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Mullus surmuletus

Le rouget de roche ou rouget-barbet de roche (Mullus surmuletus) est une espĂšce de poissons marins, carnivore, se nourrissant surtout sur le fond[1] - [2], de la famille des Mullidae.

C'est un poisson dont les populations semblent Ă©voluer en MĂ©diterranĂ©e[3], et qui Ă©tait rare en Manche et au Nord, dont le stock semble s'Ă©tendre vers le nord, mais sa rĂ©partition actuelle est encore mal connue, ce qui a poussĂ© la Commission europĂ©enne Ă  demander qu'il soit Ă©valuĂ©, ce que le CIEM (Conseil International pour l’Exploration de la Mer) a entrepris avec divers experts des ressources halieutiques et en crĂ©ant et pilotant un groupe de travail New Species Working Group (WGNEW), pour Ă©ventuellement envisager des mesures visant Ă  limiter le risque de surexploitation de cette ressource nouvelle et « Ă  forte valeur ajoutĂ©e »[4] pour l'Europe de l'Ouest par surpĂȘche[4].

RĂ©partition

PĂȘche des rougets-barbet de roche de 1950 Ă  2003 pour l'ocĂ©an Atlantique (FAO)
Évolution des captures de rougets-barbet par la flotte française de pĂȘche (de Boulogne-sur-Mer essentiellement) en Manche orientale et au sud de la mer du Nord (IVc & VIId), d'aprĂšs FAO.

Selon les prises, elle s'Ă©tend manifestement vers le nord depuis 1975 environ en Manche vers la Baltique, mais aussi le long des limites du plateau continental Ă  l'ouest du Royaume-Uni. Par exemple, alors qu'ils n'apparaissaient presque jamais dans les filets de 1925 Ă  1995 (quasi-absence durant 70 ans sauf en 1940 avec 19 rouget enregistrĂ©s dans la recherche faites par les services anglais de la pĂȘche »(FRS) en zone d'Ă©chantillonnage dĂ©mersales, sur un total de 329 chalutages). Il est depuis de plus en plus capturĂ©s par chalut lors des pĂȘches expĂ©rimentales ou des enquĂȘtes au large de l’Écosse, depuis 1995 et Ă  l'ouest comme Ă  l'est de l'Écosse. Cependant, dans cette rĂ©gion, tous les rouget pris par FRS depuis 1995 l'ont Ă©tĂ© au cours du premier trimestre de l'annĂ©e malgrĂ© un Ă©chantillonnage actif, ce qui laisse penser qu'il est encore dans cette zone en limite d'aire de rĂ©partition ou qu'il y a un comportent de migrateur saisonnier ; il pourrait s'agir d'une population nordique qui migre vers une zone oĂč l'eau est plus chaude en l'hiver[5].
En France, Ifremer et le ComitĂ© rĂ©gional des pĂȘches maritimes et des Ă©levages marins (CRPMEM) Nord - Pas-de-Calais - Picardie ont finalisĂ© en 2005 une premiĂšre Ă©tude[6] sur la biologie de l'espĂšce et sur ses pĂȘcheries, en profitant notamment de la campagne Channel Ground Fish Survey (CGFS) pour estimer son abondance annuelle en Manche/Sud mer du Nord[7],

PĂȘche

Le rouget-barbet de roche est actuellement pĂȘchĂ© sur la façade atlantique-Est, de l'Écosse au Maroc, ainsi qu'en mer du Nord et en MĂ©diterranĂ©e. Il fait partie des espĂšces d'intĂ©rĂȘt commercial qui semblent en train de remonter vers le nord, peut-ĂȘtre en raison du rĂ©chauffement climatique et peut-ĂȘtre aussi parce qu'il se nourrit plus facilement sur les fonds endommagĂ©s et remuĂ©s par les chaluts de fond ; autrefois uniquement pĂȘchĂ© par les Espagnols en mer MĂ©diterranĂ©e et dans le Golfe de Gascogne, on le trouve de plus en plus depuis la fin des annĂ©es 1980 en Manche et mĂȘme en mer du Nord ; ce sont maintenant les chalutiers boulonnais qui en dĂ©barquent le plus en France, et autant que les Espagnols[6] « En 1998, 60 % des prises françaises Ă©taient rĂ©alisĂ©es par les chalutiers de fond Ă©taplois[4] » et « En Manche Est et sud mer du Nord, de 1999 Ă  2004, les captures de rouget barbet ont augmentĂ© de 1000 Ă  4200 tonnes »[4].

