de-Bouc était originellement plusieurs hameaux situés sur les communes de Fos et de Martigues.

    Napoléon Bonaparte ordonna en 1805 l'aménagement du port et de la ville, par décret impérial ; mais en 1820, seule la jetée est achevée, et les plans établis ne seront jamais réalisés. Alexandre Dumas, qui visite le site en 1834, n'y trouve que « trois maisons dont deux étaient fermées faute de locataires, et dont la troisième [était] transformée en auberge »[16].

    En 1850, le port de commerce est en développement, ainsi que les activités industrielles telles que les salins, l’usine à plomb, l’installation en 1876 de la sécherie de morues Cabissol de la Lèque et, en 1894, l’ouverture de la raffinerie de pétrole “La Phocéenne”.

    Le , Port-de-Bouc est devenue une commune par démembrement des communes de Fos et de Martigues.

    En 1899, les Chantiers et Ateliers de Provence, spécialisés dans la construction navale, s’implantent à Port-de-Bouc. Quelques années plus tard, deux usines de produits chimiques, Saint-Gobain et Kuhlman, choisissent elles aussi Port-de-Bouc.

    En 1944, dès la libĂ©ration de la commune, la population, avec l'aide des alliĂ©s amĂ©ricains effectuent la remise en Ă©tat du port, et Ă  partir de fin , Port-de-Bouc a Ă©tĂ© le premier port français en MĂ©diterranĂ©e Ă  accueillir les liberty ship, et avec par la suite Toulon et Marseille, un des trois ports de ravitaillement alliĂ©s. En fin , Port-de-Bouc avait dĂ©jĂ  accueilli 23 navires avec 37 400 tonnes de matĂ©riels et 50 740 m3 de carburants dĂ©chargĂ©s. Port-de-Bouc a Ă©tĂ© le premier port français de MĂ©diterranĂ©e pour le dĂ©chargement de carburants facilitant une progression rapide des troupes alliĂ©s dans la vallĂ©e du RhĂ´ne. Un olĂ©oduc mis en chantier le relia Lyon en novembre ce qui permit un ravitaillement plus rapide et libĂ©ra les voies ferrĂ©es et route pour les autres marchandises[17].

    En 1946, l'archéologue et historien Fernand Benoit commence des fouilles sous-marines de Fos et de son golfe, et découvre les restes d'une cité engloutie qui s'étendent jusqu'aux abord de la ville de Port-de-Bouc. Cette cité a été renommée le "Fos englouti" de par le rapprochement géographique avec la ville de Fos. Il a été découvert qu'une peuplade vivait depuis le XVIe siècle grâce à l'architecture des habitations découvertes dans les restes de la cité. Pourtant, cette mystérieuse ville perdue n’a jamais été habitée, ni même construite par l'Homme. Les plongeurs trouvèrent des restes de bâtiments mais aucun objet précieux, ni poterie, ni aucune trace d’humanité. En étudiant avec minutie la composition des matériaux de construction, les chercheurs de l’équipe de Fernand Benoit n'ont toujours pas réussi à résoudre ce mystère.

    En Ă©tĂ© 1947, un Ă©vĂ©nement marque Ă  tout jamais la ville de Port-de-Bouc : 4 500 passagers de l’Exodus, survivants de la Shoah, restent parquĂ©s pendant trois semaines Ă  bord de trois bateaux cages de la marine britannique dans la rade de Port-au-Bouc. Bras de fer entre deux nations, la France et l’Angleterre, une chaine de solidaritĂ© est organisĂ©e par les Port-de-Boucains autour des rĂ©fugiĂ©s et la France refuse de forcer les passagers rescapĂ©s des camps de concentration de la 2de guerre mondiale Ă  descendre des bateaux, passagers qui devaient Ă  la base rejoindre la terre de Palestine. Ces rĂ©fugiĂ©s furent transfĂ©rĂ©s par les Anglais de nouveau dans des camps de dĂ©portĂ©s en Allemagne. Ce n'est qu'en 1948, après l'Ă©tablissement de l'État d'IsraĂ«l, qu'une première partie des passagers de l'Exodus parvint en Palestine.

    Ancien site de Saint-Gobain. En fond le quartier des Aigues douces, représentatif de l'essor de la population dans les années 60.

    Durant cette pĂ©riode, la population augmente et se diversifie. Elle acquiert lĂ  son statut de ville hospitalière. En 1966, la ville enregistre 14 000 habitants de tous horizons : Français, Espagnols, Maltais, Italiens, Grecs…

    Première fracture, survenue en 1966, les Chantiers et Ateliers de Provence qui ont forgé l’identité de la cité, dont les rues aujourd’hui encore portent des traces indélébiles, ferment leurs portes après faillite et dépôt de bilan. Le car-ferry Provence dernier navire construit est remorqué à La Ciotat pour finitions, malgré des ouvriers grévistes qui font tout pour empêcher son départ. Un avènement économique majeur qui déstabilise toute la ville. Deux mille emplois disparaissent alors.

