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Bataille de Gembloux (1940)

On désigne sous le vocable bataille de Gembloux les combats qui se sont déroulés, du 13 au le long de la ligne KW-Namur appelée position Dyle entre le 4e corps de l'armée française commandée par le général Blanchard et le 16e corps d'armée Allemand du général Hoepner, lors de la campagne de France pendant la Seconde Guerre mondiale.

Bataille de Gembloux
Description de cette image, également commentée ci-après
Un Panzer IV. Les chars allemands subirent des pertes importantes le lors de la bataille.
Informations générales
Date du 14 au
Lieu Gembloux, Belgique
Issue Victoire française
Belligérants
Drapeau de la France FranceDrapeau de l'Allemagne nazie Reich allemand
Forces en présence
3 divisions motorisées
3 divisions d'infanterie
2 Panzerdivisions
3 divisions d'infanterie
Pertes
2 000 tués, blessés ou disparus304 tués
413 blessés
29 disparus (pertes de la 4e Panzer le 15 mai)
plusieurs chars mis hors de combat

Seconde Guerre mondiale,
Bataille de France

Batailles

Bataille de France et campagne des 18 jours
Pour le front néerlandais, voir Bataille des Pays-Bas.



Percées de la Meuse et rupture du front belge :


Tentatives de contre-attaques alliées :


DĂ©fense des ports de la Manche et rembarquement britannique Ă  Dunkerque :


Effondrement de la Ligne Weygand, avancée allemande sur la Seine et évacuation des troupes alliées :


Front italien et percée allemande dans le Sud :
CoordonnĂ©es 50° 36′ 00″ nord, 4° 39′ 58″ est

Cette première bataille de chars de l'histoire mondiale, qui marque l'arrêt au Blitzkrieg depuis le , est une éphémère victoire tactique alliée qui permet de retarder la progression allemande. Elle se termine toutefois par une retraite française, mais à ce moment, les Allemands ne remportent pas encore la victoire stratégique décisive qu'ils recherchent depuis la percée de Sedan.

Contexte historique

Le , le Troisième Reich envahit le Luxembourg, les Pays-Bas et la Belgique dans le cadre du plan jaune (Fall Gelb), le fort d'Ében-Émael tombe ainsi que le canal Albert.
Le corps expéditionnaire français doit alors accentuer sa vitesse de déplacement vers le front qui lui est imparti.
Le 12 mai, le haut commandement belge accepte de « conformer la conduite des opérations de l'armée belge aux instructions que lui ferait parvenir le généralissime des forces alliées. »

Toutes les troupes alliées s'installent alors sur une seconde ligne de résistance pour tenter de stopper les Allemands en Belgique selon le Plan Dyle-Breda du général en chef Gamelin qui prévoyait la réunion des forces alliées au centre de la Belgique en vue d'une bataille décisive[1] :

Pour dĂ©fendre la ligne Wavre-Ernage-Gembloux-Namur, d'une longueur d'environ 30 km la 1re ArmĂ©e française du gĂ©nĂ©ral Blanchard, dispose de 6 divisions d'infanterie dont 3 motorisĂ©e.
De Wavre à Chastre se trouve positionné le 3e corps d'armée commandé par le général de La Laurencie qui comporte la 1re division d'infanterie motorisée du général Camas et la 2e division d'infanterie nord-africaine du général Dame.
Au centre se trouve le 4e corps d'armée qui occupe la position de Ernage à Beuzet et a qui il incombe la mission la plus difficile : « barrer à tout prix sans esprit de recul la direction de Gembloux, afin d'interdire aux allemands une avance vers Charleroi et la vallée de la Sambre et donc vers la frontière française du Nord. »
Le 4e corps d'armée est bordé en direction de Namur par le 5e corps d'armée commandé par le général Altmayer composé de la 12e division d'infanterie motorisée du général Janssen et la 5e division d'infanterie nord-africaine du général Vieillard.
Le front imparti au 4e corps d'armée se présente sous la forme d'une plaine agricole avec quelques bosquets de bois touffus. Pour arrêter l'élan des panzers, la voie ferrée Bruxelles-Wavre-Gembloux-Namur constitue le seul obstacle naturel derrière lequel la défense peut s'organiser. Le remblai et les ponts de cette voie ferrée constitueront le théâtre de combats acharnés.
La 15e division d'infanterie motorisĂ©e commandĂ©e par le gĂ©nĂ©ral Juin, qui disposait de 2 500 vĂ©hicules environ, occupait le secteur allant de Beuzet Ă  Gembloux et avait pu installer ses positions dĂ©fensives ainsi que des mines antichars.
Par contre la 1re division marocaine qui occupait le secteur de Gembloux à Ernage avait connu des problèmes d'acheminement en raison de l'encombrement des routes par les réfugiés et des bombardements de la Luftwaffe. Le 7e RTM qui avait regagné la Belgique à pied se heurta, près de quatre heures après son arrivée aux troupes allemandes[1].