C'est une espÚce dont la valeur commerciale est élevée. En Manche et Sud de la mer du Nord, son prix moyen (au débarquement) est situé aprÚs celui de la sole, le débarquement du rouget barbet est inférieur à celui de la sole, mais devant celui des autres poissons les plus débarqués (cabillaud, merlan et plie).

Parasitoses

rouget de roche avec un parasite (Anilocra physodes).

Comme beaucoup de poissons carnivores se nourrissant sur le fond, il est souvent parasité par des digÚnes et autres helminthes intestinaux (trématodes surtout). Sa communauté parasitaire, qui montre des spécificités géographiques, a été étudiée en Méditerranée[8].

Habitat

Bien que son nom rouget-barbet de roche laisse Ă  penser qu'il recherche sa nourriture dans les roches, Mullus surmuletus se rencontre le plus souvent sur les fonds meubles : sable, gravier ou herbier. Il peut cependant frĂ©quenter des fonds plus rocheux. On le trouve Ă  des profondeurs infĂ©rieures Ă  100 m, ce qui le diffĂ©rencie du rouget de vase (Mullus barbatus) qui vit Ă  de plus grandes profondeurs[9].

Alimentation

Rouget de roche sur la cĂŽte de Madeira

L'espĂšce est rĂ©putĂ©e chasser les espĂšces Ă©pigĂ©es Ă  vue et fouiller le substrat avec l'aide de ses barbillons mentonniers pour dĂ©tecter les espĂšces endogĂ©es[10]. Il fait un « tri buccal Â» des proies en recrachant les graviers et le sĂ©diment[10], dont de nombreux polychĂštes, dans une niche Ă©cologique qu'il partage avec par exemple (en MĂ©diterranĂ©e) avec Mullus barbatus,Pagrus pagrus et Gobius niger[11]. Il occuperait dans le rĂ©seau trophique une position de transition entre les espĂšces gĂ©nĂ©ralistes et spĂ©cialiste[11], et peut-ĂȘtre mĂȘme plutĂŽt spĂ©cialiste en MĂ©diterranĂ©e selon les conclusions d'une analyse du contenu stomacal de 446 spĂ©cimens (de 62 Ă  230 mm de longueur totale, pĂȘchĂ© au chalut de fond d' Ă  [12].
Selon l'analyse de son contenu stomacal (ex : 767 rougets de roche, Mullus surmuletus (LinnĂ©, 1758), juvĂ©niles et adultes capturĂ©s en Bretagne dans le nord du golfe de Gascogne), dans la nature), le rouget-barbet de roche est (en Atlantique, comme en MĂ©diterranĂ©e) un euryphage qui se nourrit d'organismes benthiques ; invertĂ©brĂ©s tels que des crustacĂ©s (amphipodes et dĂ©capodes, des vers polychĂštes, des mollusques ainsi peut-ĂȘtre que de petits poissons benthiques. Comme chez la plupart des espĂšces, son rĂ©gime alimentaire Ă©volue avec l'Ăąge. Il est exposĂ© Ă  une certaine bioconcentration de polluants (mĂ©taux lourds, notamment chez les individus ĂągĂ©s[13]) dans les rĂ©gions oĂč le substrat ou l'eau seraient polluĂ©s (en MĂ©diterranĂ©e, en aval des estuaires en Manche/Mer du Nord par exemple, ou Ă  proximitĂ© de dĂ©pĂŽts de munitions immergĂ©es de la façade ouest-europĂ©enne lĂ  oĂč des munitions commenceraient Ă  fuir). Une Ă©tude faite en Mer Adriatique sur des rougets barbet ĂągĂ©s de 1 Ă  8 ans a montrĂ© que leur teneur en mĂ©taux (Cd, Zn, Fe,Mn) Ă©tait bien corrĂ©lĂ©e Ă  leur Ăąge, avec un taux Ă©levĂ© de cadmium toxique dans le foie, indice d'accumulation chronique[14].

