Paillet
Paillet est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Paillet | |||||
La mairie (août 2014). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Convergence Garonne | ||||
Maire Mandat |
JĂ©rĂŽme Gauthier 2020-2026 |
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Code postal | 33550 | ||||
Code commune | 33311 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Pailletons | ||||
Population municipale |
1 208 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 487 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 41âČ 11âł nord, 0° 21âČ 49âł ouest | ||||
Altitude | Min. 4 m Max. 92 m |
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Superficie | 2,48 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Bordeaux (banlieue) |
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Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de l'Entre-Deux-Mers | ||||
LĂ©gislatives | DouziĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.mairie-paillet.fr | ||||
GĂ©ographie
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
SituĂ©e dans l'Entre-deux-Mers et faisant partie de l'aire d'attraction de Bordeaux et mĂȘme de son unitĂ© urbaine depuis le nouveau zonage de 2010[1], la commune se trouve Ă 28 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du dĂ©partement, Ă 19 km au nord-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et Ă 6,5 km au nord-ouest de Cadillac, chef-lieu de canton[2].
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Langoiran, Virelade, Arbanats, Capian, Lestiac-sur-Garonne, Rions et Villenave-de-Rions.
Sur la rive droite de la Garonne, les communes limitrophes en sont Langoiran dans l'extrĂȘme nord sur environ 100 mĂštres, Capian au nord-nord-est sur 5 Ă 600 mĂštres, Villenave-de-Rions au nord-est, Rions au sud-sud-est et Lestiac-sur-Garonne au nord-ouest ; sur la rive gauche, les communes limitrophes en sont Virelade au sud-ouest et Arbanats Ă l'ouest.
Communications et transports
La principale voie de communication routiÚre qui traverse le village est la route départementale D10 qui mÚne, vers le nord-ouest, à Lestiac-sur-Garonne puis Langoiran et, au-delà , à Bordeaux et, vers le sud-ouest, à Rions et, au-delà , à Cadillac et Langon ; le village est également traversé par la route départementale D120 qui dessine une fourche en menant, d'une part, vers le nord-nord-est, à Capian et d'autre part, vers l'est-sud-est, à Cardan ; au milieu de cette fourche, la route départementale D237 commence dans le village et mÚne au nord-est à Villenave-de-Rions.
Les ponts de franchissement de la Garonne les plus proches sont celui de Langoiran, sur la D115 Ă 5 km au nord-ouest et celui de BĂ©guey sur la D13 Ă 4,6 km au sud-est.
L'accĂšs Ă l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 2, dit de Podensac, distant de 12 km par la route vers le sud.
L'accĂšs no 1, dit de Bazas, Ă l'autoroute A65 (Langon-Pau) est distant de 32 km par la route vers le sud-sud-est.
La gare SNCF la plus proche est celle de Portets, sur la ligne Bordeaux-SĂšte du TER Nouvelle-Aquitaine, distante de 8 km vers l'ouest, par le pont de Langoiran sur la D115. Sur la mĂȘme ligne, la gare de Langon, offrant plus de trafic, se trouve Ă 19 km vers le sud-est.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Cursan », sur la commune de Cursan, mise en service en 1984[9] et qui se trouve Ă 13 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 886,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă 28 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 14,2 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Paillet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[19] et 994 920 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixiÚme plus importante de la France en termes de population, derriÚre celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[20] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (70 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (55,7 %), zones urbanisĂ©es (23,2 %), terres arables (13,3 %), forĂȘts (4,2 %), eaux continentales[Note 7] (3,6 %)[24].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Paillet est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[25]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[26].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Garonne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1990, 1993, 1999, 2009, 2014 et 2021[27] - [25].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines)[28]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 513 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 513 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2014[25].
Toponymie
Le nom de la commune provient peut-ĂȘtre du moulin de La Paille qui Ă©tait Ă©tabli Ă proximitĂ© du port et visible par les voyageurs transitant entre lâarriĂšre-pays et Bordeaux, ou des bottes de paille en instance de dĂ©part pour la ville ou Ă©voquant des â paillettes dâor â dans la riviĂšre dâArtolie[31].
Le nom de la commune est Palhet en gascon.
Ses habitants sont appelés les Pailletons[32].
Histoire
Ă la RĂ©volution, la paroisse Saint-Hilaire de Paillet forme la commune de Paillet[33].
Le chùteau est édifié sur l'emplacement d'une ancienne villa gallo-romaine, le bùtiment de style « classique » appartient à Pietro Paolo, un officier de Bernard de Nogaret, duc d'Epernon. Il y décÚde en 1692.
Un vignoble est attenant, sur le coteau.
Messire d'Alphonse, Ă©cuyer, chanoine de l'Ăglise de Bordeaux rachĂšte.
Adélaïde de Bacalan, d'une grande famille de négociants, hérite.
