Fruges
Fruges est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Fruges | |||||
La mairie et le monument aux morts. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | CC du Haut Pays du Montreuillois (siège) |
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Maire Mandat |
Edmond Zaborowski 2020-2026 |
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Code postal | 62310 | ||||
Code commune | 62364 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Frugeois | ||||
Population municipale |
2 338 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 124 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 30′ 55″ nord, 2° 08′ 04″ est | ||||
Altitude | Min. 84 m Max. 171 m |
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Superficie | 18,9 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Fruges (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Fruges (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Fruges (bureau centralisateur) |
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Législatives | 4e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.ville-fruges.fr/ | ||||
La commune est le siège de la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois qui regroupe 49 communes et compte 15 757 habitants en 2019.
Géographie
Localisation
Fruges est située dans le Pas-de-Calais, au cœur du pays des Sept Vallées, à 28 km au sud de Saint-Omer[1], 36 km à l'ouest de Béthune[2], 38 km à l'est du Touquet-Paris-Plage[3] et 70 km au nord d'Amiens[4] à vol d'oiseau.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par six cours d'eau :
- la Lys, d'une longueur de 134,01 km, qui prend sa source dans la commune de Lisbourg, dans le département du Pas-de-Calais, et se jette dans l'Escaut au niveau de la commune de Gand, en Belgique[5] ;
- la rivière Traxenne, d'une longueur de 6,23 km, qui prend sa source dans la commune de Coupelle-Vieille et se jette dans la Lys au niveau de la commune de Lugy[6] ;
- le ruisseau de Coupelle-Vieille, d'une longueur de 3,48 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Traxenne au niveau de la commune[7] ;
- le Fruges, d'une longueur de 2,17 km qui prend sa source à Coupelle-Neuve et se jette dans la Traxenne au niveau de la commune[8] ;
- le Herbecques, d'une longueur de 1,69 km, qui prend sa source au niveau de la commune de Canlers et termine sa course dans la commune[9]
- le Coupelle-Vieille, d'une longueur de 1,69 km, qui prend sa source et se jette dans la Traxenne au niveau de la commune[10].
Paysages
La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1] - [11]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy… [12].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : la Haute Lys et ses végétations alluviales en amont de Thérouanne. D'une altitude variant de 38 à 153 mètres et d'une superficie de 1 053 hectares, ce site correspond au fond de vallée et à quelques versants, depuis les sources jusqu’à la commune de Thérouanne[13].
et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la haute vallée de la Lys et ses versants en amont de Thérouanne. L’entité paysagère de la haute vallée de la Lys et ses versants s’étire sur une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud pour moins de dix d’Est en Ouest dans le Haut Artois[14].
Urbanisme
Typologie
Fruges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fruges, une unité urbaine monocommunale[18] de 2 371 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fruges, dont elle est la commune-centre[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,1 %), prairies (20 %), zones urbanisées (8 %), forêts (3,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Voies de communication
La commune se trouve sur la route départementale RD 928 entre Saint-Omer et Abbeville. Elle est également à proximité des RD 126-RD 157, entre Montreuil et Thérouanne, et de la RD 939 entre Le Touquet-Paris-Plage et Arras.
Transport ferroviaire
La commune était située sur la ligne de chemin de fer Aire-sur-la-Lys - Berck-Plage, une ancienne ligne de chemin de fer qui reliait dans le département du Pas de Calais, entre 1893 et 1955, Aire-sur-la-Lys à Berck.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Frusiis et Frusiae (1119), Fruisgis (1130), Frusiies (1142), Frucae (1163), Fruises (1177-1191), Frugies (1180), Fruses (1194), Frutines (XIIe siècle), Frvsges (1202), Fuisses (1207), Fruses (1225), Frugez (1254), Fruges (1277), Fruisgae (XIIIe siècle), Fruighes (1336), Fruisces (1358), Fruzes (1368), Frugiae (1412)[25].
Viendrait soit de l'anthroponyme germanique Frotguis suivi du suffixe -as « domaine (de) »[26] ou du latin frutea « lieu planté d'arbrisseaux »[27].
Histoire
En , le duc de Bourgogne (et comte de Flandre) Charles le Téméraire, délivre à Malines des lettres d'anoblissement en faveur de Jean de la Haye, domicilié à Hellebecque, paroisse de Fruges en Artois. Le bénéficiaire est considéré comme homme d'honorable état, extrait de bonne et notable génération, ayant rendu des services au duc défunt, Philippe le Bon, et au duc actuel pendant les guerres. Il porte pour armes « d'argent au chevron de sable accompagné de trois merlettes de même ». Un de ses successeurs a été comte d'Hézecques[29].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
Fruges était le siège de la petite communauté de communes du canton de Fruges et environs, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1994.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois dont Fruges est le siège.
