Emmerin
Emmerin est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.
Emmerin | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Métropole européenne de Lille | ||||
Maire Mandat |
DaniĂšle Ponchaux 2020-2026 |
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Code postal | 59320 | ||||
Code commune | 59193 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Emmerinois, Emmerinoises | ||||
Population municipale |
3 077 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 627 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
1 053 636 hab. (2020) | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 35âČ 39âł nord, 3° 00âČ 09âł est | ||||
Altitude | Min. 17 m Max. 41 m |
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Superficie | 4,91 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Lille (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune du pÎle principal) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Faches-Thumesnil | ||||
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
GĂ©olocalisation sur la carte : Nord
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Liens | |||||
Site web | www.ville-emmerin.net | ||||
GĂ©ographie
Situation
Emmerin se situe à 3,5 km au sud de Lille dans le canton d'Haubourdin, localisé dans le Mélantois, à la frontiÚre des Weppes en Flandre romane.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944[8] et qui se trouve Ă 8 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10] Ă 10,8 °C pour 1981-2010[11], puis Ă 11,3 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Emmerin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[16] et 1 053 636 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatriÚme plus importante de la France en termes de population, derriÚre celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune du pÎle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (71,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (42 %), zones urbanisĂ©es (18 %), mines, dĂ©charges et chantiers (12,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (11 %), prairies (10,4 %), forĂȘts (6 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,2 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[22].
HĂ©raldique
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Les armes d'Emmerin se blasonnent ainsi : De gueules au lion [rampant] d'or, armé, lampassé et couronné d'azur. |
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Toponyme
Noms anciens :Hamerin en 1104, Amerin, en 1158, titre de l'abbaye du Mont-St- Eloi. Amerin , 1160, 1177, cart. du prieurĂ© d'Ăubigny., Enmerin en 1603 puis Emmerin
Histoire
Avant la Révolution française
Faits historiques : Terre dĂ©pendante de l'empire, longtemps rĂ©unie Ă celle d'Haubourdin. â La chĂątellenie d'Emmerin contenait 104 bonniers 600 verges. â MĂȘme coutume qu'Haubourdin.
Le marais d'Emmerin, par suite de contestations commencĂ©es en 1689, fut partagĂ© et sĂ©parĂ© de celui d'Haubourdin par arrĂȘt du Conseil, du .
Avant 1789 : le village est divisé en 2 fiefs et régi par 2 familles nobles :
- Emmerin Empire, cĆur du village actuel (180 familles) est tenu par le comtĂ© de Hainaut avec la famille De Houchin rĂ©sidant Ă Paris.
- Emmerin Chatellenie, comprenant le quartier de Ghermanez et celui du Faubourg (80 familles), sous la gouvernance de Lille avec la famille d'Hespel résidant au chùteau de Ghermanez (Ets strada aujourd'hui).
- 486 : Naissance probable du village Ă l'Ă©poque du baptĂȘme de Clovis (le Roi des Francs)
- : Une bulle pancarte écrite par le pape Pascal II mentionne le nom du village d'Amerin (Nom provenant de Amerinium ou Ameringhem signifiant : domaine d'Aymard, un chef franc installé le long du chemin des moines).
- 1303 : Construction d'un chùteau féodal par Jean Ier de Namur, comte de Flandre. Celui-ci se trouvait à l'emplacement des bassins de décantation, prÚs du chemin de Santes, (traces d'une motte féodale).
- 1603 : Henri IV (Henri de Bourbon) propriétaire du village le vendit à Nicolas du Chastel de la Howardries, avec la seigneurie d'Haubourdin. Le , les terres et seigneuries d'Haubourdin et d'Emmerin sont érigées en vicomté au bénéfice de Nicolas du Chastel, seigneur de la Howardrie[23].
- 1614 : Robert de Fourmestraux, fils de Mahieu, bourgeois de Lille et de Marie Blondel, est seigneur de Guermanez (fief d'Emmerin). Marchand, bourgeois de Lille le , il Ă©pouse Ă Lille son arriĂšre-petite-cousine Jacqueline de Fourmestraux, fille d'Ătienne et de Catherine Imbert, baptisĂ©e Ă Lille le , puis il se marie Ă Lille avec Marie de le Deusle, dĂ©cĂ©dĂ©e le . Son fils Bon de Fourmestraux seigneur de Guermanez, et du chĂątel d'Emmerin lui succĂšde. Il nait Ă Lille en fĂ©vrier 1627 (baptisĂ© le ), devient bourgeois de Lille le , puis est Ă©chevin de Lille. Il est anobli par lettres donnĂ©es Ă Saint-Germain en Laye en avril 1670, devient donc Ă©cuyer. Il se marie Ă Lille le avec Marie LucrĂšce Costa, fille d'Antoine, Ă©cuyer et de Marie GillĂšs[24].
