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Villers-en-Arthies

Villers-en-Arthies est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Villers-en-Arthies
Villers-en-Arthies
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CC Vexin - Val de Seine
Maire
Mandat
Jean-François Renard
2020-2026
Code postal 95510
Code commune 95676
DĂ©mographie
Gentilé Villersois
Population
municipale
490 hab. (2020 en diminution de 2,58 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 59 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 06′ 00″ nord, 1° 44′ 00″ est
Altitude 182 m
Min. 89 m
Max. 205 m
Superficie 8,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vauréal
LĂ©gislatives 1re circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Villers-en-Arthies
Liens
Site web villers-en-arthies.fr

    Ses habitants sont appelés les Villersois.

    GĂ©ographie

    La commune est édifiée sur les hauteurs de la forêt d'Arthies, et se compose d’un village et de cinq hameaux : les Mares, Villeneuve, le Tremblay, la Goulée et Chaudray et d’une extension (au lieu-dit Saint-Léger).

    • Carte de la commune.
      Carte de la commune.
    • Occupation des sols
      Occupation des sols

    Urbanisme

    Typologie

    Villers-en-Arthies est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[6] - [7].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 267, alors qu'il Ă©tait de 261 en 2013 et de 249 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 77,4 % étaient des résidences principales, 14,9 % des résidences secondaires et 7,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 92,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,3 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villers-en-Arthies en 2018 en comparaison avec celle du Val-d'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (14,9 %) supérieure à celle du département (1,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,8 % en 2013), contre 56 % pour du Val-d'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement Ă  Villers-en-Arthies en 2018.
    Typologie Villers-en-Arthies[I 1] Val-d'Oise[I 4] France entière[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 77,4 92,8 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 14,9 1,3 9,7
    Logements vacants (en %) 7,7 5,9 8,2

    Toponymie

    Attestée sous la forme Villare[8].

    Étymologie : du bas latin Villare (ferme).

    Histoire

    Dès septembre 768, le village est cité dans une charte de Pépin le Bref où le roi fait un don à l'abbaye de Saint-Denis. On le retrouve en 832 dans une charte de Louis le Débonnaire, dit aussi le Pieux, fils de Charlemagne. Une chapelle et une ferme au milieu des bois sous le vocable de Saint-Léger-des-Bois est évoquée dans un acte de 1060 qui fit du lieu une paroisse.

    Les Le Tirant furent les seigneurs de Villers du début du XIVe siècle (voire plus tôt) jusqu'en 1763, date à laquelle la seigneurie fut vendue par Jean Achille René Romain Le Tirant à Pierre Louis René Cahouet ; ce dernier revend le château et les terres en 1778 à Jean Louis Loiseau de Berenger. Pierre-Victor Roger de Gadancourt en devint le nouveau propriétaire en 1782, l'ayant acquis pour son fils aîné, Alexandre François Roger de Berville, comte de Villers, conseiller au parlement de Paris, qui lui succéda en 1806. Il est à l'origine de la famille Roger de Villers, ayant choisi d'adopter le nom de sa résidence.

    Au XVIIe siècle, de nombreuses personnalités séjournent au village, afin de rendre visite à Christophe Ozanne (1633-1713), cultivateur du hameau de Chaudray, et surtout guérisseur renommé. Madame de Sévigné dressa de lui un portrait flatteur.

    En 1790, lors du premier recensement, on comptait 480 habitants dans le village, nombre qui augmenta jusqu'en 1882 avant de décliner, le village étant victime comme tant d'autres de l'exode rural. En 1962, 44 % des maisons de la commune étaient des résidences secondaires. L'école faillit fermer dans les années 1990. Sauvée par une politique d'adaptation aux nouveaux besoins (cantine, garderie…), la plupart des maisons du village sont redevenues des résidences principales et la population augmente de nouveau.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du [9], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise, après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Magny-en-Vexin[10]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Vauréal

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise.

    Intercommunalité

    Villers-en-Arthie est membre fondateur de la communauté de communes Vexin - Val de Seine, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2005.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis la Libération de la France[11]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1944 Auguste Rivoire
    1944 1945 Henri Genevee
    1945 1949 Henri Royer
    1949 1953 Robert Guichard
    1953 1955 Germain Turlan
    1955 1976 Marcel Dreux
    1976 1983 Philippe Lefevre
    1983 octobre 1985 Thibault Roger de Villers
    octobre 1985 mars 2001 Jacques Haranger
    mars 2001 2008 Jean-Pierre Potez Président de la CC Vexin - Val de Seine (2005 → 2010)
    mars 2008[12] En cours
    (au 22 juillet 2020)
    Jean-François Renard UMP → LR[13]
    puis DVD
    Président de la CC Vexin - Val de Seine (2010 → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[14]

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].

    En 2020, la commune comptait 490 habitants[Note 3], en diminution de 2,58 % par rapport Ă  2014 (Val-d'Oise : +3,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    570498513529571568609605592
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    531540537575521553518453474
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    451432391317318299265266270
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    236233253304350426464466463
    2014 2019 2020 - - - - - -
    503490490------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee Ă  partir de 2006[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint Martin.
    Château de Villers-en-Arthies.

    Villers-en-Arthies compte deux monuments historiques sur son territoire :

    • Église Saint-Martin (inscrite monument historique par arrĂŞtĂ© du [18]) : La première Ă©glise de Villers-en-Arthies doit remonter au XIe siècle, Ă©tant donnĂ© que la paroisse a Ă©tĂ© Ă©rigĂ©e en 1066. Les murs du chĹ“ur polygonal pourraient remonter Ă  cette Ă©poque, et les autres parties datent du XIIe ou du XIIIe siècle, hormis le collatĂ©ral, ajoutĂ© au XVIe siècle. Ă€ la suite des ravages de la guerre de Cent ans, l'Ă©glise est reconstruite Ă  cette Ă©poque, et les voĂ»tes de la nef sont refaites. Or, l'intĂ©rieur du chĹ“ur, une partie du mur sud de la nef et toutes les toitures sont dĂ©truits par un bombardement pendant les combats de libĂ©ration en septembre 1944, et l'Ă©glise ressemble alors Ă  une ruine. Les voĂ»tes du chĹ“ur sont refaits en bois, mais en imitant la structure du XIIIe siècle. La reconstruction du gros-Ĺ“uvre est effectuĂ©e entre 1946 et 1953, mais l'Ă©glise reste encore remplie de gravats et les fenĂŞtres ne sont pas vitrĂ©es. Les travaux restants ne seront exĂ©cutĂ©s qu'entre 1958 et 1961, grâce Ă  une souscription auprès des habitants et un grand effort financier de la part de la commune. L'Ă©glise se compose d'une nef de quatre travĂ©es accompagnĂ©e d'un unique collatĂ©ral au nord ; d'un transept ; d'un clocher-tour latĂ©ral au nord du croisillon nord du transept, disposition rare dans le Vexin ; d'un chĹ“ur de deux travĂ©es ; et d'une chapelle latĂ©rale nord devant sa première travĂ©e, dans la continuitĂ© du croisillon nord et du collatĂ©ral nord. La première travĂ©e du chĹ“ur est trapĂ©zoĂŻdale, car l'axe du chĹ“ur devie vers le nord, et la seconde travĂ©e comporte une partie droite voĂ»tĂ©e sĂ©parĂ©ment, puis une partie Ă  cinq pans recouverte par une voĂ»te sexpartite. Par ailleurs, la première travĂ©e du chĹ“ur, postĂ©rieure Ă  l'abside, est bien plus basse que cette dernière. La nef et le collatĂ©ral sont voĂ»tĂ©s Ă  la mĂŞme hauteur, et se partagent une toiture commune Ă  deux rampants. Le clocher comporte trois Ă©tages, dont le premier est aveugle. Le deuxième Ă©tage est percĂ© d'une fenĂŞtre plein cintre par face, et sa troisième Ă©tage de deux baies gĂ©minĂ©es en cintre brisĂ© par face. La cloche fondue en 1688 provient du château de Marly-le-Roi oĂą elle sonnait les quarts d'heures. La façade occidentale de style gothique flamboyant est encadrĂ©e par deux contreforts couronnĂ©s par des pinacles. Le remarquable portail est alignĂ© sous le pignon, et non sur l'axe de la nef. Son archivolte en tiers-point est Ă©galement cantonnĂ© de deux clochetons stylisĂ©s, et surmontĂ© par deux arcs en accolade. Le tympan arbore une niche Ă  statue vide et des fers Ă  cheval sculptĂ©s dans la pierre[19] - [20] - [21].
    • Château (inscrit monument historique en 1945, sauf le « Temple du Vrai Bonheur », inscrit en 1999[22]) : Il est Ă©difiĂ© au point le plus Ă©levĂ© du village et date du dĂ©but du XVIIe siècle. Le corps de logis principal, Ă  un Ă©tage, porte sur sept travĂ©es. Des fenĂŞtres Ă©troites alternent avec des fenĂŞtres larges, rythme repris par les lucarnes. La façade est cantonnĂ© horizontalement par des larmiers peu saillants, et verticalement par des chaĂ®nages. Deux pavillons latĂ©raux en saillie et hauts de deux Ă©tages flanquent le corps de logis principal. Celui de gauche est Ă©difiĂ©e sur les fondations d'un ancien rendez-vous de chasse ; il en subsiste la vieille tour dite de la Reine Blanche. Les trois ailes du château possèdent chacune des toits Ă  deux croupes, couverts d'ardoise. La grille d'entrĂ©e fermant la cour d'honneur est surmontĂ©e des armoiries en fer forgĂ© d'Alexandre François Roger de Villers. Dans le parc d'une superficie de 28 ha, subsistent une glacière, et le temple du « Vrai Bonheur », Ă©difice de style grec Ă©levĂ© en 1790 par le comte de Villers en l'honneur de Catherine de Vernay, sa première Ă©pouse disparue, morte en couches en lui laissant un petit garçon. Le temple porte en fronton l'inscription : « Optimæ Conjugi » (Ă€ la meilleure des Ă©pouses). L'allĂ©e de tilleuls de l'entrĂ©e fut plantĂ©e en 1610. La grille du château se trouvant actuellement Ă  l'entrĂ©e du jardin, en haut de l'allĂ©e, se situait jadis au pied de l'allĂ©e, au niveau de l'entrĂ©e actuelle de la mairie. On peut encore distinguer Ă  droite de la mairie les anciens pieds du portail[21] - [19]. Le château est ouvert Ă  la visite pendant une partie de l'annĂ©e.

