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MĂ©nestreau-en-Villette

Ménestreau-en-Villette est une commune française, située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

MĂ©nestreau-en-Villette
MĂ©nestreau-en-Villette
La place et l'Ă©glise.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Orléans
Intercommunalité Communauté de communes des Portes de Sologne
Maire
Mandat
Denis Trémault
2020-2026
Code postal 45240
Code commune 45200
DĂ©mographie
Gentilé Ménestréens[1]
Population
municipale
1 401 hab. (2020 en diminution de 4,76 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 26 hab./km2
Population
agglomération
369 104 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 42â€Č 00″ nord, 2° 01â€Č 23″ est
Altitude Min. 104 m
Max. 139 m
Superficie 53,62 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Orléans
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Ferté-Saint-Aubin
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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MĂ©nestreau-en-Villette
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MĂ©nestreau-en-Villette
Liens
Site web www.menestreau-en-villette.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Carte de la commune de MĂ©nestreau-en-Villette et des communes limitrophes.

    La commune de MĂ©nestreau-en-Villette se trouve dans le quadrant sud-ouest du dĂ©partement du Loiret, dans la rĂ©gion agricole de la Sologne[2] et l'aire urbaine d'OrlĂ©ans[3]. À vol d'oiseau, elle se situe Ă  24,2 km d'OrlĂ©ans[4], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  6,6 km de La FertĂ©-Saint-Aubin, ancien chef-lieu du canton dont dĂ©pendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de La FertĂ©-Saint-Aubin[3].

    Les communes les plus proches sont : La FertĂ©-Saint-Aubin (6,6 km), Vouzon (6,6 km, en Loir-et-Cher), Marcilly-en-Villette (7,2 km), Sennely (9,7 km), Lamotte-Beuvron (11,1 km, en Loir-et-Cher), Souvigny-en-Sologne (12,3 km, en Loir-et-Cher), Chaumont-sur-Tharonne (13,2 km, en Loir-et-Cher), Vienne-en-Val (14 km), Ardon (14,1 km) et Vannes-sur-Cosson (14,2 km)[5].

    Rose des vents Marcilly-en-Villette Rose des vents
    La Ferté-Saint-Aubin N Sennely
    O MĂ©nestreau-en-Villette E
    S
    Vouzon

    GĂ©ologie

    La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sĂ©dimentaires français. Cette vaste dĂ©pression, occupĂ©e dans le passĂ© par des mers peu profondes et des lacs, a Ă©tĂ© comblĂ©e, au fur et Ă  mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches gĂ©ologiques[6].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant du CĂ©nozoĂŻque, l'Ăšre gĂ©ologique la plus rĂ©cente sur l'Ă©chelle des temps gĂ©ologiques, dĂ©butant il y a 66 millions d'annĂ©es. La formation la plus ancienne est des sables et argiles de Sologne remontant Ă  l’époque MiocĂšne de la pĂ©riode NĂ©ogĂšne. La formation la plus rĂ©cente est des alluvions rĂ©centes des lits mineurs remontant Ă  l’époque HolocĂšne de la pĂ©riode Quaternaire. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « n°398 - La FertĂ©-Saint-Aubin » et « n°430 - Lamotte-Beuvron » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000Ăšme du dĂ©partement du Loiret[7] - [8] et leurs notices associĂ©es[9] - [10].

    Carte géologique de la commune.
    Ère PĂ©riode Époque Formations gĂ©ologiques
    CĂ©nozoĂŻque
    (0 - 66.0)
    Quaternaire
    (0 - 2.58)
    HolocĂšne
    Fz :alluvions récentes des lits mineurs, HolocÚne
    FC :alluvions et colluvions du fond des vallées secondaires, HolocÚne
    Fy :alluvions récentes des levées et montilles de la Loire et des basses terrasses du Loing, HolocÚne
    Fy-z :alluvions récentes de basse terrasse, HolocÚne
    FybS :alluvions de basse terrasse de Sologne, PléistocÚne (Wurm), terrasse +5 m
    FyaS :alluvions de basse terrasse de Sologne, PléistocÚne (Wurm), terrasse +8 m
    FxS :alluvions de moyenne terrasse de Sologne, PléistocÚne (Mindel), terrasse +10 m
    Fvb :alluvions de haute terrasse, PléistocÚne (Mindel), terrasse +20 m
    Fva :alluvions de haute terrasse, PléistocÚne (Mindel), terrasse +30 m
    PléistocÚne non présent
    NĂ©ogĂšne
    (2.58 - 23.03)
    PliocÚne non présent
    MiocĂšne
    m3-p1SASo :sables et argiles de Sologne, Langhien supérieur à PliocÚne inférieur
    PaléogÚne
    (23.03 - 66.0)
    OligocÚne non présent
    ÉocĂšne non prĂ©sent
    PaléocÚne non présent

