Malons-et-Elze
Malons-et-Elze est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.
Malons-et-Elze | |
Ăglise de Malons. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Gard |
Arrondissement | AlĂšs |
Intercommunalité | Communauté de communes Mont LozÚre |
Maire Mandat |
Jean Oliva 2020-2026 |
Code postal | 30450 |
Code commune | 30153 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Malonnais |
Population municipale |
124 hab. (2020 ) |
Densité | 4 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 25âČ 07âł nord, 4° 01âČ 25âł est |
Altitude | Min. 219 m Max. 997 m |
Superficie | 31,21 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de La Grand-Combe |
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription |
Localisation | |
ExposĂ©e Ă un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par le Chassezac, la GaniĂšre, la riviĂšre de Bournaves et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les CĂ©vennes, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « hautes vallĂ©es de la CĂšze et du Luech »), un espace protĂ©gĂ© (le « gĂ©oparc des monts d'ArdĂšche ») et deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Malons-et-Elze est une commune rurale qui compte 124 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 1 220 habitants en 1866. Ses habitants sont appelés les Malonnais ou Malonnaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Pierre de Malons, inscrite en 1949.
GĂ©ographie
Localisation
Malons-et-Elze est la commune la plus septentrionale du département du Gard. Elle est limitrophe de l'ArdÚche et de la LozÚre.
C'est Ă Malons que se situent l'Ă©glise et la mairie ainsi que le passage d'une draille Ă moutons. Cette derniĂšre vient de Saint-Ambroix en passant par la Cham de Bonnevaux, Besses puis Cessenades, et file vers le Taravel, le contourne et passe par le pont romain dans la forĂȘt du Mas de l'Ayre pour arriver au Collet de Villefort.
Communes limitrophes
Hameaux et lieux-dits
La commune de Malons-et-Elze est composée de plusieurs hameaux : Elze, Vézoles, la BoissiÚre, le Faget, la RouviÚre, la Rousse, Pialouzet, le Fergon, Liquemiaille, le Salzet, le Pradal, Bournaves, Cessenades, Valouze, Pialouzet-de-GagniÚre, la Playsse et le Frontal.
GĂ©ologie et relief
- Le Col du Mas de l'Ayre (846 m dâaltitude)
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[2].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Les Vans Sa », sur la commune des Vans, mise en service en 1997[7] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 229,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le dĂ©partement de l'ArdĂšche, mise en service en 1990 et Ă 32 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă 13,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 13,9 °C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection rĂ©glementaire est le mode dâintervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[14] - [15]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhĂ©sion du Parc national des CĂ©vennes[Note 4]. Ce parc national, crĂ©Ă© en 1967, est un territoire de moyenne montagne formĂ© de cinq entitĂ©s gĂ©ographiques : le massif de l'Aigoual, le causse MĂ©jean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont LozĂšre, les vallĂ©es cĂ©venoles ainsi que le piĂ©mont cĂ©venol[16]. La commune est dans le pĂ©rimĂštre du « gĂ©oparc des monts d'ArdĂšche », classĂ© GĂ©oparc en septembre 2014 et appartenant dĂšs lors au rĂ©seau mondial des GĂ©oparcs, soutenu par lâUNESCO[17] - [18].
La commune fait Ă©galement partie de la zone de transition des CĂ©vennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en 1985 pour la mosaĂŻque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversitĂ© exceptionnelle, avec 2 400 espĂšces animales, 2 300 espĂšces de plantes Ă fleurs et de fougĂšres, auxquelles sâajoutent dâinnombrables mousses, lichens, champignons[19] - [20].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : les « hautes vallĂ©es de la CĂšze et du Luech »[22], d'une superficie de 12 680 ha, correspondant Ă la partie amont du bassin versant de la CĂšze. Elles prĂ©sentent un patrimoine naturel remarquable, avec quatre espĂšces piscicoles : l'Ă©crevisse Ă pattes blanches, le castor, la loutre et le barbeau mĂ©ridional et cinq habitats d'intĂ©rĂȘt communautaire d'origine[23].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2[Note 6] sont recensées sur la commune[24] :
Urbanisme
Typologie
Malons-et-Elze est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [27] - [I 1] - [28]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (100 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (92,6 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (7,4 %)[29].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Malons-et-Elze est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, la rupture d'un barrage, et Ă un risque particulier : le risque de radon[30]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[31].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Chassezac et la GaniĂšre. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1992, 1994, 1995, 1997, 2008 et 2011[32] - [30].
