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NĂ©bian

NĂ©bian [ne.bjɑ̃] (en occitan Nevian [ne.'ÎČjan]) est une commune française situĂ©e dans le centre du dĂ©partement de l'HĂ©rault en rĂ©gion Occitanie.

NĂ©bian
NĂ©bian
Blason de NĂ©bian
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement LodĂšve
Intercommunalité Communauté de communes du Clermontais
Maire
Mandat
Francis Bardeau
2020-2026
Code postal 34800
Code commune 34180
DĂ©mographie
Gentilé Nébianais
Population
municipale
1 451 hab. (2020 en augmentation de 2,98 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 148 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 36â€Č 26″ nord, 3° 25â€Č 57″ est
Altitude 107 m
Min. 39 m
Max. 289 m
Superficie 9,79 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Clermont-l'Hérault
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Clermont-l'HĂ©rault
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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NĂ©bian

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par la Dourbie, le ruisseau du Lieutre et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Salagou ») et deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    NĂ©bian est une commune rurale qui compte 1 451 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle est dans l'agglomĂ©ration de Clermont-l'HĂ©rault et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelĂ©s les NĂ©bianais ou NĂ©bianaises.

    GĂ©ographie

    Carte

    Village héraultais proche de Clermont-l'Hérault. Son activité principale repose sur la culture de la vigne et la production du vin.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 17,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 795 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 6,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 2,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Le Pouget », sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[6] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 680,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de SĂšte, mise en service en 1949 et Ă  31 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă  15,4 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  15,8 °C pour 1991-2020[12].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive oiseaux : « le Salagou »[14], d'une superficie de 12 794 ha, effectuant la transition entre la plaine languedocienne et les premiers contreforts de la montagne Noire et du Larzac. Outre l'aigle de Bonelli, trois autres espĂšces d'oiseaux ont Ă©galement Ă©tĂ© prises en compte dans la dĂ©limitation de la ZPS, l'Outarde canepetiĂšre, le Blongios nain et le Busard cendrĂ©[15].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[16] : le « massif de la Ramasse » (391 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [16] : le « massif de MourĂšze et la plaine agricole et garrigues de PĂ©ret » (8 126 ha), couvrant 13 communes du dĂ©partement[18].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  NĂ©bian.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    NĂ©bian est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [19] - [I 1] - [20]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Clermont-l'HĂ©rault, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 3 communes[I 2] et 10 565 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (62,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (64,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (59,1 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (23,8 %), zones urbanisĂ©es (8 %), forĂȘts (5,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de NĂ©bian est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dourbie. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1990, 1997, 2016 et 2019[24] - [22].

    NĂ©bian est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 9] - [25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Nébian.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 88,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 700 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 695 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 99 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[27].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[28].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de NĂ©bian est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[29].

    Toponymie

    La commune a été connue sous les variantes : in Nibiano (990), villa que vocant Nibiano (1008), castro Nibiano (1112), apud Nibianum (1122), ad Nibianum (1129), castel de Nebian (1160), terminio Nibiani (1174), P. Raimunz de Nebia (1185), parrochia S. Juliani de Nebiano (1234, 1252), Nebian (1643) etc.

    Le nom dérive d'un domaine gallo-romain, gentilice latin Naevius + suffixe -anum[30].

    HĂ©raldique

    Blason de NĂ©bian Blason
    Coupé : au premier d'azur au soleil d'or, au second de gueules au cep de vigne au naturel feuillé de sinople et fruité d'or.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1792 Antoine Desfours
    1803 O. Arnihac
    1807 J-P Delpon
    1815 P. Vaisse
    1819 G. Vernazobres
    1822 B-L Beloury
    1829 P-E Blanc
    1834 M. Beloury
    1843 L. Arnihac
    1851 G. Vernazobres
    1852 J. Vernazobres
    1856 P. Blanc
    1875 Samuel Donnadieu
    1881 Ismael Crouzet
    1896 Albert Desfours
    1900 LĂ©on Calvie
    1908 Fortuné Audran
    1925 Joseph Lecou
    1935 Joseph Vidal
    1945 1967
    (décÚs)
    Joseph Vidal SFIO Viticulteur, conseiller général (1945-1949)
    1967 1971 Marcel Vidal
    (fils du précédent)
    SFIO Conseiller général (1967-2004)
    1971 Julien Vidal
    1990 Aimé Laurent
    mars 2001 2014 François Lieb
    2014 En cours Francis Bardeau PS Fonctionnaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[32].

