Novalaise
Novalaise est une commune française située en Avant-Pays savoyard dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Novalaise | |||||
Vue du centre de Novalaise. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Savoie | ||||
Arrondissement | Chambéry | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Lac d'Aiguebelette | ||||
Maire Mandat |
Claudine Tavel 2020-2026 |
||||
Code postal | 73470 | ||||
Code commune | 73191 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Novalesans/Novalaisiens | ||||
Population municipale |
2 185 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 134 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
220 118 hab. (2019) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 35′ 43″ nord, 5° 46′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 371 m Max. 1 160 m |
||||
Superficie | 16,26 km2 | ||||
Type | Commune semi-urbaine | ||||
Aire d'attraction | Chambéry (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Bugey savoyard | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Savoie
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
| |||||
Liens | |||||
Site web | novalaise.fr | ||||
La commune appartient à la communauté de communes du lac d'Aiguebelette (CCLA).
Géographie
Situation
La commune de Novalaise se situe à l'ouest du département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes[1]. C'est une commune de l'Avant-Pays savoyard, située à 2 km au nord-ouest du lac d'Aiguebelette et à l'ouest du col de l'Épine, à une altitude de 428 m.
Novalaise est située à 558,89 km par la route[Note 1] au sud-est de Paris-Notre-Dame[2], point zéro des routes de France, à 90,19 km au sud-est de Lyon[3], la capitale régionale, à 19,81 km au nord-ouest de Chambéry[4], préfecture du département et à 75,97 km au nord de Grenoble[5].
La commune fait partie du bassin de vie de Pont-de-Beauvoisin[1].
Communes limitrophes
La commune est entourée du nord à l’ouest, par l'est puis le sud par : Marcieux, Nances, Aiguebelette-le-Lac, Saint-Alban-de-Montbel, Dullin, Ayn, Rochefort, Sainte-Marie-d'Alvey et Gerbaix.
Sainte-Marie-d'Alvey | Gerbaix, Marcieux | Nances | ||
Rochefort | N | Nances | ||
O Novalaise E | ||||
S | ||||
Ayn, Dullin |
Saint-Alban-de-Montbel | Aiguebelette-le-Lac |
Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Nances (2 km), Marcieux (2,2 km), Gerbaix (2,6 km), Ayn (2,9 km), Sainte-Marie-d'Alvey (4 km), Rochefort (4,1 km), Verthemex (4,1 km), Saint-Pierre-d'Alvey (4,6 km), Saint-Alban-de-Montbel (4,8 km), et Dullin (4,9 km).
Géologie et relief
La commune de Novalaise se situe à environ 428 mètres d'altitude, Les montagnes environnantes sont :
A l'Est, se situe la Montagne de l'Épine culminant à environ 987 mètres d'altitude, à l'Ouest se situe le Mont Grelle culminant elle à environ 1427 mètres d'altitude.
Ces montagnes appartiennent au Massif du Jura.
Carte du relief de Novalaise. Carte géologique de Novalaise.