  • On s'est aussi intĂ©ressĂ© aux rougets vivant non loin d'une mine d'uranium[15] connue pour des rejets de radon se dispersant mal en raison d'une position en vallĂ©e et susceptible de s'accumuler dans une zone habitĂ©e[16] - [17], et dont les rejets polluent la partie slovĂšne de la mer Adriatique. L'activitĂ© du 210Po et 210Pb a Ă©tĂ© mesurĂ©e dans les poissons dĂ©barquĂ©s pour le marchĂ© slovĂšne (idem pour des calmars mis sur le marchĂ© slovĂšne et des moules croissant dans la partie slovĂšne de la mer Adriatique)[18]. Les Concentrations et activitĂ© du 210Po dans les poissons, calmars et moules ont variĂ© de 0,039 Ă  35,0 Bq/kg poids frais. Pour le 210Pb, ils ont variĂ© de 0,08 Ă  3,03 Bq/kg poids frais. L'exposition annuelle par ingestion de 210Po et 210Pb avec le poissons, les calmars et les moules a Ă©tĂ© estimĂ©e Ă  47,6 ÎŒSv/an pour un slovĂšne moyen (selon donnĂ©es europĂ©ennes et FAO de consommation moyenne estimĂ©e).

État des stocks, gestion des pĂȘches

L'Ă©tat des populations et de sa mĂ©tapopulation sont mal connus, et comme le signalait[4] Camara Djiby en 2009, une forte augmentation des pĂȘches ne signifie pas toujours qu'une population soit en bon Ă©tat de conservation (par exemple si les techniques de pĂȘche ont progressĂ© au dĂ©triment de cette espĂšce).

Toxicologie, Ă©cotoxicologie

Se nourrissant parfois sur des fonds pollués et d'animaux susceptibles de bioaccumuler des métaux ou polluants organiques, il est susceptible de contribuer à la contamination du réseau trophique ;

  • On avait dĂ©jĂ  montrĂ©, sans surprise, que son foie et ses reins (organes de dĂ©toxication) pouvaient contenir diffĂ©rents mĂ©taux, de mĂȘme que son tube digestif. Comme chez la plupart des espĂšces marines, les protĂ©gines mĂ©tallothionĂ©ines sont utilisĂ©es par cette espĂšces pour fixer les mĂ©taux[19].
  • En 2008 et 2009, des analyses[20] de quelques mĂ©taux indĂ©sirables ou toxiques (arsenic, cadmium,cuivre, mercure et plomb) ont Ă©tĂ© faites par spectromĂ©trie d'absorption atomique ou AAS) de tissus musculaires (partie consommĂ©e par l'Homme) de Rougets barbet prĂ©levĂ©s dans les eaux croates de l'Adriatique.
    Si les concentrations de Cd, Cu, Hg et Pb obtenus Ă©taient sous les valeurs seuil de la rĂ©glementation communautaire europĂ©enne ; les taux d'arsenic (jusqu'Ă  70,9 mg/kg dĂ©passaient dans ce cas les limites recommandĂ©es ou obligatoires pour la consommation par l'Homme, pouvant selon la conclusion des auteurs « prĂ©senter un problĂšme de santĂ© humaine »[20].
    Les taux de ces 5 mĂ©taux dans la chair des rougets testĂ©s variaient selon les individus de 0.01 Ă  70,9 mg/kg pour l'arsenic, 0,002 Ă  0,85 mg/kg pour le cadmium, 0,001 Ă  57,3 mg/kg pour le cuivre, Hg 0,001 Ă  2,07 mg/kg pour le mercure et de 0,001 Ă  0,27 mg/kg pour le plomb[20].
    Les taux de mĂ©taux trouvĂ©s chez Mullus barbatus sont proches avec dans les foies de 6 Ă  183 Â”g/kg en poids humide pour le cadmium, et 39 Ă  970 Â”g/kg en poids humide de plomb. Le taux de cadmium dans le muscle variait quant Ă  lui de 4,1 Ă  29 Â”g/kg en poids humide, considĂ©rĂ© comme bas pour la MĂ©diterranĂ©e alors que le plomb (dans le muscle toujours) variait de 49 Ă  158 Â”g/kg en poids humide, taux comparables Ă  ceux d'autres poissons de l'Adriatique (le seuil Ă  ne pas dĂ©passer pour le plomb est de 0,3 mg/kg pour la chair (muscle) dans l'Union europĂ©enne).

