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Charnay-lès-Mâcon

Charnay-lès-Mâcon est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Charnay-lès-Mâcon
Charnay-lès-Mâcon
La mairie.
Image illustrative de l’article Charnay-lès-Mâcon
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Mâconnais Beaujolais Agglomération
Maire
Mandat
Christine Robin
2020-2026
Code postal 71850
Code commune 71105
Démographie
Gentilé Charnaysiens[1], Charnayoux[2], Chornoutis[2], Chournayons[2]
Population
municipale
7 925 hab. (2020 en augmentation de 13,72 % par rapport à 2014[3])
Densité 631 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 18′ 33″ nord, 4° 47′ 32″ est
Altitude Min. 179 m
Max. 310 m
Superficie 12,56 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Mâcon
(banlieue)
Aire d'attraction Mâcon
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Mâcon-1
Législatives Première circonscription
Localisation
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Charnay-lès-Mâcon
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Charnay-lès-Mâcon
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Charnay-lès-Mâcon
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Charnay-lès-Mâcon
Liens
Site web charnay.com

    Géographie

    Localisation

    Localisation de Charnay dans la Saône-et-Loire et l'arrondissement de Mâcon.

    Charnay-lès-Mâcon se situe dans le Mâconnais, juste à l'ouest de la préfecture de Saône-et-Loire. La ville se trouve à quelques kilomètres à l'ouest de la Saône, entre la Bresse à l'est et les monts du Beaujolais au sud. Entourée par les vignobles du Mâconnais, Charnay se trouve sur le bord du Massif central.

    Elle est située à 44 kilomètres à l'ouest de Bourg-en-Bresse (préfecture du département de l'Ain), à 67 kilomètres au sud de Chalon-sur-Saône (sous-préfecture de Saône-et-Loire), à 72 kilomètres au nord de Lyon, à 405 kilomètres au sud de Paris, à 155 kilomètres à l'ouest de Genève.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Charnay-lès-Mâcon est arrosée par la Petite Grosne, affluent de la Saône, long de 25,6 km. Elle forme une partie de la frontière que la ville partage avec Davayé. De petits ruisseaux traversent aussi la commune dont le ruisseau du Moulin Journet.

    Climat

    Station près de l'aérodrome.

    Le climat de la commune est un climat océanique tempéré à tendance continentale : les précipitations sont régulières tout au long de l'année avec une hausse de celles-ci durant le printemps et l'automne, durant l’été les précipitations sont peu fréquentes mais sous formes d’orage parfois violents engendrant d’importants cumuls de pluie. Le climat mâconnais est caractérisé par : des hivers froids et humides principalement dus aux bancs de brouillards et au froid continental, et des étés chauds et secs liés à l’influence méridionale (vent du midi). Le Mâconnais se situe juste en dessous de la zone dite de « rupture climatique » entre le nord, l’ouest et le sud. Les monts du Sud Mâconnais sont marqués par cette croisée des climats (océanique, continental et méditerranéen) et bénéficient d’une faune et flore remarquable (plantes méditerranéennes et insectes résistant à une latitude élevée).

    La commune accueille une station Météo-France et le centre interdépartemental Saône-et-Loire - Nièvre.

    La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1943 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[4]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records MACON (71) - alt : 219 m 46° 17′ 36″ N, 4° 47′ 36″ E
    Records établis sur la période du 01-02-1943 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0 0,6 3,4 5,9 10,1 13,4 15,5 14,9 11,5 8,3 3,6 1 7,4
    Température moyenne (°C) 2,7 4,1 7,9 10,8 15,1 18,6 21 20,5 16,7 12,4 6,7 3,6 11,7
    Température maximale moyenne (°C) 5,5 7,6 12,3 15,7 20,1 23,9 26,6 26,2 21,9 16,5 9,9 6,1 16,1
    Record de froid (°C)
    date du record
    −21,2
    24.01.1963
    −21,4
    15.02.1956
    −10,2
    01.03.05
    −4,4
    08.04.21
    −1,8
    04.05.1967
    3,7
    04.06.1953
    5,9
    08.07.1954
    5,8
    30.08.1986
    1
    29.09.1950
    −4,8
    31.10.1997
    −8,7
    27.11.1989
    −16,2
    30.12.05
    −21,4
    1956
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    17,8
    10.01.15
    21
    24.02.21
    24,6
    31.03.21
    29,8
    18.04.1949
    32,8
    25.05.09
    37,2
    22.06.03
    39,2
    04.07.15
    39,8
    13.08.03
    35,2
    05.09.1949
    28,4
    04.10.1985
    23,1
    07.11.1955
    19,3
    16.12.1989
    39,8
    2003
    Ensoleillement (h) 61,9 91,5 154,9 182 212,9 245,3 267,7 242,4 185,6 116,9 70,3 50,5 1 881,9
    Précipitations (mm) 59 52,5 48,7 74,6 88,1 75,5 70,9 71,7 79,5 85,5 83,8 69,5 859,3
    Source : « Fiche 71105001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Axes de communication

    Axes de communication.

