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Milhars

Milhars (prononcer milliarss) est une commune française située dans le nord-ouest du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Gaillacois, un pays qui doit sa notoriété à la qualité de ses vins.

Milhars
Milhars
Église Saint-Pierre-ùs-Liens
Blason de Milhars
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Communauté de communes du Cordais et du Causse
Maire
Mandat
Pierre Paillas
2020-2026
Code postal 81170
Code commune 81165
DĂ©mographie
Gentilé Milharsois, Milharsoise
Population
municipale
242 hab. (2020 en augmentation de 5,22 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 15 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 07â€Č 41″ nord, 1° 52â€Č 48″ est
Altitude Min. 130 m
Max. 461 m
Superficie 16,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Carmaux-2 Vallée du Cérou
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Milhars
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Milhars
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Milhars
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Milhars

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par l'Aveyron, le CĂ©rou, le ruisseau d'Aymer, le ruisseau de Bonnan et par deux autres cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (Les « vallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou » et la « forĂȘt de GrĂ©signe et environs »), un espace protĂ©gĂ© (le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn ») et cinq zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Milhars est une commune rurale qui compte 242 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 837 habitants en 1821. Ses habitants sont appelĂ©s les Milharsois ou Milharsoises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Milhars est situĂ© Ă  100 km de Toulouse, 60 km de Montauban, 66 km de Cahors, 30 km de Villefranche-de-Rouergue, 100 km de Rodez, 48 km d'Albi, 17 km de Cordes-sur-Ciel en Pays de Vaour, ce pays est situĂ© en lisiĂšre de la forĂȘt de GrĂ©signe, du vignoble de Gaillac, des gorges de l'Aveyron et de la vallĂ©e du CĂ©rou. Elle est limitrophe du dĂ©partement de Tarn-et-Garonne.

    Communes limitrophes

    Milhars est limitrophe de huit autres communes dont deux dans le département de Tarn-et-Garonne.

    Carte de la commune de Milhars et de ses proches communes.

    GĂ©ologie

    La superficie de la commune est de 1 628 hectares ; son altitude varie de 130 Ă  461 mĂštres[2].

    Voies de communication et transports

    La ligne 707 du réseau régional liO assure la desserte de la commune, en la reliant à Albi.

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainĂ©e par l'Aveyron (affluent du Tarn)|Aveyron, le CĂ©rou, le ruisseau d'Aymer, l'Aveyron et le ruisseau de Comberouzal, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 15 km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    L'Aveyron, d'une longueur totale de 290,6 km, prend sa source dans la commune de SĂ©vĂ©rac d'Aveyron et s'Ă©coule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn Ă  Barry-d'Islemade, aprĂšs avoir traversĂ© 60 communes[5].

    Le CĂ©rou, d'une longueur totale de 87,1 km, prend sa source dans la commune de Saint-Jean-Delnous et s'Ă©coule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Aveyron Ă  Varen, aprĂšs avoir traversĂ© 23 communes[6].

    Le ruisseau d'Aymer, d'une longueur totale de 12,2 km, prend sa source dans la commune de Laparrouquial et s'Ă©coule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le CĂ©rou sur le territoire communal, aprĂšs avoir traversĂ© 6 communes[7].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Milhars.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[8].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 13,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 838 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ginals », sur la commune de Ginals, mise en service en 2000[13] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[14] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 914 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[15]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et Ă  29 km[16], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,4 °C pour 1981-2010[17] Ă  13,8 °C pour 1991-2020[18].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[19] - [20].

    Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn », objet d'un arrĂȘtĂ© de protection de biotope, d'une superficie de 1 262,3 ha[21].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats[23] :

    • Les « vallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de 17 144 ha, s'Ă©tendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles prĂ©sentent une trĂšs grande diversitĂ© d'habitats et d'espĂšces dans ce vaste rĂ©seau de cours d'eau et de gorges. La prĂ©sence de la Loutre d'Europe et de la moule perliĂšre d'eau douce est Ă©galement d'un intĂ©rĂȘt majeur[24]

    et un au titre de la directive oiseaux[23] :

    • la « forĂȘt de GrĂ©signe et environs », d'une superficie de 27 701 ha, un site oĂč onze espĂšces de l'annexe 1 se reproduisent rĂ©guliĂšrement sur le site, parmi lesquelles sept espĂšces de rapaces (dont le Faucon pĂšlerin et le Grand-duc d'Europe)[25].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[26] :

    • le « plateau et escarpements de la forĂȘt de Marnaves et Milhars » (513 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[27] ;
    • la « riviĂšre Aveyron » (3 500 ha), couvrant 63 communes dont 38 dans l'Aveyron, cinq dans le Tarn et 20 dans le Tarn-et-Garonne[28] ;
    • la « vallĂ©e de Bonnan, forĂȘt de GrĂ©zelles et vallon de Bayolle » (729 ha), couvrant 5 communes dont quatre dans le Tarn et une dans le Tarn-et-Garonne[29] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [26] :

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Milhars.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Milhars est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [32] - [I 1] - [33]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (61,2 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (62,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (58,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (16,7 %), prairies (13,4 %), terres arables (8,7 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,9 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Milhars est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[35]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[36].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Aveyron, le CĂ©rou et le ruisseau d'Aymer. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan État-rĂ©gion, visant Ă  informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[37]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1996, 2003, 2009 et 2021[38] - [35].

