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José Giovanni

Joseph Damiani, dit José Giovanni, est un écrivain, scénariste, dialoguiste et réalisateur français né le à Paris, naturalisé suisse en 1986 et mort le à Lausanne[1].

José Giovanni
Description de cette image, également commentée ci-après
José Giovanni en 2001.
Nom de naissance Joseph Antoine Roger Damiani
Naissance
8e arrondissement de Paris
DĂ©cès (Ă  80 ans)
Lausanne (Suisse)
Nationalité Drapeau de la France France puis Drapeau de la Suisse Suisse
Activité principale
Distinctions
Auteur
Langue d’écriture français
Genres

Ĺ’uvres principales

Le Trou (1957)

Condamné à mort en 1948 pour extorsion de fonds et complicité d'assassinat, il est gracié puis libéré de prison en 1956 après onze ans d'incarcération. Encouragé par son avocat Stephen Hecquet, il se lance dans l'écriture. Son premier livre, Le Trou, récit de sa tentative d'évasion de la prison de la Santé en 1947, est rapidement publié en 1957 par Gallimard, qui prend une option sur dix autres romans. Dans les années qui suivent, il devient un auteur de référence de la Série Noire en publiant notamment Le Deuxième Souffle et Classe tous risques, qui deviendront des classiques de la littérature policière. Au total, Giovanni a publié 21 romans ainsi que des Mémoires. Il puise principalement son inspiration dans ses expériences personnelles ou à partir de personnages ayant réellement existé et qu'il a croisés en prison — comme Abel Danos, ou Auguste Méla — pour composer ses intrigues policières. Ses romans sont portés à l'écran par des metteurs en scène prestigieux dont Jacques Becker, Claude Sautet et Jean-Pierre Melville, qui font appel à lui pour l'adaptation. En 1966, il se lance dans la mise en scène avec La Loi du survivant, adaptation d'une partie de son roman Les Aventuriers. 19 autres films et téléfilms suivront jusqu'en 2001. Dans ses films aussi bien que dans ses romans, il se fait le témoin de la pègre et sa mythologie : amitiés viriles et code de l'honneur, fidélité et trahison, vendetta et vengeance. Au travers de certains de ses films (Un aller simple, Deux hommes dans la ville), il milite également contre la peine de mort.

José Giovanni n'a jamais fait mystère de son passé carcéral et de sa condamnation à mort. En 1993, une agence de presse suisse a rappelé des faits de collaboration dont il s'est rendu coupable en 1944 et pour lesquels il a été également condamné[2].

Biographie

Jeunesse

Joseph Damiani, né à Paris, connaît une enfance préservée du besoin. Ses parents, d'origine corse, Barthélemy Damiani et Émilie Santolini, possèdent deux grands hôtels à Paris, l'Élysée Star et le Normandy, dont l'un a servi à l'installation d'un tripot clandestin (Barthélemy encourut plusieurs condamnations dont une à un an de prison pour « escroquerie et tenue de maison de jeux » le par la cour d'appel de Paris). Joseph Damiani entreprend un parcours d'études au collège Stanislas et au lycée Janson-de-Sailly. Les condamnations de son père Barthélemy laissent la famille ruinée. Les Damiani s'installent en 1939 à Marseille et par la suite tiennent un hôtel à Chamonix. Là, Joseph se découvre une passion pour la montagne[n 1]. En 1942, il s'inscrit à la faculté libre de droit d'Aix-en-Provence mais il est défaillant aux examens de et .

L'Occupation et la collaboration

En Joseph Damiani rejoint à Chamonix le chantier de Jeunesse et montagne (créé par l'Armée de l'air du gouvernement de Vichy dans le cadre des Chantiers de jeunesse), qu'il quitte en . À Marseille, son père le présente à Simon Sabiani, ancien maire de la ville et secrétaire général de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme. Celui-ci le fait adhérer au Parti populaire français (PPF), ce qui lui permet d'échapper au Service du travail obligatoire (STO)[3]. Dans le cadre de ses activités au PPF, il participe à l’arrestation de réfractaires au STO.

En , afin d'éviter d’être arrêté pour son appartenance au PPF, Joseph Damiani se réfugie chez l’une de ses sœurs, à Nantes. Il traverse à plusieurs reprises les lignes de la poche de Saint-Nazaire. Il est rapidement arrêté par les Allemands, qui le relâcheront au bout de quelques semaines[3].