    Relief

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l’Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rences dans toutes les statistiques, est de 53,62 km2[11] - [Note 1]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 54,21 km2[8]. Son relief est relativement plat puisque la dĂ©nivelĂ©e maximale atteint 35 mĂštres. L'altitude du territoire varie entre 104 m et 139 m[14].

    Hydrographie

    La commune est limitée au nord par la riviÚre le Cosson et au sud par la Cane. Selon les experts du BRGM, elle est entiÚrement située sur des sables et argiles du tertiaire, ce qui en fait une terre stérile. La seule éminence notable est la butte du Ciran[15].

    Milieux naturels et biodiversité

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives «Habitats » et «Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones SpĂ©ciales de Conservation (ZSC) et de Zones de Protection SpĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptĂ©e des habitats tout en tenant compte des exigences Ă©conomiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularitĂ©s rĂ©gionales et locales de chaque État membre. les activitĂ©s humaines ne sont pas interdites, dĂšs lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l’état de conservation favorable des habitats et des espĂšces concernĂ©s[16] - [17].

    Un site Natura 2000 est prĂ©sent sur le territoire communal de MĂ©nestreau-en-Villette[INPN 1] : la « Sologne », dĂ©signĂ©e site d'importance communautaire par arrĂȘtĂ© du [18] et est codĂ©e FR2402001. D'une superficie totale de 346 184 ha, elle constitue une vaste Ă©tendue Ă©maillĂ©e d'Ă©tangs, situĂ©e en totalitĂ© sur les formations sĂ©dimentaires du burdigalien. L'agriculture est en recul et on observe une fermeture des milieux naturels (landes). Plusieurs ensembles naturels de caractĂšre diffĂ©rent se distinguent sur ce site[INPN 2] :

    • la Sologne des Ă©tangs ou Sologne centrale, qui recĂšle plus de la moitiĂ© des Ă©tangs de la rĂ©gion ; les sols sont un peu moins acides que dans le reste du pays ;
    • la Sologne sĂšche ou Sologne du Cher, qui se caractĂ©rise par une plus grande proportion de landes sĂšches Ă  bruyĂšre cendrĂ©e, callune et HĂ©lianthĂšme faux-alysson ;
    • la Sologne maraĂźchĂšre, qui abrite encore une agriculture active et possĂšde quelques grands Ă©tangs en milieu forestier ;
    • la Sologne du Loiret, au nord, qui repose en partie sur des terrasses alluviales de la Loire issues du remaniement du soubassement burdigalien, ensemble auquel appartient la commune de MĂ©nestreau-en-Villette.

    Zones nationales d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Le territoire communal de MĂ©nestreau-en-Villette comprend une ZNIEFF[INPN 3], dĂ©nommĂ©e « Grand Ă©tang de la Motte ». De type 1[Note 2] et d'une superficie de 34 hectares, elle est situĂ©e au nord-ouest de la commune[DREAL 1]. Son altitude varie entre 112 et 112 m[INPN 4]. Il est possible d'y observer le scirpe Ă  inflorescence ovoĂŻde[INPN 5] (Eleocharis ovata), la limoselle aquatique[INPN 6] (Limosella aquatica) ou encore la pilulaire[INPN 7] (Pilularia globulifera). la prĂ©sence sur le site de l'Ă©latine verticillĂ©e[INPN 8] (Elatine alsinastrum), espĂšce considĂ©rĂ©e comme en danger critique d'extinction en rĂ©gion Centre-Val de Loire et qui donne une importance patrimoniale supplĂ©mentaire[INPN 9].

    Urbanisme

    Typologie

    Ménestreau-en-Villette est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [19] - [20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'OrlĂ©ans, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (78,5 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (72,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (78,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (12,7 %), terres arables (4,7 %), eaux continentales[Note 5] (2 %), zones urbanisĂ©es (1,7 %), prairies (0,4 %)[24].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    • Carte orthophotographique de la commune en 2016.
      Carte orthophotographique de la commune en 2016.