Ères | Périodes géologiques | Époques géologiques | Nature des sols | ||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque | Quaternaire | Holocène | |||||||||||||||
Pléistocène | |||||||||||||||||
Néogène | Pliocène | non présent. | |||||||||||||||
Miocène |
| ||||||||||||||||
Paléogène | Oligocène | non présent. | |||||||||||||||
Éocène | non présent. | ||||||||||||||||
Paléocène | non présent. | ||||||||||||||||
Mésozoïque | Crétacé | Crétacé supérieur | non présent. | ||||||||||||||
Crétacé inférieur |
| ||||||||||||||||
Jurassique | Jurassique supérieur |
|
Hydrographie
Située sur la rive nord-ouest du lac d'Aiguebelette, Novalaise est traversée par de nombreux ruisseaux qui alimentent ce lac :
- le ruisseau de Pra Long[10], long de 7,06 km, qui prend sa source dans la commune de Marcieux et se jette dans le lac d'Aiguebelette au niveau de la commune de Nances ;
- le ruisseau des Bottières[11], affluent du ruisseau de Pra Long, long de 3,38 km, qui prend sa source dans la commune de Ayn et rejoint le Pra long à Novalaise ;
- le ruisseau des Colombs[12], affluent du ruisseau des Bottières, long de 3,42 km, qui prend sa source dans la commune de Ayn et rejoint le ruisseau des Bottières à Novalaise ;
- le ruisseau de la Bertinière[13], affluent du ruisseau de Pra Long, long de 2,4 km, qui prend sa source dans la commune de Gerbaix et rejoint le Pra long à Novalaise en marquant sur un partie de son parcours la limite entre ces deux communes ;
- le ruisseau de la Palud[14], affluent du ruisseau de Pra Long, long de 2,22 km, qui prend sa source dans la commune de Ayn et rejoint le Pra long au niveau de la commune de Nances ;
- le ruisseau du Commun[15], affluent du ruisseau de Pra Long, long de 1,46 km, qui prend sa source dans la commune de Novalaise et rejoint le Pra long au niveau de la commune de Nances ;
- le ruisseau des Bottières[11], affluent du ruisseau de Pra Long, long de 3,38 km, qui prend sa source dans la commune de Ayn et rejoint le Pra long à Novalaise ;
- le ruisseau de Jeanjoux[16], tributaire du lac d'Aiguebelette, long de 1,99 km, qui prend sa source dans la commune de Novalaise et rejoint le lac au niveau de cette commune ;
- le ruisseau du Luzara[17], tributaire du lac d'Aiguebelette, long de 1,89 km, qui prend sa source dans la commune de Novalaise et rejoint le lac au niveau de la commune de Saint-alban-de-montbel ;
- le ruisseau du Neyret[18], tributaire du lac d'Aiguebelette, long de 1,86 km, qui prend sa source dans la commune de Novalaise et rejoint le lac au niveau de la commune de Nances.
Urbanisme
Typologie
Novalaise est une commune semi-urbaine, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [19] - [20] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,38 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,08 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43,19 %), forêts (25,48 %), zones agricoles hétérogènes (21,84 %), zones urbanisées (6,24 %), eaux continentales[Note 5] (2,88 %), terres arables (0,35 %)[24].
Type d’occupation | 1990 | 2018 | Bilan | ||
---|---|---|---|---|---|
Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles) |
73,56 ha | 4,55 % | 101,03 ha | 6,25 % | 27,46 ha |
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes) |
1 067,94 ha | 66,08 % | 1 056,64 ha | 65,38 % | −11,31 ha |
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation) |
427,90 ha | 26,48 % | 411,75 ha | 25,48 % | −16,16 ha |
Surfaces en eau (eaux continentales, eaux maritimes) |
46,62 ha | 2,88 % | 46,62 ha | 2,88 % | 0 ha |
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Lieux-dits et écarts
La commune compte 314 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[25] (source : le fichier Fantoir).
Logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1079 alors qu'il était de 1032 en 2008, 957 en 2008, 773 en 1999 et de 695 en 1990[i 1]. Parmi ces logements, 82,0 % étaient des résidences principales, 10,2 % des résidences secondaires et 7,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 79,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 20 % des appartements[i 2].
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait en 2018 à 73,5 % contre 24,6 % de locataires et 1,9 % logés gratuitement[i 3] - [Note 7].
Voies routières
Le sud du territoire de la commune est traversé d'ouest en est par l'autoroute A43. Celle-ci est accessible par le diffuseur no 12 (Aiguebelette) situé à 4 km au sud-est de Novalaise. L'A43 donne accès aux aéroports de Chambéry et de Lyon situés respectivement à 20 et 70 km de Novalaise.
Plusieurs routes départementales relient Novalaise aux communes voisines :
- la D 36, vers le sud-ouest en direction de Ayn ;
- la D 36e, vers le sud-ouest en direction de Ayn ;
- la D 40, vers le nord en direction de Gerbaix ;
- la D 41, vers le nord en direction de Marcieux et vers le sud-est en direction de Nances ;
- la D 916, vers l'est (route du col de l'Épine) en direction de La Motte-Servolex via Nances, et vers l'ouest en direction de Sainte-Marie-d'Aley ;
- la D 921, vers le nord en direction de Marcieux, vers le sud-est en direction de Nances et vers le sud en direction de Saint-Alban-de-Montbel.