- 1641 : Incendie du chùteau féodal.
- 1644 : Construction de "l'estaminet de la maison commune" (ou café Keller). Tenu pendant la période révolutionnaire par Barthelemy Wallart. Ce bùtiment remarquable servira de Mairie de 1790 à 1852.
- 1714 : Marie ThérÚse de Lannoy (1687-1756), fille de Jean Baptiste François Olivier de Lannoy, chevalier, seigneur de Salomé, bourgeois de Lille, grand bailli de Furnes et de Françoise Henriette de Tramecourt, est dame (équivalent de seigneur au féminin) d'Emmerin en 1714. Elle nait à Lille en novembre 1687 (baptisée le ) et meurt à La Madeleine le . Elle épouse à Lille le Philippe François Le Clément de Saint-Marcq (1674-1728), écuyer, fils de Philippe et de Marie Catherine Dubus. Il nait à Lille en juillet 1674 (baptisé le ). Il est colonel d'infanterie, chevalier de Saint-Louis et meurt à La Madeleine le , dont postérité[25].
Depuis 1789
- 1790 : élection du premier maire Louis François Dupont le .
- 1791 : Union de Emmerin Empire et Emmerin Chatellenie.
- 1840 : Construction de la nouvelle Ă©glise sur les fondations de l'ancienne qui menaçait de s'effondrer. Ă cette Ă©poque et dans la dĂ©cennies qui a suivi, selon le gĂ©ologue Jules Alexandre Alphonse Meugy (1852) Haubourdin et Emmerin ont intensĂ©ment exploitĂ© la tourbe qui s'est lentement autrefois formĂ©e dans les vastes marais de l'ancienne vallĂ©e alluviale de la DeĂ»le, « principalement dans le but d'utiliser la cendre de tourbe comme engrais » La tourbe se trouve souvent Ă la surface du sol dans ceslocalitĂ©s oĂč elle forme « une couche de 1 Ă 3 m d'Ă©paisseur reposant sur un lit d'argile blanche. On l'extrait Ă la drague. La tourbiĂšre d'Haubourdin occupe ving-cinq ouvriers pendant cinq Ă six mois. Elle produit journellement 20 mĂštres cubes de tourbe humide ou 20 mĂštres cubes de toube sĂšche pesant 600 kil. le mĂštre cube. 10 ares fournissent au moins 30 000 tourbes Ă©quivalent chacune Ă 2 dĂ©cimĂštres cubes et valant 6 Fr?50 le mille. Les cendres se vendent 0,75 l'hectolitre. » En 1850, la tourbe n'est plus exploitĂ©e pour le chauffage dans le dĂ©partement du Nord, car l'industrie miniĂšre fournit en abondance un charbon vendu Ă moindre coĂ»t[26].
- 1855 : ouverture de la colonie de Guermanez, une des deux colonies pénitentiaires de Loos, dans le chùteau et les dépendances de Guermanez.
- 1867 : Concession des eaux d'Emmerin Ă la ville de Lille (Champ captant primitif).
- 1867 : Peu avant qu'il ne soit fermé, visite le de l'Impératrice Eugénie de Montijo à l'institut agricole pénitentiaire de Ghermanez (1855-1868).
- 1918 : Le Kaiser Guillaume II passe en revue le les troupes de sa garde impériale derriÚre la ferme "Bailly".
- 1940 : Au cours de bataille d'Haubourdin, le , 12 civils (9 belges et 3 français) sont "fusillĂ©s" Ă Emmerin Ă l'arriĂšre d'une maison, exĂ©cutĂ©s sur ordre de l'officier commandant la 6Ăšme compagnie du 497e rĂ©giment de la Wehrmacht, reconnu ultĂ©rieurement coupable " d'homicides volontaires non justifiĂ©s par les lois et coutumes de guerre" (Jugement du du tribunal militaire de Metz siĂšgeant Ă Lille). 8 autres civils (3 belges et 5 français) seront abattus au hasard des rues au cours de la mĂȘme journĂ©e par les soldats de la mĂȘme 6Ăšme compagnie.