Crimes et condamnations

À Lyon, en , il est mêlé à des affaires de vol et d'extorsion contre des juifs commis par des individus munis de cartes de la police allemande. Dans les semaines qui suivent, à Paris et en Bretagne, parfois en prétendant être de la Résistance, il participe à plusieurs délits de même nature[2].

Selon Franck Lhomeau dans la revue Temps noir, no 16 de , cité par l'historien Jean-Claude Vimont : « Damiani fut arrêté début juin 1945 à la suite d’un triple assassinat [...]. Le 18 mai 1945, quatre individus, prétendant appartenir à la sécurité militaire arrêtèrent [rue de Gramont] un représentant en vin, Haïm Cohen, et le conduisirent dans une villa de Suresnes. Il fut torturé, dut livrer les clefs de son coffre et contraint de signer un chèque au porteur avant d’être abattu »[4]. Le , les mêmes abattent les frères Jules et Roger Peugeot puis les enterrent dans une forêt près du Chesnay, après les avoir torturés dans une villa de Suresnes. Les auteurs de ces agressions étaient les frères Damiani, Joseph et Paul, ancien milicien, Georges Accad, un ancien de la Gestapo et Jacques Ménassole, ancien milicien également[4] - [5].

Damiani est inculpé d'« atteinte à la sécurité extérieure de l’État » par la cour de justice de Marseille le 20 juillet 1946 pour appartenance au PPF, pour appartenance au Schuztkorps, pour avoir été le garde du corps du directeur de l'OPA (Office de placement allemand) de Marseille et pour arrestations de réfractaires au STO. Il est condamné à vingt ans de travaux forcés pour avoir « en temps de guerre, entretenu des intelligences avec l'Allemagne ou ses agents. En outre, pour avoir appartenu au PPF, il est condamné à la dégradation nationale à vie » et « incarcéré à la prison de la Santé à Paris dans l’attente de son procès pour le triple assassinat »[4].

Le procès a lieu les 9 et . Un article du Monde du présente ainsi les coupables : « Les deux jeunes bandits Damiani et Accad, que jugent en ce moment les assises de la Seine, n'ont vraiment pas l'envergure de leurs crimes : ils sont minables, étriqués, falots. On ne les imagine pas facilement enlevant un homme sous couleur de l'amener "au" (sic) D.G.E.R., renfermant dans la cave d'une villa louée tout exprès sans doute, lui faisant signer chèques et ordres de paiement, enfin, l'ayant tué, se débarrassant du corps dans la Seine. Et puis recommençant deux fois "l'opération", comme ils disent »[6]. Joseph Damiani est condamné à mort.

Dans le dossier de la cour de justice de Marseille comme dans celui de la cour d'assises de Paris figure un rapport de police sur la moralité de Damiani, qui conclut : « Il est permis de dire qu'on se trouve en présence d'un individu extrêmement nuisible à la société et qui, avant d'être assassin, a été traître à la cause de son pays et commis des actes relevant du plus pur gangstérisme »[3].

Le , Damiani est jugé par la 10e chambre correctionnelle du tribunal de la Seine pour des « vols en alléguant de faux ordres d'une autorité étrangère (vols aux faux policiers en se prétendant « police allemande ») à l'encontre de deux personnes de religion juive, commis le à Lyon. Il est condamné à dix années de prison. Toutes les peines sont confondues. Il purge l'essentiel de ses années de prison dans la maison centrale de Melun »[4].

« Le 14 novembre 1951, Damiani obtient la réduction de sa peine à vingt ans de travaux forcés. Enfin, après les remises de peine régulières, le président René Coty remet le reste des travaux forcés le 30 novembre 1956 et Joseph Damiani sort libre de la centrale de Melun le 4 décembre 1956, à l'âge de trente-trois ans, après onze ans et demi de détention »[4] - [5].

Il a été « réhabilité par la justice et déclaré digne de l'estime publique, il était aussi visiteur de prison »[7].

