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Paillet

Paillet est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Paillet
Paillet
La mairie (août 2014).
Blason de Paillet
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes Convergence Garonne
Maire
Mandat
JĂ©rĂŽme Gauthier
2020-2026
Code postal 33550
Code commune 33311
DĂ©mographie
Gentilé Pailletons
Population
municipale
1 208 hab. (2020 en diminution de 1,31 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 487 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 41â€Č 11″ nord, 0° 21â€Č 49″ ouest
Altitude Min. 4 m
Max. 92 m
Superficie 2,48 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de l'Entre-Deux-Mers
LĂ©gislatives DouziĂšme circonscription
Localisation
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Paillet
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Paillet
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Paillet
Liens
Site web www.mairie-paillet.fr

    GĂ©ographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    SituĂ©e dans l'Entre-deux-Mers et faisant partie de l'aire d'attraction de Bordeaux et mĂȘme de son unitĂ© urbaine depuis le nouveau zonage de 2010[1], la commune se trouve Ă  28 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du dĂ©partement, Ă  19 km au nord-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et Ă  6,5 km au nord-ouest de Cadillac, chef-lieu de canton[2].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Langoiran, Virelade, Arbanats, Capian, Lestiac-sur-Garonne, Rions et Villenave-de-Rions.

    Sur la rive droite de la Garonne, les communes limitrophes en sont Langoiran dans l'extrĂȘme nord sur environ 100 mĂštres, Capian au nord-nord-est sur 5 Ă  600 mĂštres, Villenave-de-Rions au nord-est, Rions au sud-sud-est et Lestiac-sur-Garonne au nord-ouest ; sur la rive gauche, les communes limitrophes en sont Virelade au sud-ouest et Arbanats Ă  l'ouest.

    Communications et transports

    La principale voie de communication routiÚre qui traverse le village est la route départementale D10 qui mÚne, vers le nord-ouest, à Lestiac-sur-Garonne puis Langoiran et, au-delà, à Bordeaux et, vers le sud-ouest, à Rions et, au-delà, à Cadillac et Langon ; le village est également traversé par la route départementale D120 qui dessine une fourche en menant, d'une part, vers le nord-nord-est, à Capian et d'autre part, vers l'est-sud-est, à Cardan ; au milieu de cette fourche, la route départementale D237 commence dans le village et mÚne au nord-est à Villenave-de-Rions.
    Les ponts de franchissement de la Garonne les plus proches sont celui de Langoiran, sur la D115 Ă  km au nord-ouest et celui de BĂ©guey sur la D13 Ă  4,6 km au sud-est.
    L'accĂšs Ă  l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 2, dit de Podensac, distant de 12 km par la route vers le sud.
    L'accĂšs no 1, dit de Bazas, Ă  l'autoroute A65 (Langon-Pau) est distant de 32 km par la route vers le sud-sud-est.

    La gare SNCF la plus proche est celle de Portets, sur la ligne Bordeaux-SĂšte du TER Nouvelle-Aquitaine, distante de km vers l'ouest, par le pont de Langoiran sur la D115. Sur la mĂȘme ligne, la gare de Langon, offrant plus de trafic, se trouve Ă  19 km vers le sud-est.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 842 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Cursan », sur la commune de Cursan, mise en service en 1984[9] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 886,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă  28 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Paillet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Bordeaux, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 73 communes[19] et 994 920 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Bordeaux est la sixiĂšme plus importante de la France en termes de population, derriĂšre celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (70 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (55,7 %), zones urbanisĂ©es (23,2 %), terres arables (13,3 %), forĂȘts (4,2 %), eaux continentales[Note 7] (3,6 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Paillet est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[25]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[26].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Garonne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1990, 1993, 1999, 2009, 2014 et 2021[27] - [25].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines)[28]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Paillet.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 513 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 513 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2014[25].

    Toponymie

    Le nom de la commune provient peut-ĂȘtre du moulin de La Paille qui Ă©tait Ă©tabli Ă  proximitĂ© du port et visible par les voyageurs transitant entre l’arriĂšre-pays et Bordeaux, ou des bottes de paille en instance de dĂ©part pour la ville ou Ă©voquant des “ paillettes d’or ” dans la riviĂšre d’Artolie[31].

    Le nom de la commune est Palhet en gascon.

    Ses habitants sont appelés les Pailletons[32].

    Histoire

    À la RĂ©volution, la paroisse Saint-Hilaire de Paillet forme la commune de Paillet[33].

    Le chùteau est édifié sur l'emplacement d'une ancienne villa gallo-romaine, le bùtiment de style « classique » appartient à Pietro Paolo, un officier de Bernard de Nogaret, duc d'Epernon. Il y décÚde en 1692.

    Un vignoble est attenant, sur le coteau.

    Messire d'Alphonse, Ă©cuyer, chanoine de l'Église de Bordeaux rachĂšte.

    Adélaïde de Bacalan, d'une grande famille de négociants, hérite.