Dans ce cas, il n'y avait pas de corrélation entre teneur en métaux des tissus musculaires et la taille du poison[21].

  • Le mercure prĂ©sente des propriĂ©tĂ©s particuliĂšres : il est plus toxique et bioassimilable pour l'Homme sous sa forme mĂ©thylĂ©e, qui de plus s'accumulent dans la chair et non dans le rein et le foie qui souvent ne sont pas consommĂ©s par l'Homme (bien qu'on puisse aussi en faire de la farine de poisson rĂ©introduite dans le circuit alimentaire). On a donc cherchĂ© Ă  le mesurer sous ses deux principales formes chez cette espĂšce et dans les tissus musculaires. Des analyses faites dans des rougets-barbet de la mer Ionienne et en Adriatique ont mis en Ă©vidence des taux significatifs et parfois trop Ă©levĂ©s de mercure total et de mĂ©thylmercure dans le Mullus barbatus (en mer Ionienne: Hg = 0,40 ÎŒg/gramme de chair humide, MeHg = 0,40 ÎŒg/gramme de chair humide - en Mer Adriatique : Hg = 0,49 ÎŒg/gramme de chair humide, le MeHg = 0,44 ÎŒg/gramme de chair humide) Ă  comparer au merlu (Merluccius merluccius) espĂšce pĂ©lagique (mer Ionienne: Hg = 0,09 ÎŒg/gramme de chair humide, le MeHg = 0,09 ÎŒg/gramme de chair humide; mer Adriatique: Hg = 0,18 ÎŒg/gramme de chair humide; MeHg = 0,16 ÎŒg/gramme de chair humide).
    Le mercure total a Ă©tĂ© mesurĂ© dans tous les Ă©chantillons des deux espĂšces en mer Adriatique, avec des taux restant sous la limite de dĂ©tection dans 25 % et 11 %, respectivement, du mulet et des Ă©chantillons de merlu de la mer Ionienne. Mais dans 18,8 % et 22,2 % des Ă©chantillons de Rouget de la mer Ionienne et l'Adriatique, respectivement, les taux de mercure total dĂ©passaient le niveau maximal fixĂ© par la Commission europĂ©enne (Hg = 0,5 ÎŒg/g en poids humide). Chez ces deux espĂšces, le mercure Ă©tait prĂ©sent presque complĂštement sous sa forme mĂ©thylĂ©e (60 % Ă  100 % du mercure dĂ©tectĂ©). Dans ce cas, l'apport hebdomadaires estimĂ© en mercure total reste infĂ©rieur Ă  la dose hebdomadaire tolĂ©rable provisoire (DHTP) pour les deux espĂšces, mais comme le mercure est essentiellement prĂ©sent sous forme de mĂ©thylmercure, leur consommation fournit un apport mĂ©thylmercure dĂ©passant la limite de sĂ©curitĂ© de l'OMS[22].
  • PrĂšs des cĂŽtes, des PCB et des rĂ©sidus de pesticides peuvent aussi ĂȘtre retrouvĂ©s dans la chair de cette espĂšces mais en mer Adriatique, il n'Ă©tait pas parmi les espĂšces les plus touchĂ©es[2].
  • Une Ă©tude a portĂ© sur la teneur en quelques perturbateurs endocriniens de la chair d'une espĂšce trĂšs proche (Mullus barbatus) ; alkylphĂ©nols (AP) et leurs dĂ©rivĂ©s Ă©thoxylĂ©s (APE), en l'occurrence nonylphĂ©nol (NP), octylphĂ©nol (OP) et polyĂ©thoxylates octylphĂ©nol (OPE), ainsi que chez 7 autres espĂšces marines comestibles de la mer Adriatique) pour tenter d'estimer l'apport pour la population italienne via l'alimentation ; On en a retrouvĂ© dans tous les Ă©chantillons analysĂ©s (comme chez les autres espĂšces Ă©tudiĂ©es (qui Ă©taient des crustacĂ©s ou 6 espĂšces de poissons : anchois, maquereau, merlu europĂ©en, sole commune et Lotte). Dans tous les cas, les taux les plus Ă©levĂ©s Ă©taient ceux de nonylphĂ©nol qui se concentrent manifestement dans le rĂ©seau trophique ; 118 Ă  399 ng/gramme de poids frais dans les crustacĂ©s et de 9,5 Ă  1 431 ng/gramme de poids frais, respectivement pour les crustacĂ©s et les poissons). L'octylphĂ©nol a aussi Ă©tĂ© retrouvĂ© Ă  des taux de 02,07 ng/gramme de poids frais Ă  04,07 ng/gramme de poids frais dans les crustacĂ©s et de 0,3 Ă  3,8 ng/gramme de poids frais dans les poissons[23].

