Rions
Rions (prononcĂ© [ÊijÉÌs]) est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Gironde, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.
Rions | |||||
La mairie (nov. 2012). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Convergence Garonne | ||||
Maire Mandat |
Vincent Joineau 2020-2026 |
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Code postal | 33410 | ||||
Code commune | 33355 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Rionais | ||||
Population municipale |
1 509 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 142 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 39âČ 52âł nord, 0° 21âČ 03âł ouest | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 117 m |
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Superficie | 10,65 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de l'Entre-Deux-Mers | ||||
LĂ©gislatives | DouziĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.rions.fr/ | ||||
GĂ©ographie
Localisation
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
Située sur la rive droite de la Garonne entre Cadillac et Langoiran dans la zone AOC des premiÚres cÎtes de Bordeaux, la commune, qui fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, se trouve à 30 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 17 km au nord-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 4,5 km au nord-ouest de Cadillac, chef-lieu de canton[Note 1].
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Cardan, Podensac, Laroque, BĂ©guey, Escoussans, Paillet, Soulignac, Villenave-de-Rions et Virelade.
Les communes limitrophes en sont Paillet au nord-ouest, Villenave-de-Rions au nord-nord-ouest sur environ 300 mĂštres, Cardan au nord, Soulignac au nord-nord-est sur environ 600 mĂštres, Escoussans au nord-est, Laroque Ă l'est et Beguey au sud-est ; sur la rive droite de la Garonne se trouvent Podensac au sud et Virelade Ă l'ouest.
GĂ©ologie et relief
La superficie de la commune est de 1 065 hectares ; son altitude varie de 2 Ă 117 mĂštres[1].
Hydrographie
La commune est arrosĂ©e par la Garonne et son affluent la Barboue. Une partie de Ăle de Raymond Ă©tait situĂ©e sur le territoire de la commune.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sauternes », sur la commune de Sauternes, mise en service en 1896[8] et qui se trouve Ă 15 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 825,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă 31 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă 13,8 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 14,2 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Rions est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (73,8 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (73,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (65 %), forĂȘts (13,9 %), terres arables (8,7 %), eaux continentales[Note 8] (7,6 %), zones urbanisĂ©es (4,7 %), prairies (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
L'accĂšs Ă l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 2, dit de Podensac, qui se situe Ă 9,5 km vers le sud-ouest.
L'accĂšs no 1, dit de Bazas, Ă l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe Ă 31 km vers le sud-sud-est.
Les gares SNCF les plus proches sont celles de Podensac et de CĂ©rons sur la ligne Bordeaux-SĂšte du TER Nouvelle-Aquitaine, toutes deux distantes de 5,5 km et sur la rive gauche de la Garonne. Sur la mĂȘme ligne mais offrant plus d'opportunitĂ©s de liaisons, la gare de Langon se situe Ă 16 km par la route vers le sud-est.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Rions est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Garonne et la Barboue. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2009 et 2014[23] - [21].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines), des Ă©boulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements diffĂ©rentiels[24]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 752 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 752 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1990, 1991, 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Toponymie
Le nom de la ville vient du mot latin Riuncium[27] qui signifie « bùti sur le roc » ; ce nom est d'ailleurs sculpté sur le frontispice de la mairie.
En gascon, la graphie du nom de la commune est identique.
Ses habitants sont appelés les Rionais[28].
Histoire
Dessin de LĂ©o Drouyn (1865)
En 1295, la ville est assiĂ©gĂ©e et prise par Charles de Valois[Note 9] comte de Valois qui rase les dĂ©fenses existantes. Ădouard III d'Angleterre reprend la citĂ© en 1313[29] et autorise Guillaume Seguin, seigneur de Rions, Ă entourer la ville de remparts[30]. Rions devient ainsi un des fortins anglais de Guyenne.
Sur la fin de la guerre de Cent Ans, en 1451, soit deux ans avant la bataille de Castillon, la cité tombe aux mains des troupes françaises et se soumet au roi Charles VII[31].
Ă la RĂ©volution, la paroisse Saint-Seurin de Rions forme la commune de Rions[32].
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[35].
En 2020, la commune comptait 1 509 habitants[Note 11], en diminution de 4,25 % par rapport Ă 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Une épitaphe romaine en marbre, datée du , actuellement déposée au Musée d'Aquitaine de Bordeaux. Elle porte l'inscription :TITVLVM BENE QUI/ESCENTI IN PACEM IV/LIANO QVI RECES/SIT VII K(A)L(ENDAS) IVNIAS/TATIANO CONSVLE : Inscription en l'honneur de Julianus qui repose bien en paix et mourut le 7 des calendes de juin sous le consulat de Tatien.
- Ăglise Saint-Seurin, construite au XIIe siĂšcle en style roman, classĂ©e au titre des monuments historiques en 1908[38].
