Nabinaud
Nabinaud (Nabinau en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Nabinaud | |||||
L'Ă©glise de Nabinaud en 2010. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Charente | ||||
Arrondissement | AngoulĂȘme | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Lavalette Tude Dronne | ||||
Maire Mandat |
Josiane Bodet 2020-2026 |
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Code postal | 16390 | ||||
Code commune | 16240 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Nabinaldiens | ||||
Population municipale |
100 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 17âČ 12âł nord, 0° 12âČ 50âł est | ||||
Altitude | Min. 45 m Max. 133 m |
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Superficie | 5,88 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Tude-et-Lavalette | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Charente
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Ses habitants sont les Nabinaldiens et les Nabinaldiennes[1].
GĂ©ographie
Localisation et accĂšs
Nabinaud est une petite commune du Sud Charente, au bord de la Dronne et limitrophe du département de la Dordogne.
Le bourg est Ă 3 km au nord-est d'Aubeterre-sur-Dronne, chef-lieu de son canton, et 41 km au sud d'AngoulĂȘme. Il est aussi Ă 5 km au sud-ouest de Saint-SĂ©verin, 11 km de Saint-Aulaye et de RibĂ©rac, 13 km de Chalais et 14 km de Montmoreau[2].
à l'écart des grandes routes, la commune est traversée par la D 17, route d'Aubeterre à Saint-Séverin et Villebois-Lavalette qui longe la Dronne, et qui passe à la mairie et prÚs du bourg. La D 78 d'Aubeterre à Montignac-le-Coq passe en limite nord-ouest de commune, sur les hauteurs. La D 140 qui traverse la Dronne la rejoint depuis Petit-Bersac[3].
Hameaux et lieux-dits
Le bourg est minuscule, et la commune compte quelques petits hameaux : Puygironde, Longevau et Clapejaud au nord, Barraud et Boyer Ă l'ouest, etc. et de nombreuses fermes[3].
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
La commune est occupĂ©e par les coteaux du Campanien (CrĂ©tacĂ© supĂ©rieur), calcaire crayeux qui occupe une grande partie du Sud Charente. La crĂȘte Ă l'ouest est couverte de dĂ©pĂŽts du Tertiaire, sables argileux et galets. La vallĂ©e de la Dronne occupe la partie sud-est de la commune, dont le sol consiste en des alluvions du Quaternaire. Les plus anciennes se sont accumulĂ©es en terrasses (Maison Neuve), et les plus rĂ©centes constituent la partie inondable[4] - [5] - [6].
Le point culminant de la commune est à une altitude de 133 m, situé dans le bois du Poteau de Ferchaud en limite nord-ouest. Le point le plus bas est à 45 m, situé le long de la Dronne en limite sud. Le bourg, construit sur une légÚre corniche surplombant la Dronne, est à 60 m d'altitude[3].
RĂ©seau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Dronne, l'Auzonne, et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[8] - [Carte 1].
La Dronne, affluent de l'Isle et sous-affluent de la Dordogne, arrose le sud et l'est de la commune. L'Auzonne, petit affluent en rive droite qui descend de Juignac, limite la commune Ă l'est[3].
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ćuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[9]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux dâutilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [10].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Milieux naturels et biodiversité
à Nabinaud, la vallée de la Dronne fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[11] - [12].
Vingt-deux espÚces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[11] :
- un amphibien : la Rainette verte (Hyla arborea) ;
- un crustacĂ©, l'Ăcrevisse Ă pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- cinq insectes dont trois lépidoptÚres : l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar) et le Fadet des laßches (Coenonympha oedippus) et deux odonates : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) ;
- sept mammifĂšres : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq chauves-souris : le Murin Ă moustaches (Myotis mystacinus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et la SĂ©rotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- quatre oiseaux : l'Alouette lulu (Lullula arborea), le Martin-pĂȘcheur d'Europe (Alcedo atthis), le Milan noir (Milvus migrans) et le Tarier des prĂ©s (Saxicola rubetra) ;
- trois poissons : le Chabot commun (Cottus gobio), la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Toxostome (Parachondrostoma toxostoma) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-neuf autres espÚces animales (quatre mammifÚres et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[11].