    Routes

    L'A6 scinde le territoire de la commune en deux parties, elle passe du nord au sud. Au sud du territoire, à Mâcon, la gare de péage de Mâcon Sud permet d'accéder à la commune depuis l'autoroute.

    La route nationale 79 relie Montmarault à Mâcon, elle traverse le sud-ouest de Charnay. La voie continue dans l'Ain et devient l'A406 avant de rejoindre l'A40.

    Outre les voies routières à importance nationale, Charnay est traversée par de nombreuses routes départementales. En premier lieu, la route départementale 17 fait la liaison entre le quartier mâconnais de Bioux et Prissé, elle traverse le centre de la commune. La route D 579 débute à Mâcon près de la place de la Barre puis se dirige vers l'ouest vers la Coupée avant de relier la route D 17. Ensuite, la route départementale 54 commence à la Verchère, continue sa route vers le sud-ouest en direction de Davayé et Solutré-Pouilly. La route départementale 89, appelée aussi route des Allemands, relie Crêches-sur-Saône à Prissé et longe la route N 79. Enfin, la route D 172 reste à la frontière au sud-ouest de Charnay, elle part en direction de Fuissé.

    Voies ferroviaires

    Ancienne gare de Charnay-Condemine.

    De 1870[5] à 1970[6], la gare de Charnay-Condamine était desservie par la ligne de Cluny à Mâcon. La gare accueille aujourd'hui l'office de tourisme et la voie ferrée est devenue une voie cyclable.

    Aujourd'hui, une seule voie ferrée traverse la commune. La ligne à grande vitesse Paris - Lyon - Marseille traverse au sud-ouest entre la route N 79 et D 89. La gare de Mâcon-Loché-TGV, au sud-ouest de Mâcon, est desservie par quelques TGV Paris - Marseille et Paris - Genève.

    D'autres lignes se situent à proximité. La ligne de Mâcon à Ambérieu, desservie par les TER de la région Rhône-Alpes[7] relie les gares de Mâcon Ville et de Bourg-en-Bresse. La ligne traditionnelle Paris - Marseille via Dijon passe aussi à Mâcon. De même, la gare de Mâcon-Ville est desservie par des TER Dijon - Mâcon - Lyon et quelques TGV reliant le Nord-Est de la France à la Méditerranée.

    Voies cyclables

    Terminus de la Voie Verte.

    Le réseau cyclable de la ville est assez étoffé puisque les voies et les pistes cyclables sont présentes dans le territoire.

    Après la fermeture de la ligne ferroviaire de Cluny à Mâcon en 1970, il a été décidé de transformer cette dernière en voie verte, la première de France. La voie verte de Bourgogne du Sud est longue de 65 km, commence à Chalon-sur-Saône et termine à la gare de Charnay-Condemine. La voie continue cependant vers l'est en direction de Mâcon afin d'être reliée à la voie Bleue, une voie cyclable reliant la préfecture à Tournus.

    En centre-ville, les bords de route sont équipés de pistes cyclables pour simplifier la circulation des deux-roues.

    Transports urbains

    La commune étant en périphérie de Mâcon, Charnay est reliée au réseau Tréma par l'intermédiaire de trois lignes régulières urbaines (B, C et E) et de lignes pour les transports scolaires. Elle est desservie par le réseau Buscéphale du conseil général de Saône-et-Loire.

    Transport aérien

    La chambre de commerce et d'industrie de Saône-et-Loire gère un petit aéroport dans le sud de la commune. Pour effectuer des vols vers l'international, il faut se rendre à l'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry distant de 90 kilomètres ou bien à l'aéroport de Genève distant de 160 kilomètres.

    Urbanisme

    Typologie

    Charnay-lès-Mâcon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [8] - [9] - [10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mâcon, une agglomération inter-régionale regroupant 16 communes[11] et 60 022 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12] - [13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Macon, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14] - [15].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (24,8 %), zones urbanisées (22,7 %), zones agricoles hétérogènes (19,6 %), prairies (9,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,2 %), cultures permanentes (6,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,4 %), forêts (3,3 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Toponymie

    Panneau d'entrée.