Reproduction

La ponte a lieu de mai Ă  juillet.

DĂ©nomination

Ses autres noms vernaculaires sont :

  • Rouget-barbet
  • Surmulet
  • Rouget de roche

Ces deux derniÚres appellations ne sont pas reconnues en France par la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF)[24].

Les poissons dont le nom comporte le terme rouget sont traités dans l'article détaillé : Rouget.

DĂ©finition plus ancienne (1877)

«... Ouvrage : Les poissons (Synonymie - Description - MƓurs - Frai - PĂȘche - Iconographie...) par H.GERVAIS et R. BOULART (AttachĂ©s au Museum) avec une introduction de PAUL GERVAIS (Membre de l'Institut). Paris J. ROTHSCHILD EDITEUR (1877) Mullus sermuletus (avec un e et non un u)...

  • Angleterre : Striped Surmullet, Red Mullet, Surmullet
  • Allemagne : Grosser Rothbart
  • Italie : Triglia di scoglio
  • Espagne : Barbo

Le surmulet, assez rare dans l'océan Atlantique, est plus rare dans la Manche et la Méditerranée. Il se trouve aussi dans la mer du Nord et dans la Baltique. Il est dénommé :

Notes et références

  1. RĂ©gime alimentaire des rougets (Mullus barbatus Linnaeus, 1758 et Mullus surmuletus Linnaeus, 1758) du Golfe de Tunis H Gharbi
 - Bull. Inst. Nat. Sci. Tech. OcĂ©anogr. PĂȘche, SalammbĂŽ, 1979
  2. M. Perugini, M. Cavaliere, A. Giammarino, P. Mazzone, V. Olivieri, M. Amorena, Levels of polychlorinated biphenyls and organochlorine pesticides in some edible marine organisms from the Central Adriatic Sea ; Chemosphere, Volume 57, Issue 5, November 2004, Pages 391-400 (Résumé)
  3. S Jukic-Peladic, N Vrgoc, S Krstulovic-Sifner, C Piccinetti, G Piccinetti-Manfrin, G Marano, N Ungaro; Long-term changes in demersal resources of the Adriatic Sea: comparison between trawl surveys carried out in 1948 and 1998 ; Fisheries Research, Volume 53, Issue 1, September 2001, Pages 95-104 (Résumé)
  4. Camara Djiby, Évaluation prĂ©liminaire de stock de rouget barbet de roche (Mullus surmuletus) en Manche-sud mer du Nord ; MĂ©moire de fin d’études Pour l’obtention du Master Sciences Agronomiques et Agroalimentaires SpĂ©cialitĂ© Sciences Halieutiques et Aquacoles ; MĂ©moire soutenu : 2009-09-10.
  5. Doug Beare, Finlay Burns, Emma Jones, Kevin Peach, Dave Reid, Red mullet migration into the northern North Sea during late winter ; Journal of Sea Research Volume 53, Issue 3, February 2005, Pages 205-212 ; Doi:10.1016/j.seares.2004.06.003 (Résumé, en anglais)
  6. Mahé, K., Destombes, A., Coppin, F., Koubbi, P., Vaz, S., Le Roy, D. & Carpentier, A., 2005. Le rouget barbet de roche Mullus surmuletus (L. 1758) en Manche orientale et mer du Nord. Rapport de Contrat IFREMER/CRPMEM Nord-Pas-de-Calais, 187p.
  7. Carpentier, A. & Coppin, F., 1999. Campagnes expérimentales de chalutage en Manche orientale, Vol. II, Les campagnes C.G.F.S. 1997 et 1998, IFREMER/Contrat BioECO n°96/040, 174p.
  8. Le pommelet E., Bartoli P., Silan P., Biodiversité des digÚnes et autres helminthes intestinaux des Rougets : synthÚse pour Mullus surmuletus (Linné, 1758) et M. barbatus (L., 1758) dans le bassin méditerranéen = Biodiversity of the digeneans and other intestinal helminths of Goatfishes : a review for Mullus surmuletus (Linné, 1758) and M. barbatus (L., 1758) in the mediterranean basin ; Annales des sciences naturelles. Zoologie et biologie animale ; (ISSN 0003-4339) CODEN ASNBAQ ; 1997, vol. 18, no4, pp. 117-133 (3 p.1/2)
  9. , DORIS - FFESSM - Biologie et plongée - Faune et flore sous-marines et dulcicoles
  10. N'DA K., Régime alimentaire du rouget de roche Mullus surmuletus (Mullidae) dans le Nord du Golfe de Gascogne = Diet of the red mullet Mullus surmuletus (Mullidae) in the Northern area of the Bay of Biscay] ; Cybium ; (ISSN 0399-0974) ; Ed : Société française d'ichtyologie, Paris, FRANCE ; 1992, vol. 16, no2, pp. 159-167 (14 ref.); Fiche Inist/CNRS (avec résumé en français)
