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Guînes

Guînes (Giezene en flamand[1]) est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Guînes
Guînes
Place des Tilleuls. Au fond : la Tour de l'Horloge au sommet de la motte féodale.
Blason de Guînes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Calais
Intercommunalité Communauté de communes Pays d'Opale
(siège)
Maire
Mandat
Éric Buy
2020-2026
Code postal 62340
Code commune 62397
Démographie
Gentilé Guînois
Population
municipale
5 581 hab. (2020 en diminution de 2,22 % par rapport à 2014)
Densité 211 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 52′ 07″ nord, 1° 52′ 28″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 166 m
Superficie 26,42 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Guînes
(ville-centre)
Aire d'attraction Calais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Calais-2
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Guînes
Liens
Site web mairie-guines.fr

    La commune est le siège de la communauté de communes Pays d'Opale qui regroupe 23 communes et compte 25 267 habitants en 2019.

    Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

    Géographie

    Localisation

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    Guînes est reliée à Calais par le canal de Guînes creusé en 1669, muni de deux chemins de halage, dont l'un, celui de la rive droite menant de Guînes à la Tournée d’Ardres sera mal entretenu et peu à peu occupé par des riverains. L'autre dit la Digue devient le seul utilisé. Le , une adjudication lance les travaux d'élargissement de ce canal de Guînes[2] - [3].

    • L'extrémité du canal à Guînes.
      L'extrémité du canal à Guînes.
    • Un pont-levis sur le canal.
      Un pont-levis sur le canal.

    La commune est également traversée par la rivière d'Hames-Boucres, d'une longueur de 9,52 km, qui prend sa source dans la commune et termine sa course dans la commune de Coquelles[4].

    Guînes est une zone de captage d'eau potable.

    C'est également une zone de marais (au nord de la commune), soumise à des inondations.

    Milieux naturels et biodiversité

    La commune abrite un riche patrimoine naturel et aquatique grâce au marais de Guînes, qui a en 2010 fait l'objet d'une étude concernant la valeur des services rendus par le marais et la biodiversité qu'il abrite[5].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[6].

    Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[7].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 1] :

    et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la boutonnière de pays de Licques. Cette ZNIEFF, de 17 830 hectares, s'étend sur 43 communes[11].

    Site Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les pelouses et bois neutrocalcicoles des cuestas du Boulonnais et du Pays de Licques et la forêt de Guines[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Guînes est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Guînes, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[17] et 7 190 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,5 %), forêts (31,3 %), zones humides intérieures (12,1 %), zones urbanisées (9,9 %), prairies (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Logements

    En 2008, Guînes compte 2 031 logements, dont 1 898 résidences principales. Le taux de logements sociaux est de 14,5 %[24].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les lignes 6 et 13[25] du réseau Imag'in. Ces lignes relient Guînes à Calais.

    Risque inondation

    La commune est reconnue en état de catastrophe naturelle à la suite des inondations et coulées de boues du 1er au [26].

    Risque mouvements de terrains

    Le risque lié au retrait-gonflement des argiles est contrasté sur la commune. Il est nul sur la partie sud du territoire communal, faible sur la majorité de la ville et fort au nord de celle-ci ainsi qu'au niveau d'une langue se prolongeant vers le sud-ouest de la ville[27].

    Risque sismique

    Le risque sismique est faible sur l'ensemble du territoire communal (zone 2 sur 5 du zonage mis en place en )[28], comme dans la majorité du Pas-de-Calais.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Gisna (807) ; Gisnes (1097) ; Gisnium (1137) ; Wisnæ (1160) ; Gysnes (1193) ; Gynes (1198) ; Ghines (vers 1198) ; Ginnes (1220) ; Ghuisnes (1220) ; Ghignes (1221) ; Ghisnes (1227) ; Gines (1228) ; Guysnes (1273) ; Ghisnæ (xiiie siècle) ; Ghinnes (1325) ; Guinæ (1355) ; Guynes (1375) ; Guines (1377) ; Ghinghes (1380) ; Guisnes (1556) ; Guygnes (1559)[29]

    Histoire

    Antiquité

    L'ancien village fut situé sur le trait de côte lors de la transgression marine Dunkerque II qui a immergé le bas pays des moëres puis toutes les terres des Flandres maritimes françaises et belges, repoussant les populations qui occupaient ces terres ou y produisaient du sel vers les collines périphériques.

    Moyen Âge

    La ville de Guînes fut la capitale d'un comté qui n'a pas été sans renom dans l'histoire. Un rôle particulier est sans doute lié à sa position géographique stratégique, sur la déclivité du plateau qui sépare le Boulonnais du Calaisis, au bord de la plaine marécageuse, aujourd'hui parfaitement assainie, qui s'étend jusqu'au rivage de la mer.