Retour sur son passé criminel

En 1993, la presse suisse revient sur son passé. Le , les quotidiens La Tribune de Genève et 24 Heures de Lausanne, faisant suite à l'enquête de l'agence de presse suisse BRRI de Roger de Diesbach, accusent le cinéaste et romancier d'avoir collaboré avec les nazis et la Milice française pendant la guerre[8]. Giovanni dément avec vigueur ces accusations, faisant valoir son « casier judiciaire vierge », sa « carte de la Résistance française »[9]. Giovanni explique que sa condamnation à mort sanctionnait des faits de droit commun et non de collaboration. « Oui, j'ai été en prison plusieurs fois pendant un bon nombre d'années. Ça a commencé par une histoire de Résistance, et après ça s'est prolongé par des histoires de droit commun »[10]. De ses condamnations pour collaboration, il ne parlera jamais et il annonce son intention de porter plainte pour diffamation sans donner suite[8]. Finalement il déclare : « J'ai payé. J'ai droit au pardon et à l'oubli »[11] - [5].

Dans son film Mon père, il m'a sauvé la vie, sorti sur les écrans en 2001, il revient avec franchise sur les affaires de racket et le triple meurtre auquel il a été mêlé et qui lui ont valu sa condamnation à mort. Il fait porter l'essentiel de la responsabilité de ces méfaits à son oncle Paul Santolini, dit « Santos », chef de bande qui échappa à la justice et finit ses jours tranquillement en Espagne.

José Giovanni écrivain et cinéaste

L'Ă©crivain

Damiani avait tenu son journal pendant son séjour dans le couloir de la mort dans l'attente de la décision de la Cour de cassation puis celle de la grâce présidentielle. Les vingt pages du journal ont été mises en ligne intégralement par Jean-Claude Vimont[12]. Grâce à son avocat, Stephen Hecquet, ce Journal d'un condamné à mort, signé « X », a été publié en juin 1952 dans les deuxièmes cahiers de Positions, édité par Le Soleil noir. Le temps des assassins, sous le titre Huit mois face à la tombe, journal d’un condamné à mort, faisait partie d'un ensemble sur la question du bien-fondé de la peine de mort et du droit de juger, avec des contributions de Jean Cau, Jean Cocteau, Joseph Delteil, Julien Gracq, Jean Paulhan, Benjamin Péret et Stephen Hecquet, qui était aussi l'ami de Roger Nimier « et fut certainement à l’origine de la carrière littéraire de José Giovanni[13]. »

Selon Jean-Claude Vimont, ce journal est « un précieux témoignage sur la matérialité du régime des condamnés à mort en cette fin des années quarante. Ils sont isolés dans une cellule individuelle sous la surveillance de gardiens installés dans un corridor contigu, par delà des grilles aux cellules. Ce dispositif est propre à la prison de la Santé, dans le quartier haut, et diffère du corridor de la haute surveillance de Fresnes où sont regroupés les condamnés à mort pour faits de collaboration. La séparation ne signifie pas l’absence de contacts entre les détenus : « j’ai fabriqué un jeu d’échecs : je joue avec O…, mon compagnon de misère, placé en face de moi. Nous sommes séparés par un gardien installé dans un étroit couloir »[14]. En juillet 1948, les condamnés à mort sont au nombre de cinq à la Santé »[15].

À sa sortie de prison, sur les conseils de son avocat, Damiani écrit sous le nom de « José Giovanni » son premier roman, Le Trou, qui raconte sa tentative d'évasion. Hecquet fait lire le manuscrit à son ami Roger Nimier, qui le fait lire à Albert Camus, lequel demande à rencontrer Giovanni et lui passe commande pour dix romans. « Giovanni en donnera quatre dès la première année »[16], dont Le Trou, publié hors collection chez Gallimard en 1957.

En 1958, Marcel Duhamel fait entrer José Giovanni à la Série noire, où il se fait remarquer avec plusieurs romans qui seront pour la plupart portés à l'écran.