L'ordre de défendre l'axe Gembloux-Wavre est confiée aux blindés du général Prioux[2] qui sont envoyés en avant-garde dans le but de retarder la progression des Allemands qui menace les alliés dans le centre de la Belgique.
La bataille de Hannut, Ă  environ 35 km au nord-est de Gembloux, reprĂ©sente la seule grande action dĂ©fensive des Français sur le front belge. Elle ne reprĂ©sente qu'une partie du plan Dyle, car celui-ci ne put ĂŞtre appliquĂ©, la rĂ©union de toutes les forces alliĂ©es Ă©tant rendue impossible par la capitulation hollandaise et par la retraite prĂ©cipitĂ©e du corps expĂ©ditionnaire anglais vers l'ouest, laissant l'armĂ©e belge dans la rĂ©gion d'Anvers Ă  Wavre, au nord des Français du gĂ©nĂ©ral Prioux.

Forces en présence

France

Le 3e corps d'armée du général de la Laurencie (1re division d'infanterie motorisée (1re DIM) (général Malivoire-Filhol de Camas) et 2e division d'infanterie nord-africaine (2e DINA) (général Dame) occupe la position située entre Wavre et Chastre.

Allemagne

DĂ©roulement de la bataille

Un canon anti-char 25 mm Hotchkiss. L'artillerie française commença par dominer le champ de bataille.

Le 12 mai, le général Prioux qui avait installé les éléments de son corps de cavalerie, sur une quarantaine de kilomètres, entre Huy, Hannut et Tirlemont est assailli par les panzers et les stukas qui prennent en toute impunité les engins français pour cible, qui se replient progressivement vers Gembloux.

Le 14 mai, la bataille pour le contrĂ´le de Gembloux commence. La 3e Panzerdivision perce dans le secteur de Corbais. Les derniers Ă©lĂ©ments du corps de cavalerie Prioux se replient derrière les positions de la 1re armĂ©e française. Pendant ce temps, Ă  Ernage, les tirailleurs marocains se heurtent aux chars allemands. EmbarrasĂ©s par la prĂ©sence de rĂ©fugiĂ©s qui passent leurs lignes, les tirailleurs ont confondu les chars allemands avec les engins du corps de cavalerie, qui, dans leur repli, sont suivi de près par les premiers panzers. Revenu de leur mĂ©prise les Franco-Marocains dĂ©truisent 9 blindĂ©s sur 35 que comptait la colonne qui bat en retraite. Toute la journĂ©e les Français sous le commandement du gĂ©nĂ©ral RenĂ© Prioux parviennent Ă  repousser les allemands qui attaquent avec leurs chars et de l'infanterie, ceci notamment grâce Ă  l'emploi de canons anti-char Hotchkiss de 25 mm et de blindĂ©s Renault R35. L'infanterie de la 4e Panzerdivision parvient cependant Ă  progresser, ne rencontrant pas de vĂ©ritable rĂ©sistance dans le secteur de Walhain et Ernage.
L'Armée de l'Air, qui ne dispose dans la région que de 26 chasseurs et d'un escadron d'avions de reconnaissance, ne peut contenir l'offensive aérienne allemande et ses avions sont abattus par les chasseurs ennemis en supériorité numérique écrasante et par la Flak qui accompagne systématiquement toute offensive allemande jusqu'en première ligne. Malgré cette insuffisance grave de protection aérienne française, la 1re division marocaine s'illustre cependant en stoppant pendant une journée la 3e Panzerdivision allemande à Perbais et à Cortil-Noirmont (des batteries d'artillerie françaises stationnées non loin du Bois Quinaud tiraient sans discontinuer sur le Bois de Buis, à Thorembais-Saint-Trond).
En fin de journée, deux compagnies de tirailleurs appuyées par deux sections de chars, lancent une contre attaque permettant la destruction de deux ponts surplombant la voie ferrée.
Dans la nuit un repli vers Fleurus était prévu en raison de la percée allemande à Dinant, que la 9e armée n'avait pas réussie à contenir[1].

