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Maximilien SĂ©bastien Foy

Biographie

Jeunesse

Maximilien Sébastien Foy est issu de la bourgeoisie picarde. Le pÚre de Maximilien, Florent Sébastien Foy, avait combattu à la bataille de Fontenoy. Il avait exercé, par la suite, les métiers de marchand de toile et de directeur de la poste aux lettres de Ham. Il devient maire de la ville en 1776. Sa mÚre Elisabeth Wisbec met au monde cinq enfants. La famille habite une maison située sur la Grand-Place de Ham[alpha 1]. Son pÚre meurt à l'ùge de 55 ans en 1779, alors que Maximilien a tout juste quatre ans.

À neuf ans, il est Ă©lĂšve Ă  l'Ă©cole latine de Ham comme l'ont Ă©tĂ© VadĂ© et, quelque temps plus tard, Jean-Charles Peltier. Puis, Maximilien Foy part poursuivre avec brio ses Ă©tudes au collĂšge de l'Oratoire de Soissons qu'il quitte Ă  l'Ăąge de 14 ans, en 1789. L'annĂ©e suivante, il embrasse la carriĂšre des armes[1].

PremiĂšres armes

Admis en 1790, à l'école d'artillerie de La FÚre dÚs l'ùge de 15 ans, puis de Chùlons, il est reçu à 16 ans comme sous-lieutenant en second au 3e régiment d'artillerie à pied.

Il fait ses premiĂšres armes en 1792 Ă  l'armĂ©e du Nord, sous les ordres de Dumouriez. C’est Ă  Bataille de Jemappes en 1792, qu’il gagne les grades de lieutenant et de capitaine d'artillerie en 1793.

SoupçonnĂ© de sympathie girondine, il est arrĂȘtĂ© Ă  Cambrai en 1794 par Joseph Le Bon sur la dĂ©nonciation de deux de ses lieutenants, Girod et Lavoy.

Il passe en jugement à Maubeuge le 25 prairial an II. Il est acquitté du chef de dilapidation des deniers de la République mais déclaré coupable d'avoir pris et vendu une ration de fourrage pour un troisiÚme cheval qu'il n'avait pas.

Le , il est en outre renvoyé devant le tribunal révolutionnaire pour avoir tenu des « propos inciviques » puis destitué.

La chute de Robespierre et des Montagnards, le 9 Thermidor, le sauve. Sa condamnation est annulée par un décret de la Convention du et il est réintégré avec le grade de capitaine (puis de chef d'escadron) à la 5e compagnie du 2e régiment d'artillerie à cheval.

Officier républicain

Il fait les campagnes de 1796 et 1797 Ă  l'armĂ©e du Rhin et obtient le grade de chef d’escadron, il a Ă  peine plus de 20 ans. Il est alors, en l'an VI, sur la recommandation de Desaix, choisi comme aide de camp par le jeune gĂ©nĂ©ral Bonaparte ; mais il refuse cette nomination. On ignore ce qui a motivĂ© ce refus. En 1799, il obtient Ă  l’armĂ©e d'HelvĂ©tie les grades d'adjudant-gĂ©nĂ©ral puis de chef de brigade. En 1800, Ă  la tĂȘte du 5e rĂ©giment d'artillerie Ă  cheval il combat Ă  l'armĂ©e du Rhin sous les ordres de Moreau.

Il sert en Italie en 1801. À Bergame, il düne un soir en compagnie d'un jeune sous-lieutenant de cavalerie, Henri Beyle, le futur Stendhal, qui dresse de lui ce portrait, dans son journal :

« C'est un jeune militaire de petite taille et de la plus grande espérance, plein d'ambition et d'instruction. On est généralement jaloux de lui tout en lui rendant justice. D'ailleurs, les défauts de son caractÚre : l'esprit de contradiction et l'orgueil senti[2]. »

AprÚs de nouvelles victoires en Italie, la paix d'Amiens en 1802 le rappelle en France. Républicain convaincu, il refuse, malgré son admiration pour Bonaparte, de voter pour l'établissement du Consulat à vie. Son vote le consigne comme simple colonel pendant 7 ans.

