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Omerville

Omerville est une commune française située dans le département du Val-d'Oise et la région Île-de-France,

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Omerville est aussi le nom d'une commune fusionnée avec Magog, une ville du Québec
Omerville
Omerville
La mairie et l'Ă©cole
Blason de Omerville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CC Vexin - Val de Seine
Maire
Mandat
Denys de Magnitot
2020-2026
Code postal 95420
Code commune 95462
DĂ©mographie
Gentilé Omervillois
Population
municipale
322 hab. (2020 en augmentation de 3,87 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 27 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 08′ 00″ nord, 1° 43′ 00″ est
Altitude 125 m
Min. 42 m
Max. 157 m
Superficie 11,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vauréal
LĂ©gislatives 1re circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Omerville
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Omerville
Liens
Site web https://omerville.fr/

    Ses habitants sont appelés les Omervillois.

    GĂ©ographie

    Description

    Paysage du village, depuis La Louvière.

    Omerville est un village rural du Vexin français situĂ© sur le rebord du plateau du Vexin et qui domine la rive sud de l'Aubette de Magny, Ă  une cinquantaine de kilomètres au nord-ouest de Paris, Ă  11 km au nord-est de La Roche-Guyon et de la Seine, Ă  29 km au nord-ouest de Pontoise et Ă  14 km au sud de Gisors. Il est aisĂ©ment accessible par l'ancienne route nationale 14.

    Le village est fortement regroupé autour de son église et de son manoir et possède un important patrimoine.

    La commune se trouve dans le périmètre du parc naturel régional du Vexin français, et est traversée par le GR 11 surnommé « Grand Tour De Paris ».

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Omerville[1]
    Saint-Gervais
    Ambleville Omerville Hodent
    Chaussy Genainville
    • Carte de la commune.
      Carte de la commune.
    • Occupation des sols
      Occupation des sols

    Hydrographie

    La commune est drainée par les bras de l'Aubette de Magny, un affluent de l'Epte et donc un sous-affluent de la Seine.

    Un ruisseau qui prend sa source Ă  la Fontaine Saint-Martin y conflue.

    Urbanisme

    Typologie

    Omerville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[6] - [7].

    Lieux-dits, hameaux et Ă©carts

    La commune possède quatre écarts : Gerville, Louvières, le Mesnil, et Amiel, tous situés sur la moitié nord du territoire communal, de l'autre côté de l'Aubette de Magny.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Omervilla en [8].

    Omerville est mentionné pour la première fois dans un document datant de l'an mille.

    Il s’agit d’une formation toponymique mĂ©diĂ©vale en -ville au sens ancien de « domaine rural ». Albert Dauzat considère que l'Ă©lĂ©ment Omer- reprĂ©sente l'anthroponyme germanique Audomar que l'on retrouve dans OmĂ©court (Oise, Omercurt 1152)[9], Ă  environ 71 km au nord d’Omerville, et dans le nom de saint Omer (autrement appelĂ© Audomar, latin mĂ©diĂ©val Audomarus, nĂ©erlandais Odemaar, Omaar, allemand Otmar), en revanche Ernest Nègre qui ne cite aucune forme ancienne, Ă©met l'hypothèse d'un autre nom de personne germanique, Ă  savoir Aldemarus[10].

    Histoire

    Omerville est demeuré un village à vocation agricole, malgré l'existence de quelques activités artisanales au XIXe siècle (fabrique de petits objets, tire-bouchons, tire-gants, pinces...)[11].

    Les Hospitaliers

    Les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem y installent à partir de 1212 la maison de Louvières et de Vaumion, qui deviendra la commanderie Louviers-Vaumion à Omerville à partir de 1633[12]. La Commanderie d'Omerville, écart au nord de la commune, elle a été fondée par les Hospitaliers en 1222. La commanderie templière de Villedieu-les-Maurepas y fut rattachée en 1312, après la dissolution de l'ordre du Temple.

    Jusqu'à sa dissolution à la suite de la Révolution française, quarante-deux commandeurs se succèdent à sa tête. Vendue comme bien national en 1790, il n'en subsiste que des caves voûtées d'ogives, intégrées à une ferme. Ce ne sont pas les seuls vestiges dignes d'intérêt : des différents remaniements aux XVIe et XVIIe siècles, subsistent une tour et une porte du bâtiment sud. La ferme reste par ailleurs entourée d'une haute mur d'enceinte[13]. Des différents remaniements aux XVIe et XVIIe siècles, subsistent une tour et une porte du bâtiment sud. La ferme reste par ailleurs entourée d'une haute mur d'enceinte[13].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[14], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Magny-en-Vexin de Seine-et-Oise puis du Val-d'Oise[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Vauréal

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise.

