Arbanats
Arbanats /aÊbanatÍĄs/ est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Gironde, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.
Arbanats | |||||
La mairie (août 2014). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Convergence Garonne | ||||
Maire Mandat |
Aline Teycheney 2020-2026 |
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Code postal | 33640 | ||||
Code commune | 33007 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Arbanatais | ||||
Population municipale |
1 359 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 179 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 40âČ 35âł nord, 0° 23âČ 39âł ouest | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 34 m |
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Superficie | 7,6 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Podensac (banlieue) |
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Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton des Landes des Graves | ||||
LĂ©gislatives | NeuviĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | arbanats.fr/ | ||||
GĂ©ographie
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
Située dans l'aire d'attraction de Bordeaux, sur la rive gauche de la Garonne, la commune se trouve à 27 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 22 km au nord-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 5 km au nord-ouest de Podensac, chef-lieu de canton[1].
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Lestiac-sur-Garonne, Paillet, Portets, Saint-Michel-de-Rieufret et Virelade.
Les communes limitrophes en sont Virelade dans un grand sud et sud-est, Saint-Michel-de-Rieufret Ă l'extrĂȘme sud-ouest sur environ 300 mĂštres et Portets dans un grand ouest et nord-ouest ; sur la rive gauche, les communes limitrophes en sont Lestiac-sur-Garonne au nord-est et Paillet Ă l'est sur moins de 200 mĂštres.
Communications et transports
La principale voie de communication routiÚre qui traverse la ville est la route départementale D 1113, ancienne route nationale 113 (Bordeaux-Marseille), qui mÚne, vers le nord-ouest, à Portets en direction de Bordeaux et, vers le sud-ouest, à Virelade et au-delà à Langon ; la route départementale D 214 part du centre ville et mÚne, vers le sud-ouest, à Saint-Michel-de-Rieufret.
Le pont de franchissement de la Garonne le plus proche est celui de Langoiran, sur la D 115, Ă 5 km vers le nord.
L'accĂšs Ă l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 1.1, dit de La BrĂšde, distant de 9 km par la route vers le nord-ouest ; l'accĂšs no 2, dit de Podensac est distant de 9,5 km par la route vers le sud-sud-est.
La commune dispose d'une gare SNCF sur la ligne Bordeaux-SĂšte du TER Nouvelle-Aquitaine.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Cabanac et Vill », sur la commune de Cabanac-et-Villagrains, mise en service en 1984[10] et qui se trouve Ă 15 km Ă vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 923 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă 27 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14], Ă 13,8 °C pour 1981-2010[15], puis Ă 14,2 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Arbanats est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Podensac, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[20] et 5 718 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[21] - [22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[23] - [24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (47,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (56,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (28,8 %), forĂȘts (23 %), zones urbanisĂ©es (13,9 %), eaux continentales[Note 7] (10,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,2 %), terres arables (6,6 %), mines, dĂ©charges et chantiers (4,2 %), prairies (3 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (1,1 %)[25].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Arbanats est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[26]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[27].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Garonne et l'Aqueduc de Budos. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[28] - [26].
Arbanats est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent dâun rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă faciliter les interventions des services et Ă limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de lâapport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[29]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[30] - [31].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 501 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 501 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[33].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[26].
Toponymie
Le nom de la commune est documenté[34] sous les formes Arbenaz (1221-1235), Arberatz (1263), Arbenatz (1273)⊠On observe une alternance -n- / -r-, qui révÚle une similarité avec le nom du village basque Arbérats.
Le toponyme sâanalyse par :
- le suffixe augmentatif -aç / -atz, fréquent en toponymie gasconne et utilisé sous la forme -ats dans les environs (cf. Illats, Léogeats, Saucats)
- un radical *Arben- probablement trĂšs ancien car il ne renvoie Ă aucun mot ou anthroponyme connu (Dauzat et Rostaing ont fait l'hypothĂšse conjecturale[34] d'un anthroponyme *Arbennus[35], qui ne fait pas partie des noms gallo-romans connus.)
Ce radical pourrait ĂȘtre basĂ© sur la vieille racine prĂ©-indo-europĂ©enne *Arbe qui a produit de nombreux toponymes en Europe comme l'hydronyme Arve. BĂ©nĂ©dicte Boyrie-FĂ©niĂ© rapproche cette racine de Arruan (nom d'origine de Saint-MĂ©dard-d'Eyrans) oĂč ces toponymes indiqueraient des bras morts de la Garonne[34].
La graphie du nom de la commune est identique en gascon.
Histoire
Saint BĂ©raire ou BĂ©rar, Ă©vĂȘque du Mans et originaire du Sud-ouest, au VIIe siĂšcle, serait mort Ă Arbanats, vers 680.
La seigneurie d'Arbanats, dĂšs le XIIIe siĂšcle dans la maison des vicomtes de Lomagne, se trouvait dans la mouvance directe des archevĂȘques de Bordeaux.
Le 28 avril 1518, Thomas de Montferrand Seigneur dâUzeste, Landiras, Portets et dâArbanats donne au syndic de la Fabrique et Ćuvres de la paroisse Saint-Hippolyte d'Arbanats et Ă ses paroissiens certaines terres pour ĂȘtre complantĂ©es dâaubarade (plantation dâaubareins, jeune pied dâaubiers ou saule blanc).
