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Lisbourg

Lisbourg [lisbuʁ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Pas-de-Calais en rĂ©gion Hauts-de-France.

Lisbourg
Lisbourg
L'Ă©glise.
Blason de Lisbourg
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Code postal 62134
Code commune 62519
DĂ©mographie
Population
municipale
609 hab. (2020 en augmentation de 4,82 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 34 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 50° 30â€Č 27″ nord, 2° 13â€Č 04″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 184 m
Superficie 17,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Fruges
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
LĂ©gislatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Lisbourg
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Lisbourg
Liens
Site web www.lisbourg.fr

    La commune fait partie de la communautĂ© de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies de la commune
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    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

    GĂ©ologie et relief

    Au nord-est de la commune, on peut observer des dolines, phénomÚne géomorphologique relativement rare dans le nord de la France, souvent associé à la présence de creuses.

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    À une altitude de 114,7 mĂštres, la Lys, d'une longueur de 134,01 km, prend sa source dans la commune et se jette dans l'Escaut au niveau de la commune de Gand, en Belgique[1].

    Dans la nuit du , Ă  la suite d'Ă©boulements souterrains, la Lys abandonne sa source historique pour jaillir sous une route communale en formant un geyser de quelques dizaines de centimĂštres de haut. Depuis cette nouvelle source a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©e par la communautĂ© de communes et de l’association Lys sans frontiĂšres[2].

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    La commune est traversĂ©e par le fossĂ© d'Équirre, cours d'eau naturel non navigable de 4,09 km, qui prend sa source Ă  CrĂ©py et se jette dans le Faux au niveau de la commune de Bergueneuse[3] et l'Équirre, d'une longueur de 1,4 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le fossĂ© d'Équirre au niveau de la commune d'Équirre[4].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : la Haute Lys et ses vĂ©gĂ©tations alluviales en amont de ThĂ©rouanne. D'une altitude variant de 38 Ă  153 mĂštres et d'une superficie de 1 053 hectares, ce site correspond au fond de vallĂ©e et Ă  quelques versants, depuis les sources jusqu’à la commune de ThĂ©rouanne[5].

    et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la haute vallĂ©e de la Lys et ses versants en amont de ThĂ©rouanne. L’entitĂ© paysagĂšre de la haute vallĂ©e de la Lys et ses versants s’étire sur une vingtaine de kilomĂštres du Nord au Sud pour moins de dix d’Est en Ouest dans le Haut Artois[6].

    Urbanisme

    Typologie

    Lisbourg est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [7] - [8] - [9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fruges, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[10] - [11].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (94,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,8 %), prairies (30,7 %), zones urbanisĂ©es (4,7 %), forĂȘts (0,9 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[13].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Liegesborth (844) ; Liegesburch (IXe siÚcle) ; Liegesburh, Ligesburth (Xe siÚcle) ; Lisburg (1119) ; Lisburgus (1179) ; Lisborg (1226) ; Lisborc (1232) ; Lieborc (1269) ; Liebourt (1325) ; Libourc (1326) ; Liesbourc (1375) ; Liebourg (1430) ; Libourcq (1474) ; Libourg (vers 1512) ; Lysbourg (1635) ; Liscours-en-Gruseliers (1720)[14].

    • De la riviĂšre Lys et du flamand geboorte (« naissance »), « source de la Lys »[15]. La Lys prend sa source Ă  Lisbourg.
    • Liegesboort en flamand[16].

    Histoire

    Lisbourg est le cadre d'un Ă©pisode curieux au IXe siĂšcle : Hugues l'AbbĂ©, fils de Charlemagne, abbĂ© de plusieurs abbayes, conçoit l'idĂ©e de ramener Ă  l'abbaye du Mont Saint-Quentin, les restes de saint Omer (Audomar de ThĂ©rouanne) conservĂ©s Ă  Saint-Omer. Cette action provoque une vive rĂ©action de saint Folquin (Folquin de ThĂ©rouanne) alors Ă©vĂȘque de ThĂ©rouanne, qui envoie une troupe armĂ©e pour rĂ©cupĂ©rer la relique. Les ravisseurs sont rattrapĂ©s Ă  Lisbourg, ils fuient en abandonnant les saints restes. Folquin organise alors le retour en grande pompe de la relique Ă  Saint-Omer[17].