Puis le chevalier Jean-Baptiste d'Alphonse, conseiller au Parlement de Bordeaux le maintient dans sa famille. Suit la comtesse de Vassan
La famille FĂ©ry d'Esclands devient propriĂ©taire : Alphonse, conseiller Ă la cour des Comptes, le tient en 1885 Ă la suite de sa sĆur et de son pĂšre. Il fut illustre comme PrĂ©sident de la SociĂ©tĂ© de Protection des Animaux
Le domaine viticole sera acquis en 1968 par la famille de négociants en vins Quancard
HĂ©raldique
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« Parti : au premier coupĂ© au I dâor au fer de moulin de sable, au II de gueules Ă la fleur de lys dâor soutenue de trois gerbes de blĂ© du mĂȘme ordonnĂ©es 2 et 1, Ă la divise ondĂ©e dâargent chargĂ©e de deux filets ondĂ©s de sable brochant sur le coupĂ©, au seond dâazur Ă la corde de marine de trois nĆuds alĂ©sĂ©e dâor en fasce, surmontĂ©e dâune ancre dâargent accostĂ©e de deux doloires adossĂ©es du mĂȘme et soutenue dâune barrique au naturel de fasce sur son support, chargĂ©e dâune doloire contournĂ©e dâargent ; le tout sommĂ© dâun chef d'azur soutenu dâargent chargĂ© dâun lĂ©opard dâor. » |
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Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[36]. En 2020, la commune comptait 1 208 habitants[Note 8], en diminution de 1,31 % par rapport Ă 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Lieux et monuments
- L'Ăźle de Raymond
- L'Ă©glise Saint-Hilaire de Paillet, appartenant Ă l'origine Ă la juridiction de Rions, est d'origine romane, d'influence charentaise. Une chapelle dĂ©diĂ©e Ă saint Antoine est Ă©rigĂ©e du cĂŽtĂ© nord, grĂące au cardinal de Sourdis, au XVIIe siĂšcle. La construction est financĂ©e par le comte de Vassan, payant ainsi le droit de banc et de sĂ©pulture. Le bas-cĂŽtĂ© sud remonte au XIXe siĂšcle, tout comme le clocher, construit en 1870 et restaurĂ© en 1985. L'abside et le chĆur ont Ă©tĂ© inscrits au titre des monuments historiques depuis 1925[39].
- La chapelle Sainte-Catherine-du-DĂ©sert se situe sur les hauteurs de la commune, Ă l'aplomb de la route de Capian. Elle appartenait au prieurĂ© du mĂȘme nom (appelĂ© aussi d'Artolie), rattachĂ© au prieurĂ© de Rions. Raymond de Laubesc, abbĂ© de La Sauve-Majeure, avait fondĂ© cet ermitage pour se retirer du monde. La chapelle est actuellement insĂ©rĂ©e dans un domaine viticole ; elle est propriĂ©tĂ© privĂ©e depuis 1793.
- L'église Saint-Hilaire (août 2014)
- La façade occidentale de l'église (août 2014)
- Le chĂąteau (septembre 2014)
- Le monument aux morts devant la mairie (août 2014)
Paillet autrefois
Maison Saint-Hilaire Chùteau de Paillet Domaine de l'ermitage HÎtel des trois platanes La gare Mairie et école Vue générale
Vie locale
Inondations de juillet 2014
Dans la nuit du vendredi 25 au samedi , alors que de violents orages éclataient dans le Sud-Ouest, la commune a été submergée par des torrents d'eau et de boue dues au débordement de la riviÚre qui finit son cours en traversant le village, l'Artolie[42]
Personnalités liées à la commune
- Alphonse Féry d'Esclands (1835-1909), conseiller-maßtre à la Cour des comptes, propriétaire du chùteau de Paillet à partir de 1885.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel de la mairie
- Site de la communauté de communes du Vallon de l'Artolie
- Paillet sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Composition communale de l'unité urbaine de Bordeaux selon le nouveau zonage effectué en 2010
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 24,2 km pour Bordeaux, 17,4 km pour Langon et 6,7 km pour Cadillac. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 6 septembre 2014.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Cursan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Paillet et Cursan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Cursan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Paillet et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Paillet », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Paillet », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- Paillet sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 6 septembre 2014.
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 10 avril 2013.
- Historique des communes, p. 38, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 10 avril 2013.
- Commune de Paillet sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 10 avril 2013.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Inscription de l'église Saint-Hilaire », notice no PA00083654, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consultée le 6 septembre 2014.
- Blog de la bibliothĂšque municipale de Paillet
- ComitĂ© des fĂȘtes de la commune de Paillet
- En images : dévasté par les orages, le village de Paillet (33) appelle à l'aide, Sud Ouest.fr du 27 juillet 2014, consulté le 6 septembre 2014.