    Les origines de la ville de Guînes se perdent dans le Haut Moyen Âge. Après la colonisation romaine, puis la retraite des Romains et d'une partie des Gaulois romanisés face à la poussée des grandes invasions barbares, le territoire de Guînes devint, selon la légende - car nous ne possédons aucun document précis sur cette époque - la propriété d'Aigneric, maire du palais de Thibert II, roi des Burgondes.

    Lorsque Sifrid le Danois et ses vikings peut-être débarqués à Pitgam vinrent s'emparer, en 928, de l'endroit où s'élève aujourd'hui Guînes, ce n'était probablement qu'une bourgade sans défense. On pense qu'il y fit élever une motte qu'il entoura de haies vives et ceinte d'un double fossé pour s'y mettre à l'abri en cas d'attaque (cette motte existe encore aujourd'hui). C'est là l'origine du château fort de Guînes.

    Selon les historiens anciens de cette période, le comte de Flandre, Arnoul le Vieux, aurait renoncé à contre-attaquer et aurait livré au pirate viking sa fille Elstrude en mariage ; il investit Sifrid le Danois comte de Guînes, ce qui en faisait aussi un vassal du comte de Flandre.

    Sous les successeurs de Sifrid, Guînes et ses environs acquirent une importance considérable. Dès le commencement du XIIe siècle, le comte Manassés Ier de Guînes fonda dans les faubourgs de sa capitale, une abbaye de femmes de l'ordre de Saint-Benoît. Ce monastère fut placé sous le patronage de saint Léonard.

    À cette époque, la ville de Guînes renfermait à l'intérieur de ses murailles trois paroisses, dont les églises étaient consacrées à saint Bertin, saint Pierre et saint Médard. À l'extérieur, des remparts existaient également, outre l'abbaye de Saint-Léonard, l'église de Saint-Blaise du hameau de Melleke, et la léproserie de Saint-Quentin dans le hameau de Spelleke (au Tournepuits).

    À la fin du XIe siècle, Baudouin II fit construire en pierre de taille, sur le vieux donjon de Sifrid, un palais de forme circulaire auquel il donna une très grande élévation. En outre, il fit clore la ville de Guînes d'un mur de pierre, avec des tours de défense à chaque porte.

    Au XIIIe siècle, comme d'autres cités du comté, Guînes dispose d'une administration communale relativement autonome par rapport au comte de Guînes, (commune) : en 1254, Arnould III de Guînes déclare devoir à ses échevins de Guînes, Ardres, Audervic (Audruicq), et du pays de Bredenarde la somme de 20 700 livres parisis qu'ils avaient payé pour sa rançon[30].

    Cinq ans après la prise de Calais, le [31], le château de Guînes fut livré par trahison aux Anglais, et en 1360, le traité de Brétigny abandonna complètement au roi d'Angleterre la ville et son comté.
    Le , à Guînes, au terme de longues négociations le cardinal diplomate Guy de Boulogne, envoyé par le pape Innocent VI, parvint à mettre d'accord les représentants du roi de France et d'Angleterre sur un projet de traité de paix, qui était censé être signé par la suite en Avignon et qui n'aboutit finalement pas[32].

    Époque moderne

    En se tient entre Ardres et Guînes le Camp du Drap d'Or. Le roi de France François Ier y rencontre le roi d'Angleterre Henri VIII. Guînes est alors anglaise, comme Calais. Cette dernière et donc Guînes sont reprises par les Français en 1558 et les Anglais de Guînes durent retourner en Angleterre. Puis le XVIIe siècle est marqué dans la région par la guerre franco-espagnole. Il faut attendre le traité d'Utrecht en 1713 pour que la frontière du Nord soit fixée.

    Époque contemporaine

    La ville fut desservie par le tramway de Calais de 1879 à 1940.

    Politique et administration

    La mairie.

    → Conseils pour la rédaction de cette section.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Robert Lemaire SFIO Instituteur
    Michel Chevalier SE Industriel
    Paul Warnault SE Enseignant
    Hervé Poher PS Médecin généraliste
    Conseiller général du canton de Guînes (1994 → 2015)
    Président de la CC des Trois Pays (1997 → 2013)
    [39] [40]
    (démission)
    Marc Médine PS[41] puis DVG Responsable production maintenance
    Président de la CC des Trois Pays (2013 → 2017)
    puis de la CC Pays d'Opale (2017 →)
    Réélu pour le mandat 2014-2020[42]
    en cours Éric Buy DVG Ancien adjoint à l’urbanisme[43]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[44] - [45]

    Jumelages

    La commune est jumelée avec :

    Jumelages et partenariats de Guînes.
    VillePaysPériode
    Kluisbergen[46]Belgiquedepuis

    Équipements et services publics

    → Conseils pour la rédaction de cette section.

    Enseignement

    • école maternelle du Centre ;
    • école maternelle et primaire André-Guilbert ;
    • école primaire Paul Warnault ;
    • collège les Quatre-Vents ;
    • Ensemble scolaire Jean-Bosco.

