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Blaise (Haute-Marne)

Blaise est une commune dĂ©lĂ©guĂ©e de Colombey-les-Deux-Églises et une ancienne commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Haute-Marne en rĂ©gion Grand Est.

Blaise
Blaise (Haute-Marne)
Mairie déléguée
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Haute-Marne
Arrondissement Chaumont
Commune Colombey-les-Deux-Églises
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Chaumont, du Bassin Nogentais et du Bassin de Bologne Vignory Froncles
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Raymond Herbelot
2020-2026
Code postal 52330
Code commune 52052
DĂ©mographie
Population 73 hab. (2020 en diminution de 10,98 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 4,4 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 16â€Č 52″ nord, 4° 58â€Č 13″ est
Altitude Min. 240 m
Max. 375 m
Superficie 16,69 km2
Élections
DĂ©partementales ChĂąteauvillain
Historique
Fusion
Commune(s) d'intĂ©gration Colombey-les-Deux-Églises
Localisation
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Blaise
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Blaise
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Blaise
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Blaise

    GĂ©ographie

    Localisation

    Blaise, commune dĂ©lĂ©guĂ©e de Colombey-les-Deux-Églises, est situĂ©e dans le dĂ©partement de la Haute-Marne en rĂ©gion Grand-Est.

    À vol d'oiseau, elle se situe Ă  8,83 km de Colombey-les-Deux-Églises, chef-lieu de la commune[Note 1]. Elle est distante de 22,57 km de Chaumont, prĂ©fecture du dĂ©partement[Note 2]. Elle se trouve Ă  203,06 km de Paris[Note 3].

    Blaise est situĂ©e sur la RD 2 reliant Colombey-les-Deux-Églises (10,3 km au sud-ouest) Ă  Doulevant-le-ChĂąteau (12,4 km au nord) et se trouve au nord-est du territoire communal de Colombey-les-Deux-Églises.

    Avant sa fusion avec Colombey-les-Deux-Églises, Blaise Ă©tait limitrophe de cinq communes : Champcourt, Curmont, Daillancourt, Guindrecourt-sur-Blaise, Juzennecourt, Lachapelle-en-Blaisy, Lamothe-en-Blaisy et MarbĂ©ville.

    Parmi ces communes, Champcourt et Lamothe-en-Blaisy sont devenues des communes dĂ©lĂ©guĂ©es Ă©galement de Colombey-les-Deux-Églises.

    Panorama du village.

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune Ă©tait de 1 669 hectares[1]. Son altitude varie d'environ 248 mĂštres Ă  373 mĂštres. L'altitude moyenne se situe entre 250 mĂštres et 255 mĂštres au niveau de la localitĂ©[2].

    Le sous-sol géologique de la commune déléguée date du jurassique, avec la présence d'un sol d'argiles, de calcaire et de marne[3].

    Le risque sismique est considéré comme trÚs faible soit en zone 1 selon la carte du zonage définie par le gouvernement[4]

    La localité se trouve dans la vallée de la Blaise[5].

    Hydrographie

    Blaise est traversĂ© par la Blaise au nord-est de la localitĂ© mais la riviĂšre ne passe pas dans le village[6]. Long de 85,5 km, le cours d'eau prend sa source Ă  Gillancourt dans la Haute-Marne et conflue avec la Marne Ă  Arrigny dans la Marne. La commune dĂ©lĂ©guĂ©e se situe sur le bassin versant de la Seine.

    Pour faire face au risque d'inondation, un atlas des zones inondables a été adopté en 2009 pour la Blaise, adopté par le préfet du département[7] - [8] - [9] - [10].

    Climat

    La station climatique la plus proche est celle de Saint-Dizier[11], situĂ© sur la base aĂ©rienne 113 Ă  39,3 km Ă  vol d'oiseau au nord est de Blaise. Une autre station climatique se situe Ă  BlĂ©court Ă  13,5 km de la commune dĂ©lĂ©guĂ©e, mais les donnĂ©es ne sont pas publiques[12].