    Plan local d'urbanisme

    Un premier plan local d'urbanisme est prescrit en 2003 et approuvĂ© en 2006. Le conseil municipal prescrit la rĂ©vision de ce document le . AprĂšs enquĂȘte publique qui se dĂ©roule du au , le document est approuvĂ© le . Plusieurs demandes de modifications sont ensuite instruites et approuvĂ©es en 2007, 2008, 2012 et 2014[25].

    Documents d'orientations intercommunaux

    La commune est membre du Pays Sologne Val-sud, qui regroupe 29 des communes de la Sologne du Loiret. Ce pays impose un certain nombre de contraintes, que les documents d’urbanisme doivent respecter en Ă©tant compatibles avec les documents d’orientations du Pays. Le pays a notamment Ă©laborĂ© une charte architecturale et paysagĂšre en 2005[26].

    En 2012 les Pays ForĂȘt d'OrlĂ©ans Val de Loire, Loire Beauce et Sologne Val Sud sont les seuls territoires du dĂ©partement du Loiret ne disposant pas de schĂ©ma de cohĂ©rence territoriale (SCoT). Compte tenu de l'intĂ©rĂȘt de cet outil pour l'avenir des territoires, les Ă©lus de ces pays dĂ©cident d'engager une dĂ©marche d'Ă©laboration de SCOT. Le comitĂ© syndical du Pays Sologne Val Sud se prononce majoritairement en pour prendre la compĂ©tence SCoT dans ses statuts. Les quatre communautĂ©s de communes qui composent le Pays dĂ©libĂšrent en avril et pour confier "l'Ă©laboration, la gestion et le suivi du SCoT" au Pays Sologne Val Sud[27]. Les compĂ©tences sont modifiĂ©es en ce sens en [28], le pĂ©rimĂštre du SCOT est arrĂȘtĂ© par le prĂ©fet le . AprĂšs Ă©tude et concertation de 2014 Ă  2017, le document doit ĂȘtre approuvĂ© en 2018[29].

    Voies de communication et transports

    RĂ©seau routier principal de la commune de MĂ©nestreau-en-Villette (avec indication du trafic routier 2014).

    Infrastructures routiĂšres

    La commune est traversée par trois routes départementales : une route à trafic modéré (la RD108) et deux routes à faible trafic[Note 6] : la RD 17 et la RD 64.

    La RD 108, qui relie Saint-Cyr-en-Val Ă  MĂ©nestreau-en-Villette, supporte un trafic de 1 490 vĂ©hicules/jour au nord de la commune et de 955 au sud[30]. La RD 17 (1 266 vĂ©hicules/jour Ă  l'ouest du bourg) relie La FertĂ©-Saint-Aubin Ă  Sennely[30]. La RD 64 (651 vĂ©hicules/jour) relie Marcilly-en-Villette Ă  Sennely et traverse la pointe extrĂȘme est du territoire communal[30].

    Transports en commun

    En 2016, la commune est desservie par la ligne 5 du rĂ©seau Ulys, le rĂ©seau interurbain de transport par autocar du Conseil dĂ©partemental du Loiret. Cette ligne, qui relie Sennely Ă  OrlĂ©ans, propose un nombre de dessertes variable en fonction des jours ouvrables de la semaine[31]. Des correspondances SNCF sont assurĂ©es Ă  la gare d'OrlĂ©ans et TAO et Transbeauce Ă  la Gare routiĂšre d'OrlĂ©ans. À compter du , la compĂ©tence des services de transports routiers interurbains, rĂ©guliers et Ă  la demande est transfĂ©rĂ©e des dĂ©partements aux rĂ©gions, et donc localement du dĂ©partement du Loiret Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire, consĂ©cutivement Ă  la loi NOTRe du [32].

    Risques majeurs

    La commune de MĂ©nestreau-en-Villette est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicitĂ© trĂšs faible). Elle est Ă©galement exposĂ©e Ă  un risque technologique : le risque de transport de matiĂšres dangereuses[33]. Entre 1989 et 2019, cinq arrĂȘtĂ© ministĂ©riel ayant portĂ© reconnaissance de catastrophe naturelle a Ă©tĂ© pris pour le territoire de la commune : un pour des inondations et coulĂ©es de boues et quatre pour des mouvements de terrains[34].