    Dans les années 1970 toute la région vit dans la perspective du gigantesque complexe industriel de Fos-sur-Mer. On s’attend à la création de milliers d’emplois, des sidérurgistes lorrains arrivent dans la région, décidés à contribuer au développement promis.

    Port-de-Bouc dispose de rĂ©serves foncières, et poussĂ© par les autoritĂ©s nationales fait face Ă  l’arrivĂ©e de 7 500 nouveaux habitants en construisant des infrastructures d’accueil. Cet espoir-lĂ  pour la ville et pour l’ensemble des familles n’aura durĂ© que quelques annĂ©es.

    La désillusion survient en 1975 avec l’arrêt du développement de la Z.I. de Fos, suivi de près par la crise de la sidérurgie qui frappe aussitôt les unités de Solmer et d’Ugine Acier.

    Le « Port Renaissance », port de plaisance qui marque l'orientation vers les activités tertiaires de la ville.

    Dernière criée publique de toute la région PACA pour la vente du poisson, la Halle à Marée doit fermer ses portes en , suivie quelques années après de la Copemart qui commercialisait le poisson bleu. Désormais, l'activité de la pêche à Port-de-Bouc est devenue quasi inexistante.

    Voisine des activités liées à la pêche, la plaisance ; le port abrite des bateaux venus de toute l’Europe.

    La requalification urbaine entreprise depuis une dizaine d’années a donné un nouveau visage à Port-de-Bouc. Tout en améliorant le cadre de vie des Port-de-Boucains, l’attractivité de la ville s’est renforcée.

    HĂ©raldique

    Armes de Port-de-Bouc

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    De gueules à l'ancre de marine d'or avec sa gumène du même, surmontée d'une trangle aussi d'or étayée aux cantons de deux bâtons du même mouvant des flancs, l'un en barre à dextre et l'autre en bande à senestre.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire de Port-de-Bouc sont les suivantes :

    Élection Territoire Titre Nom Tendance politique Début de mandat Fin de mandat
    Municipales 2020 Commune de Port-de-Bouc Maire Laurent Belsola PCF
    Départementales 2021 Canton de Martigues Conseillers départementaux Gérard Frau et Magali Giorgetti PCF
    Législatives 2017 13ème circonscription des Bouches-du-Rhône Député Pierre Dharréville PCF

    Élections présidentielles

    Élections législatives

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections européennes

    RĂ©sultats des deux meilleurs scores :

    Élections régionales

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections départementales

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections cantonales

    RĂ©sultats des deux meilleurs scores :

    Élections municipales

    Résultats des deuxièmes tours ou des deux meilleurs scores du premier tour si dépassement de 50 % :

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    septembre 1866 septembre 1870 Isidore Barthélémy
    septembre 1870 avril 1871 LĂ©on Vidal
    avril 1871 janvier 1881 Isidore Barthélémy
    janvier 1881 décembre 1881 Grégoire Ferrier
    janvier 1882 juillet 1887 Marius Vin
    juillet 1887 novembre 1896 Antoine Landrivon
    novembre 1896 janvier 1902 Fernand Bonnet
    février 1902 mai 1904 Bienvenu Bondil
    mai 1904 novembre 1919 Charles Roque
    novembre 1919 janvier 1924 Antoine Bouc
    février 1924 mai 1925 Joseph Couture
    mai 1925 décembre 1940 Marcel Gaussorgues[18] SFIO
    février 1941 août 1944 Jules Crétinon
    août 1944 mai 1990 René Rieubon[19] PCF Ouvrier ajusteur, ancien résistant
    Député (1962-1986), maire
    mai 1990 juin 2005 Michel Vaxès PCF Conseiller d'orientation-psychologue
    Député (1997-2012), maire, conseiller général du canton de Martigues-Ouest (1988-1997)
    juin 2005 2020 Patricia Fernandez PCF
    juin 2020 En cours Laurent Belsola PCF Douanier
    Sources : Archives communales, séries D et K

    Population et société

    DĂ©mographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[20] - [Note 4].