    Intercommunalité

    Omerville est membre depuis 2013 de la communauté de communes Vexin - Val de Seine, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2005 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[16]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1925 E. Tercinet
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 Roger Doré
    mars 2001 mai 2009 Jean-Paul Drut
    mai 2009 En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Denys de Magnitot SE RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[17] - [18]

    DĂ©mocratie participative

    La municipalité s'est « engagé à respecter le choix des habitants à l'issue de ces sondages » menés à l'initiative d'un particulier sur Facebook[19]

    Équipements et services publics

    Un marché nocturne annuel de producteurs est organisé à Omerville, dont la deuxième édition a eu lieu le 31 juillet 2021[20], ainsi qu'un marché, également de producteurs, le premier dimanche du mois au matin, place Saint-Marin[21].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

    En 2020, la commune comptait 322 habitants[Note 3], en augmentation de 3,87 % par rapport Ă  2014 (Val-d'Oise : +3,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    375336363364400416401400408
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    443534505439415396385350328
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    323341319305307296244260288
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    256207241252280337305300311
    2017 2020 - - - - - - -
    319322-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee Ă  partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Le salon Unique(s) est organisé par des artisans d’art en collaboration avec la mairie d’Omerville, son comité des fêtes et son foyer rural. La seconde édition a eu lieu les 19 et [25]

    Le Foyer rural d’Omerville propose des balades familiales sur les chemins de la commune les vendredis en fin d'après-midi[26].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Omerville possède un riche patrimoine historique, dont l'église et un calvaire sont classés au titre des monuments historiques, et trois autres éléments inscrits:

    • Église Saint-Martin (inscrite partiellement puis classĂ©e monument historique par arrĂŞtĂ© du [27]) : Elle se singularise par son plan allongĂ©, Ă  vaisseau unique, avec des travĂ©es de quatre Ă©poques diffĂ©rentes qui se succèdent en enfilade, et un clocher central roman. Avec les murs de la deuxième et de la troisième travĂ©e de la nef, il reprĂ©sente la partie la plus ancienne de l'Ă©glise, et devrait remonter au moins au dernier quart du XIe siècle, ou sinon au tout dĂ©but du XIIe siècle. Malheureusement, l'Ă©lĂ©gante flèche de pierre ajoutĂ©e au milieu du XIIe siècle a Ă©tĂ© dĂ©molie vers 1905, et remplacĂ©e par un simple toit. Ă€ l'intĂ©rieur, le caractère roman s'est bien conservĂ© dans la base du clocher voĂ»tĂ©e en berceau. Un chĹ“ur de deux travĂ©es, dont le style du voĂ»tement reflète les dernières annĂ©es de la première pĂ©riode gothique, est substituĂ© Ă  l'abside primitive vers 1220-1230. Lors de l'agrandissement du chĹ“ur par l'adjonction d'une abside Ă  pans coupĂ©s au dernier quart du XIIIe siècle ou au dĂ©but du XIVe siècle, la seconde travĂ©e est partiellement dĂ©molie pour des raisons inconnues. Sa voĂ»te avec des supports de style gothique rayonnant appartient donc Ă  la campagne de construction de l'abside. Elle constitue la partie la plus Ă©lĂ©gante de l'Ă©glise, mĂŞme si le remplage de la plupart de ses fenĂŞtres a Ă©tĂ© simplifiĂ© lors de restaurations anciennes. Une fois le nouveau chevet achevĂ©, l'Ă©glise ne peut ĂŞtre allongĂ©e qu'en ajoutant une travĂ©e devant la façade de la nef romane. Par son style reflĂ©tant la transition du gothique flamboyant vers la Renaissance, ce qu'illustrent parfaitement bien les fonts baptismaux, elle peut ĂŞtre datĂ©e du milieu du XVIe siècle. Par manque de place Ă  l'ouest, l'accès se fait par le sud, par un portail de style classique amĂ©nagĂ© au XVIIe siècle. Ainsi, pratiquement toutes les Ă©poques sont reprĂ©sentĂ©es en l'Ă©glise d'Omerville. Son caractère hĂ©tĂ©rogène constitue plutĂ´t la règle dans le Vexin français, qu'une exception, et son architecture n'offre rien d'exceptionnel, si ce n'est la facture archaĂŻque du clocher. C'est surtout par sa silhouette particulière et par son bon Ă©tat de conservation que l'Ă©glise Saint-Martin sĂ©duit[28] - [29].
    • Manoir de Mornay-Villarceaux, ou HĂ´tel des Essarts, sur la place du village (inscrit monument historique par arrĂŞtĂ© du [30]) : Dit Ă©galement hĂ´tel des Essarts, il remplace l'ancien château seigneurial des Essarts. Ă€ en juger d'après les armoiries figurant sur un bandeau de cheminĂ©e, le constructeur du manoir pourrait ĂŞtre Jean d'Isque, hĂ©ritier de la seigneurie. La longue façade sur la place est assez simple, seules les deux Ă©chauguettes de taille diffĂ©rente et l'impressionnant portail permettant de deviner la fonction initiale du bâtiment. La plus petite des deux portes s'inscrit par ailleurs sous un arc ogival. La partie droite de la façade garde ses petites fenĂŞtres d'origine, alors que la partie gauche est percĂ© de vastes baies entourĂ©es en partie de moulures du goĂ»t de la Renaissance. La corniche aux modillons sculptĂ©s renvoie Ă©galement Ă  cette Ă©poque. La façade sur cour prĂ©sente un ensemble rustique Ă  colombages avec des galeries Ă  balustres. Louis de Mornay acquiert le manoir en 1647 et y abrite un temps ses amours avec Ninon de Lenclos[31] - [29].
    • Croix monumentale dite croix Fromage, sur la place du village (inscrite monument historique par arrĂŞtĂ© du [32]) : La colonne qui se rajeunit vers le sommet et la croix sont taillĂ©es dans un seul bloc de pierre monolithique, peut-ĂŞtre un menhir. L'ensemble mesure 2,5 m de haut. La croix elle-mĂŞme se prĂ©sente comme un disque ajourĂ© avec la forme d'une croix pattĂ©e en son centre[33] - [29].
    • Croix de cimetière (classĂ©e monument historique par arrĂŞtĂ© du [34]): C'est l'une des deux croix de cimetière de la commune, Omerville ayant possĂ©dĂ© un deuxième cimetière plus petit, au sud de l'Ă©glise, jusqu'en 1862. Sa croix est entreposĂ©e sous la chaire de l'Ă©glise depuis. Elle possède les mĂŞmes caractĂ©ristiques que la croix en place sur le cimetière actuel. La croix est dotĂ©e d'une ornementation très filigrange sculptĂ©e dans la pierre, dans le style flamboyant. La colonne octogonale repose sur un socle et un soubassement Ă  trois paliers, Ă©galement octogonaux[33] - [29].
    • Ancienne commanderie de Louvières, Ă©cart au nord de la commune (inscrite monument historique par arrĂŞtĂ© du [35]) : Vendue comme bien national en 1790, il n'en subsiste que des caves voĂ»tĂ©es d'ogives, intĂ©grĂ©es Ă  une ferme.

    On peut Ă©galement signaler :