    Risques naturels

    Le territoire de la commune peut ĂȘtre concernĂ© par un risque d'effondrement de cavitĂ©s souterraines non connues. Une cartographie dĂ©partementale de l'inventaire des cavitĂ©s souterraines et des dĂ©sordres de surface a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. Il a Ă©tĂ© recensĂ© sur la commune plusieurs effondrements de cavitĂ©s[35].

    Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomÚne de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[36]. Ce phénomÚne peut provoquer des dégùts trÚs importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particuliÚrement affecté le Loiret aprÚs la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune, dont le bourg, est soumise à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM)[37].

    Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicitĂ© croissante[38]. La commune, Ă  l’instar de l’ensemble du dĂ©partement, est concernĂ©e par un risque trĂšs faible[34].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque de transport de matiÚres dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'un gazoduc[39] - [33] - [40].

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse de MĂ©nestreau acquiert le statut de municipalitĂ© avec le dĂ©cret du de l'AssemblĂ©e Nationale[41] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le dĂ©cret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[42]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un rĂ©gime juridique uniforme soit dĂ©fini pour toutes les communes de France, point de dĂ©part de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[43].

    Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création[44].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien RĂ©gime, Ă  la veille des États gĂ©nĂ©raux de 1789, la paroisse de MĂ©nestreau Ă©tait rattachĂ©e sur le plan ecclĂ©siastique au diocĂšse d'OrlĂ©ans, sur le plan judiciaire au bailliage d'OrlĂ©ans , sur le plan militaire au gouvernement d'OrlĂ©ans et sur le plan administratif Ă  la gĂ©nĂ©ralitĂ© d'OrlĂ©ans[45] - [46].

    La loi du divise le pays en 83 dĂ©partements dĂ©coupĂ©s chacun en six Ă  neuf districts eux-mĂȘmes dĂ©coupĂ©s en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les dĂ©partements, sont le siĂšge d’une administration d’État et constituent Ă  ce titre des circonscriptions administratives. La commune de MĂ©nestreau-en-Villette est alors incluse dans le canton de La FertĂ©-Saint-Aubin, le district d'OrlĂ©ans et le dĂ©partement du Loiret[47].

    La recherche d’un Ă©quilibre entre la volontĂ© d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exĂ©cution et le contrĂŽle des lois d’une part, et la volontĂ© d’accorder une certaine autonomie aux collectivitĂ©s de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 Ă  1838[48]. Les dĂ©coupages territoriaux Ă©voluent ensuite au grĂ© des rĂ©formes visant Ă  dĂ©centraliser ou recentraliser l'action de l'État. La rĂ©gionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit Ă  la crĂ©ation de rĂ©gions[49]. L'acte I de la dĂ©centralisation de 1982-1983 constitue une Ă©tape importante en donnant l'autonomie aux collectivitĂ©s territoriales, rĂ©gions, dĂ©partements et communes[50]. L'acte II intervient en 2003-2006[51], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Ménestreau-en-Villette aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom PĂ©riode Type Évolution du dĂ©coupage territorial
    DistrictOrléans1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district d'Orléans de 1790 à 1795[44] - [47]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquiÚrent dÚs lors plus d'importance[52].
    CantonLa Ferté Saint-Aubin1790-1801Administrative et électoraleLe , la municipalité de Ménestreau-en-Villette est rattachée au canton de La Ferté Saint-Aubin[53]. Les cantons acquiÚrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    La-FertĂ©-Saint-Aubin1801-2015Sous le Consulat, un redĂ©coupage territorial visant Ă  rĂ©duire le nombre de justices de paix ramĂšne le nombre de cantons dans le Loiret de 59 Ă  31[54]. MĂ©nestreau-en-Villette est alors rattachĂ©e par arrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X () au canton de La-FertĂ©-Saint-Aubin[55] - [44].
    La FertĂ©-Saint-Aubin2015-ÉlectoraleLa loi du [56] et ses dĂ©crets d'application publiĂ©s en fĂ©vrier et [57] introduisent un nouveau dĂ©coupage territorial pour les Ă©lections dĂ©partementales. La commune est alors rattachĂ©e au nouveau canton de La FertĂ©-Saint-Aubin[57]. Depuis cette rĂ©forme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compĂ©tence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau dĂ©coupage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est dĂ©sormais uniquement une circonscription Ă©lectorale destinĂ©e Ă  l'Ă©lection d'un binĂŽme de conseillers dĂ©partementaux siĂ©geant au conseil dĂ©partemental[58].
    ArrondissementOrléans1801-AdministrativeMénestreau-en-Villette est rattachée à l'arrondissement d'Orléans depuis sa création en 1801[44] - [55].
    Circonscription lĂ©gislative3e circonscription2010-ÉlectoraleLors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă  5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siĂšge de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă  21[59] - [60]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă  six[61]. MĂ©nestreau-en-Villette, initialement rattachĂ©e Ă  la premiĂšre circonscription, est, aprĂšs 2010, rattachĂ©e Ă  la troisiĂšme circonscription[62].