Politique et administration
(1) Mandat suspendu de 1939 à 1944 par la parenthÚse de la délégation (municipale) spéciale de 3 membres (Charles Elipot, président; Jules Delaru et Narcisse Dumont, membres), délégation mise en place par décret du du gouvernement Daladier.
Instances judiciaires et administratives
La commune relĂšve du tribunal de proximitĂ© de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai, du Conseil d'Ătat Ă Paris.Et les instances judiciaires europĂ©ennes.
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[28].
En 2020, la commune comptait 3 077 habitants[Note 7], en diminution de 3,51 % par rapport Ă 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 33,0 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (39,5 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 25,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,5 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 1 502 hommes pour 1 638 femmes, soit un taux de 52,17 % de femmes, légÚrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
- L'église Saint-Barthélémy : en 1158, « Amerin » avait déjà une église paroissiale sous le vocable de saint Barthélémy. En 1840, une nouvelle église est construite sur les fondations de l'ancienne qui menaçait de s'effondrer.
- L'estaminet de la maison commune, construit en 1644, en rouge barre, lieu de restauration et d'exposition.
- Les marais et le bois d'Emmerin - inscrits Ă l'Inventaire National du patrimoine Naturel - qui relĂšvent de l'Espace naturel Lille MĂ©tropole.
- Le chùteau d'Emmerin, jadis habité par le sire d'Haubourdin, fut brûlé en 1641.
- Le chùteau de Guermanez, style du XVe siÚcle, était affecté, avec ses dépendances, à l'institut agricole pénitentiaire fondé par le docteur Faucher, en 1855.
Transport
RĂ©seaux Cars & Bus
Emmerin est desservie par le réseau urbain Ilévia mais aussi le réseau régional Hauts de France, avec les lignes :
Type | RĂ©seau | Ligne | Destinations | Tarification en vigueur |
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BUS | ILEVIA | 58 | Loos Eurasanté Epi de Soil <> Santes Marais
Via Lille CHU Eurasanté Métro |
ILEVIA |
TAD | ILEVIA | 21R | Lille CHU Eurasanté Métro > Emmerin Mairie
Sur reservation de 21h30 Ă 00h30 uniquement |
ILEVIA |
CAR | ILEVIA | 912 | Seclin Apolda <> Haubourdin Canteraine Lycée Beaupré | ILEVIA |
CAR | ILEVIA | 913 | Emmerin Daudet <> Haubourdin CollĂšge Jules Ferry | ILEVIA |
CAR | Hauts de France | 879 | Lille CHU Eurasanté Métro <> Chemy Croisette
Via Seclin HĂŽtel de Ville |
ILEVIA
Hauts de France si descente Ă Gondecourt ou Chemy |
CAR | Hauts de France | 882 | Lille CHU Eurasanté Métro <> Gondecourt Lycée Marguerite de Flandre
Via Houplin Ancoisne Le Bac |
ILEVIA
Hauts de France si descente Ă Gondecourt |
CAR | Hauts de France | 858 | Lille CHU EurasantĂ© MĂ©tro <> Billy Berclau Ăcole Maternelle ou Annoeulin Maison d'ArrĂȘt
Circule uniquement le Dimanche |
ILEVIA |
CAR | Hauts de France | 882 | Sainghin en Weppes Place de Gaulle <> Loos Institut St Vincent de Paul | ILEVIA |
CAR | Hauts de France | 880 | Noyelles Les Seclin Coperche <> Beaucamps Ligny Institution Ste Marie | ILEVIA |
CAR | Hauts de France | 880 | Beaucamps Ligny Institution Ste Marie > Haubourdin Canteriaine Lycée Beaupré
Uniquement le Mercredi |
ILEVIA |
Les lignes scolaires traversant la commune sont utilisable par tous les usagers du rĂ©seau mĂȘme non scolarisĂ©s, nĂ©anmoins les Ă©lĂšves restent prioritaires pour utiliser ces lignes.
Les lignes : Liane 2 (de 5h Ă 01h tous les jours) et CO2 (de 5h Ă 22h tous les jours) desservent la fin de Loos (Nord) Ă l'arrĂȘt : La MarliĂšre. BĂ©nĂ©ficiant d'amplitudes et de frĂ©quences horaires plus importantes, Il faut ensuite marcher 10 min pour arriver a Emmerin
Emmerin dispose de six arrĂȘts de bus tous gĂ©rĂ©s par IlĂ©via.