    En 2020, la commune comptait 16 290 habitants[Note 5], en diminution de 6,2 % par rapport Ă  2014 (Bouches-du-RhĂ´ne : +2,09 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    1 3799959291 4731 4421 4791 3002 2392 602
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    3 4374 1414 3855 6956 1636 6258 55112 51014 080
    1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020 -
    21 42420 10618 78616 68617 52917 21116 68216 290-
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee Ă  partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Sardinades de 1986 Ă  nos jours. OrganisĂ©es par l'association Promomer du dernier samedi du mois de juin au dernier dimanche du mois d'aoĂ»t. L'Ă©vènement a pris une telle ampleur qu'il a largement Ă©tĂ© mĂ©diatisĂ© notamment dans l'Ă©mission TĂ©lĂ©matin sur France 2, et plusieurs fois sur le journal tĂ©lĂ©visĂ© de TF1. Tellement populaire que depuis sa crĂ©ation, il a Ă©tĂ© copiĂ© dans plusieurs villes de la rĂ©gion sous diverses appellations.
    • Festival des Agglos 2001-2011 (musiques actuelles). OrganisĂ© par l'association  Avec la TĂŞte.

    Chanson

    Cinéma

    Peinture

    Footballeurs

    Joueur de pétanque

    Économie

    Port-de-Bouc possède une des dernières conserveries qui conditionne la poutargue de Martigues[24].

    Sport

    Football américain

    Les Jaguars, un club permettant la découverte ou la pratique du football américain.

    Rugby Ă  XV

    Rugby club Martigues Port-de-Bouc engagé en Fédérale 3.

    Handball

    Le CCS Handball Port-de-Bouc retrouve la Nationale 2 FĂ©minine (4e division nationale) pour la saison 2016/2017

    Culture et patrimoine

    Malgré son nom, le Fort de Bouc n'est pas situé sur la commune de Port-de-Bouc, mais sur la commune de Martigues.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. http://climat.meteofrance.com/chgt_climat2/climat_france?68377.path=climatstationn%252F13047001
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Marseille-Aix-en-Provence », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    11. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. Lou Tresor dĂłu Felibrige, vol. 1, p. 309 de l'Ă©dition CPM de 1979.
    16. Ville de Port-de-Bouc : Une ville, des bateaux et des hommes (Journal d'Exposition 2005)
    17. Paul Gaujac, La guerre en Provence, 1944-1945 : une bataille méconnue, Presses Universitaires Lyon, , 189 p. (ISBN 978-2-7297-0602-9, lire en ligne)
    18. https://maitron.fr/spip.php?article92495, notice GAUSSORGUES, version mise en ligne le 2 novembre 2010, dernière modification le 3 octobre 2019.
    19. https://maitron.fr/spip.php?article158709, notice RIEUBON René par Gérard Leidet, version mise en ligne le 7 mai 2014, dernière modification le 3 juillet 2019.
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    23. « Naestro, un boxeur à la voix d'or », Et Baam !,‎ (lire en ligne, consulté le )
    24. Provence Tourisme, « Rencontre avec Lucie et Frédéric, producteurs de poutargue à Port-de-Bouc », sur My Provence (consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Alexandre Dumas, Port-de-Bouc : Impressions de voyage/Le midi de la France. 1834.
    • Alfred Saurel, Histoire de Martigues et de Port-de-Bouc, Marseille, 1892.
    • L. Beteille, Histoire de Port-de-Bouc, Aix-en-Provence, 1926.
    • Charles Cretinon, Contribution Ă  l'histoire de Port-de-Bouc, Marseille, 1969.
    • Roger Cornu, Du chantier naval Ă  la ville : la mĂ©moire ouvrière de Port-de-Bouc : Ă©tude, Aix-en-Provence, 1984.
    • Jean Domenichino, Des Bateaux et des hommes : Port-de-Bouc, Port-de-Bouc, 1987.
    • Jean Domenichino, Un Chantier, des ouvriers, une ville : Port-de-Bouc et la construction navale, 1900-1966 : analyse du rayonnement d'une entreprise et de son collectif ouvrier, Lille, 1988.
    • Pierre Roche, Port-de-Bouc : destination santĂ©, Port-de-Bouc, 1988.
    • Jean Domenichino, Une Ville en chantiers : la construction navale Ă  Port-de-Bouc, 1900-1966, Aix-en-Provence, 1989.
    • Jacques Marseille (dir.), Dictionnaire de la Provence et de la CĂ´te d'Azur, Éd. Larousse, Paris, 2002. (ISBN 2035751055)
    • Charles Cretinon, Port-de-Bouc, Saint-Cyr-sur-Loire, 2002.
    • Jo Ros, Port-de-Bouc : Pentagone, mon quartier au cĹ“ur, Saint-Cyr-sur-Loire, 2003.
    • Charles Cretinon, Port-de-Bouc : des origines Ă  nos jours, Aix-en-Provence, 2004.
    • Jo Ros, Port-de-Bouc : l'aventure de la salle Gagarine, Saint-Cyr-sur-Loire, 2004.

    Articles connexes

    Liens externes

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