    Attestations anciennes

    La première mention de la commune date de 739 sous le nom de Carnacus ou Carnaco[18]. En 1060, le cartulaire de Saint-Vincent de Mâcon évoque Carnaci.

    Dès le XIIIe siècle, le nom de Charnay apparaît pour la première fois. Charnayo sera cité vers 1412 avant que Charnay ne soit réutilisé vers 1472.

    Trois cents ans plus tard, en 1792, Charnay devient Charnay-et-Saint-Léger selon les archives nationales puis redevient une nouvelle fois Charnay vers 1800. Un décret du change officiellement le nom en Charnay-lez-Mâcon pour prendre le nom actuel de Charnay-lès-Mâcon vers 1892.

    Étymologie

    Il s'agit d'un toponyme gaulois ou gallo-romain, basé sur un anthroponyme gaulois Carnus ou plutôt un appellatif *karn qui signifie « tas de pierre sur un tumulus » cf. vieil irlandais carn, même sens, gallois carn « tas de pierre ». Le second élément est le suffixe -acum, lui aussi d'origine gauloise et marquant un emplacement ou une propriété. Homonymie avec Carnac, Carnac-Rouffiac, Charnat et certains autres Charnay.

    Le déterminant complémentaire lès-Mâcon fut ajouté pour affirmer la proximité avec la ville de Mâcon et afin d'éviter la confusion avec d'autres communes portant le nom de Charnay.

    Histoire

    Attestée depuis 968 comme premier lieu de culte dédié à saint Pierre, l'église du bourg de Charnay-lès-Mâcon prit le nom de Sainte-Madeleine au XVIe siècle. Elle deviendra par la suite une des sept églises cathédrantes du diocèse de Mâcon. L'histoire fut marquée, de 1500 à 1650, par les guerres de Religion, dont il reste aujourd'hui le souvenir au travers d'une salle municipale, la salle du Vieux Temple[19], sur l'ancien fief de la Bâtie, puis, tout au long de la période médiévale, par les luttes franco-bourguignonnes.

    Jadis très étendu, le territoire communal allait jusqu'à la place de la Barre, aujourd'hui au cœur de la ville de Mâcon. Attenant à la ville de Mâcon, c'est à Charnay que se trouvait la porte fortifiée Ouest de la Cité.

    L'activité de la commune, répartie en de nombreux hameaux, est alors essentiellement agricole et s'organise autour de grands domaines religieux, comme celui de l'abbaye Saint-Pierre, détruite par les Mâconnais en 1470, ou féodaux, comme celui de Champgrenon.

    Charnay s'est ensuite développée dans son sillage, du fait des nombreux axes de communication y menant et traversant son territoire. La route partant de la porte Ouest et qui deviendra route nationale menant de Cluny à Mâcon a donné naissance au bourg de La Coupée, construit comme une ville-rue. Charnay a ensuite été traversée par la ligne de chemin de fer du Charolais, fermée en 1970, et dont subsiste le vestige de la gare et certains tronçons transformés en voie verte. Le XXe siècle a renforcé ce rôle de communication avec la construction de l'autoroute Paris-Lyon et du train à grande vitesse au XXe siècle.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le conseil municipal est composé du maire, de ses cinq adjoints ainsi que de ses vingt-trois autres conseillers municipaux dont un délégué[20].

    Partage des sièges au sein du conseil municipal de Charnay-lès-Mâcon, mandature 2014-2020[21]
    GroupePrésidentEffectifStatut
    SEJean-Louis Andrès21majorité
    UMPFrédéric Breuil5opposition
    DVGChristian Hamonic2opposition
    DVDPatrick Buhot1opposition