RĂ©seau Ferroviaire
La commune ne dispose pas de gare mais se situe proche de plusieurs régionales mais aussi nationale et internationale
RĂ©seaux | Gare | Distance | Tarifications en vigueur |
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Hauts de France | Haubourdin | 2 km | ILEVIA |
Hauts de France | Loos | 3 km | ILEVIA |
Hauts de France | Lille Centre Hospitalier RĂ©gional | 3,5 km | ILEVIA |
Hauts de France
TGV INOUI TGV OUIGO |
Lille Flandres | 7,5 km | ILEVIA |
Hauts de France
TGV INOUI |
Lille Europe | 7,8 km | SNCF TER Hauts de France |
Les abonnements et titres ILEVIA (sauf ticket ZAP) sont valables à bord des TER Hauts de France dans les limites de la Métropole Européenne de Lille.
RĂ©seau AĂ©rien
La commune ne dispose pas d'aéroport sur son territoire, mais se situe proche de plusieurs selon la distance parcourue souhaitée:
Type | Vocation | Pays | AĂ©roport | Distance |
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Low Cost et
Classique |
Europe | France | AĂ©roport de Lille Lesquin | 10 km |
Low Cost | Europe | Belgique | AĂ©roport de Charleroi Bruxelles Sud | 104 km |
Low Cost et
Classique |
Monde | Belgique | AĂ©roport de Bruxelles Zaventem
Brussel Nationaal Zaventem Luchthaven |
110 km |
Low Cost | Europe | France | Aéroport de Paris Beauvais Tillé | 141 km |
Low Cost | Europe | Pays Bas | AĂ©roport de Rotterdam La Haye
Rotterdam Den Haag Luchthaven |
180 km |
Classique | Monde | France | AĂ©roport de Paris Roissy Charles de Gaulle | 179 km |
RĂ©seau routier
Pour venir Ă Emmerin en voiture, il existe plusieurs moyens :
- Périphérique de Lille : sortie 4 - Loos / Lille Centre Hospitalier (Puis traversée de Loos)
- Autoroute A1 : sortie 19 - Seclin (puis traversée de Seclin et Noyelles Les Seclin)
- Autoroute A25-Nationale 41 - Haubourdin / Hallennes Lez Haubourdin / Santes (Puis traversée d'Hallennes lez Haubourdin)
Pour approfondir
Bibliographie
- EugÚne Lejeune "Regards sur le Passé...de 1800 à 1976 " (Bulletins municipaux 1972-1976)
- René-Henri Delporte « Amerin hier, Emmerin aujourd'hui » (1993 - Foyer culturel du Houtland)
- René-Henri Delporte « Emmerin, 900 ans d'histoire » (2004 - Ed. Le Livre d'Histoire - Lorisse)
- Michel Grave â GaĂ«tan Lassue « Petites histoires emmerinoises âIllustrĂ©es » (2007)
- RenĂ©-Henri Delporte « Emmerin, quelques pages dâhistoire âRecueil no 1 » (2014 âENFC)
- RenĂ©-Henri Delporte « Les fusillĂ©s dâEmmerin - Retour sur les journĂ©es tragiques des 28, 29, 30 et » (2017 â IPNS)
- René-Henri Delporte "Emmerin, de nouvelles pages d'histoire' - recueil d'articles - 84 pages (2020-IPNS)..
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- La commune de Houplin-Ancoisne est séparée par un étroit corridor de la commune de Noyelles-lÚs-Seclin
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station météofrance Lille-Lesquin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Emmerin et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 197, lire en ligne.
- Paul Denis du PĂ©age, « Recueil de gĂ©nĂ©alogies lilloises - tome I », Recueil de la sociĂ©tĂ© d'Ă©tudes de la province de Cambrai, vol. 12,â 1906-1909, p.247-254-257 (lire en ligne).
- Paul Denis du PĂ©age, « Recueil de gĂ©nĂ©alogies lilloises - tome I », Recueil de la sociĂ©tĂ© d'Ă©tudes de la province de Cambrai, vol. 12,â 1906-1909, p.105 (lire en ligne).
- Essai de géologie pratique sur la Flandre française, par M. Meugy, Membre résident, in Mémoires de la Société royale des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille ; imprimerie L. Danel, 1852 (Livre numérique Google : )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Emmerin (59193) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Nord (59) », (consultĂ© le ).