Le dès 5 heures du matin, les dĂ©fenses françaises faiblissent en raison du pilonnage incessant des canons de 88 mm et des Stukas allemands qui reprennent, sur Ernage en particulier. A 6h30, l'infanterie motorisĂ©e passe Ă  l'attaque et dĂ©borde le village ou une compagnie française encerclĂ©e continue le combat jusque 18 heures. Les chars de la 3e Panzerdivision Ă©largissent l'assaut jusqu'Ă  Perbais-Chastre oĂą ils pĂ©nètrent le dispositif dĂ©fensif du 110e RI appartenant Ă  la 1re DIM faisant sauter la liaison avec le 3e corps d'armĂ©e. En fin de matinĂ©e, les fusiliers et chars allemands se ruent Ă  l'assaut de la division marocaine retranchĂ©e entre Ernage et Gembloux. Le 3e RTM appuyĂ© par des chars du 35e BCC lancent une contre attaque obligeant les assaillants Ă  se replier[1].

Toutefois, la percée de la 7e Panzerdivision commandée par Erwin Rommel, dans la région de Philippeville et l'effondrement de la 9e armée française obligèrent la 1re armée française à se replier pour éviter l'encerclement. Ce repli, sous les attaques du VIII. Fliegerkorps de la Luftwaffe, était accompli de nuit sur des lignes âprement défendues qui conduira les troupes françaises à Lille et à Dunkerque.

Les pertes allemandes sont d'environ 300 tués et 413 blessés et 300 engins blindés sur 750 engagés sont mis hors de combat grâce à l'artillerie française qui joua un rôle crucial pendant la bataille, ainsi qu'une dizaine d'avions mis hors de combat.

Les pertes françaises s’élèvent à plusieurs centaines de blessés ou disparus et la perte de 200 engins blindés[1].

Conséquences

Un vol de Stukas de la Luftwaffe. La supériorité aérienne allemande contribua à la retraite des forces françaises.
Chars allemands en Belgique.

La retraite générale des Alliés résulte de l'absence de défense cohérente entre les Alliés sur le secteur central du front belge, ce qui a permis à la Wehrmacht de contrôler le centre de la Belgique. La bataille de Gembloux est la plus grande action française de blindés de la campagne de 1940 ; mais ce n'est qu'une victoire tactique, sans l'effet escompté qui était de stopper l'ensemble de l'avance allemande et ce par manque de coordination des forces alliées sur le reste des fronts. Elle s'inscrit dans le cadre plus général des batailles de Hannut et de Flavion menées contre les blindés allemands.

Pour la Wehrmacht, ces batailles permirent de distraire le gros des forces françaises de ce qui aurait dû être leur point de résistance principal, plus au sud, face à la percée décisive près de Sedan. Ainsi, les Allemands purent mener à bien l'objectif du plan jaune de débordement des alliés, au sud du territoire belge, leur permettant de foncer vers la Manche, ce qui allait aboutir à l'isolement des armées alliées de Belgique par rapport au reste des forces françaises. Toutefois, la résistance de la 1re Armée française, puis la résistance belge sur la Dendre parviendront à contrecarrer le plan complémentaire allemand qui était de percer les troupes alliées de Belgique avant qu'elles puissent retraiter vers leurs bases de la côte nord dans la région de l'Yser. Cela permettra le rembarquement du Corps expéditionnaire britannique (BEF) et d'une partie des éléments français et belges à Dunkerque, alors que ces forces étaient irrémédiablement coupées des forces françaises au sud par la réussite du plan jaune allemand lancé à partir de Sedan.