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 octobre 1947 André de Roujoux[24]
    (1905-1957)
    Ingénieur agronome de Fribourg, propriétaire-viticulteur
    Chef du réseau de résistance Marc Breton, colonel FFI
    octobre 1947 mai 1953 André Bachelet[25]
    (1920-1983)
    PCF Ouvrier
    mai 1953 mars 1959 Jean-Baptiste Chapuis
    mars 1959 1963 Jean Torterotot
    1963 mars 1983 Pierre Lachamp[26] - [27]
    (1928-2021)
    DVD Ingénieur agronome
    mars 1983 mars 2014 Gérard Voisin[28] UDF-PR
    puis DL
    puis UMP
    Garagiste
    Député de la 1re circonscription de Saône-et-Loire (1993 → 2012)
    Conseiller général de Mâcon-Centre (1979 → 2001)
    Vice-président du conseil général (1992 → 2001)
    Président de la CA du Mâconnais - Val de Saône (2005 → 2008)
    mars 2014 juillet 2020[29] Jean-Louis Andrès[30]
    (1941- )
    SE-DVG Retraité de la fonction publique
    5e vice-président de Mâconnais Beaujolais Agglomération (2017 → 2020)
    juillet 2020[31] - [32] En cours
    (au 23 novembre 2021)
    Christine Robin[33]
    (1959- )
    UDI-FED Cheffe d'entreprise
    Conseillère régionale (2010 → 2021)
    Conseillère départementale de Mâcon-1 (depuis 2021)
    6e vice-présidente du conseil départemental (depuis 2021)
    3e vice-présidente de Mâconnais Beaujolais Agglomération (depuis 2020)

    Jumelages

    La commune de Charnay-lès-Mâcon est jumelée avec plusieurs villes européennes et une ville asiatique[34] :

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2020, la commune comptait 7 925 habitants[Note 3], en augmentation de 13,72 % par rapport à 2014 (Saône-et-Loire : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3401 4171 3551 4001 4651 6531 5691 8371 845
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4481 5331 8371 8101 8201 9571 9441 9331 907
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9481 9581 9411 7861 8051 9002 0252 3002 621
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    3 9534 6035 0585 7926 1026 7396 7836 7976 827
    2015 2020 - - - - - - -
    7 0187 925-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les écoles de Charnay-lès-Mâcon dépendent de l'académie de Dijon. Les élèves commencent leurs études à l'école maternelle de La Verchère ou de La Coupée, puis à l'école primaire de Champgrenon ou de La Coupée. Ils poursuivent leurs études à Mâcon.

    Cultes

    La paroisse Saint-Pierre de Charnay-lès-Mâcon dépend du diocèse d'Autun, doyenné de Mâcon-Saint Étienne[39]. Elle a notamment eu pour curé le père Bernard Rebuffet, auteur de l'ouvrage Les grandes heures des églises de Mâcon (préface de Raymond Oursel) paru en 1974.

    Infrastructures sportives

    • Deux terrains de football se trouvent au stade de la Massonne.
    • Le complexe de la Bâtie est le plus important centre sportif de Charnay puisqu'il regroupe divers équipements. Il y a un boulodrome couvert, des terrains de boules, une plateforme multisports, une piste de bicross, un skatepark, trois courts de tennis, une salle de gymnastique, une salle multisports et une salle d'arts martiaux.
    • Le long de l'allée de l'Écolier, on trouve un terrain de football ainsi qu'une salle de sports.

    Clubs sportifs

    La commune accueille des associations sportives qui permettent la pratique de d'activités sportives différentes[40].

    Les sports collectifs sont représentés, notamment le Charnay Basket Bourgogne Sud qui est un club de basketball. L'équipe féminine a évolué en Ligue féminine 2 (2e division nationale) entre 2013 et 2016. Après un an en Nationale féminine 1 (3e division nationale), elle remonte en 2017 en Ligue Féminine 2 et obtienne le titre de Championne de France de Nationale féminine 1[41]. En 2018-2019, le club est champion de France de Ligue féminine 2 et monte en Ligue féminine de basket. L'Union du Football mâconnais est un club de football qui résulte de la fusion entre le FC Mâcon et l'Entente Charnay et Mâcon 71 en 1999, il joue aujourd'hui en division d'honneur, le 6e niveau national. Le Charnay's Hyenes Rugby Five est un club de rugby à 5 pour ceux qui veulent pratiquer le rugby en tant que loisir. Enfin, l'association Ça roule - Korian Charnay permet la pratique du handisport et du foot fauteuil.

    Néanmoins, les sports individuels sont plus présents. On trouve quelques clubs d'arts martiaux avec Aikido Charnay, Dojo charnaysien qui est un club de judo, l'École de Shinta-Jutsu et le Self Défense Pratique Charnay.

    Ensuite, il y a les sports de balle avec le Tennis Club de Charnay et l'Entente pongiste de la Roche-Charnay. De plus, on trouve les sports de boules avec l'AS Bouliste de Charnay et la Pétanque Charnaysienne. On peut citer d'autres clubs de sports individuels tels que l'Association musicale et sportive qui propose de la gymnastique artistique et rythmique, le Charnay Cyclo, la Dance in Charnay pour la zumba, les Cavaliers de Charnay et Zen Racing pour le sport automobile.

