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Plagne (Haute-Garonne)

Plagne est une commune française située dans le centre du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Plagne
Plagne (Haute-Garonne)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Muret
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Garonne
Maire
Mandat
Henri Rouaix
2020-2026
Code postal 31220
Code commune 31422
Démographie
Gentilé Plagnains
Population
municipale
94 hab. (2020 en diminution de 6 % par rapport à 2014)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 09′ 29″ nord, 1° 03′ 38″ est
Altitude Min. 310 m
Max. 595 m
Superficie 4,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cazères
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Plagne
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Plagne
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Plagne
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Plagne

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Saint-Antoine, le ruisseau de Tounis et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Plagne est une commune rurale qui compte 94 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 278 habitants en 1866. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse..

    Ses habitants sont appelés les Plagnains.

    Géographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Plagne se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 59 km à vol d'oiseau (66 km par la route[1]) au sud-ouest de sa préfecture Toulouse[2], à 40 km (49 km par la route[1] - [3]) de sa sous-préfecture Muret, et à km (7,4 km par la route[1] - [4]) de Cazères, bureau centralisateur du canton de Cazères dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Cazères[I 1].

    Martres-Tolosane est en rive gauche (côté nord) de la Garonne à km au nord-ouest à vol d'oiseau, Boussens à 7,5 km au nord-ouest également en rive gauche de la Garonne, Roquefort-sur-Garonne à km à l'ouest en rive droite du fleuve qui y reçoit son affluent le Salat,

    Sur le plan historique et culturel, Plagne fait partie du pays de Comminges, correspondant à l'ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].

    Le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises (dans le département de l'Ariège) commence sur la commune de Cérizols, à moins de 150 m la pointe sud de la commune[1].

    Communes limitrophes et proches

    Les communes limitrophes sont Ausseing, Montclar-de-Comminges, Palaminy et Saint-Michel.

    Plagne est limitrophe de quatre autres communes[6].

    Communes limitrophes de Plagne[6]
    Montclar-de-Comminges
    (3,9 km)
    Palaminy
    (5,2 km)
    Plagne Saint-Michel
    (2,3 km)
    Ausseing
    (3,5 km)

    Outre ces villages, les communes les plus proches[Note 1] sont[6] - [7] : Cérizols (3,2 km), Belbèze-en-Comminges (3,8 km sud-ouest), Mauran (4,2 km), Le Plan (5,0 km), .

    Données physiques, géologie et relief

    La superficie de la commune est de 415 hectares[8].

    Elle est située au cœur du massif des Petites Pyrénées ; son altitude varie de 310 m dans le coin nord-est à 595 m à l'Hajaou, montagne dans l'extrémité sud du territoire communal[6].

    La Garonne passe à 4,1 km au nord-ouest, sur Mauran.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Plagne.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[9]. Elle est drainée par[6] :

    • le ruisseau de Saint-Antoine (marquant la limite nord-ouest),
    • son petit affluent de rive droite le ruisseau Houeillette (issu d'un étang de 1,6 ha situé à 300 m à l'ouest du village),
    • le ruisseau de Tounis (marquant la limite sud-est, est et nord-est),
    • le ruisseau de Plagne (précurseur du ruisseau de Tounis et marquant la limite sud-sud-est),
    • deux petits cours d'eau.

    Cinq autres étangs, plus petits que celui de la Houeillette, se trouvent sur la commune. Le tout constitue un réseau hydrographique de km de longueur totale[6] - [10].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s'agit d'une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d'établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 895 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cerizols », sur la commune de Cérizols, mise en service en 1982[16] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 933,1 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 17 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 12,3 °C pour 1981-2010[21], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[22].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[23] : les « Quères des Petites Pyrénées (partie nord) » (1 262 ha), couvrant 9 communes dont une dans l'Ariège et huit dans la Haute-Garonne[24] et les « Quères des Petites Pyrénées (partie sud) » (3 540 ha), couvrant 12 communes dont cinq dans l'Ariège et sept dans la Haute-Garonne[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [23] : les « Petites Pyrénées en rive droite de la Garonne » (12 847 ha), couvrant 20 communes dont huit dans l'Ariège et 12 dans la Haute-Garonne[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Plagne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [27] - [I 2] - [28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3] - [I 4].

    Voies de communication et transports

    Les gares ferroviaires les plus proches sont la gare de Cazères (8,8 km) et la gare de Martres-Tolosane (également 8,8 km), sur la ligne Toulouse - Bayonne. La gare de Boussens, sur la même ligne, est à 13,7 km à l'ouest[1].

    L'autoroute A64, qui dans les environs suit plus ou moins le cours de la Garonne, est accessible par l'entrée-sortie no 22 « Martres-Tolosane » à 12 km au nord-nord-ouest, la no 21 « Boussens » à 14 km au nord-ouest, et la no 20 « Saint-Martory » (sur Montsaunès) à 17 km au sud-ouest[1].

    L'aéroport de Toulouse-Blagnac est à 70 km par l'autoroute. L'aérodrome de Cazères - Palaminy est à une dizaine de km (par Mauran ou par Cazères)[1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Plagne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

    Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Plagne est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif des Petites Pyrénées. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[31] - [32]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Plagne.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 51 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 51 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33] - [Carte 1].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[29].