    Puis le chevalier Jean-Baptiste d'Alphonse, conseiller au Parlement de Bordeaux le maintient dans sa famille. Suit la comtesse de Vassan

    La famille FĂ©ry d'Esclands devient propriĂ©taire : Alphonse, conseiller Ă  la cour des Comptes, le tient en 1885 Ă  la suite de sa sƓur et de son pĂšre. Il fut illustre comme PrĂ©sident de la SociĂ©tĂ© de Protection des Animaux

    Le domaine viticole sera acquis en 1968 par la famille de négociants en vins Quancard

    HĂ©raldique

    Blason de Paillet

    « Parti : au premier coupĂ© au I d’or au fer de moulin de sable, au II de gueules Ă  la fleur de lys d’or soutenue de trois gerbes de blĂ© du mĂȘme ordonnĂ©es 2 et 1, Ă  la divise ondĂ©e d’argent chargĂ©e de deux filets ondĂ©s de sable brochant sur le coupĂ©, au seond d’azur Ă  la corde de marine de trois nƓuds alĂ©sĂ©e d’or en fasce, surmontĂ©e d’une ancre d’argent accostĂ©e de deux doloires adossĂ©es du mĂȘme et soutenue d’une barrique au naturel de fasce sur son support, chargĂ©e d’une doloire contournĂ©e d’argent ; le tout sommĂ© d’un chef d'azur soutenu d’argent chargĂ© d’un lĂ©opard d’or. »

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 mars 2008 Yves Destheves DVG
    mars 2008 En cours JĂ©rĂŽme Gauthier[34] DVD Professeur
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[36]. En 2020, la commune comptait 1 208 habitants[Note 8], en diminution de 1,31 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    980924888854885951916920929
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9269461 027965988906815953954
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    984944807750745673665607708
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    7748397928729349891 1301 1701 223
    2018 2020 - - - - - - -
    1 2091 208-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'Ăźle de Raymond
    • L'Ă©glise Saint-Hilaire de Paillet, appartenant Ă  l'origine Ă  la juridiction de Rions, est d'origine romane, d'influence charentaise. Une chapelle dĂ©diĂ©e Ă  saint Antoine est Ă©rigĂ©e du cĂŽtĂ© nord, grĂące au cardinal de Sourdis, au XVIIe siĂšcle. La construction est financĂ©e par le comte de Vassan, payant ainsi le droit de banc et de sĂ©pulture. Le bas-cĂŽtĂ© sud remonte au XIXe siĂšcle, tout comme le clocher, construit en 1870 et restaurĂ© en 1985. L'abside et le chƓur ont Ă©tĂ© inscrits au titre des monuments historiques depuis 1925[39].
    • La chapelle Sainte-Catherine-du-DĂ©sert se situe sur les hauteurs de la commune, Ă  l'aplomb de la route de Capian. Elle appartenait au prieurĂ© du mĂȘme nom (appelĂ© aussi d'Artolie), rattachĂ© au prieurĂ© de Rions. Raymond de Laubesc, abbĂ© de La Sauve-Majeure, avait fondĂ© cet ermitage pour se retirer du monde. La chapelle est actuellement insĂ©rĂ©e dans un domaine viticole ; elle est propriĂ©tĂ© privĂ©e depuis 1793.
    • L'Ă©glise Saint-Hilaire (aoĂ»t 2014)
      L'église Saint-Hilaire (août 2014)
    • La façade occidentale de l'Ă©glise (aoĂ»t 2014)
      La façade occidentale de l'église (août 2014)
    • Le chĂąteau (septembre 2014)
      Le chĂąteau (septembre 2014)
    • Le monument aux morts devant la mairie (aoĂ»t 2014)
      Le monument aux morts devant la mairie (août 2014)

    Paillet autrefois

    • Maison Saint-Hilaire
      Maison Saint-Hilaire
    • ChĂąteau de Paillet
      ChĂąteau de Paillet
    • Domaine de l'ermitage
      Domaine de l'ermitage
    • HĂŽtel des trois platanes
      HĂŽtel des trois platanes
    • La gare
      La gare
    • Mairie et Ă©cole
      Mairie et Ă©cole
    • Vue gĂ©nĂ©rale
      Vue générale

    Vie locale

    • BibliothĂšque municipale[40] ;
    • ComitĂ© des fĂȘtes[41].

    Inondations de juillet 2014

    Dans la nuit du vendredi 25 au samedi , alors que de violents orages éclataient dans le Sud-Ouest, la commune a été submergée par des torrents d'eau et de boue dues au débordement de la riviÚre qui finit son cours en traversant le village, l'Artolie[42]

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Composition communale de l'unité urbaine de Bordeaux selon le nouveau zonage effectué en 2010
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 24,2 km pour Bordeaux, 17,4 km pour Langon et 6,7 km pour Cadillac. DonnĂ©es fournies par Lion1906.com, consultĂ© le 6 septembre 2014.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Cursan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Paillet et Cursan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Cursan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Paillet et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    25. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Paillet », sur Géorisques (consulté le )
    26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
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