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Marle

Marle est une commune de France située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Marle
Marle
La mairie.
Blason de Marle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Laon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de la Serre
Maire
Mandat
Dominique Godbille
2021-2026
Code postal 02250
Code commune 02468
Démographie
Gentilé Marlois
Population
municipale
2 219 hab. (2020 en diminution de 3,77 % par rapport à 2014)
Densité 161 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 24″ nord, 3° 46′ 17″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 140 m
Superficie 13,79 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Marle
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Marle
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Marle
Liens
Site web ville-marle.com

    Géographie

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    Marle, petite ville du grand Laonnois à 25 km au nord-est du centre de Laon, porte de la Thiérache, est établie sur un haut plateau surplombant la vallée traversée par deux rivières : la Serre et le Vilpion. Le sol du Marlois est composé par de la craie blanche (marne) sur lequel s'étend une couche de limon jaune (diluvium) formant un sol arable de première qualité.

    Le pont sur le Vilpion.

    Communes limitrophes

    Voies de communication et transports

    Marle est desservie par la voie ferrée de Laon à Hirson avec neuf trains par jour.

    Urbanisme

    Typologie

    Marle est une commune rurale[Note 1] - [1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2] - [3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marle, une unité urbaine monocommunale[4] de 2 268 habitants en 2017, constituant une ville isolée[5] - [6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,3 %), zones urbanisées (9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,8 %), prairies (4,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Le nom du bourg apparaît pour la première fois en 1112 sous l'appellation latine de Castellum Marna ce qui montre qu'un château existait déjà au XIIè siècle. L'orthographe évoluera encore Marla dans un cartulaire de l'abbaye de Bucilly, puis Malla, Marle-en-Thiérache, Beata-Maria-de-Marla en 1340, Marle-en-Picardie en 1610, puis l'appellation actuelle Marle vers 1750 sur la carte de Cassini [11].
    Marle doit représenter un *margila, dérivé du nom celtique marga qui se trouve dans Pline " quod genus terræ Galli et Brittani vocant margam "[12]. Ce terme celtique signifie 'marne, glaise'.

    La ville est appelée localement Marle-sur-Serre

    Carte de Cassini

    Carte de Cassini du secteur
    (vers 1750).
    Gravure de la ville au XVIIIe siècle.

    La carte de Cassini montre qu'au XVIIIe siècle, Marle est une ville fortifiée située sur la rive gauche la Serre.
    Le Fauxbourg Saint Martin au sud-ouest et le Fauxbourg Saint Nicolas au nord-est rappellent que la paroisse possédait deux églises sous ces vocables[11].
    Les trois Tuilerie représentaient des fermes. La mention Poste indique que Marle possédait un relais de poste aux chevaux. Le bâtiment existe encore de nos jours et a été classé monument historique en 1933[13]. Le moulin sur la Serre, dont les vestiges sont encore présents près du musée, est représenté.
    Au sud, la Tombelle était un hameau avec un château qui s'est appelé Toumella, Tonnella, Tommelia, en 1256 dans un cartulaire de l'abbaye de Foigny, etc.[14]. C'est une ferme aujourd'hui.

    Au nord-est, Haudreville était une ferme dont le nom apparaît pour la première fois en 1154 sous le nom de Alte-Sancti-Martini-de-Hudivilla. L'appellation variera ensuite de nombreuses fois. Le prieuré et la ferme Saint-Nicolas de Haudreville furent construits en 1111 par l'abbaye de Fesmy et dépendaient de la communauté de Behaine[15]. C'est un hameau de nos jours.
    Tout au nord du terroir de la commune, Behaine qui était autrefois une paroisse avec une église, est mentionnée en 1137 sous l'appellation de Alodium Bethaniœpuis Paroisse Saint-Hubert-de-Behagne en 1643[16].