    Relevé Saint-Dizier - Robinson 1961-1990
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    TempĂ©rature minimale moyenne (°C) −0,3 0,2 1,9 4,3 8,1 11,2 12,9 12,7 10,2 7,1 2,8 0,4 6
    Température moyenne (°C) 2,5 3,8 6,4 9,5 13,5 16,7 18,7 18,3 15,5 11,5 6,2 3,3 10,5
    Température maximale moyenne (°C) 5,3 7,4 10,8 14,7 18,8 22,1 24,5 23,9 20,8 16 9,6 6,2 15
    Ensoleillement (h) 51,1 83,7 120,9 165,1 206,7 219,4 246,3 217 170,7 122,6 67,6 54 1 725,1
    Précipitations (mm) 74,7 61,1 65,4 55,2 75,8 72,8 66,5 70,1 64,2 68,1 72,4 80 826,3
    Source : Infoclimat : Saint-Dizier - Robinson (1961-1990)[13]

    Voies de communication

    Blaise se situe sur deux axes secondaires. La localitĂ© se trouve sur la route dĂ©partementale 2, axe principal, reliant Colombey-les-Deux-Églises (10,3 km) Ă  Doulevant-le-ChĂąteau (12,4 km) et sur la route dĂ©partementale 233, partant de la commune dĂ©lĂ©guĂ©e pour rejoindre la route dĂ©partementale 203 Ă  Buchey, qui se trouve Ă  7,5 km la commune.

    La route dĂ©partementale 2 permet de rejoindre la route dĂ©partementale 619 Ă  Colombey-les-Deux-Églises, pour aller Ă  Chaumont, prĂ©fecture du dĂ©partement. L'autoroute la plus proche de Blaise est l'A5 par la sortie 23 (Ville-sous-la-FertĂ©).

    Transports

    La commune déléguée ne dispose pas d'autres moyens de transport comme le ferroviaire et le transport en commun.

    La gare ferroviaire, la plus proche, est celle de Bologne Ă  22,2 km par la route, situĂ©e sur la ligne de Blesme - HaussignĂ©mont Ă  Chaumont et elle est desservie par la ligne 6 (Reims ↔ ChĂąlons-en-Champagne ↔ Saint-Dizier ↔ Chaumont ↔ Dijon) du TER Champagne-Ardenne. Une autre gare, celle de Bar-sur-Aube, qui se trouve Ă  26,3 km de la commune dĂ©lĂ©guĂ©e par la route, est desservie par la ligne 3 (Paris-Est ↔ Troyes ↔ Chaumont ↔ Langres ↔ Vesoul ↔ Belfort) du TER Champagne-Ardenne.

    Urbanisme

    La forme urbaine de la commune déléguée ressemble à celle d'un village-rue étirée le long de la route départementale 2 et de la route départementale 233, mais son habitat est surtout groupée autour de l'église du village[14] - [15].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les noms de Blesia en 1210, de Blesa en 1368, de Bloyse en 1398, de Bloise en 1447, de Blayse en 1490, de Blaise en 1563, de Blaize en 1690, de Blaize-le-Chatel en 1703, de Blaise-le-Chatel en 1763 et de Blaize sur la carte de Cassini[16].

    La commune dĂ©lĂ©guĂ©e tire son nom de la riviĂšre Ă©ponyme qui a d'ailleurs donnĂ©e son nom Ă  la vallĂ©e et Ă  la rĂ©gion. Pour le toponymiste Ernest NĂšgre, le nom de la localitĂ© vient de bletia qui signifie « cours (d'eau) du loup Â». L'origine de ce nom vient probablement du mot celtique blet, signifiant loup dans cette langue. Le mot est composĂ© avec un suffixe en latin, -ia qui sert Ă  dĂ©signer un cours d'eau[17].

    Histoire

    La localité est mentionnée, pour la premiÚre fois, dans des documents du XIIIe siÚcle. Blaise forme une seigneurie, appartenant au XIIIe siÚcle, au seigneur de Vignory[18] - [19]. Ces derniers bùtissent un chùteau à Blaise[18].

    La seigneurie appartient ensuite à la famille d'Aulnoy puis elle passe à la famille de Baudricourt avec Robert de Baudricourt[18]. Son fils, Jean de Baudricourt reçoit François de Paule dans son chùteau en 1496[19]. Celui-ci a d'ailleurs été chargé par le roi Louis XI de chercher l'ermite en Italie pour l'amener en France à sa cour. AprÚs cette rencontre, il décide de fonder à Bracancourt, un lieu-dit de la commune déléguée, un couvent pour l'ordre des Minimes par une donation du à Chaumont et accorde une rente au convent[20].

    Ce couvent est détruit en 1563, lors de la PremiÚre guerre de Religion. Les moines, réfugiés à Reims, décident de rebùtir le lieu en 1580 pour revenir[20]. Le couvent est pillé en 1636 puis brûlé par un incendie en 1706[20]. AprÚs l'incendie, le monastÚre est reconstruit et il reste la propriété de l'ordre jusqu'à la Révolution française[20].

