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Laprade (Charente)

Laprade (La Prada en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Laprade
Laprade (Charente)
Mairie de Laprade.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente
Arrondissement AngoulĂȘme
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Jean Paul Crochet
2020-2026
Code postal 16390
Code commune 16180
DĂ©mographie
Gentilé Lapradiens ou Lapradois
Population
municipale
247 hab. (2020 en augmentation de 4,66 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 24 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 16â€Č 43″ nord, 0° 11â€Č 07″ est
Altitude Min. 40 m
Max. 132 m
Superficie 10,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Tude-et-Lavalette
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Laprade
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Laprade
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Laprade
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Laprade

    Ses habitants sont les Lapradiens et les Lapradiennes, ou les Lapradois et les Lapradoises[1].

    GĂ©ographie

    Localisation et accĂšs

    Laprade est une commune du Sud Charente, Ă  1,5 km au nord-est d'Aubeterre-sur-Dronne et dans la vallĂ©e de la Dronne qui sĂ©pare le dĂ©partement de la Charente de celui de la Dordogne.

    Laprade est aussi Ă  km de Saint-Aulaye, 11 km de Chalais, 13 km de RibĂ©rac, 14 km de Montmoreau et 41 km d'AngoulĂȘme[2].

    La commune est traversĂ©e par la D 17, route d'Aubeterre Ă  Saint-SĂ©verin et Villebois-Lavalette qui traverse le bourg. La D 10, route d'Aubeterre Ă  Montmoreau en direction d'AngoulĂȘme, passe Ă  l'ouest du bourg[3].

    La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER Ă  destination d'AngoulĂȘme et de Bordeaux.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Hameaux et lieux-dits

    La commune ne compte pas de hameau notable. L'habitat y est cependant dispersé, et on compte de nombreuses fermes et lieux-dits, comme Labrousse, Grand Porcherat, le Chail, Ragot, le Mauguillard, la Gùne, etc.[3].

    Communes limitrophes

    Laprade est limitrophe de cinq autres communes, dont deux dans le département de la Dordogne.

    GĂ©ologie et relief

    La moitiĂ© nord de la commune est occupĂ©e par les coteaux du Campanien (CrĂ©tacĂ© supĂ©rieur), calcaire crayeux qui occupe une grande partie du Sud Charente. Les sommets Ă  l'ouest (le bois du Fouillu et le sommet de la Petite Sauzade), ainsi que la crĂȘte au nord-est (route de Montignac-le-Coq) sont couverts de dĂ©pĂŽts du Tertiaire, sables argileux et galets. La vallĂ©e de la Dronne occupe la partie mĂ©ridionale de la commune, dont le sol consiste en des alluvions du Quaternaire. Les plus anciennes se sont accumulĂ©es en terrasses (Jeanguillon, et rive gauche de la Dronne), et les plus rĂ©centes constituent la partie inondable[4] - [5] - [6].

    Le point culminant de la commune est Ă  une altitude de 132 m, situĂ© en limite nord-ouest prĂšs de Labrousse. Le point le plus bas est Ă  40 m, situĂ© sur la rive gauche de la Dronne en limite sud. Le bourg, construit sur une terrasse au bord de la vallĂ©e de la Dronne, est Ă  48 m d'altitude[3].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Laprade.

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainĂ©e par la Dronne, la fontaine du poirier, l'Astier, l'Écrevansou le Pauly et par deux petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 13 km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    La commune est baignĂ©e par la Dronne, qui arrose sa bordure orientale et en traverse le sud. Elle forme plusieurs Ăźles dĂ©limitĂ©es par de petits bras ; l'Astier en est un. La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source en Haute-Vienne dans la commune de BussiĂšre-Galant et se jette dans l'Isle — dont elle est le principal affluent — en Gironde Ă  Sablons, aprĂšs avoir traversĂ© 51 communes[9]

    L'Écrevansou est un petit ruisseau descendant de Pillac et qui se jette dans la Dronne Ă  l'est du bourg. Un de ses affluents bizarrement du mĂȘme nom descend de Saint-Romain. La Fontaine du Poirier, autre affluent intermittent, descend des bois situĂ©s Ă  l'ouest et forme la limite communale[3].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[10]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [11].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Milieux naturels et biodiversité

    À Laprade, la vallĂ©e de la Dronne fait partie de la ZNIEFF de type II nommĂ©e « VallĂ©es de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[12] - [13].

    Vingt-deux espÚces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[12] :

    Vingt-neuf autres espÚces animales (quatre mammifÚres et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Laprade est une commune rurale[Note 1] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (90 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (90,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (56,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (24 %), prairies (9,8 %), forĂȘts (9,2 %), zones urbanisĂ©es (0,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Laprade est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Laprade est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire du massif de Bors – Pillac – Saint-Romain. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© pour la pĂ©riode 2017-2026, faisant suite Ă  un plan 2007-2016[22]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂšglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 2] - [22] - [23] - [24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Laprade.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 89,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 172 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 157 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 91 %, Ă  comparer aux 81 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[26].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1999, 2012, 2014 et 2021. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[27].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Prada en 1230, Prata en 1382[28].

