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Saint-Selve

Saint-Selve est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Selve
Saint-Selve
La mairie en août 2015
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Communauté de communes de Montesquieu
Maire
Mandat
Nathalie Burtin-Dauzan
2020-2026
Code postal 33650
Code commune 33474
Démographie
Gentilé Saint-Selvais
Population
municipale
3 488 hab. (2020 en augmentation de 29,91 % par rapport à 2014)
Densité 197 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 40′ 17″ nord, 0° 28′ 44″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 63 m
Superficie 17,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Brède
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Saint-Selve
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Liens
Site web www.saintselve.fr/

    Géographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune est située dans la forêt des Landes de Gascogne et le vignoble des Graves, sur le Gat mort, à proximité de la sortie no 1.1, dite de La Brède, de l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse).

    Hameaux : Jeansotte, Larnavey, Civrac, Lacanau,Foncroise,Mathelin et Bigard.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Castres-Gironde, Ayguemorte-les-Graves, Beautiran, La Brède, Portets, Saint-Michel-de-Rieufret et Saint-Morillon.

    Les communes limitrophes en sont Ayguemorte-les-Graves et Beautiran au nord, Castres-Gironde au nord-est, Portets à l'est, Saint-Michel-de-Rieufret dans un grand sud-sud-est, Saint-Morillon au sud-ouest et La Brède au nord-ouest.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 927 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cabanac et Vill », sur la commune de Cabanac-et-Villagrains, mise en service en 1984[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de précipitations de 923 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 23 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Selve est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,6 %), zones urbanisées (13,3 %), cultures permanentes (11,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5 %), prairies (3,9 %), mines, décharges et chantiers (2,1 %), terres arables (0,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Selve est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Saint-Selve est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[24]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[25] - [26].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Selve.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 103 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 103 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2014 et 2021, par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Toponymie

    Le nom de la commune provient de Sanctus Severus, saint Sévère, patron des tisserands, puis serait devenue Saint-Selve sous l’influence du latin silva, la forêt[29].

    Le nom gascon de la commune est Sent Seuve.

    Histoire

    La commune fut fondée après la séparation des espaces brédois en plusieurs cantons, opérée en 1457 par le duc Crêne. D'abord connue sous le nom de Sainte-Sylve, évoluera au fil de l'Histoire sous l'influence des différents modifications de la langue. Le nom de Saint-Selve aurait été attribué en 1692 par l'’évêque Lauje Sunix.

    Certaines légendes entourent Saint-Selve et notamment sa fontaine qui aurait des vertus thérapeutiques[30].

    Pour l'état de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[31].

    À la Révolution, la paroisse Saint-Selve forme la commune de Saint-Selve[32].

    Politique et administration

    Liste des maires

    était alors maire
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    vers 1894 Paul Labuzan[33]
    Les données manquantes sont à compléter.
    1959 1983 Ludovic de Villeneuve DVD
    1983 1995 Christian Orard PS
    juin 1995 mars 2014 Pierre-Jean Théron UMP
    mars 2014 En cours Nathalie Burtin-Dauzan DVG Fonctionnaire

    Jumelages

    Drapeau de l'Italie Prizzi (Italie) depuis 2005[34]

    Intercommunalité

    Saint-Selve fait aujourd'hui partie de la communauté de communes de Montesquieu comme 12 autres communes alentour.

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Saint-Selvais[35].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

    En 2020, la commune comptait 3 488 habitants[Note 7], en augmentation de 29,91 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9508989229439791 0401 0461 0411 050
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0291 0391 0049579821 0011 000985986
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    952953911754705690644534604
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    6617177899691 3241 6321 9102 1712 865
    2020 - - - - - - - -
    3 488--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Sévère, d'origine romane, a été remaniée d'importance au XVIIIe siècle ; une galerie latérale avec arcades qui donne sur les jardins a été ajoutée au début du XXe siècle[40].
    • Fontaine de dévotion à Notre-Dame-de-la-Houn, jouxtant le lavoir[41].
    • Château de Montalier, centre de postcure psychothérapique (1890).
    • Château de Grenade, au sud de la commune, en limite de Saint-Michel-de-Rieufret, a été bâti au XIXe siècle par l'architecte bordelais Henri Duphot sur commande des propriétaires du domaine, l'homme politique Edmond de Carayon-Latour (1811-1887) et son épouse Henriette de Châteaubriand (1824-1903), nièce de l'écrivain[42].
    • Grosse ferme de Mathelin : façades latérales à pignons ornés de boules d'amortissement XVIIe-XVIIIe siècle.
    • Vestiges de voie romaine.
    • Château Razens (ou des Razins), des XVIIe-XIXe siècles : ruiné par les troupes nazies qui l'occupèrent entre 1940 et 1945, il n'en subsiste que deux tours[43].
    • L'église Saint-Sévère (août 2015)
      L'église Saint-Sévère (août 2015)
    • Jardin entre mairie et église et galerie à arcades (août 2015)
      Jardin entre mairie et église et galerie à arcades (août 2015)
    • Lavoir et oratoire de la Houne (août 2015)
      Lavoir et oratoire de la Houne (août 2015)
    • Le château de Montalier.
      Le château de Montalier.
    • Le monument aux morts jouxtant la mairie (août 2015)
      Le monument aux morts jouxtant la mairie (août 2015)

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Saint-Selve sur Géoportail, consulté le 21 août 2015.
    2. Saint-Selve sur Géoportail, consulté le 21 août 2015.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Cabanac et Vill - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Selve et Cabanac-et-Villagrains », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Cabanac et Vill - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Selve et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Selve », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    24. « Le risque feux de forêts. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    25. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. Saint-Selve sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 21 août 2015.
    30. « Fontaine de Saint-Selve », sur Gironde Tourisme (consulté le ).
    31. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 5.IX, pages 65-69
    32. Historique des communes, p. 59, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 21 août 2015.
    33. Selon Un peu d'histoire sur le site de la mairie.
    34. Annuaire des villes jumelées
    35. Nom des habitants de la commune sur le site Habitants.fr, consulté le 21 août 2015.
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Église Saint-Sévère sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 21 août 2015.
    41. Oratoire de Notre-Dame-de-la-Houn sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 21 août 2015.
    42. Domaine de Grenade sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 21 août 2015.
    43. Château Razens sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 21 août 2015.
    44. Hervé Mathurin, « Dumas retient ses coups », Sud Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne).
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