    Deux clubs multisports sont réservés à certaines personnes : le Club sportif et des sportifs de la gendarmerie de Mâcon et le Groupement retraite sportive. En outre, l'association Charnay Xtrem Organisation organise depuis 2015 la course Charnay Xtrem née en 2013. Cette course annuelle se pratique en duos et le but est de franchir divers obstacles[42].

    Écologie et recyclage

    Vingt emplacements de colonnes sélectives sont situées sur le territoire de la commune qui permettent de trier les déchets recyclables[43].

    De plus, les habitants peuvent accéder à la déchèterie de la commune ainsi que celles de Mâcon, La Roche-Vineuse et Saint-Martin-Belle-Roche.

    Médias locaux

    Culture

    Lieux de spectacles

    Scène du domaine de Champgrenon.

    Couverts

    • L'Espace La Verchère[44] comporte trois salles : la grande salle pouvant accueillir 950 places, la salle 1 d'une capacité de 100 places et la salle 2 possédant 120 places.
    • La Salle Ballard[44] possède deux salles. La plus grande peut accueillir entre 80 et 250 personnes selon la configuration et la plus petite comporte 30 places.
    • La Salle du Vieux Temple[44] a une capacité d'accueil de 200 places.

    En plein air

    • Le Domaine de Champgrenon[44] est un théâtre de verdure d'une capacité de 3 000 places qui accueille depuis 2010[45] les « Rendez-vous de l'été », festivités d'été de la ville de Charnay-Lès-Mâcon.

    Manifestations culturelles et festivités

    En parallèle du festival "Été frappé" organisé par la ville voisine de Mâcon, la ville de Charnay-lès-Mâcon organise chaque année depuis 2010[45] en plein air (sur le domaine de Champgrenon, le théâtre de verdure de la ville) ses propres festivités d'été appelées « Rendez-vous de l'été » qui proposent des concerts, des spectacles et des projections de cinéma.

    Bibliothèque départementale de prêt

    À Charnay-lès-Mâcon, dans un bâtiment d'architecture contemporaine, sont installés les locaux de la bibliothèque départementale de prêt de Saône-et-Loire[46].

    Cette bibliothèque créée en 1982 est chargée du développement de la lecture publique pour les communes de moins de 10 000 habitants. Elle est installée depuis octobre 1986 dans un bâtiment de 1585 m², d'architecture résolument contemporaine (architectes : Christian Schouvey et Michel Gamard)[47].

    Économie

    Sur le territoire de la commune se trouve l'aérodrome de Mâcon - Charnay. Il est géré par la ville de Mâcon.

    La commune comporte également 4 zones industrielles, comportant quelques grandes sociétés[48] :

    Culture locale et patrimoine

    Monuments religieux

    Église Sainte-Madeleine.
    Église du Sacré-Cœur.

    On trouve dans le territoire quatre monuments dédiés à la religion chrétienne.

    • L'église Sainte-Madeleine est située dans le bourg. Le premier lieu de culte attesté en ce lieu date de 968, il était voué à saint Pierre et fut dédié à sainte Madeleine au XVIe siècle.
    • La chapelle Saint-Jean-Baptiste, construite en 1695, est le vestige de dépendances ecclésiastiques qui existaient au hameau de Lévigny. Aujourd'hui ne reste qu'un pan de mur, sa destruction eut probablement lieu durant la Révolution française.
    • Au lieu-dit la Petite Coppée est installé depuis 1618 un ancien temple protestant. Il fut fermé en 1685 à la suite de la révocation de l'édit de Nantes et devient alors une dépendance agricole du fief de La Bâtie. Victime d'un incendie vers 1872, un nouveau bâtiment est construit avec des éléments architecturaux de l'ancien lieu de culte. La commune devient le propriétaire en 1973 qui l'aménage en 1987 pour devenir un accueil d’animations et de manifestations culturelles.
    • Le long de la grande rue de la Coupée, l'église du Sacré-Cœur est érigée en 1944 afin d'accueillir les fidèles du quartier qui ne cesse de se développer.