Il est considéré comme « l'évadé du crime » par Philippe Berté le 2011 dans Les Lettres françaises : « L’auteur, dont le parcours atypique a permis de révéler au grand public son expérience, évoque dans trois romans noirs successifs la condition d’un homme fuyant la justice au prix de nombreux crimes et assassinats qui jalonnent le reste de ses jours »[17]. Cet auteur prolifique compte « une vingtaine de romans, une quinzaine de scénarios pour le grand écran et une vingtaine de films réalisés », parmi lesquels « trois chefs-d’œuvre du roman noir hautement réalistes [...] qui constituent un témoignage unique sur le milieu, ses codes, sa hiérarchie, et qui fournissent une analyse approfondie de la situation d’aliénation dans laquelle se trouve un criminel évadé »[17]. Philippe Berté considère que « Giovanni s’est en quelque sorte soigné du crime en écrivant, ce qui lui valut la carrière qu’on lui connaît. Il évacue probablement grâce à ces trois romans le parcours qu’il aurait pu suivre s’il s’était évadé de la Santé de 1947 »[17].

De la littérature au cinéma

Ses romans noirs, qui ont connu un grand succès, ont presque tous été adaptés à l'écran, ce qui a amené Giovanni à se tourner vers le cinéma. Le cinéaste Jacques Becker s’est intéressé en 1947 à un article de journal relatant la tentative d’évasion de la prison de la Santé et il a envisagé d'en faire un film. En 1958, à la lecture du premier roman de Giovanni, Becker reprend son projet et l'engage comme conseiller technique et co-scénariste pour la réalisation de son film Le Trou[18] - [19] avec Philippe Leroy-Beaulieu, Marc Michel et des non professionnels, dont Michel Constantin et Jean Keraudy. Becker présente Giovanni à Claude Sautet pour lequel il écrit les dialogues de Classe tous risques, dont les vedettes sont Lino Ventura et Jean-Paul Belmondo. Les deux films sortiront en 1960. Giovanni est également chargé des dialogues de L'Excommunié, adapté au cinéma sous le titre Un nommé La Rocca par Jean Becker, avec Jean-Paul Belmondo en 1961.

Spécialiste des flics, des voyous et de l'univers carcéral, il contribue à l'écriture de scénarios, dont plusieurs sont mis en scène par Jacques Deray (Rififi à Tokyo, Avec la peau des autres, L'Homme de Marrakech, Symphonie pour un massacre). En 1969, Henri Verneuil fera appel à lui pour l'aider à adapter le roman d'Auguste Le Breton, Le Clan des Siciliens.

C'est le début d'une carrière cinématographique très longue au cours de laquelle il sera tour à tour adaptateur, scénariste et dialoguiste, ce qui l'amène à réduire son activité d'écrivain. En 1967, José Giovanni devient metteur en scène en portant à l'écran une partie de son roman Les Aventuriers sous le titre La Loi du survivant. Adaptés de ses romans par Jean-Pierre Melville, Robert Enrico et lui-même, Le Deuxième Souffle, Les Grandes Gueules, Les Aventuriers, La Scoumoune, Le Gitan obtiennent de grands succès publics. Il porte également à l'écran des scénarios originaux dont il est l'auteur (Deux hommes dans la ville, Comme un boomerang, Les Loups entre eux, Une robe noire pour un tueur) ou adapte des romans d'auteurs anglo-saxons (Le Rapace, Dernier domicile connu). Alain Delon, Jean-Paul Belmondo, Lino Ventura, Rufus seront ses acteurs de prédilection. José Giovanni est considéré comme l'un des symboles du cinéma grand public des années 1970 et 1980[20].

En 1995, il revient à l'écriture et consacre à la mémoire de son père un roman autobiographique, Il avait dans le cœur des jardins introuvables, qu'il adaptera en 2001 au cinéma avec Bruno Cremer sous le titre Mon père, il m'a sauvé la vie et qui sera son dernier film. Ce livre a été accueilli avec respect par la critique littéraire qui s'en est fait l'écho, y compris Bertrand Tavernier, reproduit sur Allociné[21].

José Giovanni, a été un adversaire acharné de la peine de mort. Huit mois face à la tombe, journal d'un condamné à mort[22] est un témoignage sur les conditions matérielles du régime des condamnés. Il évoque le cas d'un malfaiteur qui attend son exécution dans Un aller simple. Deux hommes dans la ville est un plaidoyer contre la peine capitale.

De 1968 à sa mort il a vécu en Suisse, aux Marécottes, village valaisan situé non loin de Chamonix.

Ĺ’uvres

José Giovanni a écrit vingt-deux romans, deux livres de souvenirs (Il avait dans le cœur des jardins introuvables et Mes grandes gueules), trente-trois scénarios et a réalisé quinze films et cinq téléfilms.