Transport en commun
La ligne S1 du réseau du Réseau interurbain de la Savoie dessert la commune de Novalaise. Cette ligne relie Sain-Alban-de-Montbel à la gare routière de Chambéry[26].
La gare la plus proche est celle de Lépin-le-lac - La Bauche, à 8 km de Novalaise, située sur la ligne de Saint-André-le-Gaz à Chambéry et desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes.
Toponymie
La première mention du toponyme est de Novalesia dans une donation en 1308 du comte Amédée V de Savoie au seigneur Guillaume III de Montbel[27] - [28]. On trouve plus tard Novalisia en 1371, puis Novalesieum en 1581[29]. Un siècle plus tard, le nom de la paroisse est attesté sous la forme Parrochia de Novaleise[29]. Selon les différentes sources, en 1730 et 1738, le toponyme connaît différentes graphies Nonvalèse, Nouvalaise, Novalèze, Novalèse, ainsi qu'un déterminant complémentaire Novalaise en Savoye, Novalèze en Savoye[29].
Théodore Fivel (1828-1894), architecte, voyait dans le toponyme un dérivé de *nova Alesia, le site de l'Alésia de César[30]. Cette hypothèse est écartée par les toponymistes[31].
Le toponyme est un dérivé du latin novale ou novales, que l'on peut traduire par « terre nouvellement défrichée », suivi du suffixe gaulois et latin -itia[27] - [31] - [28] - [32].
Homonymie avec Neulise (Loire, de Novalisio XIe siècle)[28] et avec Novalaise (Italie, sous le Mont-Cenis, Novalesa en italien).
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Novalaze, selon la graphie de Conflans[33].
Histoire
Au XIIe siècle, les moines de Tamié établissent une grange dite de « L'Espine », sur la paroisse de Saint-Jean-de-Novalaise. Celle-ci est citée en 1171 par une bulle du pape Alexandre III[34].
La seigneurie l'Epine-Montbel, qui comprend la montagne de l'Épine appartient aux sieurs de Montbel, qui possédait un château, Castrum Montisbelli, citée dès le XIIIe siècle. En ruines depuis le XIVe siècle, le site de Montbel est devenu un hameau de la commune. Le bailliage de la Novalaise, au XIIIe siècle, comportait 7 châtellenies et 41 paroisses dans le Bugey Savoyard (devenu Avant-Pays savoyard) et 22 dans le Dauphiné avec pour chef-lieu Voiron.
La paroisse obtient des comtes de Savoie l'autorisation pour un marché le mercredi (1308) ainsi que l'établissement d'une foire deux fois par an (1371)[27].
La commune a été un chef-lieu de canton en 1792 lors du rattachement à la France, jusqu’en 1816, regroupant 8 communes : Ayn, Dullin, Gerbaix, Marcieux, Nances (qui fusionne avec Novalaise de 1803 à 1858), Saint-Alban-de-Montbel, Saint-Pierre-d'Alvey et Verthemex. En 1816, avec le retour à la Savoie, le canton de Novalaise est démantelé pour permettre l’extension du canton de Pont-de-Beauvoisin, du canton de Saint-Genix-sur-Guiers et du canton de Yenne. En 1870, la commune fait une demande au conseil général de Savoie pour retrouver sa fonction, mais obtient une réponse négative. Petit à petit la commune perd toutes ses fonctions de commandements.
Le village possède un marché hérité des anciennes foires du XIIIe siècle, qui se sont transformées en marché du jeudi (1925, mais abandonné), puis du dimanche (sur l’initiative d’un fromager chambérien en 1945), se dédoublant en marché du mercredi.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune fait partie de la communauté de communes du lac d'Aiguebelette.