- Enceinte de Rions bùtie en 1330 par Guillaume Seguin, seigneur de Rions, classée au titre des monuments historiques en 1862[30], et dont restent aujourd'hui :
- la tour du Lhyan, imposante entrée sud de la ville, restaurée en 1881,
- la Citadelle, tour carrée datée du XIVe siÚcle, dressée face à la Garonne et vestige d'un ensemble défensif important,
- les remparts du flanc ouest de la citĂ©, attenants Ă la Citadelle et au pied desquels se trouve la grotte dite Charles VII et sa source oĂč le roi serait venu se reposer et se dĂ©saltĂ©rer aprĂšs la bataille de Castillon[39],
- la tour du Guet dans une petite rue Ă l'arriĂšre de l'Ă©glise Saint-Seurin,
- deux fossés parallÚles séparés par une étroite langue de terre surmontée d'un chemin de ronde, à proximité de la tour du Lhyan.
- Halle dite « aux petits pois[39] », du XVIIIe siÚcle, à l'angle de la rue Lavidan et de la rue des Remparts
- Le MonastĂšre du Broussey constitue la premiĂšre refondation de l'ordre des Carmes dĂ©chaux aprĂšs la RĂ©volution française, le ; le monastĂšre abrite une communautĂ© de frĂšres carmes et une communautĂ© de sĆurs du Carmel apostolique Notre-Dame de BethlĂ©em[40].
- Cercle populaire de Rions, café associatif créé au XIXe siÚcle par des habitants de la commune. Tombé en déshérence au cours des années 1990, le bùtiment est racheté par la Communauté de communes du vallon de l'Artolie en 2013. Trois ans plus tard, des habitants de Rions obtiennent l'accord de la Communauté de communes pour réhabiliter le café associatif dans une partie des locaux. En 2018, le maire de Rions, Jean-Claude Bernard, décide unilatéralement de fermer le bùtiment pour raison de sécurité. Il refuse aux habitants et bénévoles du Cercle toute alternative à la fermeture. Il reconnait au cours de l'été 2018 sa responsabilité dans le délitement de l'animation sociale du bourg.
- Ăpitaphe romaine
- Ăglise Saint-Seurin (nov. 2012)
- Tour du Lhyan (nov. 2012)
- ArriĂšre de la tour du Lhyan (janv. 2006)
- Tour du Guet (janv. 2006)
- La Citadelle et les remparts (nov. 2012)
- La grotte Charles VII (nov. 2012)
- La halle (nov. 2012)
- Le monastÚre du Broussey (août 2014)
Personnalités liées à la commune
- Jules de GĂšres (1817-1878), Ă©crivain mort dans la commune
- Pierre-Jacques-Dominique Martin (Toulouse, â Rions, ), ingĂ©nieur des Ponts et ChaussĂ©es, maire de Rions de 1832 Ă 1848.
- Hermann Cohen (1820-1871), pianiste qui entra au noviciat des Carmes au monastĂšre de Broussey ou il fit sa profession de foi.
- Ferdinand Cardez (1822-1903), comte romain, maire de Rions de 1874 à 1900, négociant. Il possédait Chùteau Jourdan.
- Timothée Piéchaud (1850-1905), médecin et professeur de chirurgie infantile à la Faculté de médecine de Bordeaux. Il fit réaliser avec son épouse Marie Cardez l'actuel chùteau Carsin, vers 1900.
HĂ©raldique
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Les armes de Rions se blasonnent ainsi : Taillé, au premier d'or aux deux vaches de gueules passant l'une sur l'autre, au second d'or aux trois pals de gueules. |
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Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 30,3 km pour Bordeaux, 11,1 km pour Langon et 2,6 km pour Cadillac. Données fournies par lion1906.com, consulté le 19 novembre 2012.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Charles de Valois est le fils du roi de France Philippe le Hardi et d'Isabelle d'Aragon, le frÚre de Philippe le Bel et le pÚre de Philippe IV qui succédera aux célÚbres rois maudits.
- Nom d'une avenue à proximité de la mairie
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sauternes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Rions et Sauternes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sauternes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Rions et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Rions », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Rions », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- Le Patrimoine des Communes de la Gironde, p. 476.
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 17 novembre 2011.
- Rions, période antérieure à 1789 sur le site du tourisme de la Vallée du Ciron, consulté le 17 novembre 2012.
- « Classement de l'enceinte de Rions », notice no PA00083702, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consultée le 23 novembre 2012.
- Le Patrimoine des Communes de la Gironde, p. 477.
- Historique des communes, p. 44, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 10 avril 2013.
- « Welcome to nginx! », sur cafeyn.co (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Classement de l'église Saint-Seurin », notice no PA00083701, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consultée le 23 novembre 2012.
- Le Patrimoine des Communes de la Gironde, p. 478.
- Le MonastÚre du Broussey sur le site du monastÚre, consulté le 5 octobre 2019.
Voir aussi
Bibliographie
- Aude Guiheneuc et RĂ©my Toulouse, Le Patrimoine des Communes de la Gironde, t. 1, Paris, Ăditions Flohic, , 816 p. (ISBN 2-84234-125-2)
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la commune
- Résultats du recensement de la population de Rions sur le site de l'INSEE, consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Rions », sur ehess.fr, Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Rions sur le site de l'Institut géographique national