    Histoire

    Le bourg a été pillé et incendié par les Anglais en 1339 et en 1525, assiégé entre-temps par Charles VII en 1441. La ville a été saccagée par les Espagnols en 1650[17]. Marle, autrefois nommé Malain ou Male avec une forte accentuation de la première et longue syllabe ma, était autrefois une bonne ville c'est-à-dire une ville fortifiée ceinte de remparts, défendant le pays. Marle a été rattachée au domaine royal français en 1607. Il ne faut pas oublier, comme le montrent ses armoiries récentes, que Marle est le nom d'une ancienne seigneurie érigée en comté en 1413 pour Robert de Bar, qui appartint successivement aux Maisons de Coucy, Bar, Luxembourg-Saint-Pol, Bourbon-Vendôme et Mazarin. La haute ville en était le centre politique et religieux de la région. La Serre dont le comté contrôlait les pontenages et les gués était ainsi nommée la rivière de Marle.

    Composée de trois quartiers, la Haute Ville, le Grand Faubourg (la Neuville sous Marle) et le faubourg de Laon, la ville est chef-lieu de canton de l'Aisne dans l'arrondissement de Laon après la Révolution. Plusieurs hameaux et fermes sont rattachés à Marle : Haudreville, ancien prieuré et domaine agricole important de l'abbaye de Fesmy, Behaine connue déjà en 1137, la Tombelle, maison seigneuriale importante.

    Dépassant haut la main 1 800 habitants dans les années 1860, la ville accueillait des tanneries et des fabriques de toile et de sucre actives[18]. Ses foires et marchés étaient renommés pour le commerce de laine et de grains[17].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Marle est membre de la communauté de communes du Pays de la Serre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Crécy-sur-Serre. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[19].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Laon, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[20]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Marle pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[20], et de la troisième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[21].

    Administration municipale

    Liste des maires depuis 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1947 Gaétan Sarrazin PCF
    1947 1953 Cyrille Liébert DVG
    1953 1965 Paul Rousselle DVG
    1965 1977 Paul Brucelle DVD
    1977 1983 Pierre Touron PSU
    1983 2001 Yves Daudigny PS professeur (retraité), sénateur
    2001 mai 2020 Jacques Sevrain PS analyste financier (retraité)
    Réélu pour le mandat 2014-2020[22]
    mai 2020[23] - [24] février 2021[25] - [26]
    (Démission)
    Jean-Luc Pertin
    février 2021[27] - [28] En cours
    (au 20 février 2020)
    Dominique Godbille
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

    En 2020, la commune comptait 2 219 habitants[Note 2], en diminution de 3,77 % par rapport à 2014 (Aisne : −1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2121 3281 4551 4441 4331 6861 8432 0511 977
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9451 9001 9562 0782 3572 4042 4822 5092 506
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 5132 5842 6722 4672 5112 3972 3462 5082 729
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    2 9122 8482 9262 7272 6692 5292 4682 4322 351
    2015 2020 - - - - - - -
    2 2812 219-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le monument aux morts se dresse à côté de l'église.
    • Le château de Marle, construit sous Charles le Chauve, rebâti en 1216, pour Enguerrand III, seigneur de Coucy et de Marle. Celui-ci s'appuya sur le château de Coucy, réputé imprenable. Jeanne d'Albret et son fils Henri IV y séjournèrent; la famille de Bourbon-Vendôme, comtes de Marle, a pu commander alors l'important piédestal carré en pierre sculptée et armoriée à décor Renaissance "école française de la seconde moitié du XVIème siècle" provenant de son parc, qui a figuré dans une vente aux enchères publiques à Reims le 26/03/2023 (reprod. coul. p. 174 du n° 12 de "La Gazette Drouot" - 24/03/2023); le château est resté une propriété privée.
    • Église Notre-Dame.
      Église Notre-Dame.
    • Tombeau faussement attribué à Enguerrand de Bournonville. La tombe originelle était plutôt celle de son fils Antoine de Bournonville.
      Tombeau faussement attribué à Enguerrand de Bournonville. La tombe originelle était plutôt celle de son fils Antoine de Bournonville.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Mémorial ancienne église Saint-Nicolas : croix et oratoire.
      Mémorial ancienne église Saint-Nicolas : croix et oratoire.
    • Relais de Poste, monument historique.
      Relais de Poste, monument historique.
    • Vestiges de l'ancien moulin sur le Vilpion.
      Vestiges de l'ancien moulin sur le Vilpion.
    • Le pont sur le Vilpion.
      Le pont sur le Vilpion.
    • Le château : la tour Mutte.
      Le château : la tour Mutte.
    • La gare.
      La gare.