    En 2020, la commune comptait 1 451 habitants[Note 10], en augmentation de 2,98 % par rapport Ă  2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7537958709099991 0811 1021 1031 031
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0551 057981935953860752795866
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9239289719411 0021 036984979906
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    8828547807729571 0261 0911 1001 358
    2017 2020 - - - - - - -
    1 3881 451-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 635 mĂ©nages fiscaux[Note 11], regroupant 1 540 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 920 â‚Ź[I 7] (20 330 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 8]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 9]7,8 %11 %12,6 %
    DĂ©partement[I 10]10,1 %11,9 %12 %
    France entiĂšre[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  886 personnes, parmi lesquelles on compte 75,9 % d'actifs (63,3 % ayant un emploi et 12,6 % de chĂŽmeurs) et 24,1 % d'inactifs[Note 12] - [I 9]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement et de la France, alors qu'en 2008 la situation Ă©tait inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 183 emplois en 2018, contre 181 en 2013 et 155 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 564, soit un indicateur de concentration d'emploi de 32,4 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 59,2 %[I 13].

    Sur ces 564 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 114 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 88,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,7 % les transports en commun, 4,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    101 établissements[Note 13] sont implantés à Nébian au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble101100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    22 %(6,7 %)
    Construction2726,7 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    2221,8 %(28 %)
    Information et communication33 %(3,3 %)
    Activités financiÚres et d'assurance11 %(3,2 %)
    Activités immobiliÚres55 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1312,9 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    2423,8 %(14,2 %)
    Autres activités de services44 %(8,1 %)

    Le secteur de la construction est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 26,7 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (27 sur les 101 entreprises implantĂ©es Ă  NĂ©bian), contre 14,1 % au niveau dĂ©partemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les trois entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[35] :

    • E.pieces Froid, vente Ă  distance sur catalogue spĂ©cialisĂ© (344 k€)
    • Superette A Bieres, commerce de dĂ©tail de boissons en magasin spĂ©cialisĂ© (151 k€)
    • Jc-Farret Carrelages, travaux de revĂȘtement des sols et des murs (k€)

    Agriculture

    La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations130834336
    SAU[Note 16] (ha)536539478297

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 130 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] Ă  83 en 2000 puis Ă  43 en 2010[38] et enfin Ă  36 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 72 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 67 % de ses exploitations[39] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 536 ha en 1988 Ă  297 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 4 Ă  8 ha[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Jardin public, lieu de rĂ©union de tous les jeunes NĂ©bianais.
    • Stade municipal, stade du FC NĂ©bian. À la suite de la dĂ©cision de la mairie, le stade n’existe plus depuis l'annĂ©e 2013 et sa destruction pour laisser place Ă  un lotissement. En 2016, le chantier est toujours en l'Ă©tat, les vestiaires existant encore.
    • Église Saint-Julien-de-Brioude, avec un sarcophage wisigothique.
    • Commanderie de l'ordre de Saint-Jean de JĂ©rusalem.
    • Chapelle Saint-Jean-de-LestincliĂšres.
    • Place de la LibertĂ© : tour de l'horloge et porte avec une herse, fontaine dite le "griffe".
    • Le village fortifiĂ© (avec tour et demi-tours).
    • Les vieilles rues.
    • La source de Navis, avec un systĂšme d'irrigation datant du Moyen Âge et une calade restaurĂ©e.
    • Mairie.
    • Salle des fĂȘtes.
    • Église Saint-Julien-de-Brioude.
      Église Saint-Julien-de-Brioude.
    • Sarcophage wisigothique dans l'Ă©glise.
      Sarcophage wisigothique dans l'Ă©glise.
    • Mairie de NĂ©bian.
      Mairie de NĂ©bian.
    • Vue gĂ©nĂ©rale du village
      Vue générale du village

    Personnalités liées à la commune

    • Henri Prades (1920-1989), instituteur et archĂ©ologue amateur, dĂ©couvreur du site de Lattara, natif de NĂ©bian d'une famille d'immigrants espagnols[40].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[13].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
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    Site de l'Insee

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    Autres sources

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    Voir aussi

    Bibliographie

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    • Jean Chevalier, « Le ChĂąteau de NĂ©bian », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'Ă©tudes du Clermontais, nos 83-85,‎ , p. 50-58
    • RenĂ© Desfours et Claude Compan, « NĂ©bian au temps du Chasselas », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'Ă©tudes du Clermontais, nos 173-175,‎ , p. 57-61
    • « Histoire et folklore de notre rĂ©gion : NĂ©bian », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'Ă©tudes du Clermontais, no 18,‎ , p. 8-10
    • Mission Archives 34, Archives communales de NĂ©bian : rĂ©pertoire numĂ©rique dĂ©taillĂ©, Montpellier, Mission Archives 34, , 109 p.
    • Laurent Schneider, « Recherches rĂ©centes sur la campagne lodĂ©voise, le cas d'un terroir : NĂ©bian de l'AntiquitĂ© Ă  la fin du Moyen–Âge », Études hĂ©raultaises, Montpellier, Association Études sur l'HĂ©rault, nos 7-8,‎ 1991-1992, p. 69-87 (lire en ligne)

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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