Lors de la mise en jugement du gĂ©nĂ©ral Moreau, une adresse — oĂč la conduite politique de ce dernier est incriminĂ©e — est prĂ©sentĂ©e Ă  la signature du colonel Foy, mais celui-ci refuse de l'apposer en disant : « Qu'il Ă©tait militaire et non pas juge. ». Un mandat d'amener est alors lancĂ© contre lui, mais il est dĂ©jĂ  reparti pour son commandement. Peu de temps aprĂšs, il vote nĂ©gativement avec Carnot pour l'Ă©tablissement du rĂ©gime impĂ©rial. Il continue de signaler sa valeur, ses talents et ses vertus militaires en Italie : le colonel Foy fait la campagne de l'an XIV avec le 2e corps. En 1806, il commande dans le Frioul et Ă©pouse, la mĂȘme annĂ©e, la fille adoptive du gĂ©nĂ©ral Baraguey d'Hilliers. Il commande ensuite en Allemagne et au Portugal.

Général d'Empire

Portrait du général de division Foy, par François Gérard, 1826.

En 1807, il est envoyé à Constantinople pour organiser l'artillerie turque et se distingue à la défense des Dardanelles contre la flotte britannique. Passé à l'armée du Portugal, il est nommé général de brigade aprÚs la bataille de Vimeiro le .

Napoléon à Sainte-HélÚne en parle ainsi :

« Les généraux qui semblaient réservés au plus brillant avenir étaient Gérard, Clausel, Foy, Lamarque, etc., c'étaient mes nouveaux maréchaux. »

Foy est choisi par le marĂ©chal MassĂ©na pour dĂ©fendre auprĂšs de NapolĂ©on Ier la cause de l'armĂ©e du Portugal, arrĂȘtĂ©e sur les bords du Tage par les lignes de Torres Vedras. C'est Ă  la maniĂšre noble et habile dont il remplit cette mission honorable, qu'il doit d'ĂȘtre mieux apprĂ©ciĂ© par l'empereur, qui le renvoie Ă  l'armĂ©e avec le grade de gĂ©nĂ©ral de division le . PlacĂ© dans une position plus avantageuse, le gĂ©nĂ©ral Foy s'illustre au cours de la retraite du Portugal et pendant les campagnes suivantes en Espagne, notamment aprĂšs la bataille des Arapiles, au passage du Douro, Ă  Tordesillas, dans les affaires qu'il a Ă  soutenir aprĂšs la bataille de Vitoria.

AprĂšs la dĂ©faite des Arapiles, l'arriĂšre-garde protĂ©geant la retraite de l'armĂ©e française du Portugal du marĂ©chal Marmont, est commandĂ©e par le gĂ©nĂ©ral Foy quand elle subit de lourdes pertes le Ă  Garcia Hernandez, face Ă  la cavalerie lourde anglo-germanique lancĂ©e Ă  sa poursuite. Il prend une part active Ă  toutes les campagnes de la PĂ©ninsule et des PyrĂ©nĂ©es jusqu'Ă  la bataille d'Orthez oĂč il est trĂšs griĂšvement blessĂ©. NommĂ© inspecteur gĂ©nĂ©ral d'infanterie en 1814, il se rallie Ă  l'Empire pendant les Cent-Jours. Il commande alors la 9e d'infanterie — du 2e corps d'armĂ©e — dans la campagne de Belgique de 1815. Il reçoit Ă  Waterloo le , la 15e blessure de sa carriĂšre ; il reste nĂ©anmoins Ă  son poste jusqu'Ă  la fin de cette journĂ©e. Puis, il se rend Ă  Ham oĂč il rĂ©dige le , Ă  chaud, une relation de la bataille[3].

Député libéral sous la Restauration

Maximilien SĂ©bastien Foy
Fonctions
Député du département de l'Aisne
–
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Ham (Somme)
Date de décÚs
Lieu de décÚs Paris
Nationalité Drapeau de la France France
Parti politique Courant libéral
Profession Militaire

Pendant les Cent-Jours, le général Foy est candidat, en , aux élections de la Chambre des représentants, dans l'arrondissement de Péronne, sans succÚs. En , pendant la Seconde Restauration, il est candidat une nouvelle fois dans l'arrondissement de Péronne et en préside le collÚge électoral, les élections se faisant au suffrage censitaire. Nouvel échec, il n'arrive qu'en 5e position. En 1816, aprÚs la dissolution de la Chambre par Louis XVIII, il est encore une fois candidat dans la circonscription de Péronne et subit un 3e échec.