    Avant la Révolution française, Blaise ressort de la généralité de Chùlons, de l'élection de Joinville et de la prévÎté de Chaumont[18]. Elle appartenait également au bailliage de Chaumont. Au niveau ecclésiastique, la paroisse fait partie du diocÚse de Langres[18].

    Lors de la Révolution française, la paroisse de Blaise est transformée en une commune indépendante à la suite du décret du et de la loi du . Blaise est intégrée au département de la Haute-Marne, au district de Chaumont[21]. Elle devient le chef-lieu de canton, comportant 17 communes[21] - [22]. En 1801, la commune perd son statut de chef-lieu de canton. Elle est rattachée au canton de Vignory et à l'arrondissement de Chaumont[21].

    Avec la mise en place du code officiel géographique en 1943, Blaise a porté le code commune 52052[23].

    Par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du , la commune est rattachĂ©e le Ă  Colombey-les-Deux-Églises sous la forme d'une fusion-association, oĂč elle devient une commune associĂ©e Ă  Colombey-les-Deux-Églises. En 1976, la commune associĂ©e est officiellement transfĂ©rĂ©e dans le canton de Juzennecourt, dont Colombey-les-Deux-Églises faisait partie.

    Par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du , la crĂ©ation de la commune nouvelle de Colombey-les-Deux-Églises, pour le , entraĂźne la transformation du statut de Blaise en commune dĂ©lĂ©guĂ©e au sein de la nouvelle commune[24].

    Administration

    Administration municipale

    Depuis le , Blaise ne dispose plus d'un conseil municipal et d'un maire, gĂ©rant les affaires municipales. Les dĂ©cisions sont prises en conseil municipal de Colombey-les-Deux-Églises. Avec la fusion-association, elle garde cependant une section Ă©lectorale, une section du CCAS, une commission consultative, une mairie annexe et un maire dĂ©lĂ©guĂ©, ayant autoritĂ© sur le territoire de la commune associĂ©e. Elle peut Ă©galement avoir un conseil consultatif.

    La transformation du statut de commune associée en commune déléguée au entraßne la fin de la commission consultative, du sectionnement électoral et du CCAS, mais Harricourt conserve sa mairie annexe et un maire délégué avec la possibilité de l'institution d'un conseil de la commune déléguée par la commune nouvelle.

    Les habitants de Blaise disposent Ă©galement d'une liste Ă©lectorale propre et d'un bureau de vote dans la mairie annexe, pour les Ă©lections[25].

    Liste des maires

    La liste ci-dessous recense le nom des maires avant la fin de son autonomie au :

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1794 ? Jacques Cornette
    ? 1804 Claude Sertat
    1804 1810 Nicolas Delignon
    1810 1818 Gabriel Gillet
    1818 1831 Joseph Vautrin
    1831 1832 Claude Rouyer
    1832 1834 Joseph Voillemont
    1834 1852 Jean Baptiste Lemoine
    1852 1859 Jean Pierre Bertrand
    1859 1865 Joseph Rouyer
    1865 1869 Anatole Clerc
    1869 1876 Ernest Huguenin
    1876 1893 Claude Dupuis
    1893 1896 Jules LiĂšge
    1896 1907 Jules Royer
    1907 ? Henri Chaudron
    Les données manquantes sont à compléter.

    Liste des maires délégués

    La liste ci-dessous indique le nom des maires délégués depuis le jusqu'à aujourd'hui :

    Liste des maires délégués successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    En cours
    (au 26 juillet 2020)
    Raymond Herbelot Ouvrier
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    Avant la mise en place des recensements individuels, les registres paroissiaux de Blaise, connus Ă  partir de 1667[26], indiquent une population de 112 feux en 1709[27], soit environ 560 habitants[Note 4]. Le nombre de feux passe Ă  86 feux, soit 430 habitants en 1720[28]. Ce chiffre reste stable en 1753[29] et en 1764[30]

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune entre 1793 et 1973, dans la commune associĂ©e de 1973 Ă  2016 et dans la commune dĂ©lĂ©guĂ©e depuis 2017. À partir de 2006, les populations lĂ©gales des communes sont publiĂ©es annuellement par l'Insee. Le recensement repose dĂ©sormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une pĂ©riode de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune dĂ©lĂ©guĂ©e, le premier recensement exhaustif, liĂ© Ă  celui de Colombey-les-Deux-Églises, entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[32].