Cette donation est faite contre redevance et sous lâobligation de faire faire trois offices par an pour le salut de son Ăąme et de celle de ses pĂšres et mĂšres, pour NoĂ«l, PĂąques et PentecĂŽte.
Depuis cette date et jusquâĂ la RĂ©volution française, les paroissiens de la commune dâArbanats ont Ă©tĂ© sĂ©parĂ©s en deux groupes. Les uns, appelĂ©s Paroissiens ConfrĂšres, descendants des paroissiens de 1518 et les autres, correspondant Ă tous les nouveaux venus sur la paroisse aprĂšs cette date.
Câest parmi les paroissiens confrĂšres que sont choisies les personnes qui sâoccupent de lâentretien des cloches, ornements, luminaire et de tout ce qui est nĂ©cessaire Ă lâĂ©glise. Ils conservent Ă©galement la propriĂ©tĂ© et lâadministration des audarades. Les troncs dâaubier allaient au profit de lâĂ©glise et le reste gracieusement mis Ă disposition des paroissiens confrĂšres.
En rĂ©compense, on donnait aux paroissiens confrĂšres la sonnerie des cloches, le luminaire, le drap mortuaire et la sĂ©pulture gratuite. Les Autres paroissiens Ă©tait dans lâobligation de payer.
Cette curieuse distinction Ă©tait juridiquement admise. Pour l'Ă©tat de la commune au XVIIIe siĂšcle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[36].
Ă la RĂ©volution, Saint-Hippolyte d'Arbanats, paroisse annexe de Notre-Dame de Virelade, forme la commune d'Arbanats[37].
En 1856, dans un champ de vignes appelé "Les places", il a été mis à jour ce qui allait se révéler comme une des plus importantes découvertes de piÚces romaines en France, un ensemble de 966 deniers républicains romains en argent, datant de 49 avant JC. Cet ensemble, connu comme le trésor d'Arbanats, a été acheté en intégralité en 1860 par le duc de Luynes. Le trésor est actuellement au Cabinet des Médailles, département des Monnaies, médailles et antiques de la BibliothÚque nationale de France à Paris[38].
Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
Les habitants sont appelés les Arbanatais[41].
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[43].
En 2020, la commune comptait 1 359 habitants[Note 8], en augmentation de 19 % par rapport Ă 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Les chùteaux existent encore à Arbanats mais sont privés.
- L'église Saint-Hippolyte-et-Sainte-Radegonde date du XIVe siÚcle et a été agrandie au XVIe siÚcle ; la façade et son clocher-mur datent du XVIIIe siÚcle ; sur sa façade sud, se trouve un cadran solaire[46]. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[47].
- La commune abrite deux fontaines qui ont Ă©galement fait office de lavoirs :
- la fontaine de Sainte-Radegonde en contrebas et derriĂšre l'Ă©glise ;
- la fontaine de la HontiĂšre, en limite territoriale de Virelade ;
- ainsi qu'un lavoir, sur la route des Pontets qui mĂšne vers le nord vers la Garonne.
- L'église Saint-Hippolyte-et-Sainte-Radegonde (août 2014).
- La façade de l'église (août 2014).
- Le cadran solaire de l'église (août 2014).
- La fontaine-lavoir de Sainte-Radegonde (août 2014).
- La fontaine-lavoir de la HontiÚre (août 2014).
- Le lavoir des Pontets (août 2014).
- Le monument aux morts prÚs de l'église (août 2014).
Personnalités liées à la commune
- Maurice Lachùtre (1814-1900), éditeur français, fut propriétaire du chùteau d'Arbanats à partir de 1846.
HĂ©raldique
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Les armes d'Arbanats se blasonnent ainsi : TaillĂ©, au premier dâor Ă la grappe de raisin tigĂ©e et feuillĂ©e de deux piĂšces de gueules, au deuxiĂšme dâazur Ă la statue de sainte Radegonde couronnĂ©e dâor sous un portique trĂ©flĂ© du mĂȘme ; le tout sommĂ© dâun comble dâazur chargĂ© de lâinscription ARBANATS en lettres capitales dâargent. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site de la mairie
- Arbanats sur le site de l'Institut géographique national
- Arbanats sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 23,5 km pour Bordeaux, 17,9 km pour Langon et 4,3 km pour Podensac. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 17 septembre 2014.
- Arbanats sur Géoportail, consulté le 10 septembre 2015.
- Arbanats sur Géoportail, consulté le 10 septembre 2015.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 5.XI, pages 73-79
- Historique des communes, p. 1, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 10 avril 2013.
- Indicazione delle monete d'argento di famiglie romane scoperte in un antico ripostiglio ad arbanats in Francia l'anno 1859, sur Google book, consulté le 27 février 2022.
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- « Nom des habitants d'Arbanats », sur habitants.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Ăglise Saint-Hippolyte-et-Sainte-Radegonde sur le site « Visites en Aquitaine - RĂ©gion Aquitaine » (CC-BY-SA), consultĂ© le 17 septembre 2014.
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- Auguste Voisin, Les Cénomans anciens et modernes: Histoire du département de la ..., Volume 1, Paris, Julien Lanier, (lire en ligne), p. 265