    Châteaux et domaines

    • Le château de Saint-Léger bâti en 1324 tiendrait son nom d'une chapelle qui se tenait à cette place au Xe siècle[49].
    • Le château de Verneuil est un vieux fief fort du Moyen Âge mais le château avec son corps de logis principal et deux ailes en retour datent du XVe siècle[49]. Toutefois, il ne reste que le corps principal avec les deux tours rondes percées de meurtrières.
    • Le château de la Tour de l'Ange, nommée à l'origine la Tour de Charnay, la Tour du Mouton (Georges et Claude du Mouton en furent seigneurs vers 1471) puis la Tour de Langes, était autrefois une tour ronde imposante. Seul un colombier fait preuve aujourd'hui de la présence du château médiéval. Le château actuel inspiré de l'architecture italienne date du XVIIIe siècle[49].
    • Le château de la Chevanière fut construit au début du XIXe siècle[49] et comporte un corps de bâtiment central avec deux pavillons carrés et entouré d’un parc. Un cartulaire informe qu'il existait la chapelle Saint-Quentin à cet endroit.
    • Le château de la Tournache a été érigé vers 1855[49]. Un incendie y a détruit la toiture et les combles du château en 1973, un étage fut donc supprimé.
    • Le château des Gérardes est composé d’un corps de bâtiment et de deux ailes[49].
    • Le château de Condemine, mentionné pour la première fois en 1614, possède un corps central entre deux ailes en retour d'équerre. Au centre de la façade orientale, un portique de quatre colonnes toscanes soutient un fronton. Devant la façade occidentale, on découvre une terrasse à appui-corps en fer forgé, reliée au parc par un degré droit. De part et d'autre, dans le même alignement mais isolés, se trouvent deux petits pavillons.
    • Le château du Mérac est une maison bourgeoise qui fut un lieu d’accueil pour les enfants vers 1930[49].
    • Dans le domaine de Perthuis, le château Mirandol longe la rue du Perthuis[49].
    • Dans le domaine de Champgrenon se trouvait un château datant du XVIIe siècle qui fut détruit en 1919[49]. Aujourd'hui dans ce parc de 17 hectares, il reste la porte du couchant près du pavillon d'entrée, l'huilerie (restaurée et ouverte à la visite depuis 2008)[50] et la glacière, due à l'architecte-paysagiste Curten l'aîné[51]. En 2011, la cadole située le long de la route de Davayé fut remontée pierre par pierre dans le domaine pour la protéger d'une disparition[52].
    • Château de Verneuil (carte postale début XXe siècle).
      Château de Verneuil (carte postale début XXe siècle).
    • Château de Saint-Léger.
      Château de Saint-Léger.
    • Château Mirandol.
      Château Mirandol.
    • Porte du couchant et pavillon d'entrée du domaine de Chamgrenon.
      Porte du couchant et pavillon d'entrée du domaine de Chamgrenon.
    • Cadole du domaine de Chamgrenon.
      Cadole du domaine de Chamgrenon.
    • Glacière du domaine de Chamgrenon.
      Glacière du domaine de Chamgrenon.

    Patrimoine lié à l'eau

    Lavoir du Voisinet.
    Lavoirs

    Près des lieux de passage et au cœur de hameaux, on trouve des lavoirs qui ont été construits ou rénovés par la municipalité dans les années 1850.

    • Le lavoir des Proux est un lavoir à impluvium central avec un toit à quatre appentis, seul le plan d’eau est découvert.
    • Le lavoir de Lavigny est au centre du hameau éponyme, il daterait du début du XIXe siècle mais fut reconstruit dès 1837 du fait de son très mauvais état.
    • Le lavoir du Voisinet ou lavoir Marmantoux est un petit lavoir à piliers monolithes surmonté d’une charpente en bâtière. En 1845, le lavoir du Voisinet devient trop petit, il est donc agrandi. En 1859, le bâtiment est couvert, il est réparé en 1909 et entièrement restauré en 1963.
    • Le lavoir de Fontaine Mathoud ou lavoir des Giroux possède un bassin rectangulaire en pierre de taille qui recueille directement l’eau de pluie. En 1858, un toit est rajouté mais à la suite d'un problème de captage, le lavoir est détruit en partie du fait que la source est située juste en dessous.
    • Le lavoir de la Lye est un ancien lavoir construit en 1875. On y ajouta une toiture en 1901 mais fut détruite dans les années 1960, le bâtiment fut alors laissé à l'abandon. Les pierres ont connu une seconde vie en 1995 puisqu'elles furent utilisées pour la construction d'une fontaine près de l'église du Sacré-Cœur.
    Fontaines
    • La fontaine de la place de l'Abbé-Ferret date de 1995 et fut construite avec les pierres de l'ancien lavoir de la Lye.
    • La fontaine Gard était située près du lavoir de Fontaine-Gard démoli en 1960. Sa couronne de laurier sculptée en bas relief font estimer la construction du lavoir et de sa fontaine durant les années 1840.
    • La fontaine de Lavigny permettait d'alimenter le lavoir du quartier, il date de l'époque napoléonienne si l'on se réfère aux motifs présents.
    Moulins
    • Le moulin de Balme est mentionné pour la première fois le , date à laquelle Stephanus, un riche seigneur mâconnais du XIe siècle, donna le moulin à l’abbaye de Cluny. En 1880, il est agrandi mais il cessa de fonctionner durant les années 1920. Par conséquent, le bâtiment tomba en ruine mais Jacques Tourny le restaura dès 1976 après être devenu le propriétaire du moulin.
    • Le moulin du Pont est cité dès 1456. Selon certaines sources, on y trouvait une huilerie au XIXe siècle. En 1900 est installé la distillerie nommée Maison de vins du Moulin du Pont qui porte aujourd'hui le nom de Maison des vins Auvigue.
    Puits du domaine de Champgrenon.
    Puits
    • Le puits de la Combe au Puits desservait en eau les habitants qui habitaient près du lavoir de Bieux. En janvier 2006, le toit a été restauré.
    • En face de l'ancienne huilerie du domaine de Champgrenon, on trouve un puits.

    Autres monuments

    • Le bâtiment de la mairie fut construit en 1910 et inauguré en 1911. Il était occupé à l'origine par l'école et la municipalité.
    • Près du pavillon d'entrée du domaine de Chamgrenon, un monument fut érigé au début des années 1920 en l'honneur des soldats de Charnay morts au combat. En , il est déplacé au cœur de la place de La Coupée dans le cadre de son réaménagement[53] - [54].
    • Le domaine Claude Bosse date du XVIIIe siècle se compose de plusieurs corps de bâtiments. On y trouve deux grandes caves : les caves Claude Brosse (ou caves de la Massonne) datant du XVIIe siècle et les caves Lamartine. Dans ce domaine, il y a aussi la tour Claude-Brosse qui permettait de surveiller les chariots qui partaient sur les routes du commerce des vins du Mâconnais.
    • L'ancienne ferme de la Bâtie était au XVe siècle une seigneurie laïque qui comportait un château aujourd'hui encore présent. Depuis 2006, les locaux de la ferme accueillent l'école municipale de musique.
    • Le four à pain des Giroux est édifié en février 1896 à la suite d'une pétition des habitants du hameau. Il resta en activité jusque dans les années 1950 mais il fut restauré en septembre 2002.
    • L'immeuble Genetier, bâti en 1871, accueille la poste, la police municipale et une crèche.
    • Mairie.
      Mairie.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Immeuble Genetier.
      Immeuble Genetier.

    Gastronomie

    Vignoble près de l'A6.

    Charnay est située dans une région viticole. Selon le décret de 2009[55], il est possible de récolter le raisin, et de faire la vinification et l'élaboration du Mâcon villages dans le territoire de la commune. Cette dénomination est valable pour les vins blancs et les vins rouges ou rosés.

    La ville se trouve dans l'aire géographique de l'AOC Mâconnais qui est un fromage au lait cru entier de chèvre[56]. Cela signifie qu'il est possible de produire le lait du fromage, de fabriquer et d'affiner les fromages.

    Espaces verts

    Panneau Ville fleurie avec les trois fleurs.

    La commune possède trois fleurs au label « ville fleurie » attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[57].