    En 2016, la commune dĂ©lĂ©guĂ©e comptait 82 habitants[Note 5], en diminution de 7,87 % par rapport Ă  2011 (Haute-Marne : −2,35 %, France hors Mayotte : +2,44 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    306326278328370394368368377
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    337335315296290289262249200
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    192210184159151128122150111
    1962 1968 1982 2006 2011 2016 2020 - -
    1081109887898273--
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Étant commune dĂ©lĂ©guĂ©e de Colombey-les-Deux-Églises, Champcourt est rattachĂ©e Ă  l'acadĂ©mie de Reims. Cette acadĂ©mie fait partie de la Zone B pour son calendrier de vacances scolaires.

    Aucun Ă©tablissement d'enseignement n'est prĂ©sent sur la commune dĂ©lĂ©guĂ©e, mais le groupe scolaire Yvonne de Gaulle Ă  Colombey-les-Deux-Églises, regroupent les Ă©lĂšves de maternelle et de cours Ă©lĂ©mentaire de l'ensemble de la commune. Il compte 153 Ă©lĂšves en 2017[34].

    Pour le secondaire, les collégiens se rendent au collÚge du chef-lieu de commune[35]. Les lycées publics d'enseignement général et d'enseignement technique se trouvent à Chaumont[36]. Un lycée privée d'enseignement général et d'enseignement technique est également présent à Chaumont[37].

    Pour l'enseignement supérieur, des établissements se trouvent, dans l'académie de Reims, à Chaumont, à Troyes, à Chalons-en-Champagne et à Reims. Les étudiants peuvent aussi aller vers des établissements situés à Dijon dans l'académie homonyme.

    Santé et service d'urgence

    Au 1er janvier 2017, aucun mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste n'exerce sur Blaise, mais un praticien exerce Ă  Colombey-les-Deux-Églises, chef-lieu de la commune. Il en est de mĂȘme pour l'officine pharmaceutique. Pour des mĂ©decins spĂ©cialisĂ©s et des dentistes, il faut se rendre Ă  Chaumont, ou Ă  Bar-sur-Aube. Dans le domaine paramĂ©dicale, des infirmiĂšres se trouvent, l'un Ă  Harricourt et l'autre Ă  Colombey-les-Deux-Églises.

    Pour les hospitalisation, les urgences et la chirurgie, le centre hospitalier le plus proche est celui de Chaumont, mais les habitants peuvent se rendre Ă  celui de Bar-sur-Aube. Les deux EHPAD les plus proches se situent l'un Ă  Maranville et l'autre Ă  Bayel.

    Pour la sĂ©curitĂ© en matiĂšre d'incendie et de sauvetage, les pompiers du centre de secours de Colombey-les-Deux-Églises, rattachĂ© au SDIS de la Haute-Marne, sont compĂ©tent[38].

    Médias et télécommunication

    Le quotidien local Le Journal de la Haute-Marne et le journal hebdomadaire Voix de la Haute-Marne diffuse leur journal sur la région de Chaumont et le département de la Haute-Marne.

    Parmi les chaines de télévision de télévision numérique terrestre (TNT) accessibles à tous les habitants de Champcourt, depuis l'émetteur de Troyes-Les Riceys situé aux Riceys, France 3 Champagne-Ardenne relaient les informations locales. Parmi les nombreuses stations de radio disponibles, on peut citer France Bleu Champagne-Ardenne.

    En 2017, l'internet haut débit via la technique ADSL 2+ est possible pour tous les abonnés à un réseau de téléphonie fixe depuis le NRA installée sur la commune déléguée[39].

    Cultes

    Le territoire de la commune dĂ©pend de la paroisse Saint Bernard, au sein du diocĂšse de Langres, au mĂȘme titre que les trente-une autres paroisses[40]. En 2017, l'Ă©glise Saint-Michel est l'un des lieux de culte de cette paroisse[41]. Monseigneur Joseph de Metz-Noblat est Ă  la tĂȘte du diocĂšse de Langres depuis 2014[42].

    Concernant d'autres religions, les lieux de cultes les plus proches sont le temple de Chaumont pour les protestants, la synagogue de Troyes pour les juifs et la mosquée de Joinville pour les musulmans.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L’église Saint-Michel

    Galerie

    • EntrĂ©e du village.
      Entrée du village.
    • L'Ă©glise.
      L'Ă©glise.
    • Les halles.
      Les halles.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Le pigeonnier.
      Le pigeonnier.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article : document utilisĂ© comme source pour la rĂ©daction de cet article.