    Baugeois de Gribauval, Gilbert de Gribauval, le Ploutre de Gribauval, tous trois sur la commune actuelle de Lisbourg, combattent et trouvent la mort lors de la bataille d'Azincourt en 1415[18].

    Le 20 décembre 1634, la seigneurie de Lisbourg-en-Artois est érigée en marquisat, par lettres données à Madrid[19].

    En septembre 1694, par lettres donnĂ©es Ă  Versailles, la terre de Lisbourg, situĂ©e au comtĂ© de Saint-Pol est de nouveau Ă©rigĂ©e en marquisat. Elle possĂšde toute la justice seigneuriale, elle consiste en censives (terres concĂ©dĂ©es contre paiement d'un cens) fonciĂšres et seigneuriales, bois, moulins, prairies , etc. En dĂ©pendent plusieurs terres Ă  clocher comme Verchin, Radinghem, Tilly, Capelle, (sans doute Tilly-Capelle) (Senlis, Ambricourt, Crepy et Surplois, et quarante beaux fiefs. Elle a toujours eu entrĂ©e aux États d'Artois. Elle est Ă©galement chĂątellenie en septembre 1694[20].

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    La commune faisait partie de la petite communauté de communes du pays d'Heuchin créée fin 1993.

    Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [21] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmÚtres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

    Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du , qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22]. À l'initiative des intercommunalitĂ©s concernĂ©es[23], la commission dĂ©partementale de coopĂ©ration intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
    - la communautĂ© de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[24] ;
    - la communautĂ© de communes de la rĂ©gion de FrĂ©vent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
    - de la communautĂ© de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
    - de la communautĂ© de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale (SDCI), intĂ©grant notamment cette Ă©volution, est approuvĂ© par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [25] - [26].

    La communautĂ© de communes du Ternois, qui rĂ©sulte de cette fusion et dont la commune fait dĂ©sormais partie, est crĂ©Ă©e par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral qui a pris effet le [27].

    Circonscriptions administratives

    La commune faisait partie du canton d'Heuchin[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

    Circonscriptions Ă©lectorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixiÚme circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    Daniel Baude [29] Entrepreneur de travaux publics
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 21 octobre 2011[30] Jean-Marie Guilbert Responsable commercial retraité
    Décédé en fonction
    4 décembre 2011[31] juillet 2020[32] Bernard Crohem[33] - [34] - [35] Retraité
    juillet 2020[36] janvier 2021[37] Olivier Delbé[38] Ext. Dte. Conseiller régional des Hauts-de-France (2010-2021)
    Décédé en fonction
    juin 2021 En cours
    (au 10 juin 2021)
    Willy Gallet Commerçant et assimilé
    Ancien premier maire-adjoint d'Olivier Delbé[39]

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[41].

    En 2020, la commune comptait 609 habitants[Note 5], en augmentation de 4,82 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0051 0581 0811 1171 1331 1471 1711 1401 075
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0131 0761 0331 0281 000960961912892
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    900892872782712677672645667
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    682656678706655587566563571
    2017 2020 - - - - - - -
    591609-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  36,9 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 28,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 304 hommes pour 296 femmes, soit un taux de 50,67 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    2,0
    9,7
    75-89 ans
    10,9
    16,7
    60-74 ans
    17,7
    14,7
    45-59 ans
    17,1
    21,1
    30-44 ans
    16,1
    15,4
    15-29 ans
    16,1
    22,2
    0-14 ans
    20,0
    Pyramide des ùges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[44]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Enseignement

    Contrairement à la plupart de ses voisines, la commune a pu sauvegarder son école de trois classes, qui scolarise en 2016 76 élÚves, de la maternelle au CM2, dont une trentaine déjeunent à la cantine[45].

    Équipements municipaux

    La commune a amĂ©nagĂ© une salle multifonctions dans l'ancien presbytĂšre, qui se rĂ©vĂšle trop exigu. Une nouvelle salle, d'environ 350 m2, doit ĂȘtre construite au mĂȘme emplacement. Son ouverture est escomptĂ©e fin 2017[45].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Motte fĂ©odale et basse-cour : inscription Monument historique par arrĂȘtĂ© du [46].

