Lisbourg
Lisbourg [lisbuÊ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Pas-de-Calais en rĂ©gion Hauts-de-France.
Lisbourg | |||||
L'Ă©glise. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CC du Ternois | ||||
Code postal | 62134 | ||||
Code commune | 62519 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
609 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 34 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 30âČ 27âł nord, 2° 13âČ 04âł est | ||||
Altitude | Min. 103 m Max. 184 m |
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Superficie | 17,77 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Fruges (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise | ||||
LĂ©gislatives | 6e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.lisbourg.fr | ||||
La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.
GĂ©ographie
Localisation
- 1Carte dynamique
- 2Carte Openstreetmap
- 3Carte topographique
- 4Carte avec les communes environnantes
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
GĂ©ologie et relief
Au nord-est de la commune, on peut observer des dolines, phénomÚne géomorphologique relativement rare dans le nord de la France, souvent associé à la présence de creuses.
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
Ă une altitude de 114,7 mĂštres, la Lys, d'une longueur de 134,01 km, prend sa source dans la commune et se jette dans l'Escaut au niveau de la commune de Gand, en Belgique[1].
Dans la nuit du , Ă la suite d'Ă©boulements souterrains, la Lys abandonne sa source historique pour jaillir sous une route communale en formant un geyser de quelques dizaines de centimĂštres de haut. Depuis cette nouvelle source a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©e par la communautĂ© de communes et de lâassociation Lys sans frontiĂšres[2].
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversĂ©e par le fossĂ© d'Ăquirre, cours d'eau naturel non navigable de 4,09 km, qui prend sa source Ă CrĂ©py et se jette dans le Faux au niveau de la commune de Bergueneuse[3] et l'Ăquirre, d'une longueur de 1,4 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le fossĂ© d'Ăquirre au niveau de la commune d'Ăquirre[4].
Milieux naturels et biodiversité
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : la Haute Lys et ses vĂ©gĂ©tations alluviales en amont de ThĂ©rouanne. D'une altitude variant de 38 Ă 153 mĂštres et d'une superficie de 1 053 hectares, ce site correspond au fond de vallĂ©e et Ă quelques versants, depuis les sources jusquâĂ la commune de ThĂ©rouanne[5].
et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la haute vallĂ©e de la Lys et ses versants en amont de ThĂ©rouanne. LâentitĂ© paysagĂšre de la haute vallĂ©e de la Lys et ses versants sâĂ©tire sur une vingtaine de kilomĂštres du Nord au Sud pour moins de dix dâEst en Ouest dans le Haut Artois[6].
Urbanisme
Typologie
Lisbourg est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [7] - [8] - [9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fruges, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10] - [11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (94,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,8 %), prairies (30,7 %), zones urbanisĂ©es (4,7 %), forĂȘts (0,9 %)[12].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[13].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Liegesborth (844) ; Liegesburch (IXe siÚcle) ; Liegesburh, Ligesburth (Xe siÚcle) ; Lisburg (1119) ; Lisburgus (1179) ; Lisborg (1226) ; Lisborc (1232) ; Lieborc (1269) ; Liebourt (1325) ; Libourc (1326) ; Liesbourc (1375) ; Liebourg (1430) ; Libourcq (1474) ; Libourg (vers 1512) ; Lysbourg (1635) ; Liscours-en-Gruseliers (1720)[14].
- De la riviÚre Lys et du flamand geboorte (« naissance »), « source de la Lys »[15]. La Lys prend sa source à Lisbourg.
- Liegesboort en flamand[16].