Circonscriptions administratives
La commune était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Fruges[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune est le bureau centralisateur depuis 2014 du canton de Fruges
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1986 de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Équipements et services publics
Espaces publics
La commune de Fruges a reçu le label « Ville Internet @@ »[41].
Enseignement
La commune dispose de plusieurs établissements scolaires privés et publics :
- Une école publique et l'école privée Jeanne-d'Arc ;
- Le collège public Jacques-Brel et le collège privé Saint-Bertulphe ;
- Le lycée professionnel privé Sainte-Marie.
Santé
La commune est équipée d'une maison de retraite ainsi que d'une maison de santé regroupant l'ensemble des services médicaux de la commune[42].
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Frugeois[43].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].
En 2020, la commune comptait 2 338 habitants[Note 6], en diminution de 3,11 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 127 hommes pour 1 227 femmes, soit un taux de 52,12 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
La commune possède deux géants, figures gigantesques du folklore du Nord de la France et de la Belgique : Pô-louche et Marie Robinet. On les voit, chaque année fin août, lors du défilé de la Saint-Gilliet à Fruges[49].
Sport automobile
Depuis 2015, année de sa création, se déroule en octobre, le « rallye des 7 vallées d'Artois - Pas-de-Calais », rallye tout-terrain comptant pour le championnat de France et organisé par l'association sportive automobile du Détroit, il est le seul rallye tout-terrain du Nord-Pas-de-Calais. C'est dans la commune que se trouve le parc de regroupement et le parc fermé[50] - [51].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'hôtel de ville, construit entre 1840 et 1842.
Depuis cette date, l'extérieur du bâtiment n'a pas été modifié, l'intérieur a en revanche été modifié en 1997[52]. - L'église Saint-Bertulphe, construite de 1865 à 1877, de style néogothique, sur l'emplacement de la précédente par l'architecte Alexandre Grigny.
L'église fait l'objet de travaux au début des années 1990 à la suite de dégâts provoqués par une tempête et un orage.
Les statues géantes en bois de tilleul de sainte Monique et de saint Augustin, vestiges de l'abbaye Sainte-Marie-au-Bois de Ruisseauville sont inscrites à l'inventaire des objets mobiliers classés[52]. - Le musée Abbé-Delétoille, inauguré en 1983.
Il rassemble une collection de faïences, étains, cuivres datant des XVIIIe, XIXe et XXe siècles que l'abbé avait conservée. On peut y découvrir plus de 600 merveilles dont des pipes, chaussures, 200 cartes postales présentent la ville au début du XXe siècle[52]. - Promenade des Digues
Cette rue, bordée de marronniers, longe la Traxenne et conduit au moulin de Bat-l'Eau avec une roue hydraulique à aubes[52]. - Le monument aux morts[53].
Patrimoine culturel
La commune s'était dotée, depuis 2010, d'une « Maison de la jeunesse et de l’innovation ». En 2022, elle devient la Médi@net, pour tous ceux qui désirent approfondir leurs connaissances ou souhaitent se former dans le domaine de l’informatique, accessible, dès 5 ans, aux habitants du territoire de la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois. Les locaux comprennent deux salles équipées de quinze postes informatiques, une pièce avec sept autres ordinateurs, et d’un « fablab », un laboratoire de fabrication, comprenant des outils : découpe laser, imprimantes 3D, une imprimante BN20 pour réaliser des marquages textiles et une brodeuse[54].
Personnalités liées à la commune
- François Marie Dufour (1769-1815), général de division, est né à Fruges.
- François Robitaille (1800-1886), supérieur du grand séminaire d'Arras, doyen du chapitre d'Arras, membre de l'Académie d'Arras, est né à Fruges.
- Louis Boudenoot (1855-1922), polytechnicien et homme politique, est né à Fruges.
- Louis Faury (1874-1947), général de division, est né à Fruges.
- Henri Henneguelle (1908-1983), résistant et homme politique, est né à Fruges.
- Marcel Hénaux (1909-1945), avocat, résistant mort à Dachau, est né à Fruges.
- Marius Descamps (1924-1996), entomologiste, est né à Fruges.
- Alain Lamare (1956-), dit le tueur de l'Oise, est né à Fruges.
Gastronomie
- Le Rollot de Fruges est un fromage au label Saveurs en'Or.
Héraldique, logotype et devise
Blason | D'argent au lion de sable armé et lampassé de gueules, au chef du même chargé de trois coqs hardis du champ. |
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Détails | Composé à partir des armes de deux familles ayant été suzeraines du lieu : les De Fiennes, avec le lion, et les De Sandelin, avec les coqs. Adopté par la municipalité en 1968. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- Site de la mairie
- « Fruges », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
Notes et références
Notes
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Distance à vol d'oiseau entre Fruges et Le Saint-Omer », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Fruges et Le Béthune », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Fruges et Le Touquet-Paris-Plage », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Fruges et Amiens », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Lys (E3--0120) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Traxenne (E3510760 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Coupelle-Vieille (E3510770 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fruges (E3511280) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Herbecques ( E3511460) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Coupelle-Vieille (E3511300) » (consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF 310014124 - La Haute Lys et ses végétations alluviales en amont de Thérouanne », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007270 - La haute Vallée de la Lys et ses versants en amont de Thérouanne », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Fruges », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fruges », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 165.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes ; formations dialectales, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 877.
- René Lesage, Note à propos de l'origine du nom de Fruges, Bulletin Historique du Haut-Pays, no 7, , p. 200-202.
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 139, lire en ligne
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Pascal Butstraen, « Le bilan des maires: Jean-Jacques Hilmoine assure que « les outils pour notre développement sont désormais en place » : Où en est la rénovation du centre-ville qui devait être « le gros morceau de ce mandat », pour reprendre les mots de Jean-Jacques Hilmoine en août 2009 ? Au moment de repartir pour une ultime campagne, le maire de Fruges, qui est aussi président de la communauté de communes répond à nos questions », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Anthony Hoyer, « « Il n’y aura pas beaucoup de changements, les projets vont être mis en place » : L’ancien maire de Fruges n’a pas tout perdu puisqu’il conserve le fauteuil de président de la communauté de communes avec 2 voix d’avance sur Jean-Marie Lubret qui l’a battu dans le bourg-centre », L'Abeille de la Ternoise, no 8464,‎ , p. 37.
- J.-H. P. avec C. V. (CLP), « Dans le canton de Fruges, c’est le séisme à Fruges où Jean-Jacques Hilmoine est battu par Jean-Marie Lubret : On en avait pris l’habitude. Les Frugeois, disait-on, ne mettaient pas tous leurs œufs dans le même panier. À Jean-Jacques Hilmoine, la mairie de Fruges et la présidence de la communauté de communes ; à Jean-Marie Lubret, le poste de conseiller général du canton. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Cécile Legrand-Steeland, « Les projets du maire de Fruges : Grand-Rue, rues de Saint-Omer et Leclerc, priorité à la voirie : Conseiller municipal à Fruges depuis 1989, conseiller général depuis 2001, Jean-Marie Lubret (divers droite) a été élu à la tête de la mairie cette année, battant Jean-Jacques Hilmoine de trente-cinq voix seulement. C’était la troisième fois que Jean-Marie Lubret briguait le fauteuil de maire, ce fut la bonne. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- S. L., « À Fruges, Jean-Jacques Hilmoine tient sa revanche : À Fruges, Jean-Jacques Hilmoine, battu en 2014, a su saisir à nouveau sa chance six ans plus tard. Il l’emporte ce dimanche soir face au maire sortant Jean-Marie Lubret », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Anthony Hoyer, « Fruges : Sans surprise, Jean-Jacques Hilmoine a été élu maire », L'Abeille de la Ternoise,‎ .
- « Le maire de Fruges, Jean-Jacques Hilmoine est décédé subitement : Un drame s’est produit ce lundi après-midi. Le maire, Jean-Jacques Hilmoine, est décédé subitement à son domicile, à Fruges. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Danièle Duhamel, première adjointe, assure l'intérim.
- Mauricette Faÿ, « Edmond Zaborowski, nouveau maire de Fruges : Il succède à Jean-Jacques Hilmoine, décédé brutalement le 15 juin dernier. », Le Journal de Montreuil,‎ (lire en ligne).
- « https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrance.html?criteres.collectiviteId=27273 »
- Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
- Carte IGN
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fruges (62364) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Patrick Lamourette, « Après deux ans d’absence, le défilé de la Saint-Gilliet fait son grand retour à Fruges », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Patrick Lamourette, « Ce qui va changer pour l’édition du rallye des 7 Vallées d’Artois autour de Fruges en octobre », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « rallye des 7 vallées d'Artois - Pas-de-Calais », sur rallye7valleesartois.com (consulté le ).
- « Patrimoine », sur ville-fruges.fr (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- Patrick Lamourette, « À Fruges, la Maison de la jeunesse et de l’innovation devient Médi@net », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).