    Personnalités liées à la commune

    • Le 20 dĂ©cembre 1634, Jacques de Noyelles, comte de Croix, vicomte de Noyelles, gouverneur du chĂąteau de la Motte-au-Bois, chef des finances, commissaire au renouvellement des lois du comtĂ© de Flandre, qui s'est acquittĂ© de ses fonctions Ă  l'entiĂšre satisfaction du roi, est fait marquis de Lisbourg-en-Artois par lettres donnĂ©es Ă  Madrid[19]. Jacques de Noyelles est ainsi chevalier, marquis et chĂątelain de Lisbourg, comte de Croix, vicomte de Nielle, baron de Maldeghem, trĂ©sorier et commissaire du roi pour le changement des magistrats de Flandre[47].
    • EugĂšne de Noyelles, sans doute un de ses descendants, est aprĂšs lui marquis de Lisbourg, comte de Marle, vicomte de Nielle, baron de Rossignol, seigneur de divers lieux, et gouverneur, comme Jacques avant lui, du chĂąteau de La Motte-au-Bois[47].
    • En septembre 1694, Jean-François Volant de Berville, chevalier de justice de l'ordre royal de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de JĂ©rusalem, seigneur de Berville, de la terre, bourg et chĂątellenie de Lisbourg, Grosilliers, Derghinheuze, La VallĂ©e, Le Breuil, Grincourt, Courcelles-le-Leu en partie, est fait marquis de Lisbourg[20].
    • Le PĂšre Anthime Caron (1931-2022), prĂȘtre et scientifique. SupĂ©rieur provincial des PĂšres missionnaires de la Compagnie de Marie. Vice-recteur de l'Institut catholique de Paris. AumĂŽnier des mĂ©decins au pĂšlerinage montfortain de Lourdes. Docteur en physique[48].