Liste des maires
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Novalesans[29].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2020, la commune comptait 2 185 habitants[Note 8], en augmentation de 7,95 % par rapport à 2014 (Savoie : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune dispose d'écoles maternelles et élémentaires publiques, de classes de maternelles et élémentaires au sein de l'école privée Notre-Dame, ainsi qu'un collège public[41] :
- le collège de l'Épine ;
- l'école primaire du Bief-du-Moulin ;
- l'école privée Notre-Dame.
Sports et loisirs
- BCN - basket club novalaise
- ASN - association sportive de football de Novalaise
- ACLA - aviron club du lac d'Aiguebelette
- Tennis club Novalaise
Économie
La commune fait partiellement partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[42] - [43].
On y trouve 36 commerces, 22 artisans, 22 personnels médical (médecins, infirmiers, podologue, etc.)[44].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Jean-Baptiste appelée aussi église Saint-Jean de l'Épine[34]. Le bâtiment est cité dans des documents du XIVe siècle, date de construction du clocher, sous le nom Apud Sanctum Johannem de Novalesia[29] ;
- La grange de l'abbaye de Tamié (XVIIe siècle)[34] ;
- Le Château de Montbel, édifié vers le XIe siècle ou le XIIe siècle, contrôlait l'accès au col de la Crusille et détruit vers la fin XVIe siècle lors des conflits opposant la Savoie à la France[45].
Patrimoine environnemental
- Lac d'Aiguebelette.
- Montagne de L'épine
Novalaise et la littérature
La commune est citée dans le roman policier de Jack Chaboud, Le tronc de la veuve. Avec une référence au roman de San-Antonio, Tango chinetoque, qui s'achève dans le lac d'Aiguebelette, près de « Novalaise plage ».
Voir aussi
Bibliographie
- Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno et André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes, vol. 1 : Chambéry et ses environs. Le Petit Bugey, Roanne, Éditions Horvath, , 475 p. (ISBN 978-2-7171-0229-1), p. 351-355. ([PDF] lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations, un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Insee
- Dossier relatif à la commune, publié le , [lire en ligne (page consultée le 5 septembre février 2022)]
- LOG T1 - Évolution du nombre de logements par catégorie en historique depuis 1968.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
Autres sources
- « Métadonnées de la commune de Novalaise » (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Novalaise et Paris », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Novalaise et Lyon », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Novalaise et Chambéry », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Novalaise et Grenoble », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Novalaise », sur www.villorama.com (consulté le ).
- « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
- « Notice explicative de la feuille de la Tour-du-Pin à 1/50 000 » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
- « Notice explicative de la feuille de Chambéry à 1/50 000 » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Pra Long (V1530520) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau des Bottières (V1530540) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau des Colombs (V1531040) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de la Bertinière (V1531020) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de la Palud (V1531060) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau du Commun (V1531080) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Jeanjoux (V1531120) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau du Luzara (V1531140) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau du Neyret (V1531100) ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chambéry », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté le ).
- « Lignes autour de Chambéry », sur cars-region-savoie.fr/ (consulté le ).
- Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 323-324..
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, , 704 p. (lire en ligne), p. 346, 5531.
- Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 351.
- Théodore Fivel (1828-1894), L’Alésia de César : près de Novalaise sur les abords du Rhône », 1866, architecte départemental de la Savoie, membre de l'Académie de Savoie. Voir aussi l'article Historiographie du débat sur la localisation d'Alésia. Cité dans l'article de M. Reddé, « La querelle d'Alésia, hier et aujourd'hui », dans M. Reddé et S. von Schnurbein dir., Alésia et la bataille du Teutoburg : un parallèle critique des sources, Institut historique allemand, 2008, p. 154.
- Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 11..
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 494b.
- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 22Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
- Félix Bernard, L'Abbaye de Tamié, ses granges (1132-1793), impr. Allier, , 307 p., p. 66.
- Annuaire statistique du département du Mont-Blanc pour l'an XIV (1805-1806), rédigé par Mr Palluel, secrétaire de la préfecture, Chambéry, page 19 (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Site de la commune de Novalaise - Etablissements scolaires », sur novalaise.fr.
- Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
- Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
- Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 353.