Plusieurs attaques d'apoplexie, dont une trÚs violente en , le tiennent éloigné de la vie politique. Il est nommé en 1819 inspecteur général d'infanterie dans les 2e et 16e divisions militaires.

GrĂące Ă  une propriĂ©tĂ© qu'il possĂšde Ă  Pithon, village proche de Ham mais dans le dĂ©partement voisin, le gĂ©nĂ©ral Foy peut ĂȘtre Ă©lu, aux Ă©lections partielles du , dĂ©putĂ© du dĂ©partement de l'Aisne. Il est rĂ©Ă©lu en 1824 Ă  Saint-Quentin, Vervins et Paris. Il opte pour Vervins.

À la Chambre des dĂ©putĂ©s, il siĂšge parmi les libĂ©raux et en devient l'un des chefs de file. DĂšs son premier discours, il fait preuve d'un grand talent oratoire :

« Pendant un quart de siĂšcle, presque tous nos concitoyens ont Ă©tĂ© soldats : depuis la paix, nos soldats sont redevenus citoyens. Souvenirs, sentiments, espĂ©rances, tout fut, tout est restĂ© commun entre la masse du peuple et notre vieille armĂ©e. Aussi les paroles qui s’élĂšvent de cette tribune pour consoler de nobles misĂšres[alpha 2] sont-elles recueillies avec aviditĂ© jusque dans les moindres hameaux. Il y a de l’écho en France lorsqu’on prononce ici les mots d’honneur et de patrie ! »

— Discours sur l’ordre de la LĂ©gion d’honneur[alpha 3] ().

talent avec lequel il dĂ©fend les principes constitutionnels, les sentiments patriotiques et la libertĂ© de la presse. Il se bat pour un strict respect de la Charte constitutionnelle de 1814 et rĂ©sume sa pensĂ©e dans une formule restĂ©e cĂ©lĂšbre : « La Charte, toute la Charte, rien que la Charte[4]. » Il ne cesse jusqu'Ă  sa mort de s'opposer aux gouvernements de la Restauration. Ses pairs l'ont honorĂ© en Ă©rigeant une statue dans les couloirs de l'AssemblĂ©e. Le jeune Alexandre Dumas lui rend visite le et obtient de lui la recommandation qui lui permet d'entrer au service du duc d'OrlĂ©ans.

Mais la maladie le mine depuis des annĂ©es et son mĂ©decin, le docteur François Broussais lui recommande le repos. À l'Ă©tĂ© 1825, il part faire une cure Ă  Cauterets, dans les PyrĂ©nĂ©es, oĂč une jeune femme alors inconnue, Aurore Dudevant, la future George Sand, le croise. Elle rĂ©dige sur lui ces quelques mots :

« Le général Foy est ici. Il est bien malade. Je l'ai croisé seul, trÚs pùle, une douce figure, triste, abattu. Il meurt, dit-on[2]. »

Il meurt effectivement, Ă  l’automne, Ă  son domicile de la rue de la ChaussĂ©e-d'Antin (9e arrondissement de Paris).

Funérailles « libérales »

Tombe du général Foy au cimetiÚre du PÚre-Lachaise.

Une souscription nationale ouverte en faveur de sa famille produit prÚs d'un million de francs. Ses obsÚques, le 30 novembre 1825, sont suivies par une foule immense[alpha 4] et sa dépouille reçoit les honneurs militaires. Le cortÚge conduit par ses trois fils et son ami Casimir Perier quitte la maison mortuaire du 62 rue de la Chaussée-d'Antin en tout début d'aprÚs-midi. AprÚs une sobre cérémonie religieuse à l'église Notre-Dame de Lorette, le cortÚge funÚbre gagne le cimetiÚre du PÚre-Lachaise, sous une pluie battante, par les grands boulevards, il y arrive à 19 heures.