  11. Labropoulou M. ; Papadopulou-SMITH K.-N. , Foraging behaviour patterns of four sympatric demersal fishes ; CongrĂšs International Conference on the Biology of Coastal Environments, Bahrain, BAHREIN (06/04/1997) 1999, vol. 49, SUPA (142 p.) (39 ref.), [Notes: selected papers], pp. 99-108 ; [Fiche INIST/CNRS]
  12. M. Labropoulou, A. Machias, N. Tsimenides, A. Eleftheriou, Feeding habits and ontogenetic diet shift of the striped red mullet, Mullus surmuletus Linnaeus, 1758 ; Fisheries Research Volume 31, Issue 3, August 1997, Pages 257-267 doi:10.1016/S0165-7836(97)00017-9 (Résumé)
  13. Vlatka Filipović, Biserka Raspor, Metallothionein and metal levels in cytosol of liver, kidney and brain in relation to growth parameters of Mullus surmuletus and Liza aurata from the Eastern Adriatic Sea ; Water Research Volume 37, Issue 13, July 2003, Pages 3253-3262 doi:10.1016/S0043-1354(03)00162-3 (RĂ©sumĂ©, en anglais)
  14. Vlatka Filipović Marijić , Biserka Raspor, Metal exposure assessment in native fish, Mullus barbatus L., from the Eastern Adriatic Sea ; Toxicology Letters Volume 168, Issue 3, 5 February 2007, Pages 292-301 Highlights of EUROTOX 2006/6 CTDC Congress - 43rd Congress of the European Societies of Toxicology & 6th Congress of Toxicology in Developing Countries ; doi:10.1016/j.toxlet.2006.10.026
  15. Ćœirovski vrh ; Latitude & Longitude (Decimal Degrees) : 46.0830555556 : 14.1611111111
  16. M. Krizman et P. Stegnar, Environmental Impact of the 'Zirovski VRH' Uranium Mine on the Enhancement of Outdoor Radon Concentrations ; Online (ISSN 1742-3406) - Print ISSN 0144-8420 ; Oxford Journals Mathematics & Physical Sciences Medicine ; Radiation Protection Dosimetry ; Volume45, Issue1-4
    Pp. 723-728
  17. Krizman M. ; Byrne A. R. ; Benedik L. (JoĆŸef Stefan inst., nuclear chemistry dep.), Distribution of 230Th in milling wastes from the Ćœirovski vrh uranium mine (Slovenai), and its radioecological implications ; Journal of environmental radioactivity ; ISSN 0265-931X ; 1995, vol. 26, no3, pp. 223-235 (Fiche INIST/CNRS)
  18. Marko Ơtrok & Borut Smodiƥ , Levels of 210Po and 210Pb in fish and molluscs in Slovenia and the related dose assessment to the population ; Chemosphere Volume 82, Issue 7, February 2011, Pages 970-976 doi:10.1016/j.chemosphere.2010.10.075 (Résumé)
  19. Vlatka Filipović, Biserka Raspor, Metallothionein and metal levels in cytosol of liver, kidney and brain in relation to growth parameters of Mullus surmuletus and Liza aurata from the Eastern Adriatic Sea ; Water Research, Volume 37, Issue 13, July 2003, Pages 3253-3262 (rĂ©sumĂ©)
  20. Nina BilandĆŸić, Maja Đokić, Marija Sedak, Metal content determination in four fish species from the Adriatic Sea ; Food Chemistry Volume 124, Issue 3, 1 February 2011, Pages 1005-1010 doi:10.1016/j.foodchem.2010.07.060 (RĂ©sumĂ©)
  21. Z Kljaković GaĆĄpić, T Zvonarić, N Vrgoč, N OdĆŸak, A Barić ; Cadmium and lead in selected tissues of two commercially important fish species from the Adriatic Sea ; Water Research Volume 36, Issue 20, December 2002, Pages 5023-5028 doi:10.1016/S0043-1354(02)00111-2
  22. M.M Storelli, A Storelli, R Giacominelli-Stuffler, G.O Marcotrigiano, Mercury speciation in the muscle of two commercially important fish, hake (Merluccius merluccius) and striped mullet (Mullus barbatus) from the Mediterranean sea: estimated weekly intake ; Food Chemistry Volume 89, Issue 2, February 2005, Pages 295-300 doi:10.1016/j.foodchem.2004.02.036 (Résumé)
  23. Fulvio Ferrara, Fabio Fabietti, Mirella Delise, Enzo Funari, Alkylphenols and alkylphenol ethoxylates contamination of crustaceans and fishes from the Adriatic Sea (Italy) ; Chemosphere, Volume 59, Issue 8, May 2005, Pages 1145-1150 Résumé
  24. , MINEFE - DGCCRF - Listes des dénominations commerciales
  25. , Les poissons synonymie, description, frai, pĂȘche, iconographie... - Gallica