    HĂ©raldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :
    d’argent Ă  la fasce d’azur chargĂ©e de trois croisettes pattĂ©es d’or, accompagnĂ©e de trois merlettes de sable.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Lys (E3--0120) » (consulté le )
    2. « echo62.com/article.asp?num_art
 »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - fossĂ© d'Équirre (E5400630) » (consultĂ© le )
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Équirre (E5401380) » (consultĂ© le )
    5. « ZNIEFF 310014124 - La Haute Lys et ses végétations alluviales en amont de Thérouanne », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « ZNIEFF 310007270 - La haute Vallée de la Lys et ses versants en amont de Thérouanne », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fruges », sur insee.fr (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    14. Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 226.
    15. Toponymie générale de la France - Ernest NÚgre.
    16. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois.
    17. Mr Bergerot, « Vie de Saint-Folquin », dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1855, p 90 à 131, lire en ligne.
    18. « Azincourt 1415 : d'oĂč venaient les chevaliers français morts Ă  la bataille ? ».
    19. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 247, lire en ligne.
    20. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 59, lire en ligne.
    21. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
    22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    23. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est dĂ©jĂ  sur de bons rails : C’est l’actualitĂ© du moment : dans la plupart des communautĂ©s de communes, les Ă©lus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige Ă  fusionner pour crĂ©er des intercommunalitĂ©s de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, RĂ©gion de FrĂ©vent) font office de trĂšs bon Ă©lĂšve et en sont dĂ©jĂ  Ă  discuter des modalitĂ©s de l’« aprĂšs-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
    24. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hÎpitaux, couvents, prisons
).
      Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
    25. « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 30 mars 2017 portant schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, PrĂ©fecture du Pas-de-Calais (consultĂ© le ).
    26. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    27. « ArrĂȘtĂ© interprĂ©fectoral du 30 aoĂ»t 2016 portant crĂ©ation d'une communautĂ© de communes issue de la fusion des communautĂ©s de communes de l'Auxilois, de la rĂ©gion de FrĂ©vent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la PrĂ©fecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    29. David Derieux, « Lisbourg: le chef d’entreprise et ancien maire Daniel Baude est dĂ©cĂ©dĂ© : Les habitants du village et les Ă©lus du conseil municipal ont appris avec tristesse et Ă©motion la disparition de l’ancien maire Daniel Baude, survenue ce jeudi Ă  l’ñge de 81 ans », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    30. « DĂ©cĂšs de trois maires et d'un ancien maire : En ce dernier trimestre de 2011, quatre figures du Ternois nous ont quittĂ© », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    31. « La nouvelle Ă©quipe va travailler dans la continuitĂ© des actions entreprises auparavant par l'ancien maire Jean-Marie Guilbert : Quelques semaines aprĂšs le dĂ©cĂšs de Jean-Marie Guilbert, c'est Ă  une cĂ©rĂ©monie Ă©mouvante que les habitants ont assistĂ© dimanche », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    32. « Lisbourg : le maire Bernard Crohem ne sera pas candidat au second tour », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Conseiller municipal depuis 1989 et maire depuis 2011 Ă  la suite du dĂ©cĂšs de Jean-Marie Guibert, dont il Ă©tait le premier adjoint, Bernard Crohen ne sera pas candidat ce dimanche ».
    33. Aline Chartrel, « À Lisbourg, deux annĂ©es de mandat « dans la continuitĂ© » de l’ancien maire : Bernard Crohem a connu vingt-deux douces annĂ©es en tant que conseiller avant d’ĂȘtre propulsĂ© sur le fauteuil de maire en dĂ©cembre 2011. C’était au dĂ©cĂšs du premier magistrat, Jean-Marie Guilbert. Ayant pris goĂ»t Ă  la fonction, il envisage aujourd’hui de se reprĂ©senter. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    34. « Lisbourg: Bernard Crohem entame un nouveau mandat de maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    35. Aline Chartrel, « Lisbourg – Aux prĂ©mices d’un projet Ă©olien, le premier dans la commune : Les projets des maires. Bernard Crohem avait pris la tĂȘte de la commune en dĂ©cembre 2011, Ă  la suite du dĂ©cĂšs de son prĂ©dĂ©cesseur. L’ancien premier adjoint a fait ses preuves, et obtenu la confiance de l’électorat en mars. Pour ce mandat, il misera sur l’éclairage public et l’implantation d’un parc Ă©olien. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    36. David Derieux, « Le conseiller rĂ©gional Olivier DelbĂ© Ă©lu maire de Lisbourg : Grand vainqueur des Ă©lections municipales dĂšs le premier tour le 15 mars, le conseiller rĂ©gional est devenu maire de son village », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    37. Sophie Morlans, « Le maire de Lisbourg meurt dans un accident de la route : Le maire de Lisbourg dans le ternois est mort mercredi soir dans un accident de la route.Olivier DelbĂ© avait 53 ans », France Bleu Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    38. David Derieux, « Lisbourg : Olivier DelbĂ©, le conseiller rĂ©gional devenu maire de son village natal : Conseiller rĂ©gional depuis dix ans, et Ă©lu local depuis vingt-cinq ans, Olivier DelbĂ© a Ă©tĂ© Ă©lu maire de son village de cƓur, qu’il n’a quittĂ© que trĂšs temporairement en plus d’un demi-siĂšcle », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    39. David Derieux, « Willy Gallet succĂšde Ă  Olivier DelbĂ© dans les fonctions de maire de Lisbourg : Le conseil municipal s’est rĂ©uni jeudi soir Ă  l’espace multifonctions pour procĂ©der Ă  l’élection du nouveau maire et de ses adjoints », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lisbourg (62519) », (consultĂ© le ).
    44. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Pas-de-Calais (62) », (consultĂ© le ).
    45. Anthony Hoyer, « Une salle multifonctionnelle avant des Ă©oliennes », L'Abeille de la Ternoise, nos 8594-1643,‎ , p. 24.
    46. « La Motte féodale », notice no PA00108337, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    47. Louis de Backer, Chùteau de la Motte-au-Bois, Douai,1843, in-4° ,71 pp. avec 2 lith., p. 35, lire en ligne
    48. « Lisbourg: dĂ©cĂšs du pĂšre Anthime Caron, homme d’Église et scientifique, un personnage «hors norme» », sur lavoixdunord.fr (consultĂ© le ).
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