    Milhars est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2022, il n'existe pas de Plan de PrĂ©vention des Risques incendie de forĂȘt (PPRif). Le dĂ©broussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8] - [39].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Milhars.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[40]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 51,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (76,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 207 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 177 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 86 %, Ă  comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[41] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[42].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[43].

    La commune est en outre situĂ©e en aval d'un barrage de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[45].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Milhars est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[46].

    Histoire

    Les Templiers et Les Hospitaliers

    Vaour a été le siÚge d'une commanderie de Templiers dont le cartulaire signale les diverses possessions.

    Au lieu-dit Aussebaisse / Aussevaisse[Note 10] et son Ă©glise Notre-Dame, ancien membre de la commanderie hospitaliĂšre de Rayssac[48].

    HĂ©raldique

    Blason de Milhars Blason
    D'argent au chevron d'azur, accompagné en pointe d'un pont d'une arche de sable sur une riviÚre aussi d'azur, au chef de gueules chargé d'un cor de chasse d'or.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 Ă©tant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2014 est de onze[49] - [50].

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Commune faisant partie de la communauté de communes du Cordais et du Causse et du canton de Carmaux-2 Vallée du Cérou (avant le redécoupage départemental de 2014, Milhars faisait partie de l'ex-canton de Vaour) et de la communauté de communes du Causse Nord-Ouest du Tarn jusqu'au .

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 mars 2014 Jean-Pierre Barrau
    mars 2014 En cours Pierre Paillas PS
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[52].

    En 2020, la commune comptait 242 habitants[Note 11], en augmentation de 5,22 % par rapport Ă  2014 (Tarn : +1,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    797707788837829817814813803
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    778724723703748691661631557
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    516508443369416436431380385
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    374350351341316262262262236
    2017 2020 - - - - - - -
    239242-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee Ă  partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[55] 1975[55] 1982[55] 1990[55] 1999[55] 2006[56] 2009[57] 2013[58]
    Rang de la commune dans le département 118 132 151 150 173 193 194 210
    Nombre de communes du département 326 324 324 324 324 323 323 323

    Enseignement

    Milhars fait partie de l'Académie de Toulouse.

    Sports

    Chasse, pétanque,

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 125 mĂ©nages fiscaux[Note 12], regroupant 235 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 18 630 â‚Ź[I 4] (20 400 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]8,1 %4,1 %11,1 %
    DĂ©partement[I 7]8,2 %9,9 %10 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  111 personnes, parmi lesquelles on compte 77,8 % d'actifs (66,7 % ayant un emploi et 11,1 % de chĂŽmeurs) et 22,2 % d'inactifs[Note 13] - [I 6]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement et de la France, alors qu'en 2008 la situation Ă©tait inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 44 emplois en 2018, contre 52 en 2013 et 60 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 78, soit un indicateur de concentration d'emploi de 56,2 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 39,8 %[I 10].

    Sur ces 78 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 29 travaillent dans la commune, soit 37 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 86,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,7 % les transports en commun, 2,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    18 Ă©tablissements[Note 14] sont implantĂ©s Ă  Milhars au [I 13]. Le secteur de l'industrie manufacturiĂšre, des industries extractives et autres est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 27,8 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (5 sur les 18 entreprises implantĂ©es Ă  Milhars), contre 13 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans les Causses du Quercy, une petite région agricole relativement pauvre et aride accueilant des élevages de brebis et agneaux en plein air, située dans le nord-ouest du département du Tarn[59]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations1811813
    SAU[Note 16] (ha)494341235360

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 18 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] Ă  11 en 2000 puis Ă  8 en 2010[61] et enfin Ă  13 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 28 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 58 % de ses exploitations[62] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 494 ha en 1988 Ă  360 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 27 Ă  28 ha[61].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Ces villages paisibles sĂ©duisent les passionnĂ©s de vieilles pierres et de lieux chargĂ©s d’histoire (chĂąteaux mĂ©diĂ©vaux, commanderie des Templiers, castrum, Ă©glises, musĂ©e, site cathare).

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[10].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[22].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Le principe d’un dĂ©broussaillement efficace consiste Ă  couper et Ă©liminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sĂšches 50 mĂštres autour des habitations et 2 mĂštres de part et d’autre des voies, Ă©laguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situĂ©s dans la zone Ă  dĂ©broussailler pour Ă©viter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, Ă©liminer les arbustes sous les grands arbres pour Ă©viter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se dĂ©barrasser des vĂ©gĂ©taux coupĂ©s par compostage, par Ă©vacuation en dĂ©charge autorisĂ©e ou par incinĂ©ration en respectant la rĂ©glementation sur le brĂ»lage et entretenir rĂ©guliĂšrement la zone dĂ©broussaillĂ©e, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans Ă  proximitĂ© de l’habitation
    9. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[44].
    10. Lieu-dit au sud-est de la commune sur la route dĂ©partementale D600 44° 07â€Č 05″ N, 1° 54â€Č 05″ E. Aussebaisse sur la carte IGN, Aussabaisse (1174, Ă©glise), Sainte-Marie-d'Ausse-VaĂŻsse (1338), Haute-Baisse (19 juin 1593, membre de Rayssac)[47].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    13. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    14. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[60].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Milhars » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le )
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

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    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Milhars » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Milhars » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Milhars » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Milhars » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale de Milhars », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « l'Aveyron (affluent du Tarn) »
    6. Sandre, « le Cérou »
    7. Sandre, « le ruisseau d'Aymer »
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    11. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    60. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    61. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Milhars - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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