La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[33]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 0,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 173 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 0 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 0 %, Ă comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[35].
Risques technologiques
La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Villefort, un ouvrage de classe A[Note 8] dotĂ© d'un PPI et situĂ© dans la LozĂšre. Ă ce titre elle est susceptible dâĂȘtre touchĂ©e par lâonde de submersion consĂ©cutive Ă la rupture de cet ouvrage[37].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Malons-et-Elze est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[38].
Toponymie
Malons : occitan malon (prononcé "maloun"), du roman malon, bas latin malonum[39], sans doute d'un nom de personne gallo-romain, Mallo.
Ses habitants sont appelés les Malonnais.
Elze : occitan elze (provençal Ăšuse), cf. italien elce, du latin ilex-icis : yeuse, chĂȘne vert[39].
Histoire
Préhistoire
Sur le parcours de la draille à moutons, de nombreuses roches gravées de cupules et de personnages attestent de l'ancienneté de cette voie, depuis le néolithique récent (env. -800 av. notre Úre).
Moyen Ăge
Les hameaux de Cessenades, Le Salzet, ainsi que Le Frontal existent depuis le XIe siĂšcle, les autres Ă partir des XIIe et XIIIe siĂšcles.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[42].
En 2020, la commune comptait 124 habitants[Note 9], en augmentation de 2,48 % par rapport Ă 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 21,6 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (32,6 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 37,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 29,6 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 61 hommes pour 63 femmes, soit un taux de 50,81 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,82 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 5] | 18,6 % | 15,6 % | 19,7 % |
DĂ©partement[I 6] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entiĂšre[I 7] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 75 personnes, parmi lesquelles on compte 53,9 % d'actifs (34,2 % ayant un emploi et 19,7 % de chÎmeurs) et 46,1 % d'inactifs[Note 10] - [I 5]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 8]. Elle compte 18 emplois en 2018, contre 24 en 2013 et 16 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 27, soit un indicateur de concentration d'emploi de 66,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 40,4 %[I 9].
Sur ces 27 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 15 travaillent dans la commune, soit 56 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 74,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 25,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
14 établissements[Note 11] sont implantés à Malons-et-Elze au [I 12]. Le secteur de l'industrie manufacturiÚre, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,6 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 14 entreprises implantées à Malons-et-Elze), contre 7,9 % au niveau départemental[I 13].
Agriculture
La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (14 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 301 ha[48] - [Carte 5] - [Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Ădifices religieux
- Ăglise Saint-Pierre de Malons. L'Ă©difice a Ă©tĂ© inscrit au titre des monuments historiques en 1949[49].
- Ăglise Saints-Pierre-et-Paul du Frontal.
HĂ©raldique
Voir aussi
Bibliographie
- Marie-Lucy Dumas, Marie-ThérÚse Costier-Chaumienne (collaboratrice) et Marie-Claude Durand (collaboratrice), Malons-et-Elze : Gens et terroirs en Hautes Cévennes : histoire, économie et société, Ponteils-et-Brésis, Marie-Lucy Dumas, , 366 p., 24 cm (ISBN 978-2-9525992-0-7, BNF 44252779)Une histoire composée avec le recours aux archives municipales, départementales et familiales.
- EugĂšne Germer-Durand, MinistĂšre de l'instruction publique (Ăditeur scientifique) et ComitĂ© des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du dĂ©partement du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impĂ©riale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934)
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- « Malons-et-Elze (Institut géographique national) » [archive du ], sur wikiwix.com (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Malons-et-Elze », sur www.insee.fr (consulté le )
- « Site interner de la mairie de Malons-et-Elze » (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[21].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[36].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Malons-et-Elze (30153) », (consultĂ© le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Malons-et-Elze » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Malons-et-Elze » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Malons-et-Elze » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Station Météo-France Les Vans Sa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
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- « le géoparc des monts d'ArdÚche », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
- « géoparc des monts d'ArdÚche », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Réserve de biosphÚre des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
- « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Malons-et-Elze », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101364 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Malons-et-Elze », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « gorges du Chazesac, de la Borne et de l'Altier » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
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- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
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