    Collectivités de rattachement

    La commune de MĂ©nestreau-en-Villette est rattachĂ©e au dĂ©partement du Loiret et Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire[63], Ă  la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivitĂ©s territoriales.

    La commune est membre de la communauté de communes du canton de La Ferté-Saint-Aubin depuis sa création le [64], qui devient communauté de communes des Portes de Sologne le [65].

    Au-delà du maire, premier magistrat administrant la commune, les personnalités élues dont le mandat est relatif à une collectivité à laquelle est rattachée la commune de Ménestreau-en-Villette et représentant donc le territoire communal au sein de chacune de ces collectivités sont les suivantes :

    Élections Circonscription Ă©lectorale Élu de la circonscription
    Niveau Type Titre Nom DĂ©but de mandat Fin de mandat
    Groupe communal Municipales et communautaires Commune de MĂ©nestreau-en-Villette Maire Denis TREMAULT 2020 2026
    Communauté de communes des Portes de Sologne Président de l'intercommunalité Jean-Paul Roche 2020 2026
    Département DépartementalesCanton de La Ferté-Saint-AubinConseiller départementalChristian Braux29 mars 20152021
    ConseillÚre départementaleAnne Gaborit
    Région Régionales Région Centre-Val de Loire Président du conseil régional François Bonneau [66] 2021[67]
    Pays Législatives3e circonscriptionDéputéClaude de Ganay

    Conseil municipal et maire

    Depuis les Ă©lections municipales de 2014, le conseil municipal de MĂ©nestreau-en-Villette, commune de plus de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin proportionnel de liste Ă  deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[68], pour un mandat de six ans renouvelable[69]. Il est composĂ© de 15 membres[70]. L'exĂ©cutif communal est constituĂ© par le maire, Ă©lu par le conseil municipal parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-Ă -dire pour la durĂ©e du mandat du conseil.

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1893 1925 Gustave-Auguste Recullé
    1925 1947 Jean Martin
    1947 1983 Louis Vildamné Instituteur
    1983 1989 Raymond Boutonné
    mars 2014 mai 2020 Éric Lembo[71] MĂ©decin
    mai 2020 En cours Denis Tremault[71] - [72] Profession libérale
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Équipements et services

    Gestion des déchets

    En 2016, la commune est membre du syndicat mixte de collecte et de traitement des ordures mĂ©nagĂšres (SMICTOM) des Portes de Sologne. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres rĂ©siduelles[Note 7] (bac bordeaux) et des emballages mĂ©nagers recyclables (bac jaune) et des encombrants en porte Ă  porte, et du verre en points d’apport volontaire[73]. Un rĂ©seau de huit dĂ©chĂšteries, dont une sur le territoire communal, accueille les encombrants et autres dĂ©chets spĂ©cifiques (dĂ©chets verts, dĂ©chets dangereux, gravats, ferraille, cartons
)[74] L'Ă©limination et la valorisation Ă©nergĂ©tique des dĂ©chets mĂ©nagers et de ceux issus de la collecte sĂ©lective sont effectuĂ©es par le SIEOM du groupement de Mer qui exploite une usine d’incinĂ©ration (UIOM) Ă  Vernou-en-Sologne[75] - [76] - [77].

    Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes des Portes de Sologne en application de la loi NOTRe du [78].

    Production et distribution d'eau

    Le service public d’eau potable est une compĂ©tence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 dĂ©cembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[79]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurĂ©es par la commune elle-mĂȘme[80]. La loi NOTRe du 7 aoĂ»t 2015 prĂ©voit que le transfert des compĂ©tences « eau et assainissement » vers les communautĂ©s de communes sera obligatoire Ă  compter du . Le transfert d’une compĂ©tence entraĂźne de facto la mise Ă  disposition gratuite de plein droit des biens, Ă©quipements et services publics utilisĂ©s, Ă  la date du transfert, pour l'exercice de ces compĂ©tences et la substitution de la communautĂ© dans les droits et obligations des communes[81] - [82].