Conclusion

Les solides défenses françaises contre le IVe Corps du général von Schwedler avaient donc retardé les Allemands, mais sans pouvoir appliquer le plan Dyle qui prévoyait de livrer la bataille décisive qui aurait dû stopper l'invasion allemande. Car la percée de Sedan, au sud des armées alliées française, belge et anglaise, ainsi que la capitulation hollandaise au nord menaçait celles-ci d'encerclement, les obligeant à un recul général sur tous les fronts, ce qui allait se terminer par une victoire de l'Allemagne durant cette campagne. L'insuffisance de la coordination entre les forces alliées, au tout début des hostilités, dès la percée de Sedan, est généralement considérée comme la cause initiale de la défaite, le commandant en chef des alliés, le généralissime français Gamelin n'ayant pas compris d'emblée que c'est cette percée, et non la poussée allemande en Belgique, qui constituait l'offensive principale de l'ennemi.

Hommages

Inscriptions de bataille

L'inscription de bataille Gembloux 1940 est attribuée aux drapeaux des :

  • 1er rĂ©giment de tirailleurs marocains (1er RTM)
  • 2e rĂ©giment de tirailleurs marocains (2e RTM)
  • 7e rĂ©giment de tirailleurs marocains (7e RTM)
  • 64e rĂ©giment d'artillerie d'Afrique (64e RAA)
  • 4e rĂ©giment d'infanterie (4e RI)
  • 27e rĂ©giment d'infanterie (27e RI)
  • 134e rĂ©giment d'infanterie (134e RI)
  • 1er rĂ©giment d'artillerie divisionnaire (1er RA)
Citations collectives à l'ordre de l'Armée

Après la guerre, les régiments de la 1re Division marocaine obtiendront l'hommage officiel des armées française et belge pour ces faits d'armes (huit citations).

« Régiment Nord-Africain d'élite. A fait preuve des plus belles qualités d'endurance et de combativité dès les premiers engagements de mai 1940, en Belgique, sous l'ardente impulsion de son chef, le Colonel Vendeur. Ayant couvert 130 kilomètres en trois jours, a subi, dès son arrivée sur la position de Cortil-Noirmont, très sommairement organisée, le choc des divisions blindées allemandes. Malgré l'état de fatigue immense des Tirailleurs et l'absence de tout obstacle de valeur barrant la trouée de Gembloux, le 1er Bataillon à Ernage, les 2e et 3e Bataillons à Cortil-Noirmont, ont réussi, le 14, 15 et 16 mai 1940, à arrêter les attaques des forces adverses, leur infligeant des pertes très dures en hommes et matériel. Maintenu en arrière-garde après le repli général ordonné le 15 mai, s'est énergiquement dégagé dans la matinée du 16, du centre de résistance de Cortil-Noirmont, pour porter à Tilly un vigoureux coup d'arrêt à l'ennemi, refoulant son infanterie sur plusieurs kilomètres par une contre-attaque brutale à la baïonnette. »

— Citation à l'ordre de l'armée française décernée au 7e régiment de tirailleurs marocains (7e RTM) après les combats à Gembloux

« Régiment d'élite qui, fidèle à ces traditions légendaires, a donné toute sa mesure de bravoure et d'esprit de sacrifice au cours des opérations de mai 1940 en Belgique. Engagé en hâte dans la bataille de Gembloux avec la 1re Division Marocaine, après avoir couvert 130 kilomètres en trois jours, a, dès son arrivée sur la position, subi le choc des formations blindées allemandes. À Cortil-Noirmont et à Ernage, les 14 et 15 mai, a réussi, au prix de lourds sacrifices, à arrêter les attaques répétées des forces adverses. Maintenu en arrière-garde après le repli général ordonné le 15 mai, le Régiment s'est énergiquement dégagé le 16 mai du centre de résistance de Cortil-Noirmont et a mené à Tilly une brillante contre-attaque à la baïonnette, refoulant l'ennemi de plusieurs kilomètres. »

— Citation à l'ordre de l'armée belge décernée au 7e régiment de tirailleurs marocains (7e RTM) après les combats à Gembloux

Voies portant le nom de la 1re Division marocaine
  • Rue de la Première Division Marocaine Ă  Gembloux

NĂ©cropole de Chastre

Les dépouilles des soldats français et nord africains tombés en mai 1940 lors de la bataille et qui n'ont pu être rapatriées reposent, avec d'autres combattants tués lors d'autres batailles, à la nécropole de Chastre en Belgique. Chaque année au début du mois de mai y ont lieu des cérémonies commémoratives de la Bataille de Gembloux.

