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Capian

Capian est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Capian
Capian
La mairie (octobre 2014).
Blason de Capian
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Créonnais
Maire
Mandat
Frédéric Lataste
2020-2026
Code postal 33550
Code commune 33093
Démographie
Gentilé Capianais
Population
municipale
771 hab. (2020 en augmentation de 11,1 % par rapport à 2014)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 42′ 42″ nord, 0° 19′ 47″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 115 m
Superficie 18,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Entre-Deux-Mers
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Capian

    Géographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans l'Entre-deux-Mers à l'est de Cadillac, dans une région de coteaux exposés.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont La Sauve, Cardan, Villenave-de-Rions, Haux, Langoiran, Paillet, Soulignac et Targon.

    Les communes limitrophes en sont La Sauve au nord, Targon au nord-est, Soulignac au sud-est, Cardan au sud-sud-est, Villenave-de-Rions au sud, Paillet au sud-sud-ouest, Langoiran au sud-ouest et Haux au nord-ouest.

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Grand Estey (ou Ruisseau de Gaillardon) et l'Artolie, tous deux affluents de la Garonne.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 838 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cursan », sur la commune de Cursan, mise en service en 1984[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 886,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 29 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Capian est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (61,4 %), forêts (28,5 %), terres arables (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %), zones urbanisées (1,8 %), prairies (1,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Capian est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009, 2014 et 2021[22] - [20].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[23]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Capian.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 336 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 336 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2014[20].

    Toponymie

    L'origine du nom de la commune serait l’anthroponyme gallo-romain Capius[26], ou plutôt Cappius, avec suffixe anum, selon Bénédicte Boyrie-Fénié et ceux dont elle reprend l'avis, Dauzat et Rostaing, Ernest Nègre (qui préfère Cappianus), Jacques Astor[27].

    En occitan, la graphie du nom de la commune est identique.

    Ses habitants sont appelés les Capianais[28].

    Histoire

    La présence de vestiges antiques témoigne de l'occupation ancienne du territoire.

    La motte castrale située à Barakan était la "place forte" où les paysans pouvaient s'abriter.

    Dans le dernier tiers du XVIe siècle, à la suite d'un démembrement de fief, Capian qui dépendait jusqu'alors de la Châtellerie de Rions, est érigée en seigneurie, (Baronnie) et le restera jusqu'au 29 avril 1790, date à laquelle la cour seigneuriale rendit son dernier jugement[29].

    C'est donc à la Révolution, que la paroisse Saint-Saturnin de Capian forme la commune de Capian[30].

    Une carte du XIXe siècle mentionne une chapelle de pèlerinage nommée Notre Dame de Richy au lieu-dit Lavergne, laissant supposer que des pèlerins en route pour Saint-Jacques-de-Compostelle y étaient accueillis[31].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1965 1989 Pierre Moysson
    mars 1989 mars 2001 Daniel Lataste SE
    mars 2001 mars 2008 Rose-Marie Dulou
    mars 2008 En cours Frédéric Lataste[32] DVD[33]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35]. En 2020, la commune comptait 771 habitants[Note 7], en augmentation de 11,1 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    750757747652705701665640627
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    628670693712790665582570643
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    703690710638633574528525545
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    564623591669602624627627690
    2017 2020 - - - - - - -
    721771-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Viticulture

    Selon la légende locale, le Château Suau aurait tout d'abord servi de pavillon de chasse au XVIe siècle. À l'époque, il appartenait à Jean-Louis de Nogaret de La Valette, duc d'Épernon. Il faut attendre 1637 pour qu'il soit restauré et baptisé en l'honneur des nouveaux maîtres des lieux : la famille Suau. Le domaine est acquis en 1687 par un marchand de vins de Bordeaux du nom de Clément Popp qui se faisait appeler le sire de Suau[42]. Au cours de son histoire, le domaine change brièvement de nom et devient La Claverie, puis devient la propriété de Franco-Columbus Fenwick, consul des États-Unis à Nantes. En 1857, le château passe aux mains du Receveur général de La Réunion, Jean Guénant qui avec l'aide de son fils «apporta tous ses soins pour améliorer le vignoble détruit par le phylloxéra vers 1870», expérimentant, pour la première fois, les greffes de vigne[43] - [44]. Le domaine sera revendu plusieurs fois, et même dirigé par l'ingénieur Loustaunou Deguilhem dans les années 40[45] - [46], avant d'être acquis par les propriétaires actuels[47] qui ont travaillé à obtenir la certification ISO 14001.

