Nadaillac
Nadaillac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Nadaillac | |||||
L'église Saint-Denis de Nadaillac. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Sarlat-la-Canéda | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Fénelon (nouvelle) | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Veyssière 2020-2026 |
||||
Code postal | 24590 | ||||
Code commune | 24301 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Nadaillacois, Nadaillacoises | ||||
Population municipale |
386 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 02′ 23″ nord, 1° 23′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 197 m Max. 347 ou 351 m |
||||
Superficie | 26,90 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Brive-la-Gaillarde (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Terrasson-Lavilledieu | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | nadaillac.fr | ||||
Géographie
Généralités
Nadaillac est la commune la plus orientale de la Dordogne.
Son sol calcaire est planté d'arbres truffiers (très prospère au début du XIXe siècle).
Communes limitrophes
Nadaillac est limitrophe de sept autres communes dont deux en Corrèze et une dans le Lot. Au sud-ouest, son territoire est éloigné d'environ 620 mètres de celui de Paulin.
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Nadaillac est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1]. Elle est dans le causse de Terrasson qui concerne quelques communes, au sud de Terrasson-Lavilledieu, sur les coteaux en rive gauche de la Vézère.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j2-3(Bz), date du Bajocien moyen au Bathonien inférieur, composée de calcaires micritiques et sublithographiques à oncolithes et de stromatolithes en alternance avec des niveaux de marnes noires en bancs réguliers. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 784 - Terrasson » et « no 785 - Brive-la-Gaillarde » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2] - [3] et leurs notices associées[4] - [5].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
| |||||||||||||
Pléistocène | non présent | |||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | |||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
non présent | |||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur | ||||||||||||||
inférieur | non présent. | |||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.3) |
Supérieur | non présent | ||||||||||||||
Moyen |
| |||||||||||||||
Jurassique inférieur | non présent | |||||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | |||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 197 mètres[6] au nord-ouest, près de la fontaine du Roc, et 347[6] ou 351 mètres[7] dans le sud-est, au nord-ouest du lieu-dit Souzet[8].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] - [10]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[11].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 26,90 km2[6] - [12] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 27,65 km2[3].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Compte tenu de la nature karstique du sol, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune[16] - [Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
Bien qu'aucun cours d'eau ne baigne la commune, celle-ci est néanmoins couverte par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont » et « Vézère-Corrèze » pour les eaux de ruissellement et les eaux souterraines. Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Le SAGE « Vézère-Corrèze », dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[18]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].
Au nord, plus de 80 % du territoire communal dépend du SAGE Vézère-Corrèze. Deux petites zones au sud-est et au sud-ouest, en limite de Jayac, Borrèze et Gignac, sont rattachées au SAGE Dordogne amont.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cressensac », sur la commune de Cressensac-Sarrazac, mise en service en 1991[26] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[27] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 021,9 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 17 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[30], à 12,7 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[32].
Milieux naturels et biodiversité
Nadaillac n'est pas mentionnée parmi les communes faisant partie de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II Secteur forestier de Borrèze[33]. Cependant, une vingtaine d'hectares au sud-ouest de la commune en fait néanmoins partie, comme le montre la carte du site[34].
Urbanisme
Typologie
Nadaillac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [35] - [36] - [37].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[38] - [39].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,7 %), zones agricoles hétérogènes (48,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), prairies (0,1 %)[40].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg de Nadaillac proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[41] :
- Bois de Fouret
- Bois de la Forêt
- Bois de Menissou
- Bois de Peyrissou
- Bois de Rouvès
- Combe Vieille
- Fontaine de la Belle
- Fontaine du Roc
- Gouffre de Leyge
- La Forêt
- La Pimaurie
- La Raymondie
- La Chambroisie (où se trouve la Chapelle Sainte-Marie-Madeleine de Chambrezès)
- La Vignotte
- Lafage
- Lalbat
- Le Bassel
- Le Bos
- Le Breuil
- Le Clédoux
- Le Faget
- Le Lacco
- Le Poustor
- Le Tilleul
- Le Verdier
- Le Vignal
- Les Arlins
- Les Bois
- Les Bois du Mons
- Les Boussuges
- Les Bouyges
- Les Campagnes
- Les Clauds
- Les Fargadoux
- Les Fontenilles
- Les Garennes
- Les Grangettes
- Les Millarets
- Les Pernégoux
- Les Places
- Les Salles
- Mas Del Sartre
- Mialodre
- Nadaillac
- Pech Buffet
- Pechgouyrand (parfois orthographié Pégouyras)
- Pichagne
- Pouille
- Roussel
- Rouvès
- Ségonfond
- Souzet
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Nadaillac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[42]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[43].
Nadaillac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[44]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[45] - [46].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[42].
Toponymie
Origine du nom : le mot provient d'un nom de personnage gallo-roman suivi de « acum », ce nom Natalius formé à partir du latin Natalis signifiant « natal ».
