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Aspiran

Aspiran [as.pi.ʁɑ̃] est une commune française situĂ©e dans le centre du dĂ©partement de l'HĂ©rault en rĂ©gion Occitanie.

Aspiran
Aspiran
Maison du Viguier (XVe siĂšcle).
Blason de Aspiran
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement LodĂšve
Intercommunalité Communauté de communes du Clermontais
Maire
Mandat
Olivier Bernardi
2020-2026
Code postal 34800
Code commune 34013
DĂ©mographie
Gentilé Aspiranais
Population
municipale
1 670 hab. (2020 en augmentation de 2,9 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 104 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 34â€Č 00″ nord, 3° 27â€Č 00″ est
Altitude 79 m
Min. 17 m
Max. 160 m
Superficie 16,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Clermont-l'HĂ©rault
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Aspiran
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Aspiran

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par l'HĂ©rault, la Dourbie et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Salagou ») et une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Aspiran est une commune rurale qui compte 1 670 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelĂ©s les Aspiranais ou Aspiranaises.

    GĂ©ographie

    Aspiran est un village situé dans la vallée de l'Hérault. Le territoire est traversé par l'autoroute A75.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Hydrographie

    L'HĂ©rault, le Ruisseau de la CarriĂšrasse et le Ruisseau de Candaurade sont les principaux cours d'eau traversant la commune.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 16,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 707 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 6,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 2,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Le Pouget », sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[6] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 680,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de SĂšte, mise en service en 1949 et Ă  27 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă  15,4 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  15,8 °C pour 1991-2020[12].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive oiseaux : 0[14], d'une superficie de 12 794 ha, effectuant la transition entre la plaine languedocienne et les premiers contreforts de la Montagne Noire et du Larzac. Outre l'aigle de Bonelli, trois autres espĂšces d'oiseaux ont Ă©galement Ă©tĂ© prises en compte dans la dĂ©limitation de la ZPS, l'Outarde canepetiĂšre, le Blongios nain et le Busard cendrĂ©[15].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[16] : le « massif de MourĂšze et la plaine agricole et garrigues de PĂ©ret » (8 126 ha), couvrant 13 communes du dĂ©partement[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Aspiran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [18] - [I 1] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (89,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (95 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (78,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (11,4 %), zones urbanisĂ©es (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3,5 %), forĂȘts (2,5 %), prairies (0,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Aspiran est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'HĂ©rault et la Dourbie. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1984, 1990, 1994, 1995, 1996, 1997, 1999, 2003, 2014 et 2019[23] - [21].

    Aspiran est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 8] - [24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aspiran.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 96,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 762 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 762 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[26].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[27].

    La commune est en outre situĂ©e en aval du Barrage du Salagou, un ouvrage de classe A[Note 9] sur le Salagou, mis en service en 1968 et disposant d'une retenue de 102 millions de mĂštres cubes. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[29].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous le nom latin de Aspirianus en 844 dans les archives de la cathédrale Saint-Nazaire de Béziers, sous les formes de Aspiriano en 1146, de Aspirano en 1203, ad Aspira en 1380[30], de Aspirano Caprariensis (1344), pro Aspirano Caprariense (1351), ad Aspira de Cabrayres (1380), Aspiran (1708).

    Domaine gallo-romain : gentilice latin Asperius ou surnom Asper+ suffixe -anum[31].

    L'ancien déterminant de la commune se rapporte à la proximité de CabriÚres. Le chùteau de CabriÚres était à cette époque occupé par une troupe de routiers qui contrÎlaient à leur profit les mouvements dans la vallée de l'Hérault.

    Histoire

    Le nom d'Aspiran serait dérivé du nom d'une ancienne villa gallo-romaine. On trouve des traces d'amphores vinaires qui démontrent que la culture de la vigne était déjà importante à cette époque. Une campagne archéologique programmée mÚne réguliÚrement depuis 2005 des opérations de fouille sur l'atelier de potier gallo-romain de Saint-Bézard à environ deux kilomÚtres du village d'Aspiran. Le site fondé durant la période augustéenne produisait de la céramique sigillée, de la céramique à pùte claire et des amphores. La découverte de nombreux fours met en évidence un atelier de production important, pleinement intégré au commerce antique. Une natatio (piscine des thermes romains) aux dimensions exceptionnelles (la plus grande retrouvée en Gaule) a été dégagée aux abords des chais vinicoles, derriÚre lesquels se situerait la pars-urbana (la partie d'une villa romaine qui était réservée à la résidence du maßtre) du site. L'abbaye d'Aniane devint propriétaire d'Aspiran et le resta jusqu'à la Révolution française.

    Des fouilles conduites en 2017 au lieu-dit L'Estagnola en bordure de l'Hérault permirent de mettre au jour un vaste bùtiment des années 70 aprÚs J-C[32].

    De l'enceinte mĂ©diĂ©vale subsistent deux portes. On trouve encore des maisons construites entre les XIe et XVIIe siĂšcles. On pratique la polyculture (seigle, vigne, olivier) et le travail de la laine. À la fin du XIXe siĂšcle, la crise du phylloxĂ©ra surmontĂ©e, la viticulture devient omniprĂ©sente. On construit une coopĂ©rative viticole. La clairette d'Aspiran obtient l’appellation d'origine contrĂŽlĂ©e en 1948.

    Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société des amis de la constitution » en septembre 1792[33].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2014 Jean-Noël Satger DVG
    mars 2014 En cours
    (au 18 mai 2020)
    Olivier Bernardi[34] - [35] UMP-LR Agriculteur, vice-président de la Communauté de communes du Clermontais et
    prĂ©sident du Syndicat Centre HĂ©rault (SCH) du Pays CƓur d'HĂ©rault[35] - [36]

    DĂ©mographie

    Au dernier recensement, la commune comptait 1 670 habitants.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1281 1901 3181 4501 6141 5401 4521 4511 530
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5461 4361 4891 4341 6421 2901 2141 2411 358
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5161 5321 5251 5211 5671 5681 5741 2021 185
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 1581 1941 0231 0311 0721 1671 2641 5261 641
    2020 - - - - - - - -
    1 670--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Les listes nominatives de recensement de population ont Ă©tĂ© numĂ©risĂ©es et sont consultables en ligne sur le site des Archives dĂ©partementales de l’HĂ©rault[39].

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 672 mĂ©nages fiscaux[Note 10], regroupant 1 580 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 18 690 â‚Ź[I 4] (20 330 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]10,2 %8,9 %13,2 %
    DĂ©partement[I 7]10,1 %11,9 %12 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  949 personnes, parmi lesquelles on compte 75,1 % d'actifs (62 % ayant un emploi et 13,2 % de chĂŽmeurs) et 24,9 % d'inactifs[Note 11] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 468 emplois en 2018, contre 459 en 2013 et 343 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 597, soit un indicateur de concentration d'emploi de 78,3 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 53,6 %[I 10].

    Sur ces 597 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 176 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 85,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 5,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    166 établissements[Note 12] sont implantés à Aspiran au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble166100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    1810,8 %(6,7 %)
    Construction3822,9 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    4627,7 %(28 %)
    Information et communication21,2 %(3,3 %)
    Activités financiÚres et d'assurance10,6 %(3,2 %)
    Activités immobiliÚres31,8 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1911,4 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    2213,3 %(14,2 %)
    Autres activités de services1710,2 %(8,1 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 27,7 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (46 sur les 166 entreprises implantĂ©es Ă  Aspiran), contre 28 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les deux entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[40] :

    • Gwe France, commerce de gros (commerce interentreprises) de fournitures et Ă©quipements divers pour le commerce et les services (2 768 k€)
    • EURL Fabrice Coulon, travaux d'installation d'Ă©quipements thermiques et de climatisation (505 k€)

    Agriculture

    La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande cÎtiÚre du département de l'Hérault[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations1321137963
    SAU[Note 15] (ha)770780600592

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 132 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] Ă  113 en 2000 puis Ă  79 en 2010[43] et enfin Ă  63 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 52 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 67 % de ses exploitations[44] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 770 ha en 1988 Ă  592 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 6 Ă  9 ha[43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Plan de la façade principale du bureau de poste (1900)
    • La Maison du viguier (XVe siĂšcle) construite pour l'abbĂ© d'Aniane.
    • La Porte de l'Est, reste de l'enceinte fortifiĂ©e.
    • L'Église Saint-Julien d'Aspiran, dont le mur nord est de l'Ă©poque romane. Reconstruite au XIVe siĂšcle, elle a Ă©tĂ© ensuite fortifiĂ©e. La Guerre de Cent Ans et les Guerres de religion l'ont endommagĂ©e. L'Ă©difice a Ă©tĂ© inscrit au titre des monuments historiques en 1963[45]. De nombreux objets sont rĂ©fĂ©rencĂ©s dans la base Palissy (voir les notices liĂ©es)[45].
    • La chapelle des pĂ©nitents d'Aspiran. Aux XIVe et XVe siĂšcles, les pĂ©nitents de la confrĂ©rie du Saint-Esprit s'y rĂ©unissaient. Ils ont Ă©tĂ© remplacĂ©s au XVIIe siĂšcle par les PĂ©nitents blancs. Le clocher est du XIXe siĂšcle.
    • Église Saint-Julien d'Aspiran
      Église Saint-Julien d'Aspiran
    • Chapelle des PĂ©nitents d'Aspiran
      Chapelle des PĂ©nitents d'Aspiran

    HĂ©raldique

    Les armoiries de Aspiran se blasonnent ainsi :

    D’azur au pairle losangĂ© d'or et d'azur.

    Personnalités liées à la commune

    Famille de la Treille de Villevieille, seigneurs de la SabloniĂšre, et famille Ayot de la Treille (notables).

    Lucien DolquÚs (né en 1905 à Aspiran et décédé en 1977 à La Motte-Servolex), athlÚte français spécialiste du fond, médaillé de bronze aux Jeux olympiques de 1924 dans l'épreuve du cross par équipe.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[13].
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    9. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[28].
    10. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
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    Autres sources

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    Voir aussi

    Bibliographie

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    • Groupe d'Ă©tudes languedociennes, Les Domaines de la VallĂ©e de l'HĂ©rault : Histoire d'un domaine d'Aspiran, Gourdibau : Ballades du pays de Thau : Creyssels, le domaine, Montpellier, UniversitĂ© du Tiers Temps, , 29 p.
    • Robert Thernot, L'Ă©tablissement rural antique de Soumaltre (Aspiran, HĂ©rault) : ferme, auberge, nĂ©cropole et atelier de potier en bordure de la voie Cessero-Condatomagus (Ier-IIe siĂšcle), Montagnac, M. Mergoil, , 388 p.

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    Articles connexes

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