Gère-Bélesten
Gère-Bélesten est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Gère-Bélesten | |||||
Le bourg de Gère, sur la commune de Gère-Bélesten. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Vallée d'Ossau | ||||
Maire Mandat |
Yves Maysounabe 2020-2026 |
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Code postal | 64260 | ||||
Code commune | 64240 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
179 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 01′ 34″ nord, 0° 25′ 31″ ouest | ||||
Altitude | Min. 439 m Max. 1 898 m |
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Superficie | 12,82 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2 | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
La commune de Gère-Bélesten se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 35 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 30 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Aste-Béon (1,1 km), Louvie-Soubiron (3,0 km), Bielle (3,3 km), Béost (3,7 km), Bilhères (4,1 km), Laruns (4,2 km), Castet (5,0 km), Eaux-Bonnes (6,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Gère-Bélesten fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
Hydrographie
La commune est drainée par le gave d'Oloron, L'Arriou Mage, le Lamay, Arrec de Légnère, un bras du gave d'Ossau, L'Arrigast, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[8] - [Carte 1].
Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montagnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Laruns-Artouste », sur la commune de Laruns, mise en service en 1943[15] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[16] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 8,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 635,4 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 42 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[21].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[23] - [Carte 2] :
- « le gave d'Ossau », d'une superficie de 2 300 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[24] ;
- le « massif du Montagnon », d'une superficie de 8 694 ha, présentant de nombreux habitats de l'annexe I dont certains sont rares dans les Pyrénées[25] ;
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 7] est recensée sur la commune[26] - [Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Ossau à l'amont d'Arudy et ses rives » (586,79 ha), couvrant 12 communes du département[27] et deux ZNIEFF de type 2[Note 8] - [26] - [Carte 4] :
- le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[28] ;
- la « vallée d'Ossau » (43 624,41 ha), couvrant 13 communes du département[29].
Urbanisme
Typologie
Gère-Bélesten est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [30] - [31] - [32]. La commune est en outre hors attraction des villes[33] - [34].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,5 %), forêts (38,8 %), prairies (14,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,9 %), zones urbanisées (0,9 %)[35].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].
Lieux-dits et hameaux
- Déoussoum ;
- Duplaa ;
- Ibech de Gerbe ;
- la Montagne ;
- Village.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Gère-Bélesten est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[36]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009, 2013, 2019 et 2021[38] - [36].
Gère-Bélesten est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[39]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[40] - [41].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[42]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[43].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[44]. 38,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10] - [45].
La commune est exposée aux risques d'avalanche. Les habitants exposés à ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prévention des risques avalanches (PPRA). Le cas échéant, identifier les mesures applicables à l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la pièce avec la façade la moins exposée à l’aléa pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et équiper cette pièce avec un kit de situation d’urgence[46] - [47].
Risque technologique
La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 11]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[49].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Gère-Bélesten est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[50].
Toponymie
Le toponyme Gères apparaît[51] sous les formes Iera (1154, titres de Barcelone[52]), Yere (1270, titres d'Ossau[53]), Gera (1538, réformation de Béarn[54]), Sent Orens de Gere (1606, insinuations du diocèse d'Oloron[55]), Gere et Belestin (1675, réformation de Béarn[54]).
Il a une origine gasconne gera qui signifie grange et herbages environnants[56].
Le toponyme Bélestin est mentionné[51] en 1270 (titres d'Ossau[53]), et apparaît sous la forme Velesten (1385, censier de Béarn[57]).
Il n'y a aucune certitude sur l'origine du toponyme[56].
La réunion des deux paroisses remonte au Moyen Âge et le toponyme Gère-Bélestin est, depuis, resté stable[51].
Le col des Arques, entre les communes d’Aydius et de Gère-Bélesten est mentionné par le dictionnaire topographique de 1863[51].
Histoire
En 1385, Gère comptait 24 feux et Bélestin 11. Les deux communes dépendaient du bailliage d'Ossau.
Paul Raymond[51] note que la commune comptait une abbaye laïque vassale de la vicomté de Béarn.
Gère :
La commune compta simultanément une abbaye laïque et une seigneurie, qui furent réunies au XVIe siècle.
La seigneurie fut propriété de la famille féodale voisine "de Béon", du XIIIe siècle au début du XVIe siècle.
L'abbaye laïque et la seigneurie réunies fut propriété de la famille "de Laborde" tout au long du XVIe siècle, puis de la famille du For au début du XVIIe siècle.
Enfin, au XVIIIe siècle, de nouveau séparés, la seigneurie était, jusqu'à la Révolution, propriété de la famille de Sorberio, et l'abbaye laïque, de la famille de Monclus.
Bélestin :
La commune comptait au XVIe siècle une abbaye laïque.
Une forge fut créée en 1547 pour traiter le plomb argentifère exploité dans les hauteurs d'Aste et de Castet[58].
Politique et administration
Intercommunalité
La commune fait partie de trois structures intercommunales[59] :
- la communauté de communes de la Vallée d'Ossau ;
- le SIVU pour la construction de la maison de retraite du Haut-Ossau ;
- le syndicat mixte du Haut-Béarn.
La commune fait partie du Pays d'Oloron et du Haut-Béarn.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[61].
En 2020, la commune comptait 179 habitants[Note 12], en diminution de 16,36 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
La commune compte deux bâtiments offrant un intérêt historique, situés tous les deux à Gère :
- La maison forte, dite la Tour d'Ore, est sise à proximité de l'église de Gère, et date des XIIIe et XIVe siècles. Elle est inscrite aux monuments historiques depuis 1997[64].
- Le château de Gère, ancienne domendjadure et siège d'une abbaye laïque, date du XVIe siècle.
Patrimoine religieux
Les deux bourgs réunis de Gère et de Belesten ont chacun leur propre église :
- à Gère : l'église paroissiale Saint-Orens fut reconstruite la fin du XIXe siècle[65], car elle était fort délabrée ;
- à Belesten : l'église paroissiale Saint-Pierre, de style roman, date du XIIIe ou du XIVe siècle.
Événements sportifs
La commune se situait sur le trajet de la 16e étape du Tour de France 2007, qui s'est déroulée le . Le parcours de 218 kilomètres a relié Orthez à Gourette - col d'Aubisque.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[48].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Gère-Bélesten » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Gère-Bélesten », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type I sur la commune de Gère-Bélesten », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Gère-Bélesten », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Gentilé sur habitants.fr
- « Métadonnées de la commune de Gère-Bélesten », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Gère-Bélesten et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Gère-Bélesten et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Gère-Bélesten », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Gère-Bélesten », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le gave d'Oloron ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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- Notice no PA64000017, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA64000532, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :