AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

ChĂȘne en France

Le chĂȘne en France est reprĂ©sentĂ© par neuf espĂšces autochtones, auxquelles s'ajoutent certaines espĂšces exotiques, appartenant toutes au genre Quercus.

Le chĂȘne de Pressembois, Ă  Venon (IsĂšre), qui a reçu le label « Arbre remarquable de France ».
Le ChĂȘne des Ramolleux, plusieurs fois centenaire (600 ans estimĂ©s), en lisiĂšre nord de la forĂȘt de CrĂ©cy (Somme), en face de la maison forestiĂšre de Caumartin.
Le ChĂȘne Sentinelle de la forĂȘt de Tronçais (Allier).
Le vieux ChĂȘne vert de Mirepoix (AriĂšge).
Le ChĂȘne de Saint-Vincent-de-Paul, un trĂšs vieux ChĂȘne pĂ©donculĂ© accueillant une statue de la Vierge Marie, illustration du lien entre le culte marial et la symbolique du chĂȘne en France.

Histoire

L'histoire des chĂȘnes en France est Ă©troitement liĂ©e Ă  celle de l'Homme, non seulement par l'utilisation du bois, mais aussi Ă  travers l'agriculture et l'Ă©levage. La plupart des chĂȘnaies sont ainsi chargĂ©es d'histoire. Les plus connues sont devenues des monuments biologiques, par exemple la ForĂȘt de BercĂ© dans la Sarthe ou la ForĂȘt de Tronçais avec la futaie Colbert, dans l'Allier. Le ministre de Louis XIV avait fait amĂ©nager et protĂ©ger cette forĂȘt pour les besoins de la Marine royale[Hist 1].

Au Moyen Âge, les glands Ă©taient un bien prĂ©cieux, indispensables Ă  l'Ă©levage des porcs, lesquelles Ă©taient menĂ©s en forĂȘt, et mĂȘme parfois utiles Ă  la survie de la population : en cas de disette, on mĂȘlait de la farine de glands Ă  celle des cĂ©rĂ©ales. Parfois, les paysans avaient aussi le droit de ramasser directement les glands pour les donner aux porcs Ă  l'Ă©table. Le chĂȘne fut ainsi valorisĂ© pendant des siĂšcles, jusqu'Ă  l'arrivĂ©e de la pomme de terre au milieu du XVIIIe siĂšcle, et de la multiplication des cultures de cĂ©rĂ©ales prenant la place des chĂȘnaies[Hist 1].

EspĂšces

Plus de 200 espĂšces de chĂȘnes poussent Ă  travers le monde, dont 27 en Europe, principalement dans le Bassin mĂ©diterranĂ©en. Parmi elles on trouve neuf espĂšces autochtones en France. Les huit espĂšces arborescentes couvrent 41% de la surface forestiĂšre en France.

Les plus grands et les plus rĂ©pandus sont le ChĂȘne sessile et le ChĂȘne pĂ©donculĂ©, premiĂšres essences forestiĂšres des plaines et de l'Ă©tage collinĂ©en du pays, occupant Ă  eux-deux le tiers des forĂȘts françaises, Ă  part Ă  peu prĂšs Ă©gales[Hist 2].

Le ChĂȘne pubescent, plus thermophile, occupe Ă©galement de grandes surfaces, notamment sur les terrains calcaires des deux tiers sud du pays. Le ChĂȘne tauzin est une espĂšce moins frĂ©quente, Ă©galement assez thermophile, que l'on trouve quant Ă  lui sur les sols acides du centre-ouest et du sud-ouest.

Dans le sud de la France, on rencontre le ChĂȘne vert sur les sols souvent calcaires, et le ChĂȘne liĂšge uniquement sur les sols siliceux arides. Ces deux espĂšces sont surtout mĂ©diterranĂ©ennes mais se rencontrent aussi dans le sud-ouest. Le ChĂȘne kermĂšs est un arbuste sclĂ©rophylle des garrigues mĂ©diterranĂ©ennes.Le ChĂȘne chevelu et un grand chĂȘne plutĂŽt mĂ©ridional prĂ©sent surtout dans les Alpes-Maritimes mais qu'on trouve aussi trĂšs ponctuellement dans diffĂ©rentes rĂ©gions de France plus au nord.

Enfin le chĂȘne crĂ©nelĂ© est quant Ă  lui l'espĂšce la plus rare en France. PrĂ©sente dans l'extrĂȘme sud-est de celle ci, c'est un hybride stable du chĂȘne chevelu et du chĂȘne liĂšge.

EspĂšces indigĂšnes

EspĂšces introduites

Liste complĂšte

L'Inventaire National du Patrimoine Naturel recense au total 45 espĂšces dans toute la France, outre-mer compris, parmi lesquelles de nombreux hybrides (avec un « x »)[1].

Le chĂȘne dans la culture française

En France, les chĂȘnes sont parfois qualifiĂ©s de « famille royale » du fait de la majestĂ© des deux grandes espĂšces : le ChĂȘne pĂ©donculĂ© et le ChĂȘne sessile. Cette appellation se rĂ©fĂšre aussi Ă  l'usage noble ou stratĂ©gique qui a Ă©tĂ© fait de leur bois, utilisĂ© pour la construction des grandes charpentes des cathĂ©drales et chĂąteaux, navires de guerre et navires marchands, ainsi que les tonneaux imprĂ©gnant les vins d'une note boisĂ©e.

Symbolique

En France, au XIXe siĂšcle, la symbolique du chĂȘne est devenue prĂ©pondĂ©rante aux dĂ©pens de celles des autres arbres. Cette orientation Ă©tait influencĂ©e par la celtomanie et l'exaltation du culte marial dans une vision nationaliste[Hist 3].

Toponymes et patronymes en France

Il existe au moins 221 toponymes en France Ă©voquant des localitĂ©s probablement Ă©tablies dans ou prĂšs d'une forĂȘt de chĂȘnes[2].

Les anciennes formes françaises et les formes dialectales du mot chĂȘne, Ă  savoir chesne, chaĂźne et quesne, ont donnĂ© les noms de Duchesne, Duquesne, Quesnel, QuesnĂ©. Le latin robur se retrouve dans les toponymes et patronymes Rouvre, RouviĂšre, Roure, Royer et le latin ilex (chĂȘne vert) dans yeuse, euze, elze.

La racine dreu, derv- se retrouve trĂšs probablement dans les hydronymes et toponymes en Druy- (commune de Druyes-les-Belles-Fontaines).

Le breton distingue le tann (au sens de chĂȘne rouvre), du taouz (tauzin). Le mot tan est d'origine celtique *tanno-. Comme le breton, il a survĂ©cu assez longtemps au sens de « chĂȘne ». Cette racine celtique se retrouve dans des toponymes qui Ă©voquent la prĂ©sence de tanneries ou de chĂȘnes : Tanis, Thennes, Thenney, Tannay, Tanay, Theneuil, Theneuille, ThĂ©nioux, Tannerre-en-Puisaye, Thenailles et Thenelles mais des confusions sont possibles avec la taniĂšre (tanne) et le mot latin thannus qui dĂ©signe un buisson, un tronc d’arbre[3].

Utilisations

Les chĂȘnes les plus utilisĂ©s en France sont le ChĂȘne pĂ©donculĂ© et le ChĂȘne rouvre, dont le bois est d'ailleurs trĂšs difficile Ă  distinguer l'un de l'autre.

Autrefois, le chĂȘne servait de bois-Ă©nergie pour l'artisanat et l'industrie (industrie du sel, verreries, mĂ©tallurgie), servait de bois de chauffe, de charbon de bois ; Ă©galement pour la construction : pour le boisage des galeries de mines, les constructions navales, les ponts, le charronnage, les roues et les wagons. De plus, les glands servaient de nourriture aux porcs ainsi que de succĂ©danĂ© de cafĂ©[Hist 4].

Aujourd'hui, le bois de chĂȘne est utilisĂ© en menuiserie, en Ă©bĂ©nisterie, pour la construction de charpentes, pour les traverses de chemin de fer, les poteaux, les piquets, les merrains (tonneaux) et pour l'Ă©nergie.

Évolutions et prospectives

Le Gros ChĂȘne de Salm en automne.

L'aire de rĂ©partition des diffĂ©rentes espĂšces de chĂȘnes en France a Ă©voluĂ© dans le passĂ©, et devrait encore Ă©voluer dans le futur, notamment avec le rĂ©chauffement climatique.

Le ChĂȘne pubescent

Les chĂȘnaies pubescentes, ou chĂȘnaies blanches, s’étendent en rĂ©gion mĂ©diterranĂ©enne française sur environ 270 000 ha. Elles furent le principal Ă©cosystĂšme forestier en rĂ©gion mĂ©diterranĂ©enne française jusqu’il y a environ 6 000 ans mais leur exploitation et leurs dĂ©frichements ont progressivement provoquĂ© leur dĂ©clin. Cette tendance s’est ensuite inversĂ©e depuis la fin du 19e siĂšcle du fait de la dĂ©prise rurale et de la dĂ©sintensification de l’exploitation forestiĂšre qui concourent Ă  la colonisation de nouveaux espaces et au retour du ChĂȘne pubescent au sein de certains taillis de ChĂȘne vert, notamment. Les changements climatiques reprĂ©sentent aujourd'hui la principale menace pour cet Ă©cosystĂšme. En effet, l’aridification du climat mĂ©diterranĂ©en rend les conditions de moins en moins favorables au dĂ©veloppement du ChĂȘne pubescent. Son Ă©tat sanitaire se dĂ©grade progressivement Ă  l’échelle de toute l’écorĂ©gion, tandis que des changements sont observĂ©s dans la composition floristique de ces forĂȘts[4].

Le ChĂȘne-liĂšge

Les forĂȘts dominĂ©es par le ChĂȘne-liĂšge, appelĂ©es suberaies, recouvrent environ 70 000 ha sur trois principaux secteurs de la rĂ©gion mĂ©diterranĂ©enne française : les massifs provençaux des Maures et de l’EstĂ©rel, le sud de la Corse et les PyrĂ©nĂ©es-Orientales[4].

Depuis la fin du 19e siĂšcle, la baisse d’intĂ©rĂȘt pour l’exploitation du liĂšge a entraĂźnĂ© l’abandon de nombreuses suberaies au sein desquelles le ChĂȘne-liĂšge se trouve dĂ©sormais en concurrence avec les autres essences mĂ©diterranĂ©ennes. Ces suberaies Ă©voluent alors vers des peuplements mĂ©langĂ©s et plus recouvrant, oĂč le ChĂȘne-liĂšge se retrouve en tant qu’essence secondaire. La rĂ©currence d’incendies et d’épisodes de sĂ©cheresse, en particulier dans le massif des Maures, constitue Ă©galement une menace pour une partie des suberaies mĂ©diterranĂ©ennes françaises. Celles-ci pourraient disparaĂźtre de ces secteurs dans un avenir proche, avec l’augmentation de la frĂ©quence de ces incendies en raison des changements climatiques[4].

Le ChĂȘne vert

Les forĂȘts dominĂ©es par le ChĂȘne vert, appelĂ©es yeuseraies, s’étendent sur prĂšs de 530 000 ha de la rĂ©gion mĂ©diterranĂ©enne française depuis les PyrĂ©nĂ©es-Orientales jusqu’aux frontiĂšres italiennes, ainsi qu’en Corse. Si les incendies sont les principales perturbations ayant permis l’expansion des yeuseraies, leur forte rĂ©currence les maintient Ă  l’état de peuplements jeunes et trĂšs inflammables. Pourtant, une fois passĂ© un stade critique d’embroussaillement, le vieillissement de la yeuseraie permet de diminuer fortement cette inflammabilitĂ©. Les chĂȘnes verts des anciens taillis exploitĂ©s et vieillissants ont cependant des difficultĂ©s Ă  se rĂ©gĂ©nĂ©rer naturellement du fait de leur densitĂ© et de l’ñge avancĂ© de leurs souches[4].