    AbbĂ© Roussel, Le diocĂšse de Langres : Histoire et statistique, t. II, Langres, Jules Dallet, , 625 p. (lire en ligne), p. 151-152 : Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article

    Articles connexes

    Références

    Notes

    1. L’orthodromie considĂ©rĂ©e, sĂ©parant Blaise de Colombey-les-Deux-Églises, est issue d'un calcul et indiquĂ©e par « Orthodromie entre Blaise et Colombey-les-Deux-Églises », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    2. L'orthodromie considérée, séparant Blaise de Chaumont, est issue d'un calcul et indiquée par « Orthodromie entre Blaise et Chaumont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    3. L’orthodromie considĂ©rĂ©e, sĂ©parant Blaise de Paris, est issue d'un calcul et indiquĂ©e par « Orthodromie entre Blaise et Paris », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    4. Sous l'Ancien RĂ©gime, le feu dĂ©signe un foyer pour dĂ©nombrer la population et servir Ă  la fiscalitĂ©. Pour estimer, le nombre d'habitants, certains appliquent le coefficient multiplicateur de 5, mĂȘme si cela n'est pas une rĂšgle, mais un indicateur moyen. Ici, le coefficient utilisĂ© est de 5.
    5. Population municipale légale en vigueur au , millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au , date de référence statistique : .

    Références

    1. MinistÚre de l'Intérieur, « La situation financiÚre des communes de France et d'Algérie en 1912 », (consulté le ), p. 427.
    2. « Site de géodésie de l'IGN », sur http://geodesie.ign.fr/ (consulté le ).
    3. Direction départementale des Territoires de la Haute-Marne, « Référentiel des paysages de la Haute-Marne » [PDF], sur http://www.haute-marne.gouv.fr/, (consulté le ), p. 24-28.
    4. BRGM, « Zonage sismique sur planseisme.fr » (consulté le ).
    5. Direction départementale des Territoires de la Haute-Marne, « Référentiel des paysages de la Haute-Marne » [PDF], sur http://www.haute-marne.gouv.fr/, (consulté le ), p. 70-79.
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fiche cours d'eau - La Blaise (F53-0400) (F53-0400) » (consulté le )
    7. « Bouquet prĂ©vention risques majeurs sur prim.net de Colombey-les-Deux-Églises », sur www.prim.net (consultĂ© le ).
    8. « Atlas des zones inondables de la Blaise entre sa source et Arnancourt - Carte d'aléa n°5/10 » [PDF], sur http://www.haute-marne.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Atlas des zones inondables de la Blaise entre sa source et Arnancourt - Carte d'aléa n°6/10 » [PDF], sur http://www.haute-marne.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Atlas des zones inondables de la Blaise entre sa source et Arnancourt - Carte d'aléa n°7/10 » [PDF], sur http://www.haute-marne.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Fiche d'information de la station climatique de Saint-Dizier Robinson », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Fiche d'information de la station climatique de Blécourt », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Relevé Saint-Dizier - Robinson 1961-1990 », sur www.infoclimat.fr (consulté le ).
    14. « Site officiel du cadastre », sur http://cadastre.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. Direction départementale des Territoires de la Haute-Marne, « 7 fiches de missions - Référentiel des paysages de la Haute-Marne » [PDF], sur http://www.haute-marne.gouv.fr/, (consulté le ), p. 304.
    16. Alphonse Roserot, Dictionnaire topographique du département de la Haute-Marne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes : Histoire et statistique, Paris, Imprimerie nationale, , 289 p. (lire en ligne), p. 17
    17. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Librairie Droz, GenÚve, , 704 p. (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne), p. 106
    18. Abbé Roussel, Le diocÚse de Langres : Histoire et statistique, t. II, Langres, Jules Dallet, , 625 p. (lire en ligne), p. 194-195
    19. Émile Jolibois, La Haute-Marne ancienne et moderne : dictionnaire gĂ©ographique, statistique, historique et biographique, Chaumont, Imprimerie et lithographie Ve Miot-Dadant, , 566 p. (lire en ligne), p. 62
    20. Émile Jolibois, La Haute-Marne ancienne et moderne : dictionnaire gĂ©ographique, statistique, historique et biographique, Chaumont, Imprimerie et lithographie Ve Miot-Dadant, , 566 p. (lire en ligne), p. 86
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    22. Société d'histoire, d'archéologie et des beaux-arts, Annales de la Société d'histoire, d'archéologie et des beaux-arts de Chaumont : dictionnaire géographique, statistique, historique et biographique, Chaumont, Cavaniol, , 362 p. (lire en ligne), p. 210
    23. « Fiche communale », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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