    • Agriculture biologique Château Suau
      Agriculture biologique Château Suau
    • Château Suau
      Château Suau
    • Vignes Merlot Château Suau
      Vignes Merlot Château Suau
    • Château-de-Suau (gravure ancienne)
      Château-de-Suau (gravure ancienne)
    • Vignobles du Château Suau
      Vignobles du Château Suau
    • Le Château de Potiron est un producteur viticole.
    • Le Château de Lagrange est un producteur viticole et gîte.
    • Le Château du Grand Mouëys est un producteur viticole.
    • Le Château de Laville.
    • Le Domaine de Darbalot est un producteur viticole.
    • Le Château du Télégraphe est un producteur viticole.
    • Le Domaine de La Loubeyre est un producteur viticole.
    • Le Domaine de Montagne est un producteur viticole, éleveur de moutons et fabrication de fromage à partir de lait de brebis.
    • Le Prieuré Sainte-Anne est un producteur viticole.
    • Le Château Couteau est un producteur viticole et chambre d'hôtes.

    Jumelage

    • La commune de Capian est jumelée avec la commune de Montsalvy située dans le Cantal depuis 2013.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Saturnin (octobre 2014)
      L'église Saint-Saturnin (octobre 2014)
    • Le clocher de l'église (octobre 2014)
      Le clocher de l'église (octobre 2014)
    • Le chevet de l'église (octobre 2014)
      Le chevet de l'église (octobre 2014)
    • Télégraphe de Chappe (ruine)
      Télégraphe de Chappe (ruine)
    • Le monument aux morts (octobre 2014)
      Le monument aux morts (octobre 2014)

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Capian Blason
    De pourpre au léopard en chef, à l'oiseau en vol en abîme et aux chevronnels renversés, jumelés et alésés en pointe, le tout d'argent enfermé dans un orle du même[60].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Lataste, Chroniques Capianaises[61].
    • Édouard Guillon, Les Châteaux historiques et vinicoles de la Gironde, Bordeaux: Coderc, Degréteau et Poujol, 1866-69, 4 Vol, p. 393[62].
    • René Manthe, La Baronnie de Capian et le Prieuré d'Artolée - Notes historiques et archéologiques, Société d'archéologie de Bordeaux, 1892, t. XVII, p. 55-57.
    • Charles Cocks, Edouard Feret, Bordeaux et ses vins, classés par ordre de mérite (1893), Éd. Feret.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Cursan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Capian et Cursan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Cursan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Capian et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Capian », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Capian », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. Capian sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 8 janvier 2015.
    27. Bénédicte Boyrie-Fénié, Dictionnaire Toponymique des Communes de Gironde, Institut occitan, Cairn, 2008
    28. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 30 octobre 2011.
    29. Gallica.bnf La baronnie de Capian, Société archéologique de Bordeaux, Labadie, Ernest, p. 50 et suivantes
    30. Historique des communes, p. 12, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 9 avril 2013.
    31. visites.aquitaine.fr
    32. Commune de Capian sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 30 octobre 2011.
    33. « Résultats départementales 2015 », sur interieur.gouv.fr.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. culture.gouv.fr
    39. Chateausuau.com Savoir faire
    40. legifrance.gouv.fr Décret no 2009-1345 du 29 octobre 2009 relatif à l'appellation d'origine contrôlée « Côtes de Bordeaux »
    41. Guide tourisme France.com
    42. Gallica.Bnf in Société archéologique de Bordeaux Labadie, Ernest (1845-1917), p:55,56,57
    43. Gallica Bnf Compte rendu général / du congrès international phylloxérique de Bordeaux 1881, M. Joseph Guénant, propriétaire viticulteur, participant
    44. Google books Loustaunau de Guilhem dans le Qui est Qui en France, 1977, p. 1086
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    46. Libération.fr «Pas question, donc, pour Monique Bonnet de laisser la commission de Bruxelles «galvauder notre nom»
    47. Culture.gouv.fr
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    49. « Eglise Notre-Dame-de-Richy dite Chapelle de Lavergne », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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    51. Culture.gouv.fr
    52. Culture.gouv.fr
    53. Culture.gouv.fr
    54. culture.gouv.fr
    55. culture.gouv.fr
    56. culture.gouv.fr
    57. « Recensement du château Caillavet », notice no IA33000096, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 30 novembre 2011.
    58. Le village de Capian se souvient de Bernard Clavel sur le site Culturebox de France 3, consulté le 30 octobre 2011.
    59. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
    60. Sud Ouest.fr 19/12/2014
    61. Sudoc abes.fr
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