    • Croix pattĂ©e d'Omerville : Petite croix trapue de seulement 52 cm de haut, situĂ©e originellement Ă  la sortie du village, puis ramenĂ©e sur la place de l'Église au XXe siècle. La vocation de ces croix Ă©tait celle d'une borne[36]. Des croix similaires existent Ă  Villers-en-Arthies (croix de Carnage) et près du hameau de Ducourt, sur la commune de Saint-Gervais (croix Dançon)[33].
    • Croix latine dite Croix quatre-pieds, Ă  la sortie du village en direction de Magny-en-Vexin : Elle tient son nom des quatre blocs de pierre sur lesquels elle repose. Au XIXe siècle, elle a Ă©tĂ© faussement identifiĂ©e comme monument mĂ©galithique par Paul de Mortillet[37] (sans illustration).
    • Manoir de Trie, du XVe siècle, amĂ©nagĂ© en ferme[38].
    • Ancien abreuvoir, Ă  l'entrĂ©e sud du village, rue Charles-de-Gaulle[36].
    • Ancien rĂ©servoir Ă  eau, rue de l'École : Exemple intĂ©ressant de bâtiment utilitaire de la fin du XIXe siècle. Le rĂ©servoir Ă©tait initialement alimentĂ© en eau par un bĂ©lier hydraulique[36] (sans illustration).
    • Domaine de Gerville, au hameau du mĂŞme nom Ă  la limite nord du territoire communal, près du château de Magnitot : Ce fut un fief des hospitaliers, dĂ©pendant de la commanderie de Louvières. En subsistent notamment un portail cantonnĂ© par deux courtes demi-tours, ainsi qu'un pan de mur de l'ancienne tour carrĂ©. Le mur est percĂ© d'une meurtrière, ainsi que de deux petites baies ogivales gĂ©minĂ©es au premier Ă©tage[39].
    • Sentiers de randonnĂ©e GR 11 et PR.
    • Croix pattĂ©e.
      Croix pattée.
    • Manoir de Trie.
      Manoir de Trie.
    • Ancien abreuvoir.
      Ancien abreuvoir.
    • Tour carrĂ©e de Gerville.
      Tour carrée de Gerville.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Omerville Blason
    Parti : au 1er d'azur à la « Croix Quatre Pieds » du lieu d'argent, au 2e de gueules à la « Croix Fromage » du lieu d'argent.
    DĂ©tails
    Adopté par la municipalité.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Roland Vasseur et Françoise Waro, Villages du Vexin : Omerville : architecture et sociĂ©tĂ©, Pontoise, SociĂ©tĂ© historique et archĂ©ologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, , 112 p.
    • Eugène Mannier, Ordre de Malte : Les commanderies du grand-prieurĂ© de France d'après les documents inĂ©dits conservĂ©s aux Archives nationales Ă  Paris, Aubry & Dumoulin, , 808 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Omerville », Ministère de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Communes limitrophes d'Omerville » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes d'Omerville » sur Géoportail..
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    9. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 507b.
    10. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume II : formations non romanes, formations dialectales, Librairie Droz, Genève, 1991, p. 945, n° 16946 (lire en ligne sur GoogleBooks) lire en ligne).
    11. Jean Aubert, La grande histoire du Val-d'Oise, p. 130
    12. Eugène Mannier, Ordre de Malte : Les commanderies du grand-prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux Archives nationales à Paris, Aubry & Dumoulin, , 808 p., p. 105.
    13. Vasseur et Waro 1988, p. 18-21.
    14. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. « Les maires de Omerville », sur http://francegenweb.com (consulté le ).
    17. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, Préfecture du Val-d'Oise, (consulté le ).
    18. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    19. Pacôme Bassien, « Val-d’Oise : à Omerville, des projets se concrétisent… grâce aux sondages Facebook : Des habitants de ce village du Vexin ont pris l’habitude de questionner ses concitoyens via le réseau social, sur des sujets communaux. Et la mairie s’est engagée à suivre les recommandations », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    20. Baptiste Ringeval, « Omerville. Le marché nocturne des producteurs locaux reconduit cette année : Ce samedi 31 juillet se tiendra le deuxième marché nocturne des producteurs locaux et des artisans d’art à Omerville (Val-d'Oise) de 18h à 22h sur la Place du village », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    21. Maxime Laffiac, « Une trentaine de producteurs locaux attendus à Omerville ce dimanche : Le marché mensuel des producteurs et artisans locaux d'Omerville (Val-d'Oise) fait son retour ce dimanche 2 mai 2021 », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    25. Julien Ducouret, « Deuxième édition du salon Unique(s) à Omerville ce week-end : L’A15, association d’artisans d’art du Val-d’Oise, organise la seconde édition du salon Unique(s)#2 dans le village prisé d’Omerville, dans le Val-d'Oise », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    26. Baptiste Ringeval, « Retour des randonnées du vendredi soir à Omerville : Devant le succès rencontré l’année dernière, le Foyer rural d’Omerville (Val d'Oise) organise tous les vendredis soir une nouvelle randonnée », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    27. « Église Saint-Martin », notice no PA00080152, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. Vasseur et Waro 1988, p. 79-98.
    29. Daniel Baduel, « Omerville, village templier… : Le village d’Omerville est construit sur une colline. Ses charmantes demeures sont resserrées autour de l’église. Il est demeuré un village à vocation agricole.… », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    30. « Manoir de Mornay-Villarceaux », notice no PA00080153, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. Vasseur et Waro 1988, p. 24-38.
    32. « Croix fromage », notice no PA00080150, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. Vasseur et Waro 1988, p. 99.
    34. « Croix de cimetière », notice no PA00080151, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Ancienne commanderie des Templiers », notice no PA00080149, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Jean-Loup Corbasson, Pascal Goutrat et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Omerville », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 578-582 (ISBN 2-84234-056-6).
    37. Vasseur et Waro 1988, p. 99-100.
    38. Vasseur et Waro 1988, p. 22-23.
    39. Vasseur et Waro 1988, p. 17-18.
    40. Le guide du Vexin français, p. 241.

    Voir aussi

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