    Histoire

    Préhistoire

    La commune de Plagne a livré des vestiges préhistoriques du Néolithique, dont une partie est conservée au musée de Toulouse.

    L'abri d'Aurignac, qui a donné son nom à la culture préhistorique de l'Aurignacien, n'est qu'à une vingtaine de km à l'ouest-nord-ouest. Il s'y trouve de nos jours le musée de l'Aurignacien.

    Moyen-Âge

    En 1303, le seigneur d'Aspet conclut un contrat de paréage avec les templiers afin de fonder une ville neuve entourée de murailles dont les deux tiers des revenus seraient versés à la commanderie de Montsaunès[35].

    À partir du Moyen Âge, jusqu'à sa disparition en 1790, pendant la Révolution française, Plagne faisait partie du diocèse de Rieux.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 0 et 99, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de sept[36] - [37].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes Cœur de Garonne et du canton de Cazères. Avant le Francon faisait partie de la communauté de communes du canton de Cazères.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977[38] En cours Henri Rouaix DVD Agriculteur retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40]. En 2020, la commune comptait 94 habitants[Note 8], en diminution de 6 % par rapport à 2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    146174184231232250225263267
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    256202278196190139146144134
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    13711514310291919110281
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    665570586088989891
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1009394------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[43] 1975[43] 1982[43] 1990[43] 1999[43] 2006[44] 2009[45] 2013[46]
    Rang de la commune dans le département 522 525 471 542 465 473 491 483
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Enseignement

    Palaminy fait partie de l'académie de Toulouse.

    Sports

    Chasse, pétanque,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du canton de Cazères[47].

    Une déchèterie intercommunale gérée par la communauté de communes est présente sur la commune de Mondavezan[48].

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 5]4,9 %3,4 %8,2 %
    Département[I 6]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entière[I 7]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 50 personnes, parmi lesquelles on compte 71,4 % d'actifs (63,3 % ayant un emploi et 8,2 % de chômeurs) et 28,6 % d'inactifs[Note 9] - [I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2] - [I 8]. Elle compte emplois en 2018, contre 19 en 2013 et 10 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 33, soit un indicateur de concentration d'emploi de 18,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,6 %[I 9].

    Sur ces 33 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 5 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 93,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 6,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

    Activités hors agriculture

    8 établissements[Note 10] sont implantés à Plagne au [I 12]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 8 entreprises implantées à Plagne), contre 12 % au niveau départemental[I 13].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations7664
    SAU[Note 11] (ha)361411475311

    La commune est dans le Volvestre, une petite région agricole localisée dans l'est du département de la Haute-Garonne, constituée de collines de terrefort à fortes pentes autrefois consacrées à l’élevage s’orientent aujourd’hui vers les grandes cultures[49]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 3]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (sept en 1988). La superficie agricole utilisée est de 311 ha[51] - [Carte 4] - [Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Plagne », sur ign.fr, Institut géographique national (consulté en ).

    Notes et références

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Plagne », Insee (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », Insee (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod, « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Plagne » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Plagne » (consulté le ).
    10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Plagne » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Plagne », sur google.fr/maps. Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (dans l'onglet à gauche de l'écran, cliquer sur "Itinéraires").
    2. Stephan Georg, « Distance entre Plagne et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Plagne et Muret », sur fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Plagne et Cazères », sur fr.distance.to (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
    6. « Plagne (31), carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
    7. « Communes les plus proches de Plagne », sur villorama.com (consulté le ).
    8. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    9. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Fiche communale de Plagne », Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
    11. [Joly et al. 2010] Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le ).
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
    13. « Définition d'une normale climatologique », sur meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle », vol. 4. Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d'outre-mer, sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Cerizols - métadonnées » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Plagne et Cérizols », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Cerizols - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Plagne et Senconac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Plagne », Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « Quères des Petites Pyrénées (partie nord) » », fiche descriptive, Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « Quères des Petites Pyrénées (partie sud) » », fiche descriptive, Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « Petites Pyrénées en rive droite de la Garonne » », fiche descriptive, Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Les risques près de chez moi - commune de Plagne », sur Géorisques (consulté le )
    30. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    31. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque feux de forêts.
    32. « Prévention des incendies de forêt en Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le )
    33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    34. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Plagne », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    35. Alain Demurger, Les Templiers, une chevalerie chrétienne au Moyen Âge, Paris, Seuil, coll. « Points Histoire », (1re éd. 2005), 664 p., poche (ISBN 978-2-7578-1122-1), p. 303-304 ; [Higounet 1949] Charles Higounet, « Une bastide de colonisation des Templiers dans les pré-Pyrénées : Plagne », Revue de Comminges, t. LXII, , p. 81-97, lire en ligne sur Gallica.
    36. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    37. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté en ).
    38. « Mairie de Plagne », sur amf31.asso.fr (consulté en ).
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    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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    51. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Plagne - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d'une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d'espèces, d'association d'espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50].
    • Cartes
    1. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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