    Édifices

    Marle en 1648.
    • La maison de ville

    Ancienne mairie située près de l'église jusqu'en 1921, elle fut déplacée sur la place de la motte pour dégager l'église et créer la place du monument aux morts de la guerre 1914-1918. Bâtie en 1628, l'immeuble avait un certain caractère architectural, on y admirait un beau fronton de style Louis XIII. Ce fut Jean Pierre Faucheux qui donna cette maison à la ville. Une inscription rappelait ce don « monsieur Jean Pierre Faucheux, échevin, demeurant au grenier à sel a fait construire le dit hôtel de ville en 1739 ». Il faut prendre ici le terme de construire dans le sens d'agrandir ou de réparer puisque l'immeuble existait depuis longtemps. Cette belle maison fut démolie, seule une partie de sa façade fut replacée, place de la motte, sur le bâtiment des pompes du corps de sapeurs pompiers.

    • L'hôtel de ville

    Ancienne salle de justice de paix fut construite en 1851. Le maire de l'époque, M. Desains fit prendre le par le conseil municipal une délibération pour la construction d'un prétoire pour la justice de paix à édifier sur l'emplacement du grenier à sel, par suite du déplacement de la maison de ville après la 1re guerre mondiale. La partie basse de cet immeuble fut utilisée par la suite pour la mairie actuelle (salle des mariages et du conseil plus des bureaux attenants). La partie haute servit longtemps de salle des fêtes. Cet endroit s'appelait auparavant place du Grenier-à-sel, place du Marché-aux-chevaux ensuite et enfin place François-Mitterrand. On peut également supposer que l'ancienne halle médiévale brûlée par les Espagnols au XVIIe siècle se trouvait à cet endroit. Lors des derniers travaux de rénovation de la place, un puits imposant fut découvert.

    • L'Hospice ou hôtel-dieu

    Au Moyen Âge, les lépreux étaient isolés à la « maladrye » ou « maladrerie » à l'extrémité du faubourg Saint-Martin (après le nouveau cimetière paysager). Cet établissement fut fondé vers 1250 par Enguerrand IV de Coucy. Par lettres patentes de Louis XIV en février 1697, cette léproserie fut jointe à l'hôtel-Dieu tenu par les « filles dévotes de Saint-Benoîte » rue du château en 1702. Le conseil municipal prit le sur l'initiative de M. Desains, maire et médecin de l'hôtel Dieu, une délibération donnant un avis favorable pour la construction d'urgence d'un nouvel établissement sur l'emplacement de terrains à acquérir en dehors de l'ancienne ville. C'est la maison de retraite actuelle, agrandie et humanisée, plus tard, sous les mandats de Paul Brucelle et Pierre Touron.

    • Le centre de loisirs Jean-Mermoz appelé communément salle polyvalente

    Construction décidée en 1969, rue René-Toffin, l'ensemble Jean-Mermoz est composée au rez-de-chaussée d'un bâtiment abritant la caserne de sapeurs pompiers, de la salle du club de judo, d'une salle de réunion appelée Pierre-Brasseur et de plusieurs pièces réservées au service de la protection maternelle et infantile. À l'étage, se trouve la grande salle des fêtes de la commune appelée salle Simone-Signoret et ses dépendances (cuisine, vestiaires...) ainsi qu'une petite salle de réunion dénommée salle Louis-Jouvet. Elle fut inaugurée le par Paul Brucelle, maire de Marle et son conseil municipal en présence du député de la circonscription Robert Aumont et du conseiller général du canton de Marle, Henry Loncq. (voir photographie de l'inauguration)

    • Le moulin de la plaine

    Le Moulin de la plaine était initialement une meunerie. Il a été bâti en 1797 par Armand Vinchon, ancien meunier à Cilly. À la fin du XVIIIe siècle, il comportait deux roues, une de chaque côté de la rivière. En 1838, une demande d'autorisation a été déposée pour le transformer en une seule roue. C'est alors qu'un règlement d'eau a été instauré. Il s'est ensuite développé jusqu'en 1914. Placé en faillite vers les années 1920, racheté en 1925 aux enchères publiques, il a été revendu un an après à la SA « les grands moulins de MARLE » et est devenu le plus important moulin de l'Aisne avec une production de plus de 400 000 quintaux. Fin 1946, une turbine Kaplan a été installée grâce aux financements offerts par le plan Marshall (plan américain d'aide économique à l'Europe). En 1966, cet établissement est devenu propriété de la société immobilière des grands moulins de Marle puis a été revendu à plusieurs particuliers dont l'un possédant la turbine vend l'électricité produite à EDF. Il appartient au patrimoine industriel de la commune.