    Assainissement

    La compĂ©tence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usĂ©es, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrĂŽle des raccordements aux rĂ©seaux publics de collecte[83], est assurĂ©e par la commune elle-mĂȘme[84]. La commune est raccordĂ©e Ă  une station d'Ă©puration situĂ©e sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacitĂ© nominale de traitement est de 1 200 EH, soit 180 m3/jour. Cet Ă©quipement utilise un procĂ©dĂ© d'Ă©puration de type lagunage naturel. Son exploitation est assurĂ©e par MĂ©nestreau en Villette[85] - [86].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[87]. En 2017, la communautĂ© de communes des Portes de Sologne assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[88] - [89].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[90]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[91].

    En 2020, la commune comptait 1 401 habitants[Note 8], en diminution de 4,76 % par rapport Ă  2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    587592553637641627614601671
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6917106979229531 0641 0681 0781 113
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1341 0401 125968933863822839847
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    7906656591 2141 2961 3841 4651 4641 467
    2015 2020 - - - - - - -
    1 4711 401-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[92] puis Insee Ă  partir de 2006[93].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Patrimoine

    Vide grenier Ă  MĂ©nestreau-en-Villette.
    • Le domaine du Ciran comporte 300 hectares de paysages solognots.
    • Le manoir des Grands Bois, demeure de la fin du XIXe siĂšcle.
    • Le ChĂąteau de la Villette - XVIIIe siĂšcle - Location de salles pour fĂȘter vos Ă©vĂšnements.

    Personnalités liées à la commune

    • LĂ©on ClĂ©ment Le Fort (1829-1893), chirurgien, mĂ©decin et acadĂ©micien, y est dĂ©cĂ©dĂ© ;
    • Maurice Genevoix (1890-1980), Ă©crivain français, a rendu de frĂ©quentes visites Ă  son ami l'ancien maire de la commune Louis VildamnĂ©. Les chemins pĂ©destres ont Ă©tĂ© nommĂ©s des Ɠuvres de l'Ă©crivain en souvenir de cette amitiĂ© ;
    • Patrice Esnault, ancien coureur cycliste professionnel français ;
    • Cassandre Roland, Miss OrlĂ©anais et 5e dauphine de Miss France 2010.

    Cadre de vie

    La commune possÚde le label ville fleurie, deux fleurs lui ont été attribuées par le conseil national des villes et villages fleuris de France dans le cadre du concours des villes et villages fleuris[94].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e caractĂ©risĂ©e par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Une route est dite Ă  faible trafic lorsqu'elle supporte un trafic infĂ©rieur Ă  1 500 vĂ©hicules/jour.
    7. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus aprÚs extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).

    Inventaire national du patrimoine naturel

    Site de la Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Centre-Val de Loire

    Autres sources

    1. « Gentilés des communes du Loiret », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. « Zonage en petites régions agricoles », sur http://agreste.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    3. « Fiche communale », sur http://www.insee.fr/ (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre "Ménestreau-en-Villette" et "Orléans" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
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    6. « Histoire gĂ©ologique du Bassin parisien », sur le site du SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie (consultĂ© le ).
    7. « Carte géologique de Ménestreau-en-Villette » sur Géoportail (consulté le 29 mai 2022).
    8. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de MĂ©nestreau-en-Villette », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
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    Voir aussi

    Bibliographie

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    • Camille Bloch, Cahiers de dolĂ©ances du bailliage d'OrlĂ©ans pour les États gĂ©nĂ©raux de 1789 - tome 1, OrlĂ©ans, MinistĂšre de l'Instruction publique, (lire en ligne)
    • Camille Bloch, Cahiers de dolĂ©ances du bailliage d'OrlĂ©ans pour les États gĂ©nĂ©raux de 1789 - tome 2, OrlĂ©ans, MinistĂšre de l'Instruction publique, (lire en ligne)
    • Collectif, Loiret : un dĂ©partement Ă  l'Ă©lĂ©gance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • AbbĂ© Patron, DĂ©partement du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, ComĂ©dit, 1991, rĂ©Ă©dition de 1870 (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)

    Articles connexes

    Lien externe

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