    On peut Ă©galement signaler :

    • Croix pattĂ©e dite croix de Carnage : Petite croix trapue semblable Ă  celles d'Omerville et du hameau de Ducourt, sur la commune de Saint-Gervais. La fonction de ces croix Ă©tait celle d'une borne[21].
    • Abreuvoir et fontaine, Grande-rue : Deux renfoncements voĂ»tĂ©s sous la terrasse d'une propriĂ©tĂ© abritent chacun un bassin : Le plus petit, Ă  gauche, sert de fontaine ; le plus grand, Ă  droite, servait d'abreuvoir aux chevaux.
    • Lavoir couvert, route des Mares, près du chemin du Rocher : Le bâtiment est ouvert cĂ´tĂ© rue et accessible au public. RestaurĂ© rĂ©cemment, il possède un bassin subdivisĂ© en deux parties, avec des emplacements dĂ©diĂ©s aux lavandières Ă  gauche et Ă  droite. Trois toits en appentis protègent l'espace autour du bassin, Ă  gauche, au fond et Ă  droite. Le sol est pavĂ©.
    • Lavoir ouvert, au hameau de Villeneuve : N'en subsiste qu'un bassin subdivisĂ© en deux parties, les autres amĂ©nagements ayant disparu avec le temps.
    • Maison du peintre François Rivoire (1842-1919), Saint-LĂ©ger : Maison de style classique Ă©levĂ©e sur une terrasse. Le pĂ©ristyle avec balcon qui court devant toute la façade est influencĂ© par l'architecture de La Nouvelle-OrlĂ©ans[21].
    • Ancien cafĂ©, 18 Grande-rue : Il conserve son amĂ©nagement intĂ©rieur du dĂ©but des annĂ©es 1920, comptoir, tables et chaises compris. De ce fait, le cafĂ© a plusieurs fois servi de lieu de tournage pour des films[21].

    Personnalités liées à la commune

    Villers-en-Arthies et le cinéma

    Un dimanche à la campagne (1984) de Bertrand Tavernier[23] et La course de l'escargot (1998) de Jérôme Boivin furent tournés à Villers.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Villers-en-Arthies », Ministère de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Communes limitrophes de Villers-en-Arthies » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes de Villers-en-Arthies » sur Géoportail..
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Commune hors attraction des villes », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    9. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    10. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    11. Villers-en-Arthies, Jean Dubar et Jean Rochefort, non édité, octobre 1993, ouvrage mis en ligne par Jean Rochefort.
    12. Préfecture du Val-d'Oise - Liste des maires du département du Val-d'Oise, avril 2008
    13. « Les 15 premiers candidats de l'UMP », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
    14. Maxime Laffiac, « Jean-Francois Renard rempile à l’intercommunalité Vexin-Val de Seine : Samedi 11 juillet, Jean-François Renard (DVD), maire de Villers-en-Arthies, a été réélu à la tête de l'intercommunalité Vexin-Val de Seine », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Seul candidat en lice, il s’agit du deuxième mandat qu’il exercera à la tête de l’intercommunalité ».
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2004, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    18. « Église Saint-Martin », notice no PA00080233, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    19. « L'église Saint-Martin / Le château », sur Villers-en-Arthies (site officiel) (consulté le ).
    20. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Villers-en-Arthies, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 333-334.
    21. Jean-Loup Corbasson, Pascal Goutrat et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Villers-en-Arthies », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 607-610 (ISBN 2-84234-056-6).
    22. « Château », notice no PA00080232, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    23. Lieux de Tournage Cinématographique
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