Urbanisme
Typologie
Nabinaud est une commune rurale[Note 1] - [13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14] - [15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16] - [17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (91,6 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (91,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (70,8 %), prairies (12,8 %), forĂȘts (8,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8 %)[18].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Nabinaud est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[19]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[20].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 83 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 83 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 66 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 80 %, Ă comparer aux 81 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[22].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[19].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[23].
Toponymie
Une forme ancienne est Nabinaus (non datée)[24].
L'origine du nom de Nabinaud remonterait au latin napina signifiant « champ de navets », et suffixe -alem[25] - [Note 2].
La commune a été créée Nabineau en 1793, puis elle s'écrivait Nabinaux en 1801 ainsi que sur la carte de Cassini, avant de s'écrire Nabinaud[26] - [27].
Histoire
C'est dans cette paroisse, à Poltrot, que serait né au XVIe siÚcle Jean de Poltrot de Méré, assassin du duc de Guise. D'aprÚs BrantÎme, il fut élevé prÚs du vicomte d'Aubeterre, et possédait un chùteau surplombant la Dronne dont on voit encore quelques vestiges. Le chùteau de Poltrot était situé prÚs de la terre de Méré.
Au début du XXe siÚcle, l'industrie était représentée par une scierie mécanique[30].
Le 26 septembre 1943, le jour mĂȘme ou leurs camarades tombent Ă la citadelle de Besançon, trois FTP recherchĂ©s par la Gestapo pour actes de terrorisme (33 attentats contre l'armĂ©e allemande) se mettent en route pour l'Espagne. Trois jours plus tard, ils arrivent au chĂąteau de la famille de SĂ©govia Ă l'Auzonne, dans le nord-est de la commune, et sont hĂ©bergĂ©s par cette famille qui prend tous les risques. Pendant un mois, ils cherchent en vain des filiĂšres et des passeurs qui leur permettraient de franchir les PyrĂ©nĂ©es et de rejoindre la France libre Ă Londres. L'Ă©chec de leurs tentatives et l'inactivitĂ© qu'ils trouvent longue font qu'ils rejoignent la Franche-ComtĂ© pour ĂȘtre agents de liaison dans le rĂ©seau franco-suisse Gilbert jusqu'Ă la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Administration
DĂ©mographie
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[32].
En 2020, la commune comptait 100 habitants[Note 3], en augmentation de 5,26 % par rapport Ă 2014 (Charente : â0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 25 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (30,2 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 35 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 32,3 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 50 hommes pour 50 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
Agriculture
La commune fait partie de l'aire d'origine contrÎlée du Cognac « Bons Bois »[36] et de l'AOP Noix du Périgord[37].
Lieux et monuments
- L'église paroissiale Saint-Pierre date des XIIe et XVe siÚcles. Sa cloche en bronze datant de 1671 est classée monument historique au titre objet depuis 1944[38]. Elle a été rénovée en 2012[39].
- La façade rénovée.
- L'intérieur.
- Vestiges du chùteau de Jean de Poltrot de Méré, assassin du duc de Guise, à Poltrot[30].
Personnalités liées à la commune
- Jean de Poltrot de Méré (1537-1563), assassin du duc de Guise[30]
- François Mitterrand y passait ses vacances d'Ă©tĂ©, Ă©tant jeune. La photo de son Ă©glise Ă©tait sur la cheminĂ©e de son bureau Ă l'ĂlysĂ©e[40].
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le nom de la commune de Nasbinals en LozĂšre (prononciation locale nabinaus) a la mĂȘme Ă©tymologie (rĂ©f.Dauzat).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Nabinaud » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Carte du BRGM sous GĂ©oportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Nabinaud », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
- Dictionnaire toponymique de la Dordogne
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 488.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Carte de Cassini visualisable sous GĂ©oportail
- Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
- (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Chùteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 258
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Nabinaud (16240) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Charente (16) », (consultĂ© le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- « Délimitation géographique de l'AOP Noix du Périgord », sur www.noixduperigord.com, (consulté le )
- « Cloche de l'église », notice no PM16000200, base Palissy, ministÚre français de la Culture
- Journal Charente libre, « Rénovation réussie pour l'église de Nabinaud », (consulté le )
- « Touvent, le paradis perdu de François Mitterrand », sur Sud Ouest,
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « Moulin Poltrot », base Mérimée, ministÚre français de la Culture
- Catillus Carol, « Nabinaud », (consulté le )