Le cortÚge réunit de trÚs nombreuses personnalités politiques, militaires, littéraires et artistiques parmi lesquelles :

le duc d'OrlĂ©ans — le futur Louis-Philippe —, Alexandre de Lameth, Horace Vernet, David d'Angers, ChĂąteaubriand, Benjamin Constant, Victor Hugo, Prosper MĂ©rimĂ©e, marĂ©chal Jourdan, duc de Choiseul, Louis-Marie Prudhomme, AndrĂ© Dupin, Auguste de KĂ©ratry, Delphine Gay, 


Il rassemble de trĂšs nombreux opposants au rĂ©gime. Sur le cercueil, sont posĂ©es son Ă©pĂ©e et ses Ă©paulettes qui sont saluĂ©es et baisĂ©es par la foule. Des couronnes civiques sont Ă©galement posĂ©es sur le cercueil. Étudiants et commis, contrairement aux usages, portent le cercueil Ă  bras[5].

Son tombeau, au cimetiĂšre du PĂšre-Lachaise — 28e division — est surmontĂ© en 1831 d'un grandiose monument dont LĂ©on Vaudoyer est l'architecte.

Publications

  • Discours du GĂ©nĂ©ral Foy, prĂ©cĂ©dĂ©s d'une notice biographique, 2 volumes in 8°, 1826. Paris, P. A. Moutardier, tome premier ; tome second ;
  • Histoire des guerres de la PĂ©ninsule sous NapolĂ©on, quatre volumes in-8, Paris, 1827.

Distinctions

Hommages posthumes

Titres

Armoiries

Figure Blasonnement
Armes du baron Foy et de l'Empire

D'azur semĂ© d'Ă©toiles d'argent, Ă  la barre du mĂȘme, chargĂ©e de trois tourteaux de sable, franc-quartier des barons tirĂ©s de l'armĂ©e.[6] - [8]

Figure Blasonnement
Armes du comte Foy et de l'Empire, pair de France

D'azur, semĂ© d'Ă©toiles d'argent, Ă  la barre du mĂȘme, brochant sur le tout et chargĂ©e de trois tourteaux de sable.[9]

Mariage et descendance

Le 20 avril 1807, Maximilien Sébastien Foy épouse Elisabeth Daniels (Mayence, - Paris, ), dite Lise, fille de Pierre Joseph Daniels, docteur en médecine et en chirurgie, juge de paix à Winnweiler et de son épouse Marie Ève Zittier, fille d'un fabricant de couteaux de Mayence. AprÚs le remariage de sa mÚre, divorcée, avec le général français Louis Baraguey d'Hilliers, elle devient la fille adoptive de ce dernier[10].

Augustine Cochet de Saint-Omer, Portrait des fils du général Foy contemplant le buste de leur pÚre, 1826 (de gauche à droite : Maximilien, Tiburce et Fernand)

Le couple a sept enfants :

  • Évelyne, nĂ©e en 1808, et Élisabeth, nĂ©e en 1811, qui ne vivent que quelques annĂ©es ;
  • Blanche Foy, nĂ©e en 1814, qui Ă©pouse le baron ThĂ©obald Arcambal-Piscatory, dont elle a deux filles (l'une Isabelle Ă©pouse le frĂšre de Blanche, Maximilien) ;
  • Maximilien SĂ©bastien Auguste Foy (1815-1871), dit « Fernand », 2e comte Foy, diplomate et homme politique, qui Ă©pouse Louise Germain de Montforton, fille du comte de Montforton, dont il a une fille et un fils ;
  • Tiburce Foy (1816-1870), vicomte Foy, prĂ©fet des Ardennes, non mariĂ© ;
  • Isabelle Foy, nĂ©e en 1818, qui Ă©pouse Joseph-Henri Galos, dont elle a une fille ;
  • Maximilien Foy (1822-1877), dit « Max », gĂ©nĂ©ral de brigade, qui Ă©pouse en 1864 sa niĂšce Isabelle Piscatory, fille de sa sƓur Blanche et de son Ă©poux ThĂ©obald Arcambal-Piscatory ; de cette alliance est issu ThĂ©obald Foy.

Ses descendants se sont alliĂ©s Ă  de nombreuses familles issues de la noblesse et de la bourgeoisie : Piscatory, Germain de Montforton, Galos, Trubert, Tresvaux de Berteux, GĂ©rard, Houdetot, Hellman, Ternaux-Compans, Chavagnac, PorgĂšs, Pillet-Will, Brunet d'Evry, Lassus, Villedieu de Torcy, Pindray d'Ambelle, Lecoq, Balsan, Hermite, Le Caron de Fleury, LĂ©pine de Saint-Georges, LĂ©onino, RenoĂŒard de Bussierre, QuĂ©len, Phelps, VogĂŒĂ©, RarĂ©court de La VallĂ©e de Pimodan, Riquet de Caraman, Farges de Rochefort-Sirieyx, Dufresne de Saint-LĂ©on, Montesquiou-FĂ©zensac, Orsetti, Marcoul de Montmagner de Loute, Firino-Martell, SeilliĂšre de Laborde, Fresson, Charles-Laurent, Poniatowski, Grosourdy de Saint-Pierre, Bessey de Contenson, Madre de Loos, Merlin d'Estreux de Beaugrenier, Drouin de Bouville, Reinach-Hirtzbach, BeraldiViard, Goulaine, Le Gallais, Bretillot, Le Sellier de ChĂ©zelles, Borel de Bretizel, Aubert de TrĂ©gomain, Costa de Beauregard, Porteu de la MorandiĂšre, Baudoux d'Hautefeuille, Sars, Duclaux de l'Estoille, Guichard, Maigret, Montal, Chasteigner de la Rocheposay, Taisne de Raymonval, Foulhiac de Padirac, Waroquier de Puel Parlan, Le Bret, Broglie, la SeigliĂšre, Pelletier de Chambure, Gourlez de la Motte, Bellaigue de Bughas, Colonna d'Istria, BĂšs de Berc, PrĂ©veraud de LaubĂ©pierre de Vaumas, Mascureau, Besset, Nicolay, Bengy, Pasquier de Franclieu, Sokolov-von Rosen, la Celle, Liechtenstein.

Il est l'oncle d'Alphonse Foy (1797-1888) et de Maximilien-Prosper Foy (1805-1889).

Autres

Le rosier « comte Foy », rose gallique créé par Lecomte, rosiériste à Rouen au début du XIXe, a été nommée en l'honneur du comte Maximilien Sébastien Foy[11].

Notes et références

Notes

  1. Une plaque commémorative a été apposée à son emplacement.
  2. Allusion aux « demi-soldes » : officiers de la Grande Armée mis à la retraite d'office sous la Restauration et ne touchant que la moitié de leur solde.
  3. Il était interdit aux « demi-soldes », sous la Restauration, d'arborer la Légion d'honneur.
  4. Le nombre de 100 000 participants a Ă©tĂ© avancĂ© sans qu'aucun comptage n'eĂ»t pu ĂȘtre fait.
  5. Pour services rendus dans les Dardanelles.

Références

  1. DĂ©motier 1992.
  2. Caron 2014.
  3. 1789-1815 RĂ©volution et Empire.
  4. Collectif, Dictionnaire politique; encyclopédie du langage et de la science politiques, Paris, Pagnerre, , 944 p. (lire en ligne), p. 216.
  5. PrĂ©sent, passĂ©, futur : la mort et le temps politique (1820-1830) sur le site « Revue d’histoire du XIXe siĂšcle ».
  6. Archives nationales.
  7. « Maximilien Sébastien Foy », sur roglo.eu (consulté le ).
  8. Source : www.heraldique-europeenne.org.
  9. Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. 1 et 2, Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887
  10. Jean-Claude Caron, « Une notable libérale sous la Restauration : Lise Daniels, comtesse Foy (1790-1868) », dans Laurent Colantonio et Caroline Fayolle (dir.), Genre et utopie. Avec MichÚle Riot-Sarcey, Presses universitaires de Vincennes, (DOI 10.3917/puv.colan.2014.01.0013, lire en ligne), p. 13-30.
  11. (en) Brent C. Dickerson, The Old Rose Adventurer : The Once-blooming Old European Roses, and More, Timber Press, , 616 p. (ISBN 978-0-88192-466-4, lire en ligne)

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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