RĂ©cits sur la bataille

« [...] Ils ouvrirent sur nous un tir bien ajustĂ© et, malheureusement, très efficace. [...] Nos chars ont tirĂ© rageusement, Ă  la limite de rupture, mais les mitrailleurs ennemis ripostaient toujours ; les gars devaient ĂŞtre drĂ´lement gonflĂ©s. Le feu devint si intense que nous fĂ»mes bloquĂ©s [...] VoilĂ  plus de dix heures que nous sommes sous cette grĂŞle de feu et nous n'avons progressĂ© que de 50 mètres dans les positions ennemies. [...] On avait l'impression d'avoir rĂ©ussi une percĂ©e, mais ce n'Ă©tait en fin de compte qu'une illusion, car les chars, concentrĂ©s sur un petit espace, offraient une cible facile Ă  la dĂ©fense antichar ennemie [...]. La tentative de percĂ©e avait Ă©tĂ© bien repĂ©rĂ©e et maintenant tout le secteur Ă©tait soumis Ă  un feu meurtrier. [...] il Ă©tait impossible Ă  nos chars de passer Ă  cet endroit ! Ils furent donc repliĂ©s, ainsi que nos camarades. [...] au coup de sifflet, la compagnie repart Ă  l'assaut, mais plus d'un reste au sol [...] des chars français, bien camouflĂ©s [...] balayent tout le terrain de leurs salves. [...] C'est alors que nous arrive la nouvelle Ă  la tombĂ©e de la nuit, repli sur toute la ligne d'attaque, vers nos bases. [...] Nous sommes Ă  bout [...] »

— Témoignage du caporal-chef allemand Matthias ayant participé à la bataille de mai 1940 à Gembloux, engagement du 15 mai 1940 face à la 9e compagnie du 3e bataillon du 1er Régiment de Tirailleurs Marocains[6]

Annexes

Articles connexes

Notes et références

  1. L'Épopée N°207
  2. Le Corps de Cavalerie Prioux est composé du 329e régiment d'artillerie, de la 2e division légère mécanique (général Bougrain) et de la 3e division légère mécanique (général Langlois)
  3. Henri Marie Joseph Aymes sur generals.dk
  4. Commandant d’Ornano, La 1re Division marocaine dans la bataille de Gembloux, Revue historique de l'Armée, juin 1952, p. 111-135
  5. Général de brigade Méric de Bellefon
  6. 31 octobre 1941, Journal hebdomadaire de l’armée allemande Militärwochenblatt, sous la signature de l’Obergefreiter (caporal-chef) Matthias de la 3e compagnie du 1er bataillon du 12e Schützenregiment qui accompagnait la 4e Panzerdivision du XVIe Panzerkorps du général Hoepner

Bibliographie

  • (en) Jeffery A. Gunsburg, The Battle of Gembloux, 14–15 May 1940: The "Blitzkrieg" Checked. The Journal of Military History, Vol. 64, no 1 (janvier 2000), p. 97–140
  • Commandant d’Ornano, La 1re Division marocaine dans la bataille de Gembloux, Revue historique des armĂ©es, juin 1952, p. 111-135
  • F. Labarre et R. François, Gloire et sacrifices du 2e RTM; Gembloux mai 1940, 1990, Ă©ditions de l'Orneau
  • (en) Brian Bond, France and Belgium, 1939-1940, Londres, Davis-Poynter, coll. « Politics and strategy of the Second World War », , 206 p. (ISBN 978-0-7067-0168-5)
  • (de) Alex Buchner, Das Handbuch der deutschen Infanterie 1939-1945. Wölfersheim-Berstadt: Podzun-Pallas, 1987 (ISBN 3-89555-041-8)
  • (en) Karl-Heinz Frieser et John T. Greenwood, The Blitzkrieg Legend : the 1940 Campaign in the West, Annopolis, Naval Institute Press, , 507 p. (ISBN 978-1-61251-358-4, lire en ligne)
  • Jean du Moulin de Labarthète, Des Seigneurs pour une guerre - l'Ă©popĂ©e du 1er RĂ©giment de Dragons portĂ©s - 2° DLM (10 mai - 24 juin 1940), PrĂ©face du gĂ©nĂ©ral (CR) Pierre Fayolle, vers 1990-92.

Liens externes

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