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. habitants.fr
    2. Lex Jacquelot, Le Langage populaire de Mâcon et des environs, Slatkine Reprints, Genève, 1978, p. 54.
    3. « Population totale 2010 de la commune de Charnay lès Mâcon », INSEE.
    4. « Fiche du Poste 71105001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    5. Ligne de Cluny à Mâcon, sur Nos gares hier et aujourd'hui.
    6. Office du tourisme communautaire, sur charnay.com.
    7. Dépliant PDF de la ligne Mâcon-Bourg-Ambérieu.
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Unité urbaine 2020 de Mâcon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mâcon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    18. Dictionnaire de Saône-et-Loire, sur cths.fr
    19. Bâtiment situé chemin de la Verchère dans lequel la tradition continue de voir le vieil édifice protestant dont Mâcon disposa de 1618 à sa destruction en 1685 (conséquence de la révocation de l’Édit de Nantes). Au sujet du temple de Charnay-lès-Mâcon, lire : « Le temple de Charnay-lès-Mâcon », article de Georges Bellicot paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 179 de septembre 2014, pages 10 et 11.
    20. Les élus, sur charnay.fr.
    21. Résultats des élections municipales et communautaires 2014 pour Charnay-lès-Mâcon, sur interieur.gouv.fr.
    22. Bernard Desmars, « Ballard, Jacques-Guillaume », sur charlesfourier.fr,
    23. Journal de la République française. Lois et décrets, parution 12 décembre 1942, en ligne).
    24. Fiche généalogique André de BUXEUIL de ROUJOU, sur geneanet.org
    25. Notice BACHELET André par Jean-François Poujeade, version mise en ligne le 20 mai 2020, dernière modification le 20 mai 2020
    26. Johan Bozon, « Maire de Charnay durant 20 ans, Pierre Lachamp n’est plus », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne)
      « Maire de Charnay-lès-Mâcon de 1963 à 1983, Pierre Lachamp est décédé samedi à l’âge de 93 ans. »
    27. « Hommage Pierre Lachamp », Vivre Charnay n°5, , p. 20
    28. Extrait de la fiche de M. Gérard VOISIN, sur lesbiographies.com
    29. « Municipales 2020 : le maire Jean-Louis Andrès ne briguera pas un deuxième mandat », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne)
    30. Extrait de la fiche de M. Jean-Louis ANDRES, sur lesbiographies.com
    31. Béatrice de Lavergne, « Municipales 2020 à Charnay-lès-Mâcon : Christine Robin a été élue au second tour des élections », sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté,
    32. Johan Bozon, « Charnay-lès-Mâcon : Christine Robin installée maire », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne)
    33. Extrait de la fiche de Mme Christine ROBIN, sur lesbiographies.com
    34. Charnay : - Villes jumelles
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. paroisse Saint-Pierre de Charnay-lès-Mâcon
    40. Guide des associations, sur charnay.com.
    41. Le Journal de Saône-et-Loire, 21 mai 2017, Cahier Sports, p. 7
    42. Charnay Xtrem, sur charnay.com.
    43. Préserver - Déchets et propreté urbaine, sur charnay.com.
    44. Site web de Charnay-Lès-Mâcon / Culture & Patrimoine / Page "Lieux de spectacles".
    45. Site web du Journal de Saône-et-Loire / Loisirs / Page "Charnay-les-Mâcon. Vendredi 29 juillet (2011). Second rendez-vous de l'été au Domaine de Champgrenon avec une soirée de concerts sur le thème des (musiques Klezmer et tzigane)" publiée le 29/07/2011 à 05:00.
    46. « La bibliothèque départementale de prêt de Saône-et-Loire et son réseau », article de Marie-Christine Pascal (conservatrice), paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 94 (été 1993), pages 11 à 14.
    47. Annie Bleton-Ruget, Alain Dessertenne, Françoise Geoffray, Martin Raether, Des bibliothèques dans des lieux patrimoniaux, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire », n° 199-200 de novembre 2019, p. 50-63.
    48. Liste des Industries de Charnay Les Macon
    49. Châteaux, sur charnay.com.
    50. « Une ancienne huilerie restaurée au domaine de Champgrenon », article de Florence Goyon paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 156 de décembre 2008 (pages 6 et 7).
    51. « Une glacière vénérable en Mâconnais », article de Florence Goyon paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 131 de septembre 2002 (pages 22 et 23).
    52. Charnay-lès-Mâcon - La vieille pierre à l'honneur, sur lejsl.com.
    53. « Charnay-lès-Mâcon - Le monument aux morts en cours de dépose », sur Le JSL, .
    54. Cristian Todea, « Charnay : Le monument aux morts a déménagé place de la Coupée », sur Mâcon Infos, .
    55. Décret du 27 octobre 2009 relatif aux appellations d'origine contrôlées (...) « Mâcon » (...), légifrance.gouv.fr.
    56. Règlement (CE) No 510/2006 du conseil - « Mâconnais » - No CE: FR-PDO-0005-0553-28.08.2006 IGP ( ) AOP ( X ), sur lex.europa.eu.
    57. « Les villes et villages fleuris », sur Site du Concours des villes et villages fleuris (consulté le ).
    58. Jean-François Bazin, Le Crémant de Bourgogne : Deux siècles d'effervescence, Dunod, , 240 p. (ISBN 978-2-10-073941-7, lire en ligne), p. 50.
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