    Le nom de Laprade signifie la prairie en limousin, et plus généralement en occitan prada, issu du bas latin pratum ou prata (pré) et qui a donné prée en vieux français[29] - [30].

    Langues

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[31]. Elle se nomme La Prada en occitan[32].

    Histoire

    Une ancienne voie supposée romaine de Saintes à Périgueux ou Cahors par Pons, Brossac et Ribérac traversait la Dronne à Aubeterre et traversait le sud de la commune. Un sarcophage d'époque mérovingienne a été trouvé en 1927 Chez Chevreuil, prÚs de cette voie[33].

    Au début du XXe siÚcle, la ligne de Parcoul à Ribérac traversait le sud-est de la commune (elle traversait deux fois la Dronne) et la gare d'Aubeterre était sur Laprade.

    L'industrie était représentait par une papeterie au Moulin Neuf, une minoterie à Ragot, une scierie. Une fabrique de cierges a été détruite par un incendie en 1914 et jamais reconstruite[34].

    Administration

    Avant la réforme territoriale de 2014, la commune de Laprade était rattachée au canton d'Aubeterre-sur-Dronne.

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1947 1966
    (décÚs)
    Marius Louis RGR Conseiller général du canton d'Aubeterre-sur-Dronne (1959-1966)
    1966 2008 Jean Louis
    2008 En cours Jean-Paul Crochet SE PlĂątrier-peintre
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    Évolution dĂ©mographique


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[36].

    En 2020, la commune comptait 247 habitants[Note 3], en augmentation de 4,66 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856 1861
    628608632647606596525587524
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    542510464487525466453474450
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    453397392379339356358353316
    1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
    265223207209217223225236247
    2020 - - - - - - - -
    247--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  23,1 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 39,3 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 32,3 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 122 hommes pour 125 femmes, soit un taux de 50,61 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1,6
    90 ou +
    3,2
    12,3
    75-89 ans
    16,0
    25,4
    60-74 ans
    20,0
    27,0
    45-59 ans
    26,4
    9,8
    30-44 ans
    12,0
    13,9
    15-29 ans
    11,2
    9,8
    0-14 ans
    11,2
    Pyramide des ùges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Économie

    Agriculture

    La commune fait partie de l'aire d'origine contrÎlée du Cognac « Bons Bois »[41] et de l'AOP Noix du Périgord[42].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'Ă©cole est un regroupement pĂ©dagogique intercommunal entre Aubeterre, Bonnes et Laprade. Jusqu’à la fermeture des Ă©coles Ă©lĂ©mentaires, Aubeterre accueillait l'Ă©cole primaire, et Bonnes et Laprade les Ă©coles Ă©lĂ©mentaires. L'Ă©cole de Laprade, situĂ©e au bourg, ne comportait qu'une classe. Aujourd’hui, Aubeterre accueille la classe de maternelle et les niveaux Ă©lĂ©mentaires sont transfĂ©rĂ©s sur la commune de Saint-Romain. Un relais d’assistantes maternelles occupe Ă  prĂ©sent les anciens locaux de l’école. Le secteur du collĂšge est Chalais[43].

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise au centre du bourg.
    ChĂąteau du Janvray.
    • L'Ă©glise paroissiale Sainte-Anne, de style nĂ©o-roman.
    • Le chĂąteau du Janvray a Ă©tĂ© construit dans les annĂ©es 1895-1900 Ă  la demande de M. Raymond Troubat qui fut ensuite maire d'Aubeterre, conseiller gĂ©nĂ©ral et conseiller municipal de Laprade. Les bĂątiments s'Ă©lĂšvent au bord de la D 10 qui joint Aubeterre Ă  Bors.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mĂštres minimum de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Laprade » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous GĂ©oportail
    4. Carte du BRGM sous GĂ©oportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Laprade », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. Sandre, « la Dronne »
    10. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    12. [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    13. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Laprade », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    22. « Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consultĂ© le )
    23. « ArrĂȘtĂ© portant classement de massifs forestiers et obligation de dĂ©broussaillement. », sur www.charente.gouv.fr, (consultĂ© le )
    24. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Laprade », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    28. Jean Nanglard, PouillĂ© historique du diocĂšse d'AngoulĂȘme, t. III, AngoulĂȘme, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 124
    29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 545-1.
    30. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    31. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    32. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    33. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 57
    34. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Chùteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 213
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Laprade (16180) », (consultĂ© le ).
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