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Nadaillac a, dès 1790, été rattachée au canton de la Cassagne qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Salignac (devenu canton de Salignac-Eyvignes en 1965, puis renommé en canton de Salignac-Eyvigues en 2001), dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[6].
Fin 2009, Nadaillac intègre la communauté de communes du Salignacois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays de Fénelon.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[48] - [49].
Liste des maires
Politique environnementale
Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[52].
Équipements et services publics
Justice
Dans le domaine judiciaire, Nadaillac relève[53] :
- du tribunal de proximité de Sarlat-la-Canéda ;
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Les habitants de Nadaillac se nomment les Nadaillacois, Nadaillacoises[54].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[56].
En 2020, la commune comptait 386 habitants[Note 9], en augmentation de 10,29 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Emploi
En 2015[58], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 155 personnes, soit 43,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quinze) a diminué par rapport à 2010 (vingt) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,9 %.
Établissements
Au , la commune compte quarante-trois établissements[59], dont dix-sept au niveau des commerces, transports ou services, onze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, six dans la construction, et deux dans l'industrie[60].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Tilleul (arbre de liberté de la commune) datant de la Révolution situé au Barry.
- La rue Noire avec les armoiries du Prince Noir d'Angleterre.
- L'église romane Saint-Denis de Nadaillac, XIIe siècle, inscrite au titre des monuments historiques en [61].
- La tour de Chanet, le cadran solaire, XIe siècle.
- Chapelle Sainte-Marie-Madeleine de Chambrazès, XIe siècle.
Personnalités liées à la commune
- Michel Bousquet médecin, décédé à Paris le . Médecin à Paris, il lègue par testament le à la fabrique de Nadaillac (Dordogne) « tous les livres et manuscrits de piété qui m'appartiendront à mon décès et tous ceux qui y seront ajoutés avec l'argent que produira la vente de mes livres de médecine et les autres livres qui ne concernent pas la religion... désirant ardemment que mes co-paroissiens deviennent aussi pieux que l'étaient nos bons aïeux. Je donne et lègue en toute propriété à perpétuité ma maison avec le jardin attenant, que j'ai dans le bourg dud(it) Nadaillac, à la fabrique dud(it) Nadaillac, pour être employé uniquement à une école pour les garçons et une pour les filles de la dite paroisse de Nadaillac... Je donne et lègue de plus à la fabrique de Nadaiilac, en toute propriété et à perpétuité, cinquante francs de rente perpétuelle... pour aider à favoriser et à entretenir la dite école... »
- Jean Veysset, maire de Nadaillac pendant 48 ans, fut élu en 1953 à l'âge de 26 ans, ce qui en faisait le plus jeune maire de France[62].
Distinctions culturelles
Nadaillac fait partie des communes ayant reçu en 2010 l’étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.
Héraldique
Blason | D'azur à l'épée haute d'argent accostée de deux lions affrontés d'or ; au chef d'or chargé d'une étoile d'azur[63].
|
|
---|---|---|
Détails | L'épée est celle des armes de la famille Esclafer de Laforce, les lions sont ceux présents sur le linteau de porte d'une maison de la rue Noire et l'étoile de Noël renvoie au nom de la commune : le « domaine de Noël » (ou Natalius en gallo-roman, Nadal en occitan). Création de Jean-René Bousquet adoptée en 2004. |
pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13] - [14]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Nadaillac » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Nadaillac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Nadaillac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 784 - Terrasson de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 785 - Brive-la-Gaillarde de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « 351 » sur Géoportail (consulté le 9 juillet 2022)..
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Nadaillac », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Nadaillac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- « SAGE Dordogne amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « SAGE Vézère-Corrèze », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Cressensac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Nadaillac et Cressensac-Sarrazac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Cressensac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Nadaillac et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- [PDF] - Secteur forestier de Borrèze (Identifiant national 720008196), Comité des inventaires Aquitaine, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 720008196, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Nadaillac » sur Géoportail (consulté le 15 septembre 2019)..
- « Les risques près de chez moi - commune de Nadaillac », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le )
- « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le )
- Le nom occitan des communes du Périgord - Nadalhac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 7 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 6 novembre 2020.
- Didier Rivet, « Troisième mandat pour Jean-Claude Veyssière », Sud Ouest édition Dordogne, 4 juillet 2020, p. 19.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 23.
- Site des villes et villages fleuris, consulté le .
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- « Dordogne > Nadaillac (24590) » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Dossier complet - Commune de Nadaillac (24301) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 5 décembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Nadaillac (24301) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 5 décembre 2018.
- « Église Saint-denis », notice no PA00082708, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 8 juillet 2010.
- Michèle Jourdain, L'ordre du mérite pour Jean Veysset, Sud Ouest édition Périgueux du 23 septembre 2013, p. 23.
- « 24301 Nadaillac (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).