Ispoure
Ispoure est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Ispoure | |||||
Ispoure vue depuis Saint-Jean-Pied-de-Port. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Claude Barets 2020-2026 |
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Code postal | 64220 | ||||
Code commune | 64275 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Izpurar | ||||
Population municipale |
674 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 86 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 10âČ 19âł nord, 1° 13âČ 59âł ouest | ||||
Altitude | Min. 130 m Max. 660 m |
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Superficie | 7,85 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Saint-Jean-Pied-de-Port (banlieue) |
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Aire d'attraction | Saint-Jean-Pied-de-Port (commune du pĂŽle principal) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Montagne Basque | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | https://www.ispoure.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
La commune d'Ispoure se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].
Elle se situe à 116 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 54 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 40 km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[3].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Saint-Jean-Pied-de-Port (0,8 km), Uhart-Cize (1,1 km), Ascarat (1,7 km), Lasse (2,6 km), Caro (2,9 km), Ascarat (3,4 km), Saint-Michel (4,0 km), Aincille (4,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Ispoure fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10] - [11]. La commune est dans le pays de Cize (Garazi), au sud-est de ce territoire.
Hydrographie
La commune est drainée par la Nive, le Laurhibar, l'Arzubiko erreka, le Pagolako erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[13] - [Carte 1].
La Nive, d'une longueur totale de 79,3 km, naßt au pied du Mendi Zar (1 323 m), au-delà de la frontiÚre espagnole, sous le nom de Harpeko erreka, et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Bayonne, aprÚs avoir traversé 20 communes[14].
Le Laurhibar, d'une longueur totale de 28,1 km, prend sa source dans la commune de Mendive et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Nive à Saint-Jean-Pied-de-Port, aprÚs avoir traversé 8 communes[15].
L'Arzubiko erreka, d'une longueur totale de 13,2 km, prend sa source dans la commune de Gamarthe et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Laurhibar à Saint-Jean-Pied-de-Port, aprÚs avoir traversé 7 communes[16].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[17]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[18].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[20] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[21] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Irouleguy », sur la commune d'IroulĂ©guy, mise en service en 1963[22] et qui se trouve Ă 5 km Ă vol d'oiseau[23] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 398,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[24]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et Ă 42 km[25], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[26], Ă 14,3 °C pour 1981-2010[27], puis Ă 14,6 °C pour 1991-2020[28].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Nive »[30], d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants Ă accueillir l'ensemble des espĂšces de poissons migrateurs du territoire français, exceptĂ© l'Esturgeon europĂ©en[31] - [Carte 2].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2[Note 8] sont recensées sur la commune[32] - [Carte 3] :
Urbanisme
Typologie
Ispoure est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [35] - [36] - [37]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Jean-Pied-de-Port, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[38] et 4 773 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[39] - [40].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port, dont elle est une commune du pÎle principal[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[41] - [42].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (53,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (65,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (39,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (29,3 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (14 %), cultures permanentes (11,8 %), zones urbanisĂ©es (5,2 %), prairies (0,2 %)[43].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
- Aradoy ;
- Itzalguy ;
- Larria ;
- Laustania.
Voies de communication et transports
Ispoure est desservie par les routes départementales D 918 (ancienne route nationale 618), D 933 (ancienne route nationale 133) et D 22.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ispoure est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[44]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[45].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue torrentielle ou Ă montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment la Nive, le Laurhibar et l'Hartzubiko erreka. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 2009, 2013, 2014 et 2021[46] - [44].
Ispoure est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[47]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă lâair libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[48] - [49].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[50]. 35,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [51].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Ispoure apparaĂźt sous les formes Yzpura (1264)[52], Yzpure (1366)[52], Yspore de la terre de Sisie (1472[53], notaires de Labastide-Villefranche[54]), Ixpura (1513[53], titres de Pampelune[55]), Yxpura (1621[53], Martin Biscay[56]) et Sanctus Laurentius d'Ispoure (1685[53], collations du diocĂšse de Bayonne[57]).
HĂ©raldique
Blasonnement :
D'argent à l'arbre coupé de sinople surmonté d'un pigeon contourné en vol de sable.
Commentaires : Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Intercommunalité
La commune appartient Ă neuf structures intercommunales[60] :
- lâagence publique de gestion locale ;
- la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
- le SIVOS de Garazi ;
- le syndicat AEP d'Ainhice ;
- le syndicat dâĂ©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal dâassainissement Ur Garbi ;
- le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien Ă la culture basque ;
- le syndicat mixte du bassin versant de la Nive.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[62].
En 2020, la commune comptait 674 habitants[Note 12], en diminution de 1,32 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Langues
Une trÚs grande partie de la population d'Ispoure parle le basque (81,35 % de la population en 2010[65]). C'est l'une des communes les plus bascophones du Pays basque français.
La seule langue officielle de la commune est le français. Les langues rĂ©gionales ont fait l'objet d'une premiĂšre reconnaissance en France en 1951 avec la loi Deixonne qui introduit le basque ainsi que le breton, le catalan et lâoccitan dans l'enseignement[66]. La langue basque n'a encore aucune reconnaissance lĂ©gale.
Ăconomie
La commune fait partie de la zone de production du vignoble d'Irouléguy et de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
- La salle Faustin Bentaberry est un lieu d'animation de la ville qui accueille réguliÚrement spectacles et créations artistiques (danse, théùtre, marionnettes...).
Patrimoine civil
La maison forte Lastaunea[69] date de la fin du XIIIe siÚcle et du début du XIVe siÚcle ; la maison forte appelée chùteau de Larrea date du XVIe siÚcle.
Patrimoine religieux
L'Ă©glise Saint-Laurent date du milieu du Moyen Ăge. Le prieurĂ© Sainte-Madeleine[70] portait le nom de La Recluse (Erreculusa) et Ă©tait Ă ses dĂ©buts rĂ©servĂ© aux soins et Ă l'isolement des lĂ©preux.
Ăquipements
Santé
Une maison de retraite, la fondation Luro, est installée sur le territoire de la commune. Selon Philippe Veyrin[71] elle est l'un des exemples de l'assistance des expatriés américains au pays d'origine.
Personnalités liées à la commune
- George Gissing (1857-1903), romancier anglais, a résidé à Ispoure avec sa compagne Gabrielle Fleury et est mort le à l'ùge de quarante-six d'une myocardite à la « Maison Elguë ».
- Faustin Bentaberry (1869-1936), musicien, danseur et chorégraphe de danses traditionnelles basques.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[19].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[29].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Ispoure » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Ispoure », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Ispoure », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Gentilé sur habitants.fr
- - Académie de la langue basque
- « Métadonnées de la commune d'Ispoure », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ispoure et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ispoure et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ispoure et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Ispoure », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Carte IGN sous GĂ©oportail
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- Sandre, « la Nive ».
- Sandre, « le Laurhibar ».
- Sandre, « l'Arzubiko erreka ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
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- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
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- Manuscrits du XVIIe et du XVIIIe siÚcle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Fiche de la commune sur le site de la préfecture
- Fiche de la commune sur le site du pÎle territorial Garazi-Baigorri de la Communauté d'agglomération du Pays Basque
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
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- Philippe Veyrin, Les Basques : de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud 1975, , 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3 et 2-7003-0038-6) page 76
Pour approfondir
Article connexe
Liens externes
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