Portets
Portets (prononcé [pɔʁˈtɛs]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine. Son nom occitan est Portèths[1].
Portets | |||||
L'hôtel de ville (mai 2009) | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Convergence Garonne | ||||
Maire Mandat |
Didier Cazimajou 2020-2026 |
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Code postal | 33640 | ||||
Code commune | 33334 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Portésiens | ||||
Population municipale |
2 713 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 175 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
9 457 hab. (2020) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 41′ 52″ nord, 0° 25′ 23″ ouest | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 37 m |
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Superficie | 15,49 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Portets (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Landes des Graves | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.mairie-portets.fr/ | ||||
Géographie
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située sur la rive gauche de la Garonne à 22 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu de département, à 22 km au nord-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement, et à 7 km au nord-ouest de Podensac, chef-lieu de canton[2]. Elle est la ville-centre d'une unité urbaine dans la couronne périurbaine de l'aire urbaine de Bordeaux,
Le sud du territoire communal est couvert de forêts qui font partie de la frange est des landes girondines.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes en sont Arbanats au sud-est, Saint-Michel-de-Rieufret au sud sur à peine plus d'un kilomètre, Saint-Selve au sud-ouest, et Castres-Gironde à l'ouest ; sur la rive droite de la Garonne se trouvent les communes de Tabanac au nord, Le Tourne au nord-nord-est, Langoiran au nord-est et Lestiac-sur-Garonne à l'est-nord-est. Les communes limitrophes sont Tabanac, Saint-Michel-de-Rieufret, Arbanats, Castres-Gironde, Langoiran, Lestiac-sur-Garonne, Saint-Selve et Le Tourne.
Communications et transports
La commune est traversée par la route départementale 1113, ancienne route nationale 113, qui relie Bordeaux à Langon et plus loin Marmande et est à proximité du premier pont sur la Garonne en amont de Bordeaux qui relie la rive droite (Langoiran) à la rive gauche (Portets).
L'accès le plus proche à l'autoroute A62 est le no 1.1, dit de La Brède, qui se trouve à environ 6 km vers l'ouest.
La commune bénéficie d'une gare SNCF sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cursan », sur la commune de Cursan, mise en service en 1984[9] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 886,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 24 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Portets est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Portets, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[19] et 9 457 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[20] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (50,4 %), forêts (26,6 %), zones urbanisées (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,6 %), eaux continentales[Note 7] (3,5 %), prairies (1,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Portets est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne et l'Aqueduc de Budos. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1994, 1998, 1999, 2009, 2014 et 2021[27] - [25].
Portets est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[28]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[29] - [30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 165 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 165 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2015 et par des mouvements de terrain en 1993, 1994 et 1999[25].
Toponymie
La commune tire son nom de l'ancienne activité de son port sur la Garonne aujourd'hui transformé en halte nautique à vocation touristique grâce à un ponton-passerelle.
Le nom de la commune est Portèth en gascon (prononcer Pourtèt, Pourtèts ou Pourtètz ?).
Ses habitants sont appelés les Portésiens[33].
Histoire
Pour l'état de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[34].
À la Révolution, la paroisse Saint-Vincent de Portets forme la commune de Portets[35].
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].
En 2020, la commune comptait 2 713 habitants[Note 8], en augmentation de 3,75 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Une grande part des ressources de la commune est d'origine viticole. Le vignoble existe depuis plus de 2 000 ans et produit des rouges à partir des cépages de cabernet sauvignon, de merlot et de cabernet franc ainsi que des blancs secs à partir de sauvignon, de sémillon et de muscadelle. L'AOC du vignoble portésien est celle des Graves.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Vincent a été construite en 1861 par l'architecte Henri Duphot et n'est pas classée[40]. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[41].
- Il ne subsiste rien du château de Portets construit au XIVe siècle ; le logis actuel date du XVIIe siècle et a été remanié et agrandi dans la première moitié du XIXe siècle ; il a été inscrit au titre des monuments historiques en 2013[42] - [43].