Histoire
Lisbourg est le cadre d'un Ă©pisode curieux au IXe siĂšcle : Hugues l'AbbĂ©, fils de Charlemagne, abbĂ© de plusieurs abbayes, conçoit l'idĂ©e de ramener Ă l'abbaye du Mont Saint-Quentin, les restes de saint Omer (Audomar de ThĂ©rouanne) conservĂ©s Ă Saint-Omer. Cette action provoque une vive rĂ©action de saint Folquin (Folquin de ThĂ©rouanne) alors Ă©vĂȘque de ThĂ©rouanne, qui envoie une troupe armĂ©e pour rĂ©cupĂ©rer la relique. Les ravisseurs sont rattrapĂ©s Ă Lisbourg, ils fuient en abandonnant les saints restes. Folquin organise alors le retour en grande pompe de la relique Ă Saint-Omer[17].
Baugeois de Gribauval, Gilbert de Gribauval, le Ploutre de Gribauval, tous trois sur la commune actuelle de Lisbourg, combattent et trouvent la mort lors de la bataille d'Azincourt en 1415[18].
Le 20 décembre 1634, la seigneurie de Lisbourg-en-Artois est érigée en marquisat, par lettres données à Madrid[19].
En septembre 1694, par lettres donnĂ©es Ă Versailles, la terre de Lisbourg, situĂ©e au comtĂ© de Saint-Pol est de nouveau Ă©rigĂ©e en marquisat. Elle possĂšde toute la justice seigneuriale, elle consiste en censives (terres concĂ©dĂ©es contre paiement d'un cens) fonciĂšres et seigneuriales, bois, moulins, prairies , etc. En dĂ©pendent plusieurs terres Ă clocher comme Verchin, Radinghem, Tilly, Capelle, (sans doute Tilly-Capelle) (Senlis, Ambricourt, Crepy et Surplois, et quarante beaux fiefs. Elle a toujours eu entrĂ©e aux Ătats d'Artois. Elle est Ă©galement chĂątellenie en septembre 1694[20].
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune faisait partie de la petite communauté de communes du pays d'Heuchin créée fin 1993.
Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [21] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmÚtres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.
Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22]. à l'initiative des intercommunalités concernées[23], la commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[24] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communautĂ© de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale (SDCI), intĂ©grant notamment cette Ă©volution, est approuvĂ© par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [25] - [26].
La communautĂ© de communes du Ternois, qui rĂ©sulte de cette fusion et dont la commune fait dĂ©sormais partie, est crĂ©Ă©e par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral qui a pris effet le [27].
Circonscriptions administratives
La commune faisait partie du canton d'Heuchin[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.
Circonscriptions Ă©lectorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixiÚme circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[41].
En 2020, la commune comptait 609 habitants[Note 5], en augmentation de 4,82 % par rapport Ă 2014 (Pas-de-Calais : â0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 36,9 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 28,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 304 hommes pour 296 femmes, soit un taux de 50,67 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Contrairement à la plupart de ses voisines, la commune a pu sauvegarder son école de trois classes, qui scolarise en 2016 76 élÚves, de la maternelle au CM2, dont une trentaine déjeunent à la cantine[45].
Ăquipements municipaux
La commune a amĂ©nagĂ© une salle multifonctions dans l'ancien presbytĂšre, qui se rĂ©vĂšle trop exigu. Une nouvelle salle, d'environ 350 m2, doit ĂȘtre construite au mĂȘme emplacement. Son ouverture est escomptĂ©e fin 2017[45].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Motte fĂ©odale et basse-cour : inscription Monument historique par arrĂȘtĂ© du [46].
Personnalités liées à la commune
- Le 20 décembre 1634, Jacques de Noyelles, comte de Croix, vicomte de Noyelles, gouverneur du chùteau de la Motte-au-Bois, chef des finances, commissaire au renouvellement des lois du comté de Flandre, qui s'est acquitté de ses fonctions à l'entiÚre satisfaction du roi, est fait marquis de Lisbourg-en-Artois par lettres données à Madrid[19]. Jacques de Noyelles est ainsi chevalier, marquis et chùtelain de Lisbourg, comte de Croix, vicomte de Nielle, baron de Maldeghem, trésorier et commissaire du roi pour le changement des magistrats de Flandre[47].