Romans

Publications aux Ă©ditions Gallimard
Publications aux éditions Jean-Claude Lattès
Publications aux Ă©ditions Robert Laffont
Publication aux Ă©ditions du Rocher
  • 2001 : Les Gosses d'abord
Publications aux Ă©ditions Fayard
  • 2002 : Mes grandes gueules (MĂ©moires)
  • 2003 : Comme un vol de vautours
  • 2004 : Le Pardon du grand Nord

Cinéma

[Ré] : réalisateur
[Sc] : scénariste
[Di] : dialoguiste
[OS] : auteur du roman à l'origine du scénario

José Giovanni fait des apparitions dans les films suivants :

Il est interviewé, ainsi que Bertrand Tavernier, Philippe Sarde, Jean-Pierre Marielle, Jean-Paul Rappeneau, Jean-Louis Livi, Jean-Loup Dabadie, et d'autres, dans Claude Sautet ou la Magie invisible, documentaire de Nguyen Trung Binh et Dominique Rabourdin en 2002[23]

Notes et références

Notes

  1. Passionné par l'escalade, il réalisera plus tard des courses en montagne difficiles avec son beau-frère l'alpiniste René Desmaison.

Références

  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. Jacques Cordy, « Le cinéaste José Giovanni était-il collabo ? », Le Soir,‎ (lire en ligne)
  3. Temps noir, la revue des littératures policières, no 16, septembre 2013, p. 185.
  4. Vimont Criminocorpus
  5. Matthieu Frachon, avec le concours de la Société d'histoire de Suresnes, « Le triple meurtre de la villa "Bon repos" », Suresnes Mag n°323,‎ , p. 36-37 (lire en ligne).
  6. « Accad et Damiani n’ont pas l’envergure de leurs crimes »
  7. Jean-Claude Raspiengeas, « Réhabilitation », La Croix, 2 mai 2004.
  8. Jacques Cordy, « Le cinéaste José Giovanni était-il « collabo » ? », article publié par le quotidien Le Soir de Bruxelles le 15 octobre 1993
  9. « José Giovanni n’avait pas choisi la résistance… mais bien la collaboration », article publié sur le site du Nouvel Observateur le 13 septembre 2013
  10. Citation issue de L'Âge d'or, revue de cinéma, no 2, consacrée à José Giovanni, .
  11. Antoine de Baecque, « José Giovanni dans le noir complet », article publié dans le quotidien Libération du 26 avril 2004.
  12. texte du journal édité par Jean-Claude Vimont
  13. Présentation Jean-Claude Vimont
  14. P. 68.
  15. Criminocorpus6
  16. Raspiengeas
  17. José Giovanni Les Lettres Françaises
  18. Le Parisien libéré du 9 février 1960
  19. Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy, Dictionnaire des films, Ă©ditions Larousse, 1990, (ISBN 2-03-512305-4) p. 753.
  20. Jean-Luc Douin, « José Giovanni, romancier et cinéaste naturalisé suisse Un des symboles du cinéma grand public », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  21. l'appui de Bertrand Tavernier sur Allo ciné
  22. lire le texte intégral de vingt pages
  23. présentation sur ALLOCINE

Voir aussi

Bibliographie

  • 2003 : Nicole Vaillant Dubus, Ă€ toi, JosĂ© Giovanni, 31 p., coll. « Lettre à… », MĂ©lis Ă©diteur (ISBN 2-914333-50-1). PubliĂ© Ă  l'occasion de l'exposition CinĂ©polar avec JosĂ© Giovanni au Festival du livre de Nice en .
  • 2013 : Joseph Damiani, alias JosĂ© Giovanni - Dossier de 42 pages très complet sur la vie occultĂ©e de Damiani/Giovanni par Franck Lhomeau plus « Le passĂ© tous risques de JosĂ© Giovanni », un entretien de 20 pages avec Bertrand Tavernier, dans Temps Noir la Revue des LittĂ©ratures Policières, no 16, - Éditions Joseph K., 22 rue Geoffroy Drouet, 44 000 Nantes (ISBN 978-2-910686-65-9) Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article : document utilisĂ© comme source pour la rĂ©daction de cet article.

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