AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Marcillac-Saint-Quentin

Marcillac-Saint-Quentin est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Marcillac-Saint-Quentin
Marcillac-Saint-Quentin
Une ruelle du village de Marcillac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Sarlat-Périgord noir
Maire
Mandat
Michel André
2020-2026
Code postal 24200
Code commune 24252
DĂ©mographie
Population
municipale
818 hab. (2020 en augmentation de 5,55 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 50 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 57â€Č 05″ nord, 1° 12â€Č 50″ est
Altitude Min. 121 m
Max. 327 m
Superficie 16,46 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Sarlat-la-Canéda
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sarlat-la-Canéda
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Marcillac-Saint-Quentin
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Marcillac-Saint-Quentin
GĂ©olocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Marcillac-Saint-Quentin
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Marcillac-Saint-Quentin

    GĂ©ographie

    Généralités

    Comprise dans l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, la commune de Marcillac-Saint-Quentin se trouve en Périgord noir, dans le quart sud-est du département de la Dordogne.

    Communes limitrophes

    Carte de Marcillac-Saint-Quentin et des communes avoisinantes.

    Marcillac-Saint-Quentin est limitrophe de six autres communes. Au sud-ouest, son territoire est distant d'environ 400 mĂštres de celui de Marquay.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Marcillac-Saint-Quentin est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire datant du CĂ©nozoĂŻque et de roches sĂ©dimentaires du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c3b-c, date du Coniacien moyen Ă  supĂ©rieur, composĂ©e de calcaires bioclastiques grossiers et quartzeux jaunes Ă  bryozoaires et gastĂ©ropodes, Ă  niveaux grĂ©seux (formation des Eyzies). La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles Ă  actuelles. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 808 - Sarlat-la-CanĂ©da » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Marcillac-Saint-Quentin.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 121 m et 327 m[5] - [6].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[8]. La commune fait partie du PĂ©rigord noir, un paysage vallonnĂ© et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallĂ©es-couloirs et d’une multitude de clairiĂšres de toutes tailles. Il s'Ă©tend du nord de la VĂ©zĂšre au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 16,46 km2[5] - [10] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 16,98 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainĂ©e par la Grande Beune et par deux petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 7,5 km de longueur totale[14] - [Carte 1].

    La Grande Beune, d'une longueur totale de 22,79 km, prend sa source dans la commune de Saint-GeniĂšs et se jette dans la VĂ©zĂšre en rive gauche au sud du bourg des Eyzies[15]. Elle arrose la commune au nord-est sur prĂšs de trois kilomĂštres, lui servant de limite face Ă  TamniĂšs sur prĂšs de deux kilomĂštres, en deux tronçons sĂ©parĂ©s.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par les schĂ©mas d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont » et « VĂ©zĂšre-CorrĂšze ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'Ă©tend des sources de la Dordogne jusqu'Ă  la confluence de la VĂ©zĂšre Ă  Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Le SAGE « VĂ©zĂšre-CorrĂšze », dont le territoire regroupe les bassins versants de la VĂ©zĂšre et de la CorrĂšze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est le conseil dĂ©partemental de la CorrĂšze[17]. Ils dĂ©finissent chacun sur leur territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [18].

    La quasi-totalitĂ© du territoire communal dĂ©pend du SAGE VĂ©zĂšre-CorrĂšze. Du nord-est au sud-est, seules quelques portions minimes font partie du bassin versant de l'ÉnĂ©a et sont rattachĂ©es au SAGE Dordogne amont.

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[19]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 949 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[23] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[24] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-CanĂ©da, mise en service en 1995[25] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[26] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 854,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[27]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le dĂ©partement du Lot, mise en service en 1961 et Ă  27 km[28], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[29], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[30], puis Ă  13,1 °C pour 1991-2020[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Marcillac-Saint-Quentin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [32] - [33] - [34].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-CanĂ©da, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[35] - [36].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (53,9 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (49,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (46 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (45,5 %), prairies (8,4 %)[37].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Marcillac-Saint-Quentin est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[38]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[39].

    Marcillac-Saint-Quentin est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[40]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[41] - [42].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2013, par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[38].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Marcilhac e Sent Quentin[43].

    Histoire

    En 1944, deux jeunes appartenant au groupement 36 des Chantiers de la jeunesse, sont tués sous le feu allemand dans la commune[44].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Les communes de Marcillac et de Saint-Quentin ont, dÚs 1790, été rattachées au canton de Marquay qui dépendait du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviÎse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », les deux communes sont rattachées au canton de Sarlat (devenu canton de Sarlat-la-Canéda en 1965) dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[5].

    En 1827, les communes de Marcillac et de Saint-Quentin fusionnent sous le nom de Marcillac-Saint-Quentin.

    Intercommunalité

    Fin 2002, Marcillac-Saint-Quentin intÚgre la communauté de communes du Sarladais. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Périgord noir, renommée quelques mois plus tard en communauté de communes Sarlat-Périgord noir.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[45] - [46].