- Au nord du château, près de la Garonne, là où, aujourd'hui, a été construite la halte nautique, se trouvait le Port-du-Roy dont il ne subsiste que les canaux ainsi qu'une tour de guet destinée à la surveillance du trafic fluvial appelée tour du Président de Gasq[44] ; la tour de guet ainsi que le chemin d'arrivée du port et les chenaux sont inscrits au même titre que le château de Portets.
- Le château de Mongenan, classé monument historique depuis 2003[45], propose un jardin botanique portant le label jardin remarquable, du mobilier du XVIIIe siècle et un temple maçonnique de la même époque conservé en l'état.
- Le château de l'Hospital, édifié à la fin du XVIIIe siècle par Victor Louis ou l'un de ses élèves. En 1973, le château est classé au titre des monuments historiques[46] - [47]. En 2013, la protection est étendue à l'ensemble du domaine.
- La maison Gaubert, entreprise de viticulture sise à l'angle de la route des Graves (RD1113) est l'œuvre, en 1796, de l'architecte Gabriel Durand, élève de Victor Louis et est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1987[48].
- L'église Saint-Vincent (mai 2009)
- Le château de Portets (mai 2009)
- La tour de guet (mai 2009)
- La façade nord du château de Mongenan (août 2014)
- L'angle sud-est de la maison Gaubert (août 2014)
- Blason de Portets au fronton d'une école (mai 2009)
- Lavoir près du château (mai 2009)
- Le monument aux morts près de l'église (mai 2009)
Personnalités liées à la commune
- Alexandre Deleyre, homme de lettres, né le à Portets, décédé le à Paris.
- Claude Antoine de Valdec de Lessart, ministre supérieur de Louis XVI de 1790 à 1792
- Louis-Alexandre Cabié, peintre, possédait une maison dans la campagne de Portets.
Héraldique
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Les armes de Portets se blasonnent ainsi : Parti, au premier d'azur à la tour de guet couverte en dôme d'argent, ouverte et ajourée de sable, posée sur une rivière du champ ondée aussi d'argent mouvant de la pointe, au second d'argent au cep de vigne de sable feuillé de sinople et fruité de quatre grappes de raisin de pourpre, deux à dextre et deux à senestre, tortillé sur son échalas terrassé aussi de sable ; le tout sommé d'un chef de gueules chargé d'un léopard d'or.
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La devise associée au blason et, en fait, correspondant à chaque parti, est Port je fus, Vignoble je reste[49].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel de la commune, consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Portets », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Portets sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Diccionari toponimic occitan de Gironda », sur locongres.org (consulté le ).
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 20,2 km pour Bordeaux, 21,2 km pour Langon et 8 km pour Podensac. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 29 octobre 2011.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Cursan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Portets et Cursan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Cursan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Portets et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Portets », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Portets », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Le risque feux de forêts. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
- « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Portets », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 11 avril 2013.
- Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 5.X, pages 69-73
- Historique des communes, p. 41, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 11 avril 2013.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Recensement de l'église », notice no IA00067908, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 29 octobre 2011.
- « Eglise paroissiale Saint-Vincent », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Inscription MH du château de Portets », notice no PA33000172, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inventaire général : château de Portets », notice no IA00067920, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 29 octobre 2011.
- « Recensement de l'ancien port, de ses canaux et de la tour », notice no IA00067938, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 29 octobre 2011.
- « Inscription MH du château de Mongenan », notice no PA00083672, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 29 octobre 2011.
- « Inscription MH du château de l'Hospital », notice no PA00083671, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inventaire général : Château de l'Hospital », notice no IA00067932, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inscription MH de la maison Gaubert », notice no PA00083673, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Présentation de Portets sur le site de l'office de tourisme « Sauternes Graves Landes girondines », consulté le 14 septembre 2014.