Le ChĂȘne tauzin

En France, ce ChĂȘne est prĂ©sent spontanĂ©ment des PyrĂ©nĂ©es, jusqu'en Bretagne, dans le Centre, en Sarthe et en Ile-de-France. Il est parfois plantĂ© et subspontanĂ© dans d'autres rĂ©gions plus au nord et Ă  l'est. Cette espĂšce se maintient assez bien ; elle est cependant vulnĂ©rable en limite de son aire de rĂ©partition. Ce sont surtout les habitats associĂ©s Ă  cette espĂšce qui sont menacĂ©s et non l'espĂšce en elle-mĂȘme[5]. Elle est tout de mĂȘme classĂ©e « en danger » (EN) en Bretagne et dans le Limousin[6].

Notes et références

  1. p.193.
  2. p.192.
  3. p.190.
  4. p.205.
  • Autres
  1. INPN, « Quercus L., 1753 - Taxonomie », sur inpn.mnhn.fr, Muséum National d'Histoire Naturelle (consulté le )
  2. « Ain : Chagne (La), Chanay, Chanay (Le), Chanes, Chaneye, Chanoz, Chasnas, Chassagne (La), ChĂȘne ; Allier : Chassagne (La), Chassaigne, Chassaignes, Chassaing, Chassignol, Chassignole (La), ChĂȘne-du-Loup ; Alpes de Haute-Provence : Chasse ; ArdĂšche : Charnas, Chassagnes ; Ardennes : Charnois, Chesne (Le), Chesnois (Le), ChesnoisAuboncourt ; Aube : Chanet (Le), ChĂȘne (Le), Cassaigne (La), Cassaignes, CassĂ©s (Les), Cassignole (La) ; Aveyron : Cassagnes, Cassagnes-BĂ©gonhĂšs, Cassagnes-Comtaux, Cassagnoles ; Calvados: ChesnĂ©e (La), Quesnay (Le), Torquesne (Le) ; Cantal : Cassan, Cassaniouze, Chanet, Chassagne ; Charente : Chasseneuil-sur-Bonnieure ; Charente Maritime : Chaniers, ChĂȘne (Le), ChĂȘnes (Les), Chepniers ; Cher: ChĂȘne-Fourchu (Le), ChĂȘnes (Les) ; CorrĂšze : Bellechassagne ; CĂŽte d'Or: Chaignay, Chaignot, Chassagne (La), Chassagne-Montrachet ; Creuse : Chassagne(La), Chassaing, Chassaing-Cheval, Chassignol (La), ChĂȘne (Le), ChĂ©niers ; Deux-SĂšvres : Chesnaie (La) ; Dordogne : Cassagne (La), Chassaignes, Chassaing, Chasseignas ; Doubs : Chassagne-Saint-Denis, ChĂȘne (Le) ; Eure : Chennebrun, Chesnay (Le), Chesne (Le), Quesnay (Le) ; Eure-et-Loir : Chassant, ChĂȘne-DorĂ©, Chesnaye (La) ; Gard : Cassagnoles, Cassan ; Gers: Cassaigne ; Gironde : Casseuil ; Haute-Corse : Cassano ; Haute-Garonne : CassagnabĂšre-Tournas, Cassagne, CassagnĂšre (La) ; Haute-Loire: Chassagne, Chassagnes, Chassignolles ; Haute-Marne : Chanoy, Chassagne(La) ; Haute-Savoie : Chainaz, Chanenaz, Chassenaz, ChĂȘne-en-Semine ; Haute-Vienne: Chassagnas, Chassagna, Chasseneuil (Le) ; Hautes-Alpes : Chanets (Les), Chassagne, Chassaignes ; Hautes-PyrĂ©nĂ©es : Lacassagne ; HĂ©rault : Cassagnoles ; Ille-et-Vilaine : Beauchesne, ChasnĂ© ; Indre : Chasseigne, Chasseneuil, Chassignolle, ChĂȘneÉclat, ChĂ©nier ; Indre-et-Loire : ChĂȘne(Le), ChĂȘne-Pendu, Chesnaie(La) ; IsĂšre : Chanas, Chanay, Chasse, Chasse-sur-RhĂŽne, ChĂȘne (Le), Sassenage ; Jura : ChainĂ©e, Chanay, Chassagne (La), ChĂȘne-Bernard, ChĂȘne-Sec ; Landes : Cassen ; Loir-et-Cher: BeauchĂȘne, Chesnay (Le) ; Loire : Chassagnole, Chassenet, Chassignol, ChĂȘne(Le) ; Loire-Atlantique: ChĂȘne (Le) ; Loiret :Chanoy, ChĂȘne Rond, Chesnoy (Le) ; Lot : Cassagnes ; Lot-et-Garonne : Casseneuil, Cassignas– LozĂšre : Cassagnas, Cassagnas-Barre ; Maine-et-Loire : Chenaie (La), Chesnaie (La) ; Manche : Quesnay (Le) : Marne : ChĂȘne-la-Reine, ChĂ©niers ; Mayenne : ChĂȘne-Doux, ChĂȘnerie (La) ; Meurthe-et-Moselle : CheniĂšres ; Morbihan : Cassan ; Moselle : Chenois, Chesny ; NiĂšvre : Chassagne, Chasseigne, ChĂȘne ; Nord :ChĂȘneau-Loup, Quesno, Quesnoy(Le) ; Oise : Chesne (Le), Esquennoy, Quesnel (Le) ; Orne : BeauchĂȘne, Chenaie (La), ChĂȘnedouit, ChĂȘnesec ; Pas-de-Calais : Quesnoy, Quesnoy (Le), Tortequesne ; Puy-de-DĂŽme: Chassagne, Chassaignolles, Chassaing (Le),Chassenet, Chassignole, Chassignoles (Les) ; PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques : Cassaber, Cassaet ; PyrĂ©nĂ©es-Orientales : Cassagnes ; RhĂŽne : Lachassagne ; SaĂŽne-et-Loire : ChĂąnes, ChĂȘnerie (La) ; Sarthe : ChesniĂšre (La) ; Savoie : Chagne (La), Chanay, Chanay (Le), Chanaz, Chane, Chasnaz ; Seine-et-Marne : Chanoy (Le), Charnois (Le), Charnoy(Le), Chasne (Le), Chenois, LiĂ©chĂȘne; Somme : Beauquesne, Equennes, Quesne(Le), Quesnel (Le), Quesnot (Le), Quesnoy (Le), Quesnoy ; Tarn-et-Garonne : Belcasse ; Territoire de Belfort : EschĂȘne ; Vaucluse : Cassanets (Les), ChĂȘne (Le) ; VendĂ©e : Chasnais ; Vienne : Chasseignes, Chasseneuil-du-Poitou, ChĂȘne ; Vosges : ChĂȘnes (Les), ChĂ©nois (Le) ; Yonne : Chassignelles, Chassignole, ChĂȘne-Arnoult ; Yvelines : Chesnay (Le), LongchĂȘne ». Henriette Walter, L'aventure des mots français venus d'ailleurs, Robert Laffont, (lire en ligne), p. 44.
  3. Roger Brunet, Trésor du terroir. Les noms de lieux de la France, CNRS éditions, , p. 88.
  4. UICN France, « Chapitre ForĂȘts mĂ©diterranĂ©ennes de France mĂ©tropolitaine », dans La Liste Rouge des ÉcosystĂšmes en France, Paris, (lire en ligne)
  5. A. LOMBARD et J. CORDIER, « Quercus pyrenaica Willd., 1805 », sur Conservatoire botanique national du Bassin parisien, Muséum national d'Histoire naturelle [Ed]. 2006, (consulté le )
  6. (fr) Référence INPN : Quercus pyrenaica Willd., 1805 (TAXREF) (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.