- EugĂšne de Noyelles, sans doute un de ses descendants, est aprĂšs lui marquis de Lisbourg, comte de Marle, vicomte de Nielle, baron de Rossignol, seigneur de divers lieux, et gouverneur, comme Jacques avant lui, du chĂąteau de La Motte-au-Bois[47].
- En septembre 1694, Jean-François Volant de Berville, chevalier de justice de l'ordre royal de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem, seigneur de Berville, de la terre, bourg et chùtellenie de Lisbourg, Grosilliers, Derghinheuze, La Vallée, Le Breuil, Grincourt, Courcelles-le-Leu en partie, est fait marquis de Lisbourg[20].
- Le PĂšre Anthime Caron (1931-2022), prĂȘtre et scientifique. SupĂ©rieur provincial des PĂšres missionnaires de la Compagnie de Marie. Vice-recteur de l'Institut catholique de Paris. AumĂŽnier des mĂ©decins au pĂšlerinage montfortain de Lourdes. Docteur en physique[48].
HĂ©raldique
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Les armes de la ville se blasonnent ainsi : |
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Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Lys (E3--0120) » (consulté le )
- « echo62.com/article.asp?num_art⊠»(Archive.org ⹠Wikiwix ⹠Archive.is ⹠Google ⹠Que faire ?).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - fossĂ© d'Ăquirre (E5400630) » (consultĂ© le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ăquirre (E5401380) » (consultĂ© le )
- « ZNIEFF 310014124 - La Haute Lys et ses végétations alluviales en amont de Thérouanne », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007270 - La haute Vallée de la Lys et ses versants en amont de Thérouanne », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fruges », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 226.
- Toponymie générale de la France - Ernest NÚgre.
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois.
- Mr Bergerot, « Vie de Saint-Folquin », dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1855, p 90 à 131, lire en ligne.
- « Azincourt 1415 : d'oĂč venaient les chevaliers français morts Ă la bataille ? ».
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 247, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 59, lire en ligne.
- n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est dĂ©jĂ sur de bons rails : Câest lâactualitĂ© du moment : dans la plupart des communautĂ©s de communes, les Ă©lus sâarrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige Ă fusionner pour crĂ©er des intercommunalitĂ©s de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, RĂ©gion de FrĂ©vent) font office de trĂšs bon Ă©lĂšve et en sont dĂ©jĂ Ă discuter des modalitĂ©s de lâ« aprĂšs-fusion », La Voix du Nord,â (lire en ligne).
- Le populations mentionnĂ©es dans les actes concernant les intercommunalitĂ©s sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-Ă -dire regroupant la population municipale, c'est-Ă -dire les personnes ayant leur rĂ©sidence habituelle sur le territoire de la commune Ă laquelle s'ajoute la population comptĂ©e Ă part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivitĂ©s (internats, casernes, hĂŽpitaux, couvents, prisonsâŠ).
Dans les tableaux de population mentionnĂ©s dans les articles de wikipĂ©dia ne sont habituellement mentionnĂ©s que les populations municipales, ce qui explique l'Ă©cart entre les chiffres mentionnĂ©s dans le SDCI et ceux des tableaux dĂ©mographiques - « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 30 mars 2017 portant schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, PrĂ©fecture du Pas-de-Calais (consultĂ© le ).
- « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « ArrĂȘtĂ© interprĂ©fectoral du 30 aoĂ»t 2016 portant crĂ©ation d'une communautĂ© de communes issue de la fusion des communautĂ©s de communes de l'Auxilois, de la rĂ©gion de FrĂ©vent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la PrĂ©fecture de la Somme, nos 2016-069,â , p. 37-39 (lire en ligne).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- David Derieux, « Lisbourg: le chef dâentreprise et ancien maire Daniel Baude est dĂ©cĂ©dĂ© : Les habitants du village et les Ă©lus du conseil municipal ont appris avec tristesse et Ă©motion la disparition de lâancien maire Daniel Baude, survenue ce jeudi Ă lâĂąge de 81 ans », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « DĂ©cĂšs de trois maires et d'un ancien maire : En ce dernier trimestre de 2011, quatre figures du Ternois nous ont quittĂ© », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « La nouvelle Ă©quipe va travailler dans la continuitĂ© des actions entreprises auparavant par l'ancien maire Jean-Marie Guilbert : Quelques semaines aprĂšs le dĂ©cĂšs de Jean-Marie Guilbert, c'est Ă une cĂ©rĂ©monie Ă©mouvante que les habitants ont assistĂ© dimanche », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Lisbourg : le maire Bernard Crohem ne sera pas candidat au second tour », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Conseiller municipal depuis 1989 et maire depuis 2011 Ă la suite du dĂ©cĂšs de Jean-Marie Guibert, dont il Ă©tait le premier adjoint, Bernard Crohen ne sera pas candidat ce dimanche ».
-
- Aline Chartrel, « Ă Lisbourg, deux annĂ©es de mandat « dans la continuitĂ© » de lâancien maire : Bernard Crohem a connu vingt-deux douces annĂ©es en tant que conseiller avant dâĂȘtre propulsĂ© sur le fauteuil de maire en dĂ©cembre 2011. CâĂ©tait au dĂ©cĂšs du premier magistrat, Jean-Marie Guilbert. Ayant pris goĂ»t Ă la fonction, il envisage aujourdâhui de se reprĂ©senter. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Lisbourg: Bernard Crohem entame un nouveau mandat de maire », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Aline Chartrel, « Lisbourg â Aux prĂ©mices dâun projet Ă©olien, le premier dans la commune : Les projets des maires. Bernard Crohem avait pris la tĂȘte de la commune en dĂ©cembre 2011, Ă la suite du dĂ©cĂšs de son prĂ©dĂ©cesseur. Lâancien premier adjoint a fait ses preuves, et obtenu la confiance de lâĂ©lectorat en mars. Pour ce mandat, il misera sur lâĂ©clairage public et lâimplantation dâun parc Ă©olien. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- David Derieux, « Le conseiller rĂ©gional Olivier DelbĂ© Ă©lu maire de Lisbourg : Grand vainqueur des Ă©lections municipales dĂšs le premier tour le 15 mars, le conseiller rĂ©gional est devenu maire de son village », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Sophie Morlans, « Le maire de Lisbourg meurt dans un accident de la route : Le maire de Lisbourg dans le ternois est mort mercredi soir dans un accident de la route.Olivier DelbĂ© avait 53 ans », France Bleu Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- David Derieux, « Lisbourg : Olivier DelbĂ©, le conseiller rĂ©gional devenu maire de son village natal : Conseiller rĂ©gional depuis dix ans, et Ă©lu local depuis vingt-cinq ans, Olivier DelbĂ© a Ă©tĂ© Ă©lu maire de son village de cĆur, quâil nâa quittĂ© que trĂšs temporairement en plus dâun demi-siĂšcle », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- David Derieux, « Willy Gallet succĂšde Ă Olivier DelbĂ© dans les fonctions de maire de Lisbourg : Le conseil municipal sâest rĂ©uni jeudi soir Ă lâespace multifonctions pour procĂ©der Ă lâĂ©lection du nouveau maire et de ses adjoints », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lisbourg (62519) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Pas-de-Calais (62) », (consultĂ© le ).
- Anthony Hoyer, « Une salle multifonctionnelle avant des Ă©oliennes », L'Abeille de la Ternoise, nos 8594-1643,â , p. 24.
- « La Motte féodale », notice no PA00108337, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Louis de Backer, Chùteau de la Motte-au-Bois, Douai,1843, in-4° ,71 pp. avec 2 lith., p. 35, lire en ligne
- « Lisbourg: dĂ©cĂšs du pĂšre Anthime Caron, homme dâĂglise et scientifique, un personnage «hors norme» », sur lavoixdunord.fr (consultĂ© le ).