    • La piscine municipale Sébastien Cauet

    La piscine municipale fut construite en 1964[33]. À la suite de nombreux problèmes de fuites, les deux bassins sont restaurés à partir de 2022. La piscine est alors baptisée Sébastien Cauet[34], du nom de l'animateur vedette originaire de la commune.

    Personnalités liées à la commune

    Activités associatives, sportives et culturelles

    • Marle unit ses associations sportives sous le nom de « Marle Sports » et sous une unique couleur, l'orange. Marle Sports inclut par exemple : « Marle Basket » et « Marle Football ».
    • Jumelages :

    Héraldique

    Blason de Marle Blason
    D’azur à trois tours attenantes d’or ajourées et maçonnées de sable, celle du centre, plus haute, surmontée d’une fleur de lys d’argent[35].
    Ornements extérieurs
    Croix de guerre 1914-1918
    Détails
    Blason officiel

    Voir aussi

    Bibliographie

    Dans la collection Monographies des villes et villages de France de Micberth :

    • « Marle d'hier » (avec une centaine de cartes postales) - Abbé Palant, 1998, réimp. édit. 1890, 14 X 20, br., 152 pp. (ISBN 2-84435-015-1)
    • « Histoire de Marle » - Emile Coët et Charles Lefèvre, 1991, réimp. édit. 1897, 14 X 20, br., 600 pp. (ISBN 2-87760-629-5)

    Collection histoires locales

    • « Marle 1900-1925 » - Gérard Guibon, 2011, 17 X 24, 175 pp. (ISBN 978-2-915216-60-8)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    4. « Unité urbaine 2020 de Marle », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
    12. MORLET (Marie-Thérèse) Toponymie de la Thiérache (1957), p. 67
    13. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00115808
    14. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
    15. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
    16. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
    17. Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle, Paris, Larousse, , p. 1224
    18. L.-G. Gourraigne, Dictionnaire universel d'histoire et de géographie, Paris, Hachette, , p. 1193
    19. « communauté de communes du Pays de la Serre - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    20. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Marle », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    21. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    22. « Jacques Sevrain réélu », La Thiérache, no 2575,‎ , p. 19 (ISSN 0183-8415)
    23. « Le nouveau conseil municipal est en place à Marle », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C'est lors d’un conseil municipal exceptionnel avec des mesures sanitaires strictes que le nouveau maire Jean-Luc Pertin a été élu. ».
    24. Marguerite Julia, « Trois absences remarquées : Jean-Luc Pertin élu maire à la majorité », La Thiérache, no 2896,‎ , p. 14 (ISSN 0183-8415)
    25. « La ville de Marle aura bientôt son nouveau maire », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après une première demande refusée par la préfecture de l'Aisne, Jean-Luc Pertin, actuel maire de Marle, a reçu ce mercredi 10 février l’acceptation de sa démission. ».
    26. Marie-Pierre Duval, « Marle: la commune n'a plus de maire », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C'est désormais officiel, la commune de Marle n'a plus de maire. ».
    27. Lucie Lefebvre, « Marle: un nouveau maire pour un nouveau départ », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La démission de Jean-Luc Pertin ayant été acceptée par le préfet, le conseil municipal s'est réuni jeudi soir pour élire son nouveau chef de file. Dominique Godbille a obtenu la majorité des suffrages face à Dominique Gape. ».
    28. « Dominique Godbille élu maire de Marle », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après l'acceptation de la démission du maire, Jean-Luc Pertin, par la préfecture, le conseil municipal a élu son nouveau maire le jeudi 19 février. ».
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. « Coup de jeune pour la piscine de Marle », sur Journal L'Union abonné, (consulté le )
    34. « Le nom de Cauet pour la piscine de Marle ne fait pas l’unanimité », sur Journal L'Union abonné, (consulté le )
    35. « 02468 Marle (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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