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Références taxonomiques

Bibliographie

  • (fr) Desbrosses P., 1933. - Contribution Ă  la connaissance de labiologie du rouget barbet en Atlantique nord (I). Rev. Trav. Inst.(Sci. Tech.) PĂȘch. Marit., 6: 249-270.
  • (fr) Fage, L., 1909. Étude de la variation chez le Rouget (Mullus barbatus L., M. surmuletus L.). Archives de Zoologie ExpĂ©rimentale et GĂ©nĂ©rale, 1(5) : 55p
  • (en) Lombarte, A. & Aguirre, H., 1997. Quantitative differences in the chemoreceptor systems in the barbels of two species of Mullidae (Mullus surmuletus and Mullus barbatus) with 159 different bottom habitats. Marine Ecology Progress Series, 150: 57-64
  • (fr) MahĂ©, K., Destombes, A., Coppin, F., Koubbi, P., Vaz, S., Le Roy, D. & Carpentier, A., 2005. Le rouget barbet de roche Mullus surmuletus (L. 1758) en Manche orientale et mer du Nord. Rapport de Contrat IFREMER/CRPMEM Nord-Pas-de-Calais, 187p.
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  • (fr) Tous, P., 1986. Contribution Ă  l’étude de la biologie et de la pĂȘche du rouget barbet (Mullus surmuletus) dans le Golfe de Gascogne, MĂ©moire de D.A.A mention biologie halieutique, Agrocampus Rennes
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