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Guînois[47].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[49].

    En 2020, la commune comptait 5 581 habitants[Note 5], en diminution de 2,22 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 3422 5983 0163 2073 8593 7754 0974 6184 134
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 4254 4464 5724 2474 3644 2904 3744 5024 270
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4 1574 4074 3584 2874 2704 2234 2734 3474 590
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4 7244 9845 0345 1745 1055 2215 2915 7875 657
    2020 - - - - - - - -
    5 581--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 682 hommes pour 2 937 femmes, soit un taux de 52,27 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[52]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    1,3
    4,6
    75-89 ans
    8,6
    14,1
    60-74 ans
    14,7
    19,8
    45-59 ans
    18,8
    19,4
    30-44 ans
    18,6
    19,8
    15-29 ans
    17,3
    22,1
    0-14 ans
    20,7
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[53]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 13 623 , ce qui plaçait Guînes au 29 790e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[54].

    Entreprises et commerces

    Différents commerces et services (banques, écoles de conduite, ambulances...), ainsi que des entreprises agricoles et de la construction, sont implantés sur la commune. À noter, une société de captage, traitement et distribution d'eau (Eaux de Calais). Une offre touristique est également assurée (camping, restaurants...)[55].

    Culture locale et patrimoine

    Site classé

    Un site classé ou inscrit est un espace (naturel, artistique, historique…) profitant d'une conservation en l'état (entretien, restauration, mise en valeur...) ainsi que d'une préservation de toutes atteintes graves (destruction, altération, banalisation...) en raison de son caractère remarquable au plan paysager. Un tel site justifie un suivi qualitatif, notamment effectué via une autorisation préalable pour tous travaux susceptibles de modifier l'état ou l'apparence du territoire protégé[56].

    Dans ce cadre, la commune présente un site classé par arrêté du : la tour de l'Horloge[57].

    Monument historique

    • La colonne.
      La colonne.
    • La plaque sur la colonne.
      La plaque sur la colonne.

    Autres monuments

    • L’église Saint-Pierre-ès-Liens.
      L’église Saint-Pierre-ès-Liens.
    • La tour de l'Horloge.
      La tour de l'Horloge.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    La commune dans les arts

    • Friedrich-Guînes 1942, roman de Frédéric Minnebo, a reçu le 1er prix littéraire lors du Salon du Livre de Wissant en . Le prix fut décerné par l'association littéraire « Signe d'Opale ». L'action se situe à Guînes sous l'Occupation.

    Héraldique, logotype et devise

    Blason de Guînes Blason
    Vairé d'azur et d'or; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or[64].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois.
    2. Éphémérides du Calaisis. Le Patriote.
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - canal de Guînes ( E4110900) » (consulté le )
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - rivière d'Hames-Boucres ( E4190840) » (consulté le )
    5. Exemple français avec le Marais de Guînes ; Étude Agence de l'eau Nord/Picardie/ECOWHAT – Étude de cas, Guînes, avril 2010.
    6. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    7. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « ZNIEFF 310013720 - La forêt domaniale de Guînes et ses lisières », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « ZNIEFF 310007255 - Watergangs des Attaques et d'Andres et Lac d'Ardres », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « ZNIEFF 310007010 - marais de Guînes », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « ZNIEFF 310013274 - La Boutonnière de Pays de Licques », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le )
    13. « Natura 2000 FR3100485 - Pelouses et bois neutrocalcicoles des cuestas du Boulonnais et du Pays de Licques et forêt de Guines », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Guînes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Calais », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Résultat de la population 2008, Guînes, Insee, consulté le 9 janvier 2012.
    25. « Imag'in Calais Opale Bus », sur www.sitac-calais-opale-bus.fr (consulté le )
    26. « Intempéries de fin octobre : 30 premières communes en état de catastrophe naturelle », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    27. « Zonage d'aléa retrait-gonflement des argiles », sur www.argiles.fr, BRGM (consulté le ).
    28. « Zonage sismique en France au 1er mai 2011. », sur La Voix du Nord (consulté le )
    29. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 178.
    30. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904, Tome V, Année 1254.
    31. Chroniques de J. Froissart: 1346-1356 (Depuis le siège de Calais jusqu'à la prise de Breteuil et aux préliminaires de la bataille de Poitiers), par Jean Froissart, Siméon Luce, Gaston Raynaud, Léon Mirot, Société de l'histoire de France Publié par Mme Ve. J. Renouard, 1873
    32. L’invention de la guerre de Cent Ans.
    33. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
    34. Journal du commandement d'étapes de Guînes, juillet-décembre 1917, p. 89, lire en ligne.
    35. Journal du commandement d'étapes de Guînes, juillet-décembre 1917, p. 92, lire en ligne.
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