    Liste des maires

    La mairie de Marcillac-Saint-Quentin.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 1974 André Dubois
    1974[47] mai 2020 Jean-Pierre Doursat PS[48] Retraité
    mai 2020 En cours Michel André

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Marcillac-Saint-Quentin relĂšve[49] :

    Population et société

    DĂ©mographie de Saint-Quentin

    Jusqu'en 1827, les communes de Marcillac et de Saint-Quentin étaient indépendantes.

    Évolution de la population
    de Saint-Quentin
    1793 1800 1806 1821
    498435457480
    (Source : Ldh/EHESS/Cassini[50])

    DĂ©mographie de Marcillac, puis de Marcillac-Saint-Quentin

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[52].

    En 2020, la commune comptait 818 habitants[Note 9], en augmentation de 5,55 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    12097117112575603479450628
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    650686641654576616633628597
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    567586580486477445442438412
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    378406407454598664728756791
    2014 2019 2020 - - - - - -
    775815818------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    • Le Football-club Sarlat-Marcillac[54] est engagĂ© en RĂ©gional 2 pour la saison 2022-2023[55].

    Économie

    Emploi

    En 2015[56], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 392 personnes, soit 50,8 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (quarante-cinq) est restĂ© stable par rapport Ă  2010 et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  11,5 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 82 Ă©tablissements[57], dont trente-cinq au niveau des commerces, transports ou services, dix-huit dans la construction, dix-huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, sept dans l'industrie, et quatre relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale[58].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • ChĂąteau du Barry (ou repaire de Marcillac), XVe et XVIIe siĂšcles[59].
    • ChĂąteau de Lasserre, datant du Moyen Âge et rĂ©novĂ© au XIXe siĂšcle[60].
    • Église Saint-Laurent de Marcillac, avec chƓur roman et chapelle du XVIe siĂšcle[61].
    • Église Saint-Quentin[61] du village de Saint-Quentin.
    • L'Ă©glise Saint-Laurent de Marcillac.
      L'Ă©glise Saint-Laurent de Marcillac.
    • L'Ă©glise Saint-Quentin.
      L'Ă©glise Saint-Quentin.
    • Le chƓur roman de l'Ă©glise Saint-Quentin.
      Le chƓur roman de l'Ă©glise Saint-Quentin.
    • Pigeonnier dans le village de Marcillac.
      Pigeonnier dans le village de Marcillac.
    • Maison avec toit en lauzes Ă  Marcillac.
      Maison avec toit en lauzes Ă  Marcillac.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[11] - [12]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[21].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[22].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Marcillac-Saint-Quentin » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Marcillac-Saint-Quentin » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Marcillac-Saint-Quentin », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
    4. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 808 - Sarlat-la-CanĂ©da de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Marcillac-Saint-Quentin », sur le site de l'Insee (consulté le )
    11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohĂ©sion des territoires, « RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes d'Île-de-France - dĂ©finition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consultĂ© le )
    13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    14. « Fiche communale de Marcillac-Saint-Quentin », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    15. Sandre, « la Grande Beune »
    16. « SAGE Dordogne amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    17. « SAGE VézÚre-CorrÚze », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    18. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    19. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    20. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    21. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    22. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    23. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    24. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    25. « Station Météo-France Sarlat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    26. « Orthodromie entre Marcillac-Saint-Quentin et Sarlat-la-Canéda », sur fr.distance.to (consulté le ).
    27. « Station Météo-France Sarlat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    28. « Orthodromie entre Marcillac-Saint-Quentin et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    29. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    30. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    31. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    32. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    33. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    34. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    35. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    37. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    38. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Marcillac-Saint-Quentin », sur Géorisques (consulté le )
    39. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    40. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    41. « Protection de la forĂȘt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consultĂ© le )
    42. « Plans DĂ©partementaux et Inter-DĂ©partementaux de Protection des ForĂȘts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consultĂ© le )
    43. Le nom occitan des communes du Périgord - Marcilhac e Sent Quentin sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
    44. Francis Boddart, Les chantiers de la jeunesse et la Dordogne, 1940-1944 : de la rĂ©volution nationale Ă  la production industrielle, PĂ©rigueux, IFIE Éditions PĂ©rigord, , 342 p. (ISBN 978-2-916265-18-6), p. 276..
    45. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.
    46. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministÚre de l'Intérieur, consulté le 4 novembre 2020.
    47. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 21 août 2014.
    48. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 24.
    49. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministÚre de la Justice (consulté le ).
    50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Quentin », sur ehess.fr, École des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
    51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    54. Football club Sarlat Marcillac, sur Footeo, consulté le .
    55. François Berterreche, « Sarlat croit en ses chances », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 34.
    56. Dossier complet - Commune de Marcillac-Saint-Quentin (24252) - Activités, emploi et chÎmage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2018.
    57. « Établissement - DĂ©finition », sur Insee (consultĂ© le ).
    58. Dossier complet - Commune de Marcillac-Saint-Quentin (24252) - Établissements actifs par secteur d'activitĂ© - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consultĂ© le 28 novembre 2018.
    59. Guy Penaud, Dictionnaire des chĂąteaux du PĂ©rigord, Ă©ditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 22, 167.
    60. Guy Penaud, Dictionnaire des chĂąteaux du PĂ©